Fisting
Fisting : (Version n°2)
Le fisting recevoir par l’anus un objet vivant ou inanimé qui vous fera vous ouvrir, vous ouvrir plus plus encore. Au delà de ce que vous avez imaginé recevoir. Je ne parle ici du point de vue de l’acteur passif celui qui reçoit pas celui qui administre.
Du coup la première pénétration anale est un fisting parce qu’a priori rien ne devrait y entré. Toutes morales et religions le réprouve le condamne.
A ce sujet je me rappel en CM2 (11 ans) un instit s’étonnait que nous ne nous étonnions pas que lors des bains l’eau ne rentrait pas. Juste quel aveu nous étions après 68. Nous étions au m^me rang nous avions des points communs il disait avoir été nous (ses élèves) nous serons lui un jour un homme respectable respecté et son petit trou nous l’avait intrigué comme il nous intriguait.
C’est peut etre à cette m^me époque que je me suis introduit le fusil d’un soldat en plastique. Aucun souvenir plus précis mais je ne crois pas que cette expérience est fait suite à cet aveux de mon instit.
Le fisting commence avec les premières introductions anales celles pour voir ses réactions physiques voir si cela procure du plaisir. Si ce plaisir est supérieur aux douleurs aux difficultés.
Ces essais hantés par les conséquences olfactives et visuels. Celles qui me font dire que la s**tologie est une de mes limites. Ces essais recommencés mainte fois en changeant d’objet de plus en plus large et long. Ces objets ressemblant le plus possible au vraie verge pour être sûr mais que rien ne remplacera jamais ceci dit qu’après avoir vécu une sodomie ou plusieurs. Car les expériences de fisting ne prépare pas à la sodomie.
De mon point de vue désiré être fisté ne peut être qu’issu de l’analyse des plaisirs ressenties lors d’une sodomie. Il faut les deux expériences fisting et sodomie pour analyser son plaisir. Qu’est ce qui m’a donné du plaisir ? Qu’est ce qui à limité mon plaisir ? L’idée que plus large plus long j’y prendrais plus de plaisir. Puis que je puisse dépasser mes limites mes craintes et que pour cela un ou une autre doit me l’imposer. Que me dépasser est la volonté de l’autre et que je lui prouve ma soumission. Il y a un besoin de reconnaissance par d’autre du fisting. Ou alors se punir ou se faire punir « tu aimes ça alors prend ça ... » et 1 cm de diamètre en plus.
Ici et là nous voyons des choses assez incroyable. Les limites semblent toujours repoussées. Tout ceci est hors mon monde.
Après avoir, me semble t’il bien analysé mon plaisir. Oui je prend du plaisir à la sodomie. Oui plus longtemps ça dure plus mon plaisir est intense. Oui un peu plus long un peu plus large me procurerait plus de plaisir quoique ce n’est pas primordiale. Mais pour moi au delà des dimensions la chaleur la forme d’une verge participent à mon plaisir. La façon de faire aussi. Et bien sur le plaisir de l’autre toujours (pour moi) le plaisir de l’autre. Oui l’introduction anale qui glisse vers ma prostate me fait jouir. Et la taille ou diamètre peu importe. Sauf à combler d’aise mon partenaire
J’ai ressentie un besoin de me sentir accueillante au niveau anal. Offrir à l’autre l’usage d’un sexe féminin qui me manque tant. A ce sujet je n’aime pas appeler mon anus autrement que mon anus genre « mon vagin de derrière » .
Je me voulais être plus ouverte plus accueillante pour offrir une plus grande disponibilité à mes partenaires, me rapprocher d’un sexe féminin.
Malheureusement cette pratique du fisting ne fait pas pousser de lèvres petites ou grandes.
Il m’est arrivée de me préparer à cela seule mais il s’agissait de préparation à …. et non de prise de plaisir individuel. Pas de plaisir.
Je ne suis pas sûr que présenter un accueil plus large voir béant me conviendrait . Je ne me crois pas plus attirante. Regarder les consœurs prendre leur anus en photo ne me semble pas attirer le mâle que je cherche.
Lorsque sur des vidéos je vois ce genre de pratique je me sens plus proche de l’élargie c’est son plaisir que je peux ressentir. Probablement pour donner du plaisir à l’élargisseuse ou l’élargisseur. Le dépassement de soi (physique) au delà de l’état avant, la prouesse pour plaire.
Quelques partenaires ont souhaité pour leurs plaisirs j’espère me voir m’ouvrir largement, une fois encore j’ai pu vérifier que leurs plaisirs en provoquaient chez moi. Leurs plaisirs à me savoir répondre à leurs désirs de m’élargir. Pas plus ni moins lorsqu’ils me pénétraient en étant plus ouverte.
Je ne peux nier que l’effort fournit n’était pas neutre chez moi, la douce douleur provoquant un énorme plaisir réel.
Il y a sûrement un peu de dépassement de soi pour l’autre mais n’ayant jamais eu de partenaire sur de longue période ayant ces pratiques j’en reste au possible dans cette pratique, ce qui n’est pas le cas pour d’autres pratiques.
Ceci étant si cette pratique d’élargissement conduit à être ouverte facilement et ne plus offrir cette petite résistance cela ne provoquerait ‘il pas un peu de regret chez l’autre. Un peu moins de plaisir.
