La salle de bains...
On est dans ta salle de bain.
Mes mains sont appuyées sur l'évier, mon buste est penché vers l’avant et mon cul est relevé vers toi.
Tu es derrière moi. Tu as insisté pour que ça se passe ici, devant ton miroir. Tu veux me voir, mais tu veux aussi que je voie mon visage, que je voie l'expression de ma souffrance quand tu t'insinueras en moi, centimètre par centimètre. Tu veux que je voie le tien, que je prenne entièrement conscience de l’emprise que tu as sur moi.
Tu veux me faire mal. Tu ne vas pas y aller doucement. Tu ne vas pas me ménager. Tu vas forcer, parce qu’on sait tous les deux que mon cul est étroit. Et surtout, parce que tu sais que ça m’excite. Tu ne le ferais pas sinon…
Tu baisses mon pantalon sur mes cuisses et tu relèves mon haut, dévoilant mes reins, mon dos et mes seins. Tu passes tes mains sous mon ventre incliné, et tes doigts se saisissent de mes tétons durcis par la faim de toi. Ton pantalon est collé à mes fesses et je peux déjà sentir ton excitation. Comme pour me frustrer encore plus, tu le retires, te retrouvant en caleçon. Effectivement, tu bandes!
Tu pinces mes tétons, les tords, fort et sans ménagement, en frottant ton bas-ventre à mon entre-jambe déjà trempée. D'habitude je mouille "normalement", ni trop vite, ni pas assez, mais on sait tous les deux que ce genre de situation, un peu cérébrale, humiliante et forcée me rend dingue. Je sais que le fait de voir ma chatte trempée t'excite. Je sais que tu aimes le fait de me savoir suspendue à tes gestes, obéissante et dévouée.
Je ne tiens déjà plus... Mes fesses, d'un mouvement incontrôlé, se joignent au mouvement de ta queue qui se frotte à moi. J'ai trop envie de toi, ça fait trop longtemps qu'on ne s'est pas vus, j'aimerais que tu en finisses et que tu me délivres d'un coup de queue salvateur. Mais ça ne se passera pas comme ça. No pain, no game !
Mes mains sont appuyées sur l'évier, mon buste est penché vers l’avant et mon cul est relevé vers toi.
Tu es derrière moi. Tu as insisté pour que ça se passe ici, devant ton miroir. Tu veux me voir, mais tu veux aussi que je voie mon visage, que je voie l'expression de ma souffrance quand tu t'insinueras en moi, centimètre par centimètre. Tu veux que je voie le tien, que je prenne entièrement conscience de l’emprise que tu as sur moi.
Tu veux me faire mal. Tu ne vas pas y aller doucement. Tu ne vas pas me ménager. Tu vas forcer, parce qu’on sait tous les deux que mon cul est étroit. Et surtout, parce que tu sais que ça m’excite. Tu ne le ferais pas sinon…
Tu baisses mon pantalon sur mes cuisses et tu relèves mon haut, dévoilant mes reins, mon dos et mes seins. Tu passes tes mains sous mon ventre incliné, et tes doigts se saisissent de mes tétons durcis par la faim de toi. Ton pantalon est collé à mes fesses et je peux déjà sentir ton excitation. Comme pour me frustrer encore plus, tu le retires, te retrouvant en caleçon. Effectivement, tu bandes!
Tu pinces mes tétons, les tords, fort et sans ménagement, en frottant ton bas-ventre à mon entre-jambe déjà trempée. D'habitude je mouille "normalement", ni trop vite, ni pas assez, mais on sait tous les deux que ce genre de situation, un peu cérébrale, humiliante et forcée me rend dingue. Je sais que le fait de voir ma chatte trempée t'excite. Je sais que tu aimes le fait de me savoir suspendue à tes gestes, obéissante et dévouée.
Je ne tiens déjà plus... Mes fesses, d'un mouvement incontrôlé, se joignent au mouvement de ta queue qui se frotte à moi. J'ai trop envie de toi, ça fait trop longtemps qu'on ne s'est pas vus, j'aimerais que tu en finisses et que tu me délivres d'un coup de queue salvateur. Mais ça ne se passera pas comme ça. No pain, no game !
10 years ago
Cette salle de bain est grande, pourtant, nous y étions serrés,
entre ma débordante excitation et ton désire d'humiliation.
Chaque molécule de la pièce était électrisée par la suivante.
Le temps était suspendue,
et j'ai jouis ,
tendus comme un arc, j'ai jouis, ce qui m'a paru être des litres de foutre.
Les murs ont semblé voler en éclats lorsque j'ai crié ton nom
"SALOPE"
Mais très vite je les retourne dans ta raie, car tu sais ce que j'ai envie chez toi ; de quelque chose de plus serrée. Je les essuie contre les replis de ton anus qui se couvre du mélange de ton excitation et de ma salive.
Tu me fais bander, et ma verge dure me démange. Je la libère de son caleçon, et je frotte un temps mon bout entre tes fesses. Mon gland se loge dans la dépression de ton petit trou, et je commence à le presser dessus. Je sais que mon sexe te meurtrit, mais te voir offerte ainsi me rend dingue et je ne serai satisfait qu'après avoir mis en toi, ma queue que tu as excitée.
Ça y est, mon méat a ouvert la brèche, et mon gland entrouvre les rebords de ton anus. J'ai tout le plaisir de voir au moment où je te pénètre, les expressions de ton visage qui se reflètent dans le miroir. Tu es serrée et me compresse, si bien que mon prépuce est entièrement tiré en arrière entrainant avec lui mon frein tendu à m'en faire mal. Je dénoue cette situation en agrippant une de tes fesses pour ouvrir ta raie, et plonger ma queue en toi comme le dicte mon excitation.
Je te domine de mon corps derrière toi. J'échange des regards avec toi à travers le miroir, et je suis content de baiser chez toi, cet endroit si inconvenant ...