(In french) Chroniques onanistes
Mardi 22 janvier 2013. 5h50. J’ai pu bosser un peu plus d’une heure après ma première éjac de la journée (vers 4h 40, après 90 mn de branle). Mais ça me reprend. L’envie est là, impossible à ignorer, ma bite de branleur m’obsède, lorsque je la masturbe, mes couilles frottent contre mes cuisses. Le jus de ma précédente éjac fait un bruit mouillé totalement obscène lorsque je branle ma queue à moitié bandée, le plaisir monte. Je dois continuer à satisfaire ce pénis si beau, pour un nouvel orgasme.
La raideur de ma queue s’installe à nouveau pleinement. Je la contemple, fasciné.
Branle frénétique. Orgasme. Je suis apaisé, jusqu’à ce que reprennent mes pulsions masturbatoires…
Vendredi 25 janvier. J'aime me masturber. Branler mon pénis.
Lundi 28 janvier. Délicieuse masturbation pendant deux heures. Quatre anneaux pubiens font remonter mes couilles, qui s'étalent hors de mon pantalon. Je suis un branleur et cela m'excite de le réaliser. J'enchaine les épisodes péri-orgasmiques comme un drogué de bite, en manque.
Mercredi 30 janvier. Les débuts de branle sont merveilleux. La bite n'est pas encore bandée, mais la masturbation induit des délices d'impression, d'anticipation, d'excitation. Je vais mettre mes anneaux de branleur, me lier les couilles avec ma corde en nylon.
- Je me suis branlé pendant trois heures. Puis un peu de sudoku. Puis à nouveau, la masturbation m'appelle.
- Cinq à six heures de branle en tout aujourd'hui encore.
Jeudi 31 janvier. Encore 5 heures de branle. C'était délicieux. J'ai le sentiment que je peux prolonger de plus en plus mes épisodes péri-orgasmiques.
Vendredi 1er février. 8 heures de branle. 30 heures au total dans la semaine, sur cinq jours.
Lundi 4 février. Après 60 heures d'abstinence, l'appel de ma bite me rend fou. Quatre anneaux de branleur. Huit heures de masturbation paradisiaque. Mais c'est trop peu. J'ai besoin de me masturber constamment, de sentir ma bite entre mes doigts, de sentir mes couilles se tendre d'excitation.
Mardi 5 février. Lever à 4h. 1h30 de branle chez moi (j'aurais dû travailler, car je n'ai rien fait hier à part me masturber). Puis, par intermittence, une fois sur mon lieu de mon travail, toutes les heures, pendant un quart d'heure au moins. Je dois travailler comme un dingue, mais je ne peux pas faire autrement. Je suis amoureux de ma bite de branleur. Je voudrais lui consacrer ma vie, crier mon amour pour ce pénis qui me rend ivre de délices. Je pense constamment à me masturber dès que je ferme la porte de mon bureau et il est quasiment impossible de résister à ces pulsions.
Mardi 12 février. 7-8 heures de branle frénétique hier. J'ai réussi à enfiler des anneaux de 3 cm autour de mes couilles. J'en porte 4 en permanence, toute la journée.Plus un ou deux anneaux pelvien de 5 cm. Ainsi paré, mon pénis est beau. Un pénis de branleur obsédé. C'est ce que je suis, profondément.
Vendredi 15 février. Je porte désormais à mes couilles 6 anneaux de 3 cm, plusieurs heures par jour, voir la journée entière. L'effet est immédiat. Leur présence me renvoie immédiatement à mon identité primordiale de branleur.
Mercredi 27 février. J'aime me masturber, je ne tiens plus le compte écrit des heures consacrées chaque jour à mon pénis adoré. J'y passe l'essentiel de mon temps éveillé quotidien. Après deux heures de masturbation, premier épisode péri-orgasmique. Peut-être dix minutes d'état comateux. Puis émission d'un flot de mouille dont j'enduis mes couilles ceintes de leurs six anneaux. Et les pulsions masturbatoires, après quelques minutes, reprennent de plus belle. Je ne bande pas vraiment. Mais cela n'empêche pas, bien au contraire, le plaisir, le montée progressive d'une tension sexuelle délicieuse avec laquelle je joue.
