3. 2ème jour chez Bernadette.
Le matin, en liquette, ils se retrouvent à quatre au petit déjeuner, que je sers en lingerie. André plaisante avec Marc, qui n’a pas l’air trop à l’aise de me voir là. D’ailleurs il s’en va rapidement.
A part Odile en pleine forme, ils ont l’air indécis, limite excédés, dégoûtés. De moi ou peut-être bien d’eux-mêmes. Ce n’est pas une sinécure d’être dominant, ils s’en rendent compte. Et je préfère de loin mon statut d’esclave, souffrir mais n’avoir à décider de rien.
Cependant, Bernadette reprend du poil de la bête.
– Habille-toi pour sortir et va m’attendre aux cordes.
Cette fois, j’ai soin de mettre mes pinces, celles en bois qu’on peut facilement faire sauter. Je patiente près d’une heure avant de l’entendre. D’entrée, elle me place sa culotte sur la bouche.
– Allons, pouffiasse, tu vas bander, oui ? Pense à la bite d’André dans ta bouche. Ou peut-être l’aimerais-tu dans ton petit cul de pute ?
Ça me fait bander, à ma surprise. Elle me tord la bite et me fait éjaculer dans sa culotte. J’entends qu’elle remplit un verre qu’elle me fait boire aussitôt.
– Aujourd’hui c’est ma pisse, mais peut-être tu préfères celle d’André, hein ?
– Non Madame Bernadette, la vôtre est meilleure.
– C’est bien, en récompense tu peux sucer ma culotte, dit-elle e m’empoignant les couilles dans son poing serré.
Je me retiens de hurler.
-- Peut-être préfères-tu ça ?
Et elle m’envoie un terrible coup de genou. Je serre les dents mais ne dis rien.
Et alors, on ne dit pas merci, fait-elle en m’en donnant un autre.
– Oui, merci infiniment Madame Bernadette.
Elle joue avec mes pinces, les serres, me tord les tétons.
– Tu aimes ça, hein femelle !
– Oui, Madame Bernadette, merci.
– Tantôt tu pourras sucer André, ou peut-être qu’il t’enculera, qui sait ? En attendant, Wanda m’a demandé de te décorer. Aimes-tu comme je te fouette, Solange ?
– Oh oui, beaucoup Madame Bernadette. Vous avez de la poigne.
– Tu l’ignores mais c’est moi qui te fouettais au jardin, avec les conseils de Wanda.
– Je suis heureuse de l’apprendre, Madame Bernadette.
– Que reste-t-il d’hier, voyons ça. Hum, ça s’estompe déjà.
D’un ongle acéré, elle laboure ma peau, repassant sur les traces de la veille.
– Bon, il faut que je frappe plus fort, je veux des traces bien rouges.
Sans plus attendre, elle commence. En quelques coups, elle a réussi à faire tomber mes pinces. Puis systématiquement, elle aligne les coups par dizaines, une épaule puis l’autre, puis mes flancs, revient à mes seins, mon ventre. Ensuite c’est de l’ongle qu’elle en approfondit quelques-unes. Elle me libère.
– Couches-toi, tiens tes jambes écartées en l’air.
Elle se place debout au dessus de moi.
– Oh, tu peux regarder sous ma jupe.
Elle a pris la fine baguette de jonc et me cingle l’intérieur des cuisses. C’est d’autant plus terrible que je crains qu’elle n’atteigne mes testicules. C’est à quatre pattes que je termine, pour qu’elle me cingle les fesses.
– Ça va, tu peux te regarder.
Je suis fière, jamais je n’ai été marquée ainsi.
– Oh Madame Bernadette, mille mercis à vous, c’est splendide, ma Maîtresse sera sûrement très contente.
– Et bien tu vas pouvoir me remercier.
Elle se place à quatre pattes sur le lit, jupe relevée.
– Occupes-toi de mon cul, sens-le, lèches-le, fais y bien entrer ta langue. Tu vois, comme André m’encule souvent, mon cul est bien ouvert.
