Mon 1er rapport sexuel avec un mec
ROXY : ITINERAIRE D’UN TRANSGENRE 3
Mon 1er rapport sexuel avec un mec
Presque 2 mois se sont écoulés depuis mon plan torride avec Nathalie. Nous sommes au début du mois d’Août. A l’époque, je fais beaucoup de vélo. Des ballades de parfois 70/80 bornes. Les tenues de cyclistes sont en train d’évoluer. J’ai acheté l’un des premiers cuissards en lycra, assez brillants et très moule-burnes si vous voyez ce que je veux dire.
Un temps plutôt beau et chaud, très chaud même. Ce n’est que sur le chemin du retour que je constate que le ciel côté havrais est d’encre et se rapproche de moi à toute blinde. Je suis à 35 kms de chez moi et je n’ai pas prévu de vêtements de pluie. A 18 ans : on a beaucoup de certitudes mais on ne réfléchi pas à grand-chose.
Les premières gouttes se mettent à tomber, puis il se met à pleuvoir de plus en plus fort. J’aperçois un arrêt de car où je me mets à l’abri. Je suis déjà bien trempé et je n’ai plus qu’à espérer que ça se calme… mais ce n’est pas trop le cas. En 1986, le mobile n’existe pas. Je ne peux pas appeler quelqu’un pour venir me chercher. Je suis comme un con.
C’est alors qu’une fourgonnette d’électricien s’arrête à ma hauteur. Un type d’une trentaine d’année baisse sa vitre et me demande :
- Tu vas au Havre ? Je réponds positivement.
Il descend et m’aide à mettre mon vélo dans sa fourgonnette. Me voilà tiré d’affaire.
Un fois à l’intérieur, on se présente mutuellement. Il se nomme Rémi, la trentaine, blond, la barbe de 3 jours et plutôt beau mec.
- Ce n’est pas franchement un temps pour faire du vélo. Me dit-il.
- Au début, ça l’étais. Répondis-je en rigolant
- Moi j’adore les cyclistes. Je les trouve très excitants avec leurs cuissards. Tout en me disant ça, il aventure sa main sur ma cuisse et me la caresse. Je sursaute, surpris. Lui, gêné tout d’un coup, retire sa main. Un malaise s’installe un peu.
- Excuses moi. Me dit-il. Je n’avais pas à faire ça. Je sens qu’il n’est pas bien. Surtout, ne dis rien à ma boite : ils me foutraient à la porte s’ils savaient que je suis pédé. « Pédé ! » Voilà bien un mot qu’on s’envoyait en insultes plus jeune sans même savoir ce que cela signifiait. J’en avais une définition devant moi. Au-delà de ma surprise, qui avait entrainé mon sursaut, j’eu un autre sentiment un peu plus étrange. Sa main sur ma cuisse m’avais excité. Je sentais mon pénis se raidir à l’idée de la suite. L’excitation je pense…
- Excuses-moi. Dis-je à Rémi. C’est la première fois qu’un homme me touche comme ça. Puis je le rassure immédiatement. Tu me tire d’une grosse galère, je ne serais vraiment pas cool d’aller te dénoncer à ta boite. Puis, je lui mets moi, ma main sur la cuisse. J’ai plutôt envie de te remercier. Lui dis-je. On commence à se caresser mutuellement les cuisses jusqu’à nos pénis, aussi raides l’un que l’autre.
- Je connais un endroit tranquille à 2 kms. Tu veux que l’on s’y arrête ? J’acquiesce d’un petit sourire.
Rémi s’arrête donc un peu plus loin, sur le parking d’une entreprise désaffectée. Nous montons à l’arrière de sa camionnette.
Dans l’exigüité des lieux, entre ses outils et mon vélo, nous nous touchons mutuellement et nous embrassons. Ca fait bizarre, mais c’est agréable. Rémi me baisse mon cuissard et commence à déboutonner son jean. Nous bandons comme des ânes tous les deux. Et il est bien doté par la nature.
Il s’agenouille devant moi, puis se met à me sucer. Lentement, délicatement, profondément. Il me caresse l’entrejambe puis pétrit mes couilles ce qui m’excite encore plus. C’est alors qu’il me demande si j’ai envie de l’enculer.
- Je ne sais pas dis-je. J’ai jamais fait avec un mec. Il se retourne et se cambre. Je le doigte délicatement tout en lui léchant l’anus. Il gémit. Ca lui plait. Le souci : c’est qu’au moment de le prendre, je débande très vite. J’essaye de me la rebranler mais sans succès. Je n’y arrive pas lui dis-je. Il se retourne en souriant et me dis que ce n’est pas grave. Ce n’est peut-être pas mon truc, c’est tout. Prémonitoire car à une ou deux reprises exceptés, je n’ai jamais réussi à enculer un mec de toute ma vie.
Rémi se réagenouille devant moi et reprend sa fellation. Là, pas de soucis. Je rebande aussi sec. Au bout de quelques instants, je me mets à jouir. Rémi garde mon jus en bouche et je sens qu’il s’en délecte. Ca a l’air si bon que j’ai envie, moi aussi, de le sucer. Ce qu’il accepte volontiers.
C’est la première fois (ce ne sera pas la dernière) que je suce un mec. Elle est méga dure ! J’essaie de lui rendre ce qu’il m’a donné. Je m’applique. Je sens alors son sperme chaud couler dans ma bouche, alors que Rémi pousse un gémissement de plaisir extrême. Je vais être franc : la première fois, le sperme, ça a un goût dégueulasse.
Nous nous sommes quittés au Havre. Je ne l’ai jamais revu, le Rémi. Il est ma première expérience homo… et il va se passer 5 ans avant que j’en vive une autre. Mais ce sera pour une autre histoire.