Elsa
Le fisting recevoir par l’anus un objet vivant ou inanimé qui vous fera vous ouvrir, vous ouvrir plus plus encore. Au delà de ce que vous avez imaginé recevoir. Je ne parle ici du point de vue de l’acteur passif celui qui reçoit pas celui qui administre.
Du coup la première pénétration anale est un fisting parce qu’a priori rien ne devrait y entré. Toutes morales et religions le réprouve le condamne.
A ce sujet je me rappel en CM2 (11 ans) un instit s’étonnait que nous ne nous étonnions pas que lors des bains l’eau ne rentrait pas. Juste quel aveu nous étions après 68. Nous étions au m^me rang nous avions des points communs il disait avoir été nous (ses élèves) nous serons lui un jour un homme respectable respecté et son petit trou nous l’avait intrigué comme il nous intriguait.
C’est peut etre à cette m^me époque que je me suis introduit le fusil d’un soldat en plastique. Aucun souvenir plus précis mais je ne crois pas que cette expérience est fait suite à cet aveux de mon instit.
Le fisting commence avec les premières introductions anales celles pour voir ses réactions physiques voir si cela procure du plaisir. Si ce plaisir est supérieur aux douleurs aux difficultés.
Ces essais hantés par les conséquences olfactives et visuels. Celles qui me font dire que la s**tologie est une de mes limites. Ces essais recommencés mainte fois en changeant d’objet de plus en plus large et long. Ces objets ressemblant le plus possible au vraie verge pour être sûr mais que rien ne remplacera jamais ceci dit qu’après avoir vécu une sodomie ou plusieurs. Car les expériences de fisting ne prépare pas à la sodomie.
De mon point de vue désiré être fisté ne peut être qu’issu de l’analyse des plaisirs ressenties lors d’une sodomie. Il faut les deux expériences fisting et sodomie pour analyser son plaisir. Qu’est ce qui m’a donné du plaisir ? Qu’est ce qui à limité mon plaisir ? L’idée que plus large plus long j’y prendrais plus de plaisir. Puis que je puisse dépasser mes limites mes craintes et que pour cela un ou une autre doit me l’imposer. Que me dépasser est la volonté de l’autre et que je lui prouve ma soumission. Il y a un besoin de reconnaissance par d’autre du fisting. Ou alors se punir ou se faire punir « tu aimes ça alors prend ça ... » et 1 cm de diamètre en plus.
Ici et là nous voyons des choses assez incroyable. Les limites semblent toujours repoussées. Tout ceci est hors mon monde.
Après avoir, me semble t’il bien analysé mon plaisir. Oui je prend du plaisir à la sodomie. Oui plus longtemps ça dure plus mon plaisir est intense. Oui un peu plus long un peu plus large me procurerait plus de plaisir quoique ce n’est pas primordiale. Mais pour moi au delà des dimensions la chaleur la forme d’une verge participent à mon plaisir. La façon de faire aussi. Et bien sur le plaisir de l’autre toujours (pour moi) le plaisir de l’autre. Oui l’introduction anale qui glisse vers ma prostate me fait jouir. Et la taille ou diamètre peu importe. Sauf à combler d’aise mon partenaire
J’ai ressentie un besoin de me sentir accueillante au niveau anal. Offrir à l’autre l’usage d’un sexe féminin qui me manque tant. A ce sujet je n’aime pas appeler mon anus autrement que mon anus genre « mon vagin de derrière » .
Je me voulais être plus ouverte plus accueillante pour offrir une plus grande disponibilité à mes partenaires, me rapprocher d’un sexe féminin.
Malheureusement cette pratique du fisting ne fait pas pousser de lèvres petites ou grandes.
Il m’est arrivée de me préparer à cela seule mais il s’agissait de préparation à …. et non de prise de plaisir individuel. Pas de plaisir.
Je ne suis pas sûr que présenter un accueil plus large voir béant me conviendrait . Je ne me crois pas plus attirante. Regarder les consœurs prendre leur anus en photo ne me semble pas attirer le mâle que je cherche.
Lorsque sur des vidéos je vois ce genre de pratique je me sens plus proche de l’élargie c’est son plaisir que je peux ressentir. Probablement pour donner du plaisir à l’élargisseuse ou l’élargisseur. Le dépassement de soi (physique) au delà de l’état avant, la prouesse pour plaire.
Quelques partenaires ont souhaité pour leurs plaisirs j’espère me voir m’ouvrir largement, une fois encore j’ai pu vérifier que leurs plaisirs en provoquaient chez moi. Leurs plaisirs à me savoir répondre à leurs désirs de m’élargir. Pas plus ni moins lorsqu’ils me pénétraient en étant plus ouverte.
Je ne peux nier que l’effort fournit n’était pas neutre chez moi, la douce douleur provoquant un énorme plaisir réel.
Il y a sûrement un peu de dépassement de soi pour l’autre mais n’ayant jamais eu de partenaire sur de longue période ayant ces pratiques j’en reste au possible dans cette pratique, ce qui n’est pas le cas pour d’autres pratiques.
Ceci étant si cette pratique d’élargissement conduit à être ouverte facilement et ne plus offrir cette petite résistance cela ne provoquerait ‘il pas un peu de regret chez l’autre. Un peu moins de plaisir.
Elsa
6 years ago