Quel beau cul, encadré par les jarretelles. Il reste un peu de merde. Qu’à cela ne tienne, j’y plaque ma bouche, lèche et suce avidement. Je darde ma langue, elle entre assez facilement de deux ou trois centimètres.
– Suffit ! C’était bon ?
– Oh oui Madame. Une prochaine fois, j’aimerais vous servir de papier toilette.
Elle se retourne sur le dos.
– Fais-moi jouir, salope !
Je contemple, je hume son con poilu où perle une goutte de cyprine. Du bout de la langue, j’effleure son clitoris, elle apprécie. Je fourre mon nez entre ses lèvres, ma langue suit. Elle mouille, la salope ! Je déguste, c’est divin. Je reviens à son clitoris, le suce, il durcit, elle tremble en jouissant, plusieurs fois, et mouille, mouille à m’inonder le visage. Enfin elle s’apaise.
– C’est bien, ma chérie, tu sais faire jouir une femme.
– Vous ne voulez plus faire pipi Madame ?
– Non, mais toi, tu vas remplir un verre et le boire. Allons.
J’approche un verre sous mon pénis.
– Non, non, une femelle pisse accroupie.
– Vous avez raison Madame.
Je suis un peu gênée sous son regard mais remplis et bois mon verre.
– Rhabille-moi.
Elle se lève, je lui enfile sa culotte.
– Mets ton peignoir, on va retrouver André.
Sitôt rentrés, elle me fait mettre toute nue.
– Alors André, j’ai bien travaillé ?
Il regarde, mon corps est zébré de partout, parfois au sang.
– Tu sais mon chéri, la femelle m’a dit qu’elle aimerait sucer un homme, un vrai.
Il me toise en ricanant.
– Allez, montre ce que tu sais faire, salope.
Je m’agenouille, frotte mon visage sur son pantalon, défais sa ceinture qu’il me prend des mains pour m’en claquer les fesses. J’ouvre sa braguette, son pantalon tombe, je frotte mon visage sur son caleçon, puis le fais glisser. Sa bite jaillit, droite, énorme. Je continue, lui lèche les couilles mais il m’att**** par les oreilles.
– Suce, nom de dieu !
C’est à peine si je peux enfourner son gland tant il est démesuré. Je suce tant que je peux, il pousse, sa bite me suffoque. Je le masturbe d’une main ferme, je glisse l’autre pour lui flatter les couilles, puis j’avance vers le scrotum jusqu’à son cul.
– Holà, ça suffit putain.
J’en ai bien pour dix minutes à le branler avant de recevoir le jet de sperme au fond de la gorge. Je lui montre ma langue remplie et j’avale.
– Nom de dieu, t’es une bonne suceuse toi !
– Bravo, fait Odile .
Elle a assisté à toute la scène, cachée dans l’escalier. Elle nous rejoint, en petite culotte.
– Tu vois comment tu dois faire avec ton petit ami, fait Bernadette en riant.
– Oh mais ne vous en faites pas, je fais ça depuis longtemps !
Elle s’approche.
– Pfff, quelle petite bite ! Maman, c’est toi qui lui a fait ces marques ? J’aimerais bien essayer aussi. D’ailleurs tu m’as promis.
– Oui, tu veux ? Allez, on y va. Je te montre d’abord. Solange, à genoux, jambes écartées, mains à la nuque.
Bernadette promène sa cravache sur mes seins, descend vers mon sexe qu’elle tapote légèrement. Subitement un coup un peu violent sur ma bite. Elle me gifle.
– Alors Solange, on oublie de remercier ?
– Pardon, merci Madame.
– Tiens, à toi maintenant, dit-elle en donnant la cravache à sa fille. Donne-lui ta culotte à sucer, tu vas voir, elle adore ça.
Odile s’approche. J’ai sa petite culotte devant les yeux. Elle la retire lentement, me montre le fond humide et me la fait lécher. Elle a le goût du sperme de son ami. Mais je louche sur son pubis.
– Dis donc, fini de me reluquer, salope ?
