Clair obscur suite
Karine sonne la fin du repas et invite nos hôtes à bien s amuser.
Elle tire sur ma laisse, je me redresse. Pas un mot n’est échangé entre nous. Je la suis docilement. Pas encore trop de monde.
On longe le bar : Karine demande une cravache. Elle en veut une qui corrige les soumis. La barmaid lui explique et conseil dans le choix de deux cravaches. Les outils bien visibles dans sa main, nous nous dirigeons vers la grange. Curieux spectacle d’une maitresse en cuir tirant en laisse son esclave.
Karine m’ordonne de me déshabiller entièrement. Nu comme un verre je m’installe sur la roue offrant le dos de mon anatomie à la vue de tout le monde.
Je passerai le reste de la soirée entièrement nu avec mon collier de soumis.
Les sangles entourent mes poignets. Puis une grosse ceinture me fait coller contre la roue, je suis obligé d écarter les pieds comme charlot pour que les chevilles soient sanglées.
Je ferme les yeux. Je ne vois rien et rentre dans mon univers. Mon cœur bat la chamade.. Je ferme les yeux, réceptif et docile. Inutile d’être impatient. La cravache va vite entrer en action.
Je bande les muscles, ferme les yeux pour me couper de ce qui entoure. J entre dans ma bulle. J’ai beau avoir vu Karine me fouetter, j’ai peur et je suis excité en même temps. La cravache fend l’air. J entends son sifflement avant qu’elle vienne meurtrir mes fesses. Karine prend la mesure de ce que je vais pouvoir supporter. Je ne dis rien même si je me tords dans mes liens. Les coups se font de plus en plus rapide de plus en plus fort. J ai à peine le temps de respirer entre le changement de martinet.
Les endomorphines agissent vite et me font oublier la douleur…je suis dans ce monde que j aime. Le plaisir est là.
Karine s’arrête. Je rouvre les yeux et devine à travers un petit miroir, Karine s en aller. Des spectateurs arrivent. Je préfère les ignorer. Je n’ai plus de pudeur. Mais la curiosité est plus forte. J’aperçois nos voisins de table et deux hommes.
Le regard des autres m indiffère. Karine arrive avec le propriétaire des lieux. Il lui explique comment fonctionne la roue et comment bien m’attacher. Il ressert les lien lui même. Je ne suis qu un objet pour eux. Pas un mot pour moi ni sur moi. Il s en va.
Karine actionne la roue et je me retrouve la tête en bas. Mon corps est soutenu par mes chevilles. Mes bras ne servent pas à grand chose, et pourtant je m accroche comme un malade aux poignets.
Karine reprend sa besogne. Dans cette position, mon sexe est moins protégé. Karine s amuse à le viser. Elle joue parfaitement avec ma douleur et mon plaisir, dosant parfaitement les coups, suffisamment forts et rapprochées pour me maintenir désireux et excité, conscient de ma situation.
Karine s ‘arrete alors que mon corps en redemande encore. Elle me chuchote que nos voisins de table aiment le show. Je lui suggère de proposer à Sophie de jouer les Domina.
C était déjà son idée. Je referme les yeux. Un martinet me caresse doucement. J aime cette sensation avant sa morsure. Mais le coup est gentil. J entends Karine expliquer à son apprentie comment faire. Un martinet et une cravache entrent alors en danse sur mon dos mes fesses et mon sexe…j’exalte de plaisir. Je tremble lorsqu’elle arrête.
On me retourne, me détache et Karine installe LUC
Pendant que Sophie attache les sangles, Karine m’installe dans un pilori.
La foule est compacte pour regarder le show. Qu’importe, je n’ai plus honte et de plus, on admire Karine
On reste silencieux devant la Domina, son apprentie et ses deux soumis.
Je me tords un peu la tête pour entre apercevoir Luc sur la roue et voir les deux domina en actions…dieu que j envie Luc. J en suis Jaloux. Mais ma position ridicule avec mes fesses tendues et offertes n offre droit à aucune velléité. J ai beau me tordre, je ne vois que très partiellement la scène. Je n’ai même pas vu Karine arriver et me délivrer ses coups de paddle. Je me repositionne immédiatement. Il me faut un certain temps pour apprivoiser la douleur. Je serre les dents. Les coups tombent par vaguent.
Karine passe d’un soumis à l’autre. Luc demande vite grâce. Ce qui me permet de bénéficier des derniers coups.
Karine me détache, me remets en laisse et nous pardon vers le bar nous rafraichir.
Nous retrouvons Luc et Sophie. Sophie est encore rouge d excitation. Luc est aux anges, il ne pensait pas que son amie aurait pu y prendre autant de plaisir.
Sophie me presse de question pour savoir si elle m’a fait mal…il faut expliquer le rôle de chacun.
