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Rencontre part 1

Rencontre part 1

Elle allait arriver... Putain encore une heure et elle serait là ! 16H32, dans une heure déjà, dans une heure enfin... Elle allait descendre du train, mettant du même coup fin (ou plutôt continuation, du moins l'espérais-je...) à deux mois de désir. Ces derniers jours avaient été plus décisifs et notre « histoire » s'était accélérée, de messages en appels téléphoniques, de séduction tendre en exposition brute de nos désirs, nous avions déjà une histoire. Histoire virtuelle peut être mais déjà tellement plus réelle que bien d'autres que nous avions connues elle et moi... « Elle et moi », putain comme ça me plaisait de dire ça !

En l'attendant j'ai pris une douche. Avec le savon j'ai caressé mon sexe. Il était gonflé du désir d'elle... J'ai eu envie d'aller jusqu'au bout de ma caresse, je serrais mes couilles et j'imaginais sa main, je serrais ma main autour de ma queue et j'imaginais sa bouche, je faisais aller ma main le long de mon membre et j'imaginais son ventre... Son ventre chaud et humide comme l'eau bouillante qui se déversait sur moi. J'ai tellement envie de toi ! Engouffre moi, prends moi en toi, accueille moi, laisse moi me perdre en toi... Laisse moi me vider en toi ! Caresse mes couilles quand ma queue bat dans ton ventre ! Pénètre mon cul quand je baise le tien !

J'avais vraiment envie de jouir mais je me le suis interdit. Je voulais lui réserver mon foutre, qu'il coule à longs jets chauds dans son ventre ou sur ses seins, dans son cul ou dans sa bouche, ou sur son visage... Mon foutre était pour elle, certainement pas pour le tout-à-l'égoût, alors j'ai arrêté de me caresser et j'ai envoyé de l'eau glacée sur mon ventre. J'ai regardé ma queue se recroqueviller et j'ai espéré qu'elle l'aimerait aussi comme ça, petite, fragile, un peu rabougrie... Je me suis habillé sans soin particulier, je n'ai rien d'un Chippendale, alors pas la peine de faire semblant ! Juste, je n'ai pas mis de slip, je voulais que ma queue lui soit directement accessible, quand elle le voudrait... Et puis quand je bandais j'aimais bien sentir mon sexe frotter sous la toile de jean...

Moins d'une demi-heure. Il était temps que j'aille à la gare, pas question qu'elle m'attende sur le quai ! J'ai juste pris un sac que j'avais préparé avec quelques affaires de toilettes, du linge de rechange et quelques... trucs ! J'avais réservé un hôtel en face de la gare, c'était un de ces hôtels « modernes » et sans âme qui vous offrent le confort « syndical ». J'aurais aimé quelque chose de plus « vrai » pour notre première rencontre... Non pas une « auberge de charme », le charme elle en avait plus que toutes les auberges ! Non j'aurais aimé un hôtel presque « borgne »... Un lieu qui sente le sexe et les rendez-vous clandestins. J'ai toujours aimé croiser des putes avec leurs clients quand j'emmenais une maîtresse passer une après-midi câline dans un hôtel. J'aime les lieux chargés de foutre, j'aime la vibration laissée par tous ces corps écrasés par l'amour dans des draps moites... J'aime l'odeur du sexe ! Mais bon je n'avais pas trouvé d'hôtel comme ça, alors je m'étais rabattu vers ce trois étoiles pour VRP...

16h30... Encore deux minutes et elle serait là. Encore deux minutes et mes mains frôleraient ce corps tant désiré, encore deux minutes et ma langue explorerait cette bouche que je rêvais tant de baiser avec ma queue... Y penser me faisait bander. Je sentais ma bite qui frottait dans mon jean et je me suis caressé les couilles dans la gare. Je fantasmais de la mettre à genoux dès sa descente du train et de lui demander de me sucer au milieu de la foule... Elle était si belle que j'aurais aimé que le monde entier me voit la baiser ! J'aurais voulu exposer son ventre ouvert et ruisselant aux yeux de tous et dire « Regardez comme elle est belle ma salope, regardez comme son con coule et comme elle jouit quand je mets ma queue dans sa bouche ». Bien sûr ce n'était qu'un fantasme, mais dans d'autres conditions, ailleurs, avec un autre « public » je savais déjà que je l'exposerais un jour...

Et puis le train est entré en gare...