La raideur de ma queue s’installe à nouveau pleinement. Je la contemple, fasciné.
Branle frénétique. Orgasme. Je suis apaisé, jusqu’à ce que reprennent mes pulsions masturbatoires…
Vendredi 25 janvier. J'aime me masturber. Branler mon pénis.
Lundi 28 janvier. Délicieuse masturbation pendant deux heures. Quatre anneaux pubiens font remonter mes couilles, qui s'étalent hors de mon pantalon. Je suis un branleur et cela m'excite de le réaliser. J'enchaine les épisodes péri-orgasmiques comme un drogué de bite, en manque.
Mercredi 30 janvier. Les débuts de branle sont merveilleux. La bite n'est pas encore bandée, mais la masturbation induit des délices d'impression, d'anticipation, d'excitation. Je vais mettre mes anneaux de branleur, me lier les couilles avec ma corde en nylon.
- Je me suis branlé pendant trois heures. Puis un peu de sudoku. Puis à nouveau, la masturbation m'appelle.
- Cinq à six heures de branle en tout aujourd'hui encore.
Jeudi 31 janvier. Encore 5 heures de branle. C'était délicieux. J'ai le sentiment que je peux prolonger de plus en plus mes épisodes péri-orgasmiques.
Vendredi 1er février. 8 heures de branle. 30 heures au total dans la semaine, sur cinq jours.
Lundi 4 février. Après 60 heures d'abstinence, l'appel de ma bite me rend fou. Quatre anneaux de branleur. Huit heures de masturbation paradisiaque. Mais c'est trop peu. J'ai besoin de me masturber constamment, de sentir ma bite entre mes doigts, de sentir mes couilles se tendre d'excitation.
Mardi 5 février. Lever à 4h. 1h30 de branle chez moi (j'aurais dû travailler, car je n'ai rien fait hier à part me masturber). Puis, par intermittence, une fois sur mon lieu de mon travail, toutes les heures, pendant un quart d'heure au moins. Je dois travailler comme un dingue, mais je ne peux pas faire autrement. Je suis amoureux de ma bite de branleur. Je voudrais lui consacrer ma vie, crier mon amour pour ce pénis qui me rend ivre de délices. Je pense constamment à me masturber dès que je ferme la porte de mon bureau et il est quasiment impossible de résister à ces pulsions.
Mardi 12 février. 7-8 heures de branle frénétique hier. J'ai réussi à enfiler des anneaux de 3 cm autour de mes couilles. J'en porte 4 en permanence, toute la journée.Plus un ou deux anneaux pelvien de 5 cm. Ainsi paré, mon pénis est beau. Un pénis de branleur obsédé. C'est ce que je suis, profondément.
Vendredi 15 février. Je porte désormais à mes couilles 6 anneaux de 3 cm, plusieurs heures par jour, voir la journée entière. L'effet est immédiat. Leur présence me renvoie immédiatement à mon identité primordiale de branleur.
Mercredi 27 février. J'aime me masturber, je ne tiens plus le compte écrit des heures consacrées chaque jour à mon pénis adoré. J'y passe l'essentiel de mon temps éveillé quotidien. Après deux heures de masturbation, premier épisode péri-orgasmique. Peut-être dix minutes d'état comateux. Puis émission d'un flot de mouille dont j'enduis mes couilles ceintes de leurs six anneaux. Et les pulsions masturbatoires, après quelques minutes, reprennent de plus belle. Je ne bande pas vraiment. Mais cela n'empêche pas, bien au contraire, le plaisir, le montée progressive d'une tension sexuelle délicieuse avec laquelle je joue.
11 years ago
on ce fait 1 plan cam branlttt 1 jour
si t'es exZib cmm moi