La dilatation contradictoire

Plus c’est gros, plus c’est beau. Et plus c’est serré, mieux c’est.

En fait elle est là la contradiction. J’aime les gros trucs (bites, godes, autres) et les petits trous serrés (essentiellement l’anus donc mais un tout petit con est parfait).


Le résultat est le “gaping”. Quand un trou a tellement été écarté qu’il n’arrive plus à se refermer, c’est exactement ce que j’aime. En fait je n’aime pas que ça aille jusqu’au “prolapse”, je trouve ça moche un cul retourné… mais bien écarté, légèrement traumatisé, ça m’excite ! Du coup, les séries de “petites” qui croisent des braquemarts de brutes (black ou autre) ça me va bien. L’hypothèse improbable que l’on arrivera à faire rentrer une bite de la taille d’un bras dans une petite chatte ou dans un trou du cul dont l’ouverture paraît ne pas dépasser un centimètre… c’est beau la nature ! On dirait pas, mais ça rentre. Et même plutôt bien. Alors bien sûr ça demande aux protagonistes une belle souplesse, je me demande dans combien de cas ça se finit par une déchirure.

Voir un mec se faire prendre ou se goder avec un engin beaucoup plus gros qu’il n’est raisonnable d’insérer est presque aussi beau. Je suis admiratif sans être envieux (mon petit trou ne fait pas dans la prouesse physique) et j’encourage ceux qui aiment jouer la dilatation à continuer, à se photographier, à se filmer… et à me faire signe quand ils mettent quelque chose en ligne !

L’insertion, la pénétration, la dilatation : quel beau trio.