Elle m’envoie une série de six gifles, de toutes ses forces. Puis me tord méchamment les tétons. Je ne bronche pas. Bernadette me fait pencher en arrière, en appui sur les mains.
– Assieds-toi sur sa bouche, elle va te lécher le cul.
André ricane et commence à filmer. Elle n’est vraiment pas très propre et j’ai plaisir à promener ma langue sur le petit trou mais sans parvenir à la faire entrer. Enfin je reçois une dizaine de coups de cravache, dont quelques-uns sur la bite.
Et voila, Odile bientôt formée à la domination !
* * *
Après-midi, pour attendre Wanda, ils sont nus tous les trois, en boniche. A 15H, on sonne. Je vais ouvrir. C’est Wanda qui revient avec son amant !
– Julien chéri, je te présente Solange, mon mari, cette lopette, fait-elle en riant.
Je leur fais la révérence.
– Et toi Solange, voici Julien, ton Maître désormais puisqu’il va vivre chez MOI.
– Bonjour Maître, fais-je.
Merde alors, je ne m’attendais pas à celle là. Elle fait les présentations, tout le monde s’embrasse.
– Du café, de la bière ? propose Bernadette.
Tout le monde prend de la bière, sauf Odile qui veut de l’eau. Je fais le service, gauchement. En fait, j’ai presque les larmes aux yeux. Wanda s’en aperçoit.
– Qu’est-ce qu’il y a Solange, ça ne va pas ? Tu n’as pas passé un bon weekend ?
– Oh si, merveilleux, je vous remercie Maîtresse, dis-je avec une petite révérence.
– Et toi, Bernadette, tu t’en es sortie avec l’esclave ? Elle a été docile au moins ? Raconte !
– Oh parfaitement, ça été un plaisir pour nous. Pour elle aussi je crois. Elle a beaucoup aimé boire la pisse d’André et le sucer. Elle a même léché le cul de Odile ! Mais qu’est-ce qu’elle aime souffrir ! D’ailleurs vous allez voir. Déshabille-toi, Solange.
Me déshabiller devant son amant ! Cette fois c’est bien la fin de notre passé et le début de mon avenir. Mon chemisier, ma petite jupe, mon soutien-gorge et mes faux seins, ma petite culotte.
– Montre comme tu ressemble à une fille, dit Wanda.
Je cache mes organes entre mes cuisses serrées. C’est vrai qu’ainsi j’ai presque un pubis de fille.
– Continue.
Je dégrafe mes jarretelles pour enlever mes bas nylons, enfin la ceinture, et me voilà toute nue. Puis la honte suprême :
– Montre tes fesses qu’on voie ton gode, voila, retire-le, ordonne Bernadette.
– Tu vois chéri, je t’avais dit que sa bite est minuscule, fait Wanda. Et j’ai hâte de la voir couiner et pleurnicher quand tu l’enculeras !
Je croyais avoir atteint le sommet de l’humiliation mais Wanda m’ordonna de me masturber. Rougissant, je m’exécutai, et léchai mon sperme dans ma main.
– C’est bien, ma grande ! Toutes mes félicitations, Bernadette, je vois que tu es devenue experte au fouet !
– J’ai découvert un monde que j’ignorais, fait Bernadette. A la maison, nous avons l’habitude de vivre tout nus. André nous prend en photos. D’ailleurs, il a fait toute une série sur Solange, regardez.
Il branche sa clé USB sur la TV et je peux voir avec eux toute la séance d’hier matin aux cordes, des vidéos quand elle me masturbe, qu’il me fait boire sa pisse, et ce matin avec Odile qui me cravache.
– Bravo Odile , s’exclame Wanda !
– Depuis le Cap d’Agde, elle a fait beaucoup de progrès. On vous en parlera une autre fois. Et on vous montrera nos photos.
– Allons, je vois que Solange est entre bonnes mains chez vous trois. Bien, Solange rhabille-toi, il est temps de rentrer.
En partant, je dois les remercier.
