Exhibition et conséquences
A une époque je travaillais comme agent immobilier dans une ville du sud de la France. En tant qu'exhib, il m'arrivait à de maintes reprises de partir le matin et "d'oublier" de mettre des dessous, en roulant sur mon Vespa je me sentais libre avec le vent qui s'immisçait entre mes cuisses, et le regard de certains passants ou chauffeurs qui arrivaient à capter cet instant, humidifiaient encore plus ma selle.
Ce jour là était un jour où j'avais encore omis de mettre une culotte, et j'avais planifié une visite d'appartement avec un nouveau client. Nous nous étions donné rendez-vous sur place, un appartement en plein centre-ville au troisième étage sans ascenseur. Mr G, était déjà là, une bonne cinquantaine, un bel homme pas très grand mais bien taillé et élégant. On se serre la main, échangeons deux/trois mots sur le quartier et d'autres banalités d'agent immobilier, puis nous nous réfugions dans le hall de l'immeuble, je lui demande de passer devant, mais il insiste pour que je lui montre le chemin. Mon coeur palpite au plus profond de moi, mes cuisses se serrent et je regrette immédiatement mon idée d'oublier mes dessous ce jour ci, surtout avec une robe si ample et si courte sur mes cuisses.
Je lui ouvre le chemin, et à peine les premières marches gravies, je le surprends en train de reluquer sous ma robeet ce à de nombreuses reprises. Mon sang bat de plus en plus fort et j'ai la tête qui tourne, je suis partagée entre une puissante excitation et la peur de perdre mon boulot. Mon envie d'exhibition l'emporte sur ma raison, et je fais des mouvements plus exagérés de façon à ce qu'il puisse avoir une vue plus dégagée de mes fesses.
Nous arrivons devant le palier de l'appartement, ma tête bourdonne, je me sens rougir de partout, et je sens l'excitation provenant de ma chatte qui ruisselle entre mes cuisses. Mr G. n'est pas mieux, il souffle comme s'il avait couru un marathon, je jette un coup d'oeil discret à son pantalon, la bosse qui tends son entrejambe m'augure d'une belle queue.
J'att rappe les clés et nous pénétrons dans l'appartement. Décidant de continuer à jouer à la salope (je l'assume il n'y a pas d'autres termes à employer), en lui faisant visiter je me penche comme il faut de façon à bien faire remonter ma robe, je me tourne rapidement pour que ma robe volette et puisse lui laisser la chance d'apercevoir ma chatte toute épilée, je passe près de lui effleurant avec mon bassin, au passage sa bite à travers son pantalon ...
Mr G. souffle de plus en plus, je le vois se tendre de tout son être, finissant par attr aper mon bras et me bascule sur le plan de travail de la cuisine. Il glisse une main sous ma robe et empoigne ma fesse, son autre main s'escrimant à baisser la fermeture éclair se trouvant dans le dos, il finit par rabattre le haut de ma robe sur ma taille, sa main vient malaxer mon sein, sa bouche mordille mon téton. Je gémis, lui enjoignant à continuer ses caresses sur mon corps réceptif. Mes tétons sont dressés, mes jambes tremblent sous le coup de l'émotion, il me lève et me fait assoir sur le plan de travail. Sa main ayant quitté mes fesses, se glisse dans ma fente, glissant doucement un doigt en moi, il me jette un regard grivois, "Je vais t'apprendre à me chauffer, tu vas vite calmer la tension que j'ai dans mon pantalon petite garce". Il ne m'en faut pas plus pour que je mouille encore plus, un deuxième doigt en moi faisant de lents mouvements de va et vient, il m'écarte les cuisses un peu plus et se baisse pour me suçoter le clito. Je me cambre, sentant de doux picotements venir au fond de moi, il aspire goulument mon bouton, me doigtant de plus en plus fort, un puissant orgasme arrive, je ne peux retenir mes cris. Il se relève, m'embrassant à pleine bouche et me faisant profiter de mon odeur épicée.
Je reprends mes esprits, et ne souhaitant ni lui, ni moi en rester là, je le tire vers le dressing où se trouve un immense miroir. Je retire ma robe, me trouvant entièrement nue devant lui, il se hâte pour retirer ses vêtements, je ne l'aide pas en luit caressant sa bite à travers ses fringues. Je me sens comme une chienne en chaleur, cette situation un peu interdite, m'excite au plus haut point. Son boxer retiré, ce qui m'avait semblé être une belle queue à travers son pantalon, ne me déçoit vraiment pas. Mr G. n'est peut être pas très grand, mais sa bite a une taille plus que respectable, j'ai envie de la prendre au fond de ma bouche et faire coulisser mes lèvres dessus, mais il me répond "Jouir dans ta bouche serait vraiment ce que je souhaite le plus, mais je suis trop excité pour attendre plus et je veux te baiser de suite".
