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Confidence d'une Escort-Mature (suite)

Confidence d'une Escort-Mature (suite)


La veille, au téléphone, il n’a eu qu’une seule exigence : il fallait que je m’habille « classe ». Obéissante, j’ai choisi un petit haut de soie blanc et une veste noire de type smoking. Ma jupe plissée, mes escarpins à très haut talons, mes bas noirs de type rétro et ma parure string, soutien-gorge et porte-jarretelle noirs avec un très fin trait bleu, complétaient ma tenue. Maquillage discret, complété par un léger nuage de Shalimar, et me voilà partie !
J’avais reçu et bien noté toutes les instructions. En traversant le hall de ce grand hôtel luxueux j’avais vraiment l’impression de me trouver dans un film d’espionnage. Dans l’ascenseur, un liftier m’accueillit avec un grand sourire. Il portait une casquette et un costume avec des galons et des boutons dorés. Il me demanda à quel étage je désirais me rendre en regardant mes jambes gainées de bas. Je lui répondis « deuxième, s’il vous plaît ». Il appuya sur le bouton sans cesser de sourire. Lorsque je quittais l’ascenseur, je suis sûre qu’il fixait mon petit cul, s’éloignant dans le couloir. J’avoue que j’en ai rajouté un peu, j’étais déjà excitée…
Chambre 225, voilà, c’est ici. Je pousse la porte qui n’est pas fermée à clé et j’entre. C’est une suite très luxueuse . Je remarque tout de suite le grand lit recouvert d’une magnifique couverture blanche. Les rideaux sont tirés et la lumière provient d’une demi-douzaine de petites lampes très discrètes.
Il est assis dans un grand canapé de cuir de style anglais avec un verre à la main. Il se lève dès mon entrée dans la pièce. Il doit mesurer au moins un mètre quatre-vingt avec le corps d’un véritable athlète. Il sourit et je découvre deux rangées de dents parfaitement blanches et régulières.
-Vous n’avez rien contre les hommes de couleur, j’espère ? Me dit-il en m’invitant à m’assoir à côté de lui d’un geste de la main.
-Pas du tout…Je suis même flattée que vous ayez pensé à moi, lui répondis-je en m’asseyant.
Il m’offre une ou deux coupes de champagne, je ne me souviens plus très bien, puis, nous nous rapprochons et je le laisse se délecter de mon parfum et glisser sa main sous ma jupe. Il s’attarde sur les attaches de mon porte-jarretelle et redescend lentement le long de ma jambe.-Je suis heureux que vous ayez suivi mes instructions à la lettre…Vous êtes magnifique et si désirable… Souffle-t-il.

Sa main m’effleure à peine et je sens que mon petit dard devient déjà dur. L’a-t-il remarqué ? Je ne sais pas. Qu’importe. Maintenant, c’est à moi de jouer.
Je repousse doucement sa main. Je me relève pour venir m’agenouiller entre ses jambes. Il détaille chacun de mes gestes puis, s’abandonne docilement à mes caresses. Si mon petit dard répond bien présent, le sien forme déjà une sacrée bosse dans son pantalon. Il est grand temps de libérer tout ce joli monde ! J’ouvre le zip, plonge la main dans son caleçon et saisit ce joyau. La légende est bel et bien fondée, croyez-moi ! Sa bite est énorme ! Si longue, et d’un diamètre incroyable ! Je la libère complètement de son écrin. Je commence à le masturber très lentement en insistant sur le gland. Mon Dieu ! Elle gonfle encore ! Il laisse échapper de drôles de petits râles, un peu comme ceux d’un enfant. C’est touchant. Quand ma bouche s’empare de sa queue, il sursaute. On dirait que personne ne l’a jamais sucé. Je salive abondamment, son bâton d’ébène est maintenant bien lustré. C’est un spectacle magnifique. Je m’attarde sur la belle fente de ce beau gland parfait d’un rose pâle puis redescend jusqu’à ses boules avec la pointe de ma langue. Je n’ai jamais senti de veines aussi gonflées. J’ai beaucoup de mal à engloutir l’une des deux soeurs jumelles toute entière dans ma bouche. Plus bas maintenant. Ma langue explore cette petite caverne toute rose…. Hummmmm… C’est simplement divin. Il halète. Je le sens au bord de la jouissance. J’imagine déjà la belle quantité de semence qui va m’inonder le visage, emplir ma bouche.
Mais, je m’aperçois qu’il a imaginé une autre suite à cette magnifique rencontre. Il repousse tendrement ma tête, se relève et se débarrasse de ses vêtements. Puis, il m’entraîne en direction du grand lit. J’admire et je caresse au passage les petits poils frisés de son torse.
-Enlève seulement ta culotte, me glisse-t-il au creux de l’oreille.
Son souffle brûlant contre ma peau m’électrise totalement. J’obéis à sa demande.
-Donne-là moi, s’il te plaît. Demande-t-il encore.
Comment lui refuser ce cadeau ? Aussitôt, il la plaque contre son visage et s’enivre de ce parfum si doux. Mon sexe se libère. Il ne fait que l’effleurer par-dessus le tissu de ma jupe. J’adore cette sensation.
Lorsqu’il m’abandonne pour rejoindre le lit, je bande comme un vrai forcené. Mon dard vient relever ma jupe et pointe droit devant.
Mon homme s’installe à quatre pattes sur le lit. L’image est magnifique. Ce corps noir, en sueur fin et sculpté, sur cette couverture blanche ! Il n’a pas lâché ma petite culotte.
-Baise-moi ! Demande-t-il dans un murmure étouffé.
Mes mains s’agrippent sur ses hanches et je l’introduis sans aucun ménagement, dans un mouvement soudain et brutal. Il a poussé un petit cri et relevé la tête. Je continue à le marteler de coups. Ma bite glisse facilement et toute entière dans son beau cul. Sous mes assauts, il tombe à plat ventre sur le lit. Je ne le lâche pas ! En me relevant légèrement, je le pénètre encore plus profondément. Mon mouvement est rapide et saccadé. Je suis devenu chien. Je m’enivre de son odeur. Je lèche la sueur qui dégouline sur ses épaules. Il gémit, totalement soumis, la tête enfouie dans les oreillers, les bras écartés, le cul relevé.
Je jouis enfin dans son trou, sur ses fesses. Les dernières gouttes sont pour sa bouche. Il avale goulument ma belle offrande. A son tour, il vient lécher mes boules et le sperme qui a dégouliné sur les poils de mon pubis.
Ensuite, nous avons ouvert une autre bouteille de champagne et je me suis enfin déshabillée. Je vous raconterais cela un autre jour, peut-être. Sachez seulement que je lui ai fait cadeau de ma petite culotte. Retraverser la capitale au petit matin, sans culotte, est une sensation rare et très excitante. Demandez au chauffeur du taxi qui m’a raccompagnée chez moi ce qu’il en pense…

Published by Damemature
8 years ago
Comments
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jennybhose
le dommage, c'est que ce film n'existe pas !!!
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Damemature
to tobifree75012 : Oui, je me caresse en vous attendant... Vous avez aimé le texte? Excitant, non?
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hmmm une nouvelle lecture si excitante, je me suis fais le film de cette scène si réaliste ..; quel régal, quel plaisir, quelle jouissance hmmm
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