– Merci Madame Bernadette, merci Monsieur André, merci Mademoiselle Odile pour toutes vos attentions ce merveilleux weekend !
A SUIVRE...
A part Odile en pleine forme, ils ont l’air indécis, limite excédés, dégoûtés. De moi ou peut-être bien d’eux-mêmes. Ce n’est pas une sinécure d’être dominant, ils s’en rendent compte. Et je préfère de loin mon statut d’esclave, souffrir mais n’avoir à décider de rien.
Cependant, Bernadette reprend du poil de la bête.
– Habille-toi pour sortir et va m’attendre aux cordes.
Cette fois, j’ai soin de mettre mes pinces, celles en bois qu’on peut facilement faire sauter. Je patiente près d’une heure avant de l’entendre. D’entrée, elle me place sa culotte sur la bouche.
– Allons, pouffiasse, tu vas bander, oui ? Pense à la bite d’André dans ta bouche. Ou peut-être l’aimerais-tu dans ton petit cul de pute ?
Ça me fait bander, à ma surprise. Elle me tord la bite et me fait éjaculer dans sa culotte. J’entends qu’elle remplit un verre qu’elle me fait boire aussitôt.
– Aujourd’hui c’est ma pisse, mais peut-être tu préfères celle d’André, hein ?
– Non Madame Bernadette, la vôtre est meilleure.
– C’est bien, en récompense tu peux sucer ma culotte, dit-elle e m’empoignant les couilles dans son poing serré.
Je me retiens de hurler.
-- Peut-être préfères-tu ça ?
Et elle m’envoie un terrible coup de genou. Je serre les dents mais ne dis rien.
Et alors, on ne dit pas merci, fait-elle en m’en donnant un autre.
– Oui, merci infiniment Madame Bernadette.
Elle joue avec mes pinces, les serres, me tord les tétons.
– Tu aimes ça, hein femelle !
– Oui, Madame Bernadette, merci.
– Tantôt tu pourras sucer André, ou peut-être qu’il t’enculera, qui sait ? En attendant, Wanda m’a demandé de te décorer. Aimes-tu comme je te fouette, Solange ?
– Oh oui, beaucoup Madame Bernadette. Vous avez de la poigne.
– Tu l’ignores mais c’est moi qui te fouettais au jardin, avec les conseils de Wanda.
– Je suis heureuse de l’apprendre, Madame Bernadette.
– Que reste-t-il d’hier, voyons ça. Hum, ça s’estompe déjà.
D’un ongle acéré, elle laboure ma peau, repassant sur les traces de la veille.
– Bon, il faut que je frappe plus fort, je veux des traces bien rouges.
Sans plus attendre, elle commence. En quelques coups, elle a réussi à faire tomber mes pinces. Puis systématiquement, elle aligne les coups par dizaines, une épaule puis l’autre, puis mes flancs, revient à mes seins, mon ventre. Ensuite c’est de l’ongle qu’elle en approfondit quelques-unes. Elle me libère.
– Couches-toi, tiens tes jambes écartées en l’air.
Elle se place debout au dessus de moi.
– Oh, tu peux regarder sous ma jupe.
Elle a pris la fine baguette de jonc et me cingle l’intérieur des cuisses. C’est d’autant plus terrible que je crains qu’elle n’atteigne mes testicules. C’est à quatre pattes que je termine, pour qu’elle me cingle les fesses.
– Ça va, tu peux te regarder.
Je suis fière, jamais je n’ai été marquée ainsi.
– Oh Madame Bernadette, mille mercis à vous, c’est splendide, ma Maîtresse sera sûrement très contente.
– Et bien tu vas pouvoir me remercier.
Elle se place à quatre pattes sur le lit, jupe relevée.
– Occupes-toi de mon cul, sens-le, lèches-le, fais y bien entrer ta langue. Tu vois, comme André m’encule souvent, mon cul est bien ouvert.
Quel beau cul, encadré par les jarretelles. Il reste un peu de merde. Qu’à cela ne tienne, j’y plaque ma bouche, lèche et suce avidement. Je darde ma langue, elle entre assez facilement de deux ou trois centimètres.