Les passagers descendaient et moi j'étais en bout de quai, je la guettais... J'avais un petit sac avec moi alors je l'ai mis devant mon entre-jambe, j'ai sorti ma queue, et je me suis caressé au milieu de la gare en l'attendant. Et puis elle est arrivée. J'ai sorti ma chemise de mon pantalon, et j'ai caché ma bite qui sortait raide et tendue de mon jean. Quand elle m'a vu, elle a semblé se tétaniser, une espèce de lueur est passée dans ses yeux, et puis elle a accéléré le pas... J'ai vu que ses chevilles se tordaient dans ses talons, ses jambes tremblaient, les miennes aussi. Elle s'est en fait jetée dans mes bras, nos bouches se sont violemment entrechoquées, et j'ai enfoui ma langue en elle. Ma queue nue cognait contre son ventre, j'étais plus grand qu'elle, mais moins que je ne l'avais cru. Tout en l'embrassant, j'ai passé ma main sur sa joue et j'ai mis mon index dans son oreille en pinçant le lobe... Et puis ma main a filé sur sa nuque sous ses cheveux que j'ai empoignés et j'ai serré fort. Les gens défilaient autour de nous et ma queue nue était coincée entre nos deux ventres. On ne s'était toujours pas dit un mot. Elle a senti ma bite et a compris qu'elle était libre, alors toujours en se collant moi elle a glissé sa main entre nous et elle m'a saisi entre ses doigts. Elle m'a serré fort, pendant que je caressais sa chatte avec le dos de ma main. On a gémi tous les deux. Nos bouches se sont séparées et elle a voulu me dire quelque chose. J'ai mis mes doigts sur ses lèvres pour lui dire « chut ». Ca faisait deux mois qu'on parlait tous les jours ensemble, là le moment n'était plus aux paroles... Nous nous sommes un peu éloignés l'un de l'autre et j'ai caché ma bite sous ma chemise, et puis j'ai pris sa valise dans une main et sa main de l'autre et je l'ai entraînée hors de la gare.

L'hôtel était juste en face, nous n'avions qu'une rue à traverser. Elle m'a suivi en silence... Comme j'étais arrivé assez en avance j'avais déjà payé la chambre et la clé était dans ma poche. Nous n'avons pas eu à nous arrêter à la réception. Nous nous sommes directement engouffrés dans l'escalier, juste un étage à monter. « Chambre 112, au bout du couloir » m'avait dit la réceptionniste. Les lumières étaient très tamisées, je l'entraînais toujours par la main vers notre chambre. Et puis au milieu du couloir il y avait une commode en mauvaise imitation Empire. La porte de notre chambre était quelques mètres plus loin, mais soudainement je n'ai pas eu envie de continuer. Nous ne nous étions toujours pas dit un mot. Je l'ai tournée et je l'ai mise face à la commode. J'ai posé ses deux mains à plat, je l'ai courbée pour que sa joue touche le marbre froid et que ses fesse se cambrent, puis j'ai remonté sa jupe jusqu'à la taille. Elle a gémi et fermé les yeux... Bien sûr elle avait des bas, ça ne m'a pas étonné d'elle. J'ai baissé sa culotte et elle a levé les jambes l'une après l'autre pour que je la lui ôte. J'ai attrapé sa tête par les cheveux, et sans lui faire mal, mais fermement, j'ai tourné son visage vers moi. Je lui ai ouvert la bouche d'un baiser violent et j'ai mordu ses lèvres. Puis j'ai léché son visage, son nez, ses paupières, ses oreilles en étendant ma langue le plus largement possible. Je l'ai un peu mordue à la joue et dans le cou. Puis j'ai rentré mes doigts dans sa bouche et l'ai obligée à l'ouvrir le plus grand possible... alors j'ai laissé couler un filet de salive sur sa langue. Après j'ai roulé sa culotte en boule et l'ai rentrée dans sa bouche ouverte, puis j'ai à nouveau appuyé son visage de contre la commode. J'ai défait la ceinture de mon pantalon et elle a sans doute pensé que je voulais la fouetter. Pas maintenant ma belle, pas maintenant... J'ai ramené ses mains dans son dos, et je les ai attachées avec ma ceinture. En fait elle aurait pu se libérer facilement, c'est justement ça qui m'excitait, son acceptation... Nul intérêt à te contraindre, ce que je te prends, même si j'ai l'air de te le prendre de force, je veux que tu me le donnes !

J'ai caressé ses fesses offertes et les ai écartées fort... Elle a gémi. J'ai mouillé mon doigt avec ma salive et j'ai caressé son anus sans le pénétrer. Puis ma main a filé vers sa fente. J'ai serré ma main autour de son pubis et j'ai tiré fort vers le haut. Ses reins ont remonté, elle était sur la pointe des pieds. A tout moment un client ou une femme de ménage pouvait arriver dans le couloir et la voir la croupe nue, les mains attachées et les jambes écartées, offerte, soumise, prête à se faire baiser... Je me suis agenouillé, j'ai écarté ses fesses et j'ai commencé à lui lécher le cul. Pendant que ma langue forçait petit à petit son anus, mes doigts s'activaient dans sa chatte. J'ai pincé son clito, elle a crié alors je lui ai envoyé une claque sur les fesses en disant « tais toi »... J'étais le mâle, j'allais la baiser comme une chienne, le cul et le ventre offerts, elle devait se plier à ma volonté. De toute façon je l'aimais et la désirais tant, que ma volonté était uniquement de la faire hurler de plaisir.
Published by Batdaf
9 years ago
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to cermunos : Puisque tu aimes j'ai publié la suite pour toi... Je ne sais pas combien de temps il faut au Hamster pour la valider !
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cermunos
super
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