Mon 1er rapport sexuel avec un mec
Presque 2 mois se sont écoulés depuis mon plan torride avec Nathalie. Nous sommes au début du mois d’Août. A l’époque, je fais beaucoup de vélo. Des ballades de parfois 70/80 bornes. Les tenues de cyclistes sont en train d’évoluer. J’ai acheté l’un des premiers cuissards en lycra, assez brillants et très moule-burnes si vous voyez ce que je veux dire.
Un temps plutôt beau et chaud, très chaud même. Ce n’est que sur le chemin du retour que je constate que le ciel côté havrais est d’encre et se rapproche de moi à toute blinde. Je suis à 35 kms de chez moi et je n’ai pas prévu de vêtements de pluie. A 18 ans : on a beaucoup de certitudes mais on ne réfléchi pas à grand-chose.
Les premières gouttes se mettent à tomber, puis il se met à pleuvoir de plus en plus fort. J’aperçois un arrêt de car où je me mets à l’abri. Je suis déjà bien trempé et je n’ai plus qu’à espérer que ça se calme… mais ce n’est pas trop le cas. En 1986, le mobile n’existe pas. Je ne peux pas appeler quelqu’un pour venir me chercher. Je suis comme un con.
C’est alors qu’une fourgonnette d’électricien s’arrête à ma hauteur. Un type d’une trentaine d’année baisse sa vitre et me demande :
- Tu vas au Havre ? Je réponds positivement.
Il descend et m’aide à mettre mon vélo dans sa fourgonnette. Me voilà tiré d’affaire.
Un fois à l’intérieur, on se présente mutuellement. Il se nomme Rémi, la trentaine, blond, la barbe de 3 jours et plutôt beau mec.
- Ce n’est pas franchement un temps pour faire du vélo. Me dit-il.
- Au début, ça l’étais. Répondis-je en rigolant
- Moi j’adore les cyclistes. Je les trouve très excitants avec leurs cuissards. Tout en me disant ça, il aventure sa main sur ma cuisse et me la caresse. Je sursaute, surpris. Lui, gêné tout d’un coup, retire sa main. Un malaise s’installe un peu.
- Excuses moi. Me dit-il. Je n’avais pas à faire ça. Je sens qu’il n’est pas bien. Surtout, ne dis rien à ma boite : ils me foutraient à la porte s’ils savaient que je suis pédé. « Pédé ! » Voilà bien un mot qu’on s’envoyait en insultes plus jeune sans même savoir ce que cela signifiait. J’en avais une définition devant moi. Au-delà de ma surprise, qui avait entrainé mon sursaut, j’eu un autre sentiment un peu plus étrange. Sa main sur ma cuisse m’avais excité. Je sentais mon pénis se raidir à l’idée de la suite. L’excitation je pense…
- Excuses-moi. Dis-je à Rémi. C’est la première fois qu’un homme me touche comme ça. Puis je le rassure immédiatement. Tu me tire d’une grosse galère, je ne serais vraiment pas cool d’aller te dénoncer à ta boite. Puis, je lui mets moi, ma main sur la cuisse. J’ai plutôt envie de te remercier. Lui dis-je. On commence à se caresser mutuellement les cuisses jusqu’à nos pénis, aussi raides l’un que l’autre.
- Je connais un endroit tranquille à 2 kms. Tu veux que l’on s’y arrête ? J’acquiesce d’un petit sourire.
Rémi s’arrête donc un peu plus loin, sur le parking d’une entreprise désaffectée. Nous montons à l’arrière de sa camionnette.
Dans l’exigüité des lieux, entre ses outils et mon vélo, nous nous touchons mutuellement et nous embrassons. Ca fait bizarre, mais c’est agréable. Rémi me baisse mon cuissard et commence à déboutonner son jean. Nous bandons comme des ânes tous les deux. Et il est bien doté par la nature.
Il s’agenouille devant moi, puis se met à me sucer. Lentement, délicatement, profondément. Il me caresse l’entrejambe puis pétrit mes couilles ce qui m’excite encore plus. C’est alors qu’il me demande si j’ai envie de l’enculer.
- Je ne sais pas dis-je. J’ai jamais fait avec un mec. Il se retourne et se cambre. Je le doigte délicatement tout en lui léchant l’anus. Il gémit. Ca lui plait. Le souci : c’est qu’au moment de le prendre, je débande très vite. J’essaye de me la rebranler mais sans succès. Je n’y arrive pas lui dis-je. Il se retourne en souriant et me dis que ce n’est pas grave. Ce n’est peut-être pas mon truc, c’est tout. Prémonitoire car à une ou deux reprises exceptés, je n’ai jamais réussi à enculer un mec de toute ma vie.
Rémi se réagenouille devant moi et reprend sa fellation. Là, pas de soucis. Je rebande aussi sec. Au bout de quelques instants, je me mets à jouir. Rémi garde mon jus en bouche et je sens qu’il s’en délecte. Ca a l’air si bon que j’ai envie, moi aussi, de le sucer. Ce qu’il accepte volontiers.
C’est la première fois (ce ne sera pas la dernière) que je suce un mec. Elle est méga dure ! J’essaie de lui rendre ce qu’il m’a donné. Je m’applique. Je sens alors son sperme chaud couler dans ma bouche, alors que Rémi pousse un gémissement de plaisir extrême. Je vais être franc : la première fois, le sperme, ça a un goût dégueulasse.
Nous nous sommes quittés au Havre. Je ne l’ai jamais revu, le Rémi. Il est ma première expérience homo… et il va se passer 5 ans avant que j’en vive une autre. Mais ce sera pour une autre histoire.
6 years ago