– Suffit ! C’était bon ?
– Oh oui Madame. Une prochaine fois, j’aimerais vous servir de papier toilette.
Elle se retourne sur le dos.
– Fais-moi jouir, salope !
Je contemple, je hume son con poilu où perle une goutte de cyprine. Du bout de la langue, j’effleure son clitoris, elle apprécie. Je fourre mon nez entre ses lèvres, ma langue suit. Elle mouille, la salope ! Je déguste, c’est divin. Je reviens à son clitoris, le suce, il durcit, elle tremble en jouissant, plusieurs fois, et mouille, mouille à m’inonder le visage. Enfin elle s’apaise.
– C’est bien, ma chérie, tu sais faire jouir une femme.
– Vous ne voulez plus faire pipi Madame ?
– Non, mais toi, tu vas remplir un verre et le boire. Allons.
J’approche un verre sous mon pénis.
– Non, non, une femelle pisse accroupie.
– Vous avez raison Madame.
Je suis un peu gênée sous son regard mais remplis et bois mon verre.
– Rhabille-moi.
Elle se lève, je lui enfile sa culotte.
– Mets ton peignoir, on va retrouver André.
Sitôt rentrés, elle me fait mettre toute nue.
– Alors André, j’ai bien travaillé ?
Il regarde, mon corps est zébré de partout, parfois au sang.
– Tu sais mon chéri, la femelle m’a dit qu’elle aimerait sucer un homme, un vrai.
Il me toise en ricanant.
– Allez, montre ce que tu sais faire, salope.
Je m’agenouille, frotte mon visage sur son pantalon, défais sa ceinture qu’il me prend des mains pour m’en claquer les fesses. J’ouvre sa braguette, son pantalon tombe, je frotte mon visage sur son caleçon, puis le fais glisser. Sa bite jaillit, droite, énorme. Je continue, lui lèche les couilles mais il m’att**** par les oreilles.
– Suce, nom de dieu !
C’est à peine si je peux enfourner son gland tant il est démesuré. Je suce tant que je peux, il pousse, sa bite me suffoque. Je le masturbe d’une main ferme, je glisse l’autre pour lui flatter les couilles, puis j’avance vers le scrotum jusqu’à son cul.
– Holà, ça suffit putain.
J’en ai bien pour dix minutes à le branler avant de recevoir le jet de sperme au fond de la gorge. Je lui montre ma langue remplie et j’avale.
– Nom de dieu, t’es une bonne suceuse toi !
– Bravo, fait Odile .
Elle a assisté à toute la scène, cachée dans l’escalier. Elle nous rejoint, en petite culotte.
– Tu vois comment tu dois faire avec ton petit ami, fait Bernadette en riant.
– Oh mais ne vous en faites pas, je fais ça depuis longtemps !
Elle s’approche.
– Pfff, quelle petite bite ! Maman, c’est toi qui lui a fait ces marques ? J’aimerais bien essayer aussi. D’ailleurs tu m’as promis.
– Oui, tu veux ? Allez, on y va. Je te montre d’abord. Solange, à genoux, jambes écartées, mains à la nuque.
Bernadette promène sa cravache sur mes seins, descend vers mon sexe qu’elle tapote légèrement. Subitement un coup un peu violent sur ma bite. Elle me gifle.
– Alors Solange, on oublie de remercier ?
– Pardon, merci Madame.
– Tiens, à toi maintenant, dit-elle en donnant la cravache à sa fille. Donne-lui ta culotte à sucer, tu vas voir, elle adore ça.
Odile s’approche. J’ai sa petite culotte devant les yeux. Elle la retire lentement, me montre le fond humide et me la fait lécher. Elle a le goût du sperme de son ami. Mais je louche sur son pubis.
– Dis donc, fini de me reluquer, salope ?
Elle m’envoie une série de six gifles, de toutes ses forces. Puis me tord méchamment les tétons. Je ne bronche pas. Bernadette me fait pencher en arrière, en appui sur les mains.