Je me baisse pour attra per une capote dans mon sac, je lui fais lentement glisser sur son sexe fièrement dressé, je le vois fermer les yeux et se délecter de ce contact. Il m'empoigne le bras et me fait lever, il glisse ses paumes le long de mon buste, puis remonte vers ma poitrine, qu'il empaume à deux mains. Il prend ses mains dans les miennes et les pose à plat sur le miroir, pendant qu'avec son genou il écarte mes jambes. "Garde les yeux ouverts, je veux te voir quand je te pénètre". Ses mots m'arrachèrent un petit cri d'extase, cet homme bien plus âgé que moi, sait exactement comment me parler et me prendre. Il pose ses mains sur mes hanches et attire mon cul contre sa superbe bite. Je me cambre, prête à l'accueillir au plus profond de mon être, il glisse son sexe contre mon intimité et fut récompensé par un gémissement plaintif. Lentement il pousse son sexe en moi, je le sentais me remplir peu à peu, il me tient les hanches de façon à me prendre comme il le souhaitait. C'était intenable, je n'avais qu'une hâte c'était de le sentir aller et venir, et pouvoir ainsi me délivrer de ce second orgasme que je sentais poindre. Une de ses mains lâcha ma hanche et vient s'égarer sur ma fesse, il venait de s'enfoncer en entier en moi, je me redressai et me retrouvai debout contre lui, en regardant le miroir, je le vis me regarder avec ses yeux de braise "t'as un cul superbe, je vais te tringler si fort que tu vas en perdre le souffle", j'ondulais contre lui, je voulais qu'il lance les hostilités, il continuait à me regarder m'acharner sur son sexe et ne bougeait pas, puis au bout de quelques ondulations, ne tenant plus, ses mains attrapèrent ma poitrine, et je le sentis me prendre comme une brute, sa queue tapant au fond de ma chatte plus mouillée que jamais, je gémissais et l'encourageais à me prendre de plus en plus fort. Une vague de plaisir m'envahit brutalement, mes jambes se mirent à trembler, je sentais mon sexe se serrer contre le sien, ce fut le moment où il se mit à haleter de plus en plus alternant baisers et morsures dans mon cou. Je le sentis se tendre, et les frissons parcourir son corps. Il se mit à jouir en criant mon prénom, resta quelques secondes dans cette position, sa tête enfouie dans ma chevelure. Puis il entoura ma taille de ses bras et me fit asseoir par terre à ses côtés. Doucement nous reprenions nos esprits, après cette partie de sexe magistrale qu'il venait de m'offrir.
"Intense" me murmura-t-il, avant de se lever. Il m'aida à me relever et à me rhabiller. Après avoir rangé nos affaires et fermé la porte à clé, il se retourne vers moi avec un air malicieux et me dit : "On se revoit pour la contre-visite Maud".
Ce jour là était un jour où j'avais encore omis de mettre une culotte, et j'avais planifié une visite d'appartement avec un nouveau client. Nous nous étions donné rendez-vous sur place, un appartement en plein centre-ville au troisième étage sans ascenseur. Mr G, était déjà là, une bonne cinquantaine, un bel homme pas très grand mais bien taillé et élégant. On se serre la main, échangeons deux/trois mots sur le quartier et d'autres banalités d'agent immobilier, puis nous nous réfugions dans le hall de l'immeuble, je lui demande de passer devant, mais il insiste pour que je lui montre le chemin. Mon coeur palpite au plus profond de moi, mes cuisses se serrent et je regrette immédiatement mon idée d'oublier mes dessous ce jour ci, surtout avec une robe si ample et si courte sur mes cuisses.
Je lui ouvre le chemin, et à peine les premières marches gravies, je le surprends en train de reluquer sous ma robeet ce à de nombreuses reprises. Mon sang bat de plus en plus fort et j'ai la tête qui tourne, je suis partagée entre une puissante excitation et la peur de perdre mon boulot. Mon envie d'exhibition l'emporte sur ma raison, et je fais des mouvements plus exagérés de façon à ce qu'il puisse avoir une vue plus dégagée de mes fesses.
Nous arrivons devant le palier de l'appartement, ma tête bourdonne, je me sens rougir de partout, et je sens l'excitation provenant de ma chatte qui ruisselle entre mes cuisses. Mr G. n'est pas mieux, il souffle comme s'il avait couru un marathon, je jette un coup d'oeil discret à son pantalon, la bosse qui tends son entrejambe m'augure d'une belle queue.
J'att rappe les clés et nous pénétrons dans l'appartement. Décidant de continuer à jouer à la salope (je l'assume il n'y a pas d'autres termes à employer), en lui faisant visiter je me penche comme il faut de façon à bien faire remonter ma robe, je me tourne rapidement pour que ma robe volette et puisse lui laisser la chance d'apercevoir ma chatte toute épilée, je passe près de lui effleurant avec mon bassin, au passage sa bite à travers son pantalon ...
