Jamais 2 sans 3: le bilan
Lundi j'en ai fait deux. Pas terribles. Pourtant je les avais déjà vus. Le premier n'a voulu qu'une fellation.
Le moment que je garde c'est quand il jouit dans ma bouche: je ne vois que son entrejambe, ma tête monte et descentd au rythme de ma bouche sur sa queue, je masturbe sa verge à mesure qu'elle sort de mes lèvres, tout son corps tremble et hurle, son sexe éjacule dans ma bouche, ma langue travaille son gland et son méat, je ne l'abandonne que lorsque le sexe commence à se détuméfier...la capote est pleine de sperme, et je suis satisfaite de mon travail. Mais déçue de ne pas avoir été sodomisée.
Le deuxième est très bien monté, il a remis sa cagoule de la dernière fois, elle est énorme dans ma bouche, il va m'enculer mais il tient d'abord à m'enfiler mes godes... je ne vois pas l'intérêt, mais je laisse faire, il s'excite, me défonce et m'élargit le cul, puis finit enfin par me pénétrer. Fort, efficace, trop rapide, le voilà qui jouit et qui se casse. Deux rendez-vous qui me laissent amère et déçue, je ne veux plus être un kleenex pour des bourrins qui ne pensent qu'à leur propre plaisir.
Heureusement le 3ème arrive Jeudi, et c'est un gentleman. Il est petit, barbu, bien monté lui aussi. Il va me baiser la bouche et le cul pendant 30mn, m'amenant au bord de l'orgasme anal. Il va me prendre en levrette longtemps, en profondeur, ma queue va être dure, dure, je sens que l'éjaculation est proche, ça se prolonge, je suis folle d'excitation, mais je n'arrive pas à passer le point de non retour sans me toucher encore. Je n'y arrive pas encore, mais je compte bien recommencer avec lui. Couché sur moi, il m'enfile le cul, je l'encourage. Je le suce ensuite. Tout se passe avec simplicité, sans brusquerie, avec un souci mutuel de donner du plaisir à son partenaire autant que d'en prendre. Il est bon, et il est aussi mon 40ème amant depuis 3 ans que j'ai décidé de vivre mes fantasmes de travestie.
40 mecs, 82 rendez-vous, des bons, des brutes et des truands, l'heure est venue du bilan pour Joan. Pendant 25 ans j'ai hésité avant de sauter le pas. J'ai découvert plein de choses. J'aime le sexe entre hommes quand je suis travestie. La lingerie féminine m'a toujours fascinée, et en porter me rend folle. Sucer et me faire sodomiser, c'est mon truc. De plus en plus, je pense que les hommes qui me sucent aussi sont les amants qui me conviennent le mieux. Je suis beaucoup plus difficile sur le physique de mes partenaires travesties que sur celui des mecs. Je vois bien que c'est injuste. Malgré les très bons moments que je peux passer au lit avec les hommes, aucun ne me fait autant jouir et aussi fort que ma femme. Là aussi je vois bien le côté paradoxal de mes aventures: à quoi bon? Joan semble faire partie de moi de manière séparée, face obscure et secrète qui se révèle à intervalles réguliers. En tout cas, devenir une travestie, même occasionnelle m'a fait basculer de l'autre côté du miroir et jamais je n'aurais cru que des mecs puissent être aussi menteurs, égoïstes, stupides ou brutaux. Merci à ceux d'entre vous qui ne sont pas comme ça. Merde aux autres, mythos planqués derrière leur écran, baiseurs aux dents serrées sans âme, pseudo dominateurs maladroits avides d'humiliations. Joan est une travestie féministe. Je sais pas si ça existait, mais maintenant oui.
Le moment que je garde c'est quand il jouit dans ma bouche: je ne vois que son entrejambe, ma tête monte et descentd au rythme de ma bouche sur sa queue, je masturbe sa verge à mesure qu'elle sort de mes lèvres, tout son corps tremble et hurle, son sexe éjacule dans ma bouche, ma langue travaille son gland et son méat, je ne l'abandonne que lorsque le sexe commence à se détuméfier...la capote est pleine de sperme, et je suis satisfaite de mon travail. Mais déçue de ne pas avoir été sodomisée.
Le deuxième est très bien monté, il a remis sa cagoule de la dernière fois, elle est énorme dans ma bouche, il va m'enculer mais il tient d'abord à m'enfiler mes godes... je ne vois pas l'intérêt, mais je laisse faire, il s'excite, me défonce et m'élargit le cul, puis finit enfin par me pénétrer. Fort, efficace, trop rapide, le voilà qui jouit et qui se casse. Deux rendez-vous qui me laissent amère et déçue, je ne veux plus être un kleenex pour des bourrins qui ne pensent qu'à leur propre plaisir.
Heureusement le 3ème arrive Jeudi, et c'est un gentleman. Il est petit, barbu, bien monté lui aussi. Il va me baiser la bouche et le cul pendant 30mn, m'amenant au bord de l'orgasme anal. Il va me prendre en levrette longtemps, en profondeur, ma queue va être dure, dure, je sens que l'éjaculation est proche, ça se prolonge, je suis folle d'excitation, mais je n'arrive pas à passer le point de non retour sans me toucher encore. Je n'y arrive pas encore, mais je compte bien recommencer avec lui. Couché sur moi, il m'enfile le cul, je l'encourage. Je le suce ensuite. Tout se passe avec simplicité, sans brusquerie, avec un souci mutuel de donner du plaisir à son partenaire autant que d'en prendre. Il est bon, et il est aussi mon 40ème amant depuis 3 ans que j'ai décidé de vivre mes fantasmes de travestie.
40 mecs, 82 rendez-vous, des bons, des brutes et des truands, l'heure est venue du bilan pour Joan. Pendant 25 ans j'ai hésité avant de sauter le pas. J'ai découvert plein de choses. J'aime le sexe entre hommes quand je suis travestie. La lingerie féminine m'a toujours fascinée, et en porter me rend folle. Sucer et me faire sodomiser, c'est mon truc. De plus en plus, je pense que les hommes qui me sucent aussi sont les amants qui me conviennent le mieux. Je suis beaucoup plus difficile sur le physique de mes partenaires travesties que sur celui des mecs. Je vois bien que c'est injuste. Malgré les très bons moments que je peux passer au lit avec les hommes, aucun ne me fait autant jouir et aussi fort que ma femme. Là aussi je vois bien le côté paradoxal de mes aventures: à quoi bon? Joan semble faire partie de moi de manière séparée, face obscure et secrète qui se révèle à intervalles réguliers. En tout cas, devenir une travestie, même occasionnelle m'a fait basculer de l'autre côté du miroir et jamais je n'aurais cru que des mecs puissent être aussi menteurs, égoïstes, stupides ou brutaux. Merci à ceux d'entre vous qui ne sont pas comme ça. Merde aux autres, mythos planqués derrière leur écran, baiseurs aux dents serrées sans âme, pseudo dominateurs maladroits avides d'humiliations. Joan est une travestie féministe. Je sais pas si ça existait, mais maintenant oui.
5 years ago