– Assieds-toi sur sa bouche, elle va te lécher le cul.
André ricane et commence à filmer. Elle n’est vraiment pas très propre et j’ai plaisir à promener ma langue sur le petit trou mais sans parvenir à la faire entrer. Enfin je reçois une dizaine de coups de cravache, dont quelques-uns sur la bite.
Et voila, Odile bientôt formée à la domination !
* * *
Après-midi, pour attendre Wanda, ils sont nus tous les trois, en boniche. A 15H, on sonne. Je vais ouvrir. C’est Wanda qui revient avec son amant !
– Julien chéri, je te présente Solange, mon mari, cette lopette, fait-elle en riant.
Je leur fais la révérence.
– Et toi Solange, voici Julien, ton Maître désormais puisqu’il va vivre chez MOI.
– Bonjour Maître, fais-je.
Merde alors, je ne m’attendais pas à celle là. Elle fait les présentations, tout le monde s’embrasse.
– Du café, de la bière ? propose Bernadette.
Tout le monde prend de la bière, sauf Odile qui veut de l’eau. Je fais le service, gauchement. En fait, j’ai presque les larmes aux yeux. Wanda s’en aperçoit.
– Qu’est-ce qu’il y a Solange, ça ne va pas ? Tu n’as pas passé un bon weekend ?
– Oh si, merveilleux, je vous remercie Maîtresse, dis-je avec une petite révérence.
– Et toi, Bernadette, tu t’en es sortie avec l’esclave ? Elle a été docile au moins ? Raconte !
– Oh parfaitement, ça été un plaisir pour nous. Pour elle aussi je crois. Elle a beaucoup aimé boire la pisse d’André et le sucer. Elle a même léché le cul de Odile ! Mais qu’est-ce qu’elle aime souffrir ! D’ailleurs vous allez voir. Déshabille-toi, Solange.
Me déshabiller devant son amant ! Cette fois c’est bien la fin de notre passé et le début de mon avenir. Mon chemisier, ma petite jupe, mon soutien-gorge et mes faux seins, ma petite culotte.
– Montre comme tu ressemble à une fille, dit Wanda.
Je cache mes organes entre mes cuisses serrées. C’est vrai qu’ainsi j’ai presque un pubis de fille.
– Continue.
Je dégrafe mes jarretelles pour enlever mes bas nylons, enfin la ceinture, et me voilà toute nue. Puis la honte suprême :
– Montre tes fesses qu’on voie ton gode, voila, retire-le, ordonne Bernadette.
– Tu vois chéri, je t’avais dit que sa bite est minuscule, fait Wanda. Et j’ai hâte de la voir couiner et pleurnicher quand tu l’enculeras !
Je croyais avoir atteint le sommet de l’humiliation mais Wanda m’ordonna de me masturber. Rougissant, je m’exécutai, et léchai mon sperme dans ma main.
– C’est bien, ma grande ! Toutes mes félicitations, Bernadette, je vois que tu es devenue experte au fouet !
– J’ai découvert un monde que j’ignorais, fait Bernadette. A la maison, nous avons l’habitude de vivre tout nus. André nous prend en photos. D’ailleurs, il a fait toute une série sur Solange, regardez.
Il branche sa clé USB sur la TV et je peux voir avec eux toute la séance d’hier matin aux cordes, des vidéos quand elle me masturbe, qu’il me fait boire sa pisse, et ce matin avec Odile qui me cravache.
– Bravo Odile , s’exclame Wanda !
– Depuis le Cap d’Agde, elle a fait beaucoup de progrès. On vous en parlera une autre fois. Et on vous montrera nos photos.
– Allons, je vois que Solange est entre bonnes mains chez vous trois. Bien, Solange rhabille-toi, il est temps de rentrer.
En partant, je dois les remercier.
– Merci Madame Bernadette, merci Monsieur André, merci Mademoiselle Odile pour toutes vos attentions ce merveilleux weekend !
A SUIVRE...
5 years ago