Derapage au travail 2/3

Les mains moite, les jambes fragiles, le stress au maximum, elle arrive devant la porte et frappe.
« Entrez »
Elle ouvre la porte et vois Giovanni assis sur son bureau, en chemise, sa cravate posée devant lui, il est au téléphone, il parle italien, elle ne comprend rien de ce qu’il raconte.
« Asseyez-vous, je suis à vous dans un instant »
Il continue de parler au téléphone, mais continue de la regarder de la tête au pied, l’examinant avec le regard d’un prédateur sur sa proie.
G : « Si si, tchao »
Il raccroche, la regarde, ne dit rien pendant qq. Très longue seconde.
G : « Vous n’avez plus vos collants..»
V : « J’ai dû les enlever »
G : « Pourquoi ? »
V : « Pourquoi suis-je la ? »
G : « Nous y viendrons, racontez moi pourquoi vous n’avez plus vos collants. »
V : « ça ne vous regarde pas »
G : « Tout ce qui se passe dans l’enceinte de ce bâtiment me regarde, vous étiez plus loquace lorsque vous avez eu un orgasme au toilettes »
V : « … »
G : « Racontez moi votre histoire et je prendrais une décision concernant votre futur ».
V : « Mon futur ? Que pourrais-je donc vous dire de toute façon, vous étiez la »
G : « Je Veux que vous me racontiez tout ce qu’il s’est passé, en détail »
V : « Je me suis caresser au toilettes, voilà, vous êtes content »
G : « J’ai dit en détail, arrêter de me faire perdre mon temps »
V : « … »
V : « je.. »
V : « ce matin »
V : « … »
G : « parler plus fort, je ne vous entends pas »
V : « Ce matin, je me douchée et épilée, j’avais envie d’être belle pour cette journée, j’ai mis un de mes soutiens gorge préférée que j’affectionne et un string »
V : « j’ai été troublée par notre rencontre, et votre regard lorsque vous m’avez serré la main, j’ai eu l’impression que vous m’inspectiez de haut en bas, et j’ai pensé à mon décolleté, un sentiment de trop profond et j’espère qu’il a aimé ».
Lorsque la conférence a commencée, mon string était mal mis et appuyait sur mon entrejambes.
G : « Continuez »
V : « j’ai pu faire fit du problème tant que la lumière était allumée et que je devais prendre des notes «
V : « Pourquoi m’avoir fait demandé expressément »
G : « Nous y viendront, continuez »
V : « Lorsque la lumière s’est éteinte, j’ai essayé de remettre mon string, mais il s’est coincés a un autre endroit.
G : « Plus précisément ? «
V : « Entre mes lèvres, sur mon clitoris, c’est ça que voulez entendre ? »
G : « J’ai bien demandé tous les détails, continuez »
Elle soupire
V : « j’ai un peu profité de la situation, la façon dont vous regardiez mes jambes et ma poitrine m’ont perturbée, me disant que c’était juste pour me détendre un peu, mais je n’ai pas réussis à me contenir, et j’ai eu peur d’être prise en flag, j’ai préféré quitter la pièce.
G : « J’ai en effet remarqué votre cinéma et vos mamelons durcis ».
V : « Bref, je me suis rendue au toilettes, j’ai abaissé mes collants et mon string, je me suis masturber, caresser les seins et jouis fortement, je n’ai pas pu remettre mes sous-vêtements, ils étaient trempé.
V : « En avons-nous finis ? Puis je partir maintenant».
Un silence s’Install, Giovanni se lève, elle remarque une bosse dans son pantalon, « sale pervers pense-t-elle ».
Il se dresse devant la fenêtre, lui tournant le dos.
G : « Donc en ce moments, vous n’avez pas de sous-vêtements ».
V : « … non ».
G : « c’est très bien »
G : « Vous comprenez qu’un homme dans ma position obtient toujours ce qu’il veut, Veronique, et maintenant, vous êtes la chose que je desire».
G : « Lorsque je vous ai vus la première fois, j’ai toute suite pensé que vous étiez baisable, mais je dois bien avouez que vous me facilité la tâche, je ne penserais pas que ce serait si simple de vous mettre au pied du mur.
G : « Voilà ce qu’il va se passer, je vais vous donner des ordres et vous allez m’obéir, vous serez mon objet durant la prochaine demi-heure, vous allez être en colère, folle de rage, puis vous prendrez sur vous pour assouvir mes désirs, et vous y trouverez votre compte également, peut être même plusieurs fois »
V : « Mais vous êtes fous, qu’est-ce que vous racontez, vous me prenez pour qui, je suis marié, je suis une mère de famille, respectable »
Il prend son Gsm, appuie sur son écran, et soudainement on entend un bruit de fond, et Veronique perçois le son de son orgasme d’il y a une heure à peine.
V : « Vous êtes une ordure »
G : « Et vous une salope qui s’ignore »
V : « Je me tire d’ici, vous êtes un taré »
Elle se lève, prend son sac, furieuse, se dirige vers la porte, saisis la poignée.
G : « Veronique »
Elle se Fixe.
G : « Je vous offre un fantasme de petite bourgeoise de banlieue, je vous propose une expérience sexuelle unique, sans lendemain »
G : « Vous pouvez saisir cette occasion unique, et reprendre les cours de votre vie comme si rien n’était arrivé, personne ne le sauras »
G : « vous pouvez également partir, il ne vous arrivera rien, tout ceci resteras entre nous, je suis un homme de parole, mais vous ne voulez pas partir, je le sais ».
Elle est figée devant la porte en tenant toujours la poignée.
G : « Vous n’avez pas passé cette porte parce qu’au fond de vous, vous en avez envie »
Elle lâche la poignée.
V : « Vous ne me feras pas de mal ? ».
G : « Peut-être, mais vous aimerez ça ».
V : « Que dois-je faire ?».
G : « m’obéir, aveuglement sans poser de question, vous serez mon objet.»
Elle se retourne, la tête légèrement baissée, et marche vers lui.
V : « Personne n’en sauras rien ? »
G : « Je vous le garantis »
V : « Que dois-je faire ? »
G : « Pardon ?»
V : « Que dois-je faire ? »
G : « Parlez plus fort, regardez-moi dans les yeux, et demandez moi poliment comment m’obéir ! »
Elle est debout devant lui, prend une grande respiration, écarte un peu les jambes, bombe sa poitrine et déclare à voix haute.
V : « Que puis-je faire pour votre plaisir monsieur, je suis prête a vous obéir»

Fin de la seconde partie