Baignade interdite
Actuellement en vacances dans un minuscule village de montagne, chez mes grands parents, les activités sont rares et les hommes vigoureux tout autant. Les randonnées à faire alentour, je les connais déjà par cœur et puis avec cette canicule qui s’abat sur toute la France et l’Espagne, je n’ai pas envie d’aller suer à travers les bois.
Heureusement que la rivière qui passe en contrebas, me permet au plus chaud de la journée de me rafraichir. J’y vais régulièrement tous les jours vers 15h après ma sieste. Pedro, le vieux pote de mon grand père a compris mon schéma quotidien, et je le salue tous les jours en passant près de lui. « Maud, encore la rivière aujourd’hui, je ne sais pas comment tu fais, elle est glacée, elle descends directement de la montagne ! », d’humeur blagueuse, je lui réponds « Au moins ça conserve Pedro, tu devrais t’y baigner plus souvent ! ».
Je continue ma descente vers la petite rivière, arrivée en bas, je me mets en maillot, même si c’est un village où ils sont ultra conservateurs, j’ose retirer le haut car je sais que je ne croise personne par ici (ça risquerait de se casser des bassins, la pente est raide).
L’eau est bien fraiche et tous mes sens sont en émoi au contact de l’eau, mes tétons se dressent et je joue doucement avec. Ma chatte se contracte un peu, je sens des palpitations au creux de mes cuisses. Je suis clairement en manque de sexe depuis avoir quitté la capitale.
Un bruissement de branches se fait entendre en hauteur, je lève la tête et j’aperçois le vieux Pedro qui tente de se planquer derrière un arbre. Je fais comme si je ne l’avais pas vu et continue à me malaxer les seins. Je rentre toute entière dans la rivière, l’eau ruisselle sur moi, et je me caresse tout le corps, bien décidée à jouer avec le vieux.
Me sentant de plus en plus excitée par la situation, je décide de retirer le bas de mon maillot et m’installe sur une pierre face à lui, me caressant doucement le minou, faisant glisser ma main de haut en bas, les jambes serrées. Je risque un œil vers Pedro qui n’a pas bougé de sa cachette, et le voilà qui sort sa vieille queue toute rabougrie et se la masturbe comme il peut.
J’écarte mes cuisses, espérant que sa cataracte ne lui gâche pas le spectacle que je lui offre, et glisse un doigt en moi le faisant aller et venir, de mon autre main, je malaxe mon bouton d’amour, je gémis de plus en plus fort, m’insère un deuxième doigt me sentant prête à venir, ma cyprine coule sur mes mains, mais je m’arrête là, ne voulant pas jouir de suite.
Debout face à lui, je me mets à lui tourner le dos, me penchant en avant et lui donnant le plus beau point de vue sur mon cul, de nouveau je me câline le clito et me mets un doigt dans le cul, je l’entends derrière sa cachette respirer de plus en plus fort et pousser un râle. Me sentant de plus en plus mouillée et excitée, je jouis fort et bruyamment. Reprenant mes esprits, je me tourne et le vieux Pedro est toujours là, en train de se rhabiller, décidée de ne pas lui laisser croire que je n’ai pas capté son manège, je lui fais signe de la main. Il s’empourpre, et me réponds « ça reste entre nous Maud ! », puis regagne le village.
Depuis ce jour, tous les jours je retourne à la rivière, espérant revoir Pedro pour lui offrir un nouveau spectacle…
Heureusement que la rivière qui passe en contrebas, me permet au plus chaud de la journée de me rafraichir. J’y vais régulièrement tous les jours vers 15h après ma sieste. Pedro, le vieux pote de mon grand père a compris mon schéma quotidien, et je le salue tous les jours en passant près de lui. « Maud, encore la rivière aujourd’hui, je ne sais pas comment tu fais, elle est glacée, elle descends directement de la montagne ! », d’humeur blagueuse, je lui réponds « Au moins ça conserve Pedro, tu devrais t’y baigner plus souvent ! ».
Je continue ma descente vers la petite rivière, arrivée en bas, je me mets en maillot, même si c’est un village où ils sont ultra conservateurs, j’ose retirer le haut car je sais que je ne croise personne par ici (ça risquerait de se casser des bassins, la pente est raide).
L’eau est bien fraiche et tous mes sens sont en émoi au contact de l’eau, mes tétons se dressent et je joue doucement avec. Ma chatte se contracte un peu, je sens des palpitations au creux de mes cuisses. Je suis clairement en manque de sexe depuis avoir quitté la capitale.
Un bruissement de branches se fait entendre en hauteur, je lève la tête et j’aperçois le vieux Pedro qui tente de se planquer derrière un arbre. Je fais comme si je ne l’avais pas vu et continue à me malaxer les seins. Je rentre toute entière dans la rivière, l’eau ruisselle sur moi, et je me caresse tout le corps, bien décidée à jouer avec le vieux.
Me sentant de plus en plus excitée par la situation, je décide de retirer le bas de mon maillot et m’installe sur une pierre face à lui, me caressant doucement le minou, faisant glisser ma main de haut en bas, les jambes serrées. Je risque un œil vers Pedro qui n’a pas bougé de sa cachette, et le voilà qui sort sa vieille queue toute rabougrie et se la masturbe comme il peut.
J’écarte mes cuisses, espérant que sa cataracte ne lui gâche pas le spectacle que je lui offre, et glisse un doigt en moi le faisant aller et venir, de mon autre main, je malaxe mon bouton d’amour, je gémis de plus en plus fort, m’insère un deuxième doigt me sentant prête à venir, ma cyprine coule sur mes mains, mais je m’arrête là, ne voulant pas jouir de suite.
Debout face à lui, je me mets à lui tourner le dos, me penchant en avant et lui donnant le plus beau point de vue sur mon cul, de nouveau je me câline le clito et me mets un doigt dans le cul, je l’entends derrière sa cachette respirer de plus en plus fort et pousser un râle. Me sentant de plus en plus mouillée et excitée, je jouis fort et bruyamment. Reprenant mes esprits, je me tourne et le vieux Pedro est toujours là, en train de se rhabiller, décidée de ne pas lui laisser croire que je n’ai pas capté son manège, je lui fais signe de la main. Il s’empourpre, et me réponds « ça reste entre nous Maud ! », puis regagne le village.
Depuis ce jour, tous les jours je retourne à la rivière, espérant revoir Pedro pour lui offrir un nouveau spectacle…
6 years ago