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Une journée en famille 2

Une journée en famille 2

Cela faisait quelques heures que Fiona était partie après notre dernier moment ensemble. Ayant toujours fantasmé sur les rapports sado-maso, je m’étais acheté une revue qui en parlait et je la lisais sur mon lit. La couverture était explicite : « comment dresser son Jules"! Je m’étais mis à lire un article "Comment transformer son Jules en soubrette". Ça commençait à vraiment m'exciter.
Après avoir tout lu, je restais devant un dessin qui représentait un homme. Il ne portait qu'un tablier, une coiffe et des escarpins. Il était bâillonné et présentait un plateau et une cravache à sa maîtresse. Pour mieux l'humilier, celle-ci le maintenait en position accroupie en lui attachant les testicules aux orteils par une ficelle. Il bandait comme un âne. Ça me plaisait tellement que j'ai eu envie d'essayer tout de suite. Je me suis déshabillé, j’ai passé mon tablier, puis je me suis attaché les testicules aux orteils. J'essayais de marcher comme ça, la ficelle tirait sur mes bourses, je bandais bien fort. J'ai eu envie d'aller dans cette tenue jusqu'à la chambre de Fiona, à l'étage du dessus, pour me masturber sur les chaussures de ma fille avant de les lécher. Il n'est pas facile de monter des marches comme ça mais j'y arrive. Je commence à me caresser au-dessus de ses bottes, tout en poursuivant ma lecture. Tout a coup j'entends des pas dans l'escalier! Et je suis là, en tablier, avec cette revue que je ne peux plus cacher. Pas moyen d'enlever cette ficelle… la porte s'ouvre. C'est ma fille qui rentre plus tôt que prévu. Aussitôt elle crie :
- "Qu'est-ce que tu fous ?"
-"Je vais t'expliquer… Aïe!" Elle m'a fichu une claque!
-"Tu n'expliques rien, tu me dis exactement ce que tu faisais!"
-"J'ai acheté une revue sado-maso et je me masturbais au-dessus de tes bottes en la lisant."
-"Ah, c'est comme ça, c'est ça que tu fais quand je ne suis pas là ? Et tu achètes ce genre de revues ?
Tu peux me dire ce que tu y trouves intéressant ?"
-"Ça m'excite, c'est un phantasme que j'ai."
Elle réfléchit un moment. Moi je reste accroupi, attendant sa réaction.
-"C'est quoi exactement comme fantasme, te faire attacher les couilles ? Devoir te branler sur mes bottes ? Recevoir des claques ? Parce que si c'est les claques que tu veux, tu vas en recevoir! Qu’est ce que maman penserait si elle te voyait ainsi ?"
-"Oui, c'est ça et puis être traité comme une soubrette, attaché et ta mère est au courant."
-"Ah bon." Elle se radoucit un peu, mais pas longtemps.
-"Alors mets les mains dans le dos et tourne la tête vers moi."
Je m'exécute.
-"Bien. Tu me remercieras parce que je m'occupe de tes fantasmes là."
Et clac, une grande gifle en pleine face! Je cherche à l'éviter, mais elle me touche quand même.
-"Ne bouge pas! Je recommence. Après chaque baffe, tu diras merci."
J'en ai reçu dix puis elle s'est arrêtée, sa main chauffait trop.
-"Bon, et après t'être branlé, tu comptais faire quoi ?"
-"Je comptais lécher tes bottes avec mon sperme dessus."
-"Tiens donc. Mais je ne voudrais pas te refuser ce plaisir. Vas-y prosterne-toi à mes pieds, lèche mes chaussures. C'était ça ton idée, lécher les chaussures que je porte ? Vas-y, sors bien la langue. Après tu t'occuperas des bottes, puis des autres chaussures."
Je commence à lécher mais voilà qu'elle se met à marcher sans égard pour moi. Je la suis à genoux. Elle n'a fait que deux pas pour s'asseoir. Je bande encore comme un âne. J'ai dû me mettre de côté pour lécher ses chaussures. D'une main, elle commence à feuilleter la revue, de l'autre elle me pelote les couilles. Elle y enfonce les ongles de temps en temps, soupèse, tapote, serre un peu, me glisse un doigt entre les fesses, pince un peu. Elle n'émet que de brefs commentaires sur la revue : "Intéressant" ou "Pas mal!"
Quand j'ai terminé de lustrer toutes ses chaussures, elle m'enjoint de me rincer la bouche.
-"Allons au lit, j'ai envie d'essayer."
Arrivé au lit, ma fille me bande les yeux et me fait coucher sur le lit sans me détacher les testicules des pieds. En plus, elle m'attache les mains aux chevilles. Je ne peux quasiment plus bouger. Puis elle vient doucement s'asseoir sur mon visage, les fesses sur le nez, la chatte sur la bouche en m'ordonnant :
- "Lèche!"
Heureux de la voir dans de meilleures dispositions, je lèche son minou comme un fou. Je la lèche longtemps, y mettant tout mon cœur. L'orgasme venant, elle se fait d'abord plus pesante sur mon visage, puis des mouvements désordonnés m'écrasent le nez, mais parfois me permettent de respirer un peu mieux. Elle crie son plaisir en me pinçant les tétons. Après ce premier orgasme, elle se lève. Je crois qu'elle va me chevaucher le sexe mais non, je suis retourné comme un sac de patates, elle s'installe sur le dos et me précise :