Elle tire sur ma laisse, je me redresse. Pas un mot n’est échangé entre nous. Je la suis docilement. Pas encore trop de monde.
On longe le bar : Karine demande une cravache. Elle en veut une qui corrige les soumis. La barmaid lui explique et conseil dans le choix de deux cravaches. Les outils bien visibles dans sa main, nous nous dirigeons vers la grange. Curieux spectacle d’une maitresse en cuir tirant en laisse son esclave.
Karine m’ordonne de me déshabiller entièrement. Nu comme un verre je m’installe sur la roue offrant le dos de mon anatomie à la vue de tout le monde.
Je passerai le reste de la soirée entièrement nu avec mon collier de soumis.
Les sangles entourent mes poignets. Puis une grosse ceinture me fait coller contre la roue, je suis obligé d écarter les pieds comme charlot pour que les chevilles soient sanglées.
Je ferme les yeux. Je ne vois rien et rentre dans mon univers. Mon cœur bat la chamade.. Je ferme les yeux, réceptif et docile. Inutile d’être impatient. La cravache va vite entrer en action.
Je bande les muscles, ferme les yeux pour me couper de ce qui entoure. J entre dans ma bulle. J’ai beau avoir vu Karine me fouetter, j’ai peur et je suis excité en même temps. La cravache fend l’air. J entends son sifflement avant qu’elle vienne meurtrir mes fesses. Karine prend la mesure de ce que je vais pouvoir supporter. Je ne dis rien même si je me tords dans mes liens. Les coups se font de plus en plus rapide de plus en plus fort. J ai à peine le temps de respirer entre le changement de martinet.
Les endomorphines agissent vite et me font oublier la douleur…je suis dans ce monde que j aime. Le plaisir est là.
Karine s’arrête. Je rouvre les yeux et devine à travers un petit miroir, Karine s en aller. Des spectateurs arrivent. Je préfère les ignorer. Je n’ai plus de pudeur. Mais la curiosité est plus forte. J’aperçois nos voisins de table et deux hommes.
Le regard des autres m indiffère. Karine arrive avec le propriétaire des lieux. Il lui explique comment fonctionne la roue et comment bien m’attacher. Il ressert les lien lui même. Je ne suis qu un objet pour eux. Pas un mot pour moi ni sur moi. Il s en va.
Karine actionne la roue et je me retrouve la tête en bas. Mon corps est soutenu par mes chevilles. Mes bras ne servent pas à grand chose, et pourtant je m accroche comme un malade aux poignets.
Karine reprend sa besogne. Dans cette position, mon sexe est moins protégé. Karine s amuse à le viser. Elle joue parfaitement avec ma douleur et mon plaisir, dosant parfaitement les coups, suffisamment forts et rapprochées pour me maintenir désireux et excité, conscient de ma situation.
Karine s ‘arrete alors que mon corps en redemande encore. Elle me chuchote que nos voisins de table aiment le show. Je lui suggère de proposer à Sophie de jouer les Domina.
C était déjà son idée. Je referme les yeux. Un martinet me caresse doucement. J aime cette sensation avant sa morsure. Mais le coup est gentil. J entends Karine expliquer à son apprentie comment faire. Un martinet et une cravache entrent alors en danse sur mon dos mes fesses et mon sexe…j’exalte de plaisir. Je tremble lorsqu’elle arrête.
On me retourne, me détache et Karine installe LUC
Pendant que Sophie attache les sangles, Karine m’installe dans un pilori.
La foule est compacte pour regarder le show. Qu’importe, je n’ai plus honte et de plus, on admire Karine
On reste silencieux devant la Domina, son apprentie et ses deux soumis.
Je me tords un peu la tête pour entre apercevoir Luc sur la roue et voir les deux domina en actions…dieu que j envie Luc. J en suis Jaloux. Mais ma position ridicule avec mes fesses tendues et offertes n offre droit à aucune velléité. J ai beau me tordre, je ne vois que très partiellement la scène. Je n’ai même pas vu Karine arriver et me délivrer ses coups de paddle. Je me repositionne immédiatement. Il me faut un certain temps pour apprivoiser la douleur. Je serre les dents. Les coups tombent par vaguent.
Karine passe d’un soumis à l’autre. Luc demande vite grâce. Ce qui me permet de bénéficier des derniers coups.
Karine me détache, me remets en laisse et nous pardon vers le bar nous rafraichir.
Nous retrouvons Luc et Sophie. Sophie est encore rouge d excitation. Luc est aux anges, il ne pensait pas que son amie aurait pu y prendre autant de plaisir.
Sophie me presse de question pour savoir si elle m’a fait mal…il faut expliquer le rôle de chacun.
6 years ago