Mr G. souffle de plus en plus, je le vois se tendre de tout son être, finissant par attr aper mon bras et me bascule sur le plan de travail de la cuisine. Il glisse une main sous ma robe et empoigne ma fesse, son autre main s'escrimant à baisser la fermeture éclair se trouvant dans le dos, il finit par rabattre le haut de ma robe sur ma taille, sa main vient malaxer mon sein, sa bouche mordille mon téton. Je gémis, lui enjoignant à continuer ses caresses sur mon corps réceptif. Mes tétons sont dressés, mes jambes tremblent sous le coup de l'émotion, il me lève et me fait assoir sur le plan de travail. Sa main ayant quitté mes fesses, se glisse dans ma fente, glissant doucement un doigt en moi, il me jette un regard grivois, "Je vais t'apprendre à me chauffer, tu vas vite calmer la tension que j'ai dans mon pantalon petite garce". Il ne m'en faut pas plus pour que je mouille encore plus, un deuxième doigt en moi faisant de lents mouvements de va et vient, il m'écarte les cuisses un peu plus et se baisse pour me suçoter le clito. Je me cambre, sentant de doux picotements venir au fond de moi, il aspire goulument mon bouton, me doigtant de plus en plus fort, un puissant orgasme arrive, je ne peux retenir mes cris. Il se relève, m'embrassant à pleine bouche et me faisant profiter de mon odeur épicée.
Je reprends mes esprits, et ne souhaitant ni lui, ni moi en rester là, je le tire vers le dressing où se trouve un immense miroir. Je retire ma robe, me trouvant entièrement nue devant lui, il se hâte pour retirer ses vêtements, je ne l'aide pas en luit caressant sa bite à travers ses fringues. Je me sens comme une chienne en chaleur, cette situation un peu interdite, m'excite au plus haut point. Son boxer retiré, ce qui m'avait semblé être une belle queue à travers son pantalon, ne me déçoit vraiment pas. Mr G. n'est peut être pas très grand, mais sa bite a une taille plus que respectable, j'ai envie de la prendre au fond de ma bouche et faire coulisser mes lèvres dessus, mais il me répond "Jouir dans ta bouche serait vraiment ce que je souhaite le plus, mais je suis trop excité pour attendre plus et je veux te baiser de suite".
Je me baisse pour attra per une capote dans mon sac, je lui fais lentement glisser sur son sexe fièrement dressé, je le vois fermer les yeux et se délecter de ce contact. Il m'empoigne le bras et me fait lever, il glisse ses paumes le long de mon buste, puis remonte vers ma poitrine, qu'il empaume à deux mains. Il prend ses mains dans les miennes et les pose à plat sur le miroir, pendant qu'avec son genou il écarte mes jambes. "Garde les yeux ouverts, je veux te voir quand je te pénètre". Ses mots m'arrachèrent un petit cri d'extase, cet homme bien plus âgé que moi, sait exactement comment me parler et me prendre. Il pose ses mains sur mes hanches et attire mon cul contre sa superbe bite. Je me cambre, prête à l'accueillir au plus profond de mon être, il glisse son sexe contre mon intimité et fut récompensé par un gémissement plaintif. Lentement il pousse son sexe en moi, je le sentais me remplir peu à peu, il me tient les hanches de façon à me prendre comme il le souhaitait. C'était intenable, je n'avais qu'une hâte c'était de le sentir aller et venir, et pouvoir ainsi me délivrer de ce second orgasme que je sentais poindre. Une de ses mains lâcha ma hanche et vient s'égarer sur ma fesse, il venait de s'enfoncer en entier en moi, je me redressai et me retrouvai debout contre lui, en regardant le miroir, je le vis me regarder avec ses yeux de braise "t'as un cul superbe, je vais te tringler si fort que tu vas en perdre le souffle", j'ondulais contre lui, je voulais qu'il lance les hostilités, il continuait à me regarder m'acharner sur son sexe et ne bougeait pas, puis au bout de quelques ondulations, ne tenant plus, ses mains attrapèrent ma poitrine, et je le sentis me prendre comme une brute, sa queue tapant au fond de ma chatte plus mouillée que jamais, je gémissais et l'encourageais à me prendre de plus en plus fort. Une vague de plaisir m'envahit brutalement, mes jambes se mirent à trembler, je sentais mon sexe se serrer contre le sien, ce fut le moment où il se mit à haleter de plus en plus alternant baisers et morsures dans mon cou. Je le sentis se tendre, et les frissons parcourir son corps. Il se mit à jouir en criant mon prénom, resta quelques secondes dans cette position, sa tête enfouie dans ma chevelure. Puis il entoura ma taille de ses bras et me fit asseoir par terre à ses côtés. Doucement nous reprenions nos esprits, après cette partie de sexe magistrale qu'il venait de m'offrir.
"Intense" me murmura-t-il, avant de se lever. Il m'aida à me relever et à me rhabiller. Après avoir rangé nos affaires et fermé la porte à clé, il se retourne vers moi avec un air malicieux et me dit : "On se revoit pour la contre-visite Maud".
6 years ago
j'adore