- "Lèche-moi, ne t'arrête sous aucun prétexte, pas avant que je ne te le dise."
Un instant plus tard, j'entends un sifflement. Quelque chose me frappe le dos, ça fait très mal! En même temps, elle me plaque la bouche sur son minou.
-"C'est autre chose de me servir comme ça, non ? J'espère que la ceinture te plaît parce que je vais continuer! Et plus tard, tu en auras sur les fesses."
Alors je m'applique, je m'efforce de ne pas laisser paraître la douleur, malgré que les coups pleuvent, malgré qu'elle plante ses talons dans mes flancs. Elle ne tarde pas à partir dans un nouvel orgasme, qu'elle ponctue d'autres coups de ceinture. Puis :
-"Arrête!" et le calme soudain.
Toute cette émotion m'a épuisé et je devine qu'elle aussi. Je suis couvert de sueur, nous haletons tous les deux.
Un instant plus tard, elle me repousse du pied et je m'accroupis tant bien que mal au pied du lit. J'entends qu'elle se rhabille. Elle me détache les testicules et les mains, me relève et me frotte brutalement le dos, avec les dents de sa brosse à cheveux. Bizarrement, cela atténue un peu la douleur. Puis elle me guide jusqu'au radiateur et m'y attache les poignets.
-"Les fesses maintenant. Appuie la tête au mur, jambes écartées. Tu vas avoir douze coups de ceinture sur les fesses."
-"Mais j'en ai déjà eu au moins quinze sur le dos!"
-"Bon, va pour quinze coups alors. Et n'essaie pas d'encore discuter. Prépare-toi. Et maintenant que ta langue n'est pas occupée, n'oublie pas de dire merci à chaque coup."
Craignant qu'elle n'augmente encore la dose, je prends la position. La série de coups me chauffe les
fesses très vite. Qu'est-ce que ça fait mal! Miracle, elle s'arrête après seulement huit coups!
-"Arrête de bouger! Je recommence et cette fois-ci, ne bouge plus. Mets-toi bien en arrière, présente ton cul pour bien recevoir les coups."
Et les coups reprennent. Mais je n'en peux plus! Après douze autres coups, je craque :
-"Arrête, je t'en prie! Ca fait vraiment trop mal!"
Elle s'interrompt mais me répond :
-"Non, tu auras ta fessée. Quinze coups, j'ai dit. Je vais devoir recommencer, tu as oublié de dire merci pour le douzième. Cambre bien le cul. Voilà, comme ça."
Et malgré ma supplique, elle entreprend de m'administrer quinze autres coups de ceinture. J'ai les fesses en feu, je craque complètement, je crie après chaque coup. Mais je n'oublie pas de la remercier.
Après cette mémorable dérouillée, elle me pelote brutalement les fesses. Puis elle m'att**** les bourses et commence à serrer.
-"Dis-moi, maintenant. Je suis prête à réaliser ton phantasme. Mais tu jures de m'obéir absolument?"
-"Oui."
Elle serre.
-"Dis moi, "oui chérie, je jure de t'obéir absolument." sinon je recommence la séance de ceinture."
-"Oui chérie, je jure de t'obéir absolument."
Elle rit doucement.
-"Bien. J'aime mieux ça. Alors puisque tu m'obéis en tout point, je dois dire que ça m'amuse beaucoup de te fesser. Cambre-toi encore. Quelques coups de plus pour le plaisir."
Je me mets en position et les coups tombent. Elle s'arrête après cinq.
-"Maintenant, écarte bien les jambes, sur la pointe des pieds, le cul très cambré. Plus que ça! Tu as l'air moins fier que tout à l'heure, ça pend drôlement tout ça. Surtout, ne bouge pas."
Le coup est fulgurant, je me tords de douleur. Un coup de ceinture sur les testicules!
-"Eh bien, ça te fait de l'effet! Autre chose. Tu voulais te branler, je te l'interdis. Je ne crois pas que tu sois en état d'ailleurs. A partir de maintenant, tu jouis si je veux et quand je veux, c'est tout. Compris?"
-"Oui chérie, j'ai compris."
-"Je vais prendre une douche. Tu m'aideras à me sécher puis je m'habillerai et je t'enlèverai ton bandeau. Tu prendras une douche aussi, mais attention je te surveille, branlette interdite! Alors heureux ?"
-"Oui chérie."
Ma réponse était tout à fait sincère.

Published by Pauline81
10 years ago
Comments
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Pauline81
Pauline81 Publisher 8 years ago
to lilo2654 : merci
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lilo2654
lilo2654 8 years ago
t ecris bien ....
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montillon
superbe ta fille, belle salope!!!
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spiridon12
spiridon12 9 years ago
Excitante...bandante ton histoire !!! Une suite ?
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