Ma Boss
MA BOSS
Depuis 2 mois , je travaillai dans une petite PME . Le bureau dans lequel je travaillai était déporté par rapport au site de production.
Je me trouvai donc avec une collègue secrétaire, dans le même bureau, et dans le bureau d’à côté celui de notre boss.
Après quelques emplois, qui, s’ils avaient été formateurs, n’avaient pas vraiment été intéressants, j’avais finalement trouvé cet emploi. Mon salaire était plus que correct, je m'entendais bien avec Carole ma collègue de bureau et la boss plutôt sympa. Et ce qui ne gâtait rien, ces deux femmes étaient absolument à tomber.
J’étais plongé dans mon travail, quand la chef entrouvrit la porte, et me fit sursauter.
-Mon petit Gérald, pourriez vous m’apporter le dossier Météor s’il vous plaît ?
-Tout de suite Madame. Ca tombait à pic, car je venais juste de mettre le dossier à jour.
Muni du dossier j’entrai dans le bureau.
-Voilà Madame, le dossier est au complet.
-Parfait, vous contacterez cette société et leur proposerez un RDV en fin de semaine si cela leur convient.
Malgré moi, tout en écoutant ma chef je n’avais pas pu m’empêcher d’admirer sa poitrine . Il faut dire que ses formes généreuses débordaient largement de son chemisier.
-Eh bien mon petit Gérald, on s’égare, on mate sa cheffe.
-Désolé Madame, en même temps le rouge de la honte empourpra mon visage..
-N’ayez pas peur, il fait si chaud aujourd’hui que je n’ai pas pu m’empêcher de me dégrafer un peu. Et si vous approchiez un peu du bureau ?
Obéissant je me rapprochai.
-Alors vous voyez mieux d’ici ?
J’étais comme statufié.
-Ne soyez pas timide.
Tout en me parlant elle avait dégrafé deux autres boutons, m’offrant une vue imprenable sur ses seins superbes.
-Alors ils vous plaisent ?
J’étais incapable de de m’exprimer.
-Vous allez me vexer si vous ne me répondez pas, mes seins ne vous plaisent pas ?
Oh si..Ma…ame balbutai-je…ils …sont …magnifiques
Je n'arrivai pas à détacher mon regard, cette femme magnifique, ma patronne qui plus est , me montrait une bonne partie de sa poitrine, en totale impudeur.
-Tu veux les toucher ?
J’étais en plein rêve, à moi le jeune puceau, on me demandait de les toucher. Trop timide pour aller vers les filles, je m’étais jusqu’alors masturbé devant des revues pornos, mais n'avait jamais osé aborder la moindre femme.
-Alors tu les touches ?
Timidement,je posai ma main sur l’un de ses seins, puis je me mis à le caresser. La peau était incroyablement douce et tiède. Presqu’aussitôt je sentis mon sexe durcir.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame, c'est ...c'est très doux.
-Continue à les caresser, prends les bien en mains, regarde, mes tétons commencent à durcir.
C'était vrai, ils pointaient fièrement, ils devaient bien faire au moins 1.5 cm avec la grosseur d'un doigt.
-Hum c'est bon continue....
Je continuai à peloter ces deux délicieuses masses de chair tiède, ravi de cette aubaine. Je me sentais comme un enfant devant un étal de friandises.
- J'aime aussi que l'on me suce les seins mon chou. Tu as déja fait ça ?
-Oh non Madame.
-Qu'attends tu ?
Obéissant j'attrapai un des jolis tétons roses entre les lèvres. Puis je me lis à le sucer, en même temps je massai doucement l'autre sein, puis glissait doucement vers l'autre téton. Instinctivement j'attrapai le petit bout de chair rose, le pinçant doucement je le le fis rouler entre mes doigts. Ma boss , les yeux fermés gémissait de plaisir, tout en gémissant, je sentis sa main s'aventurer sur mon entrejambes, puis elle empoigna mon sexe à travers le tissu. Elle se se mit lentement à le branler, toujourspar dessus mon jean. Mon excitation était à son comble. Moi qui n'avait jamais eu de contact avec une fille, je me retrouvais en train de lécher et caresser les seins d'une femme superbe, pendant qu'elle me masturbait. J'étais au nirvana.
Soudain, elle s'arrêta et me repoussa. Interloqué, je la regardai, pensant avoir fait quelque chose de mal.
Elle me regardait, le regard un peu brouillé.
-Sors ta queue me dit-elle.
-Vous...voulez que je la sorte ?
-Ne discute pas, et je veux te voir te branler.
-je fis ce qu'elle me demandait, bien que gèné, et je me mis à me masturber.
-Oui c'est bien, j'adore voir les garçons branler leurs bites, et je veux te voir jouir.
-Mais je vais en mettre partout Madame.T'inquiète, je veux que tu jouisses sur mes seins.
Ça devenait de plus en plus torride, et je sentais la jouissance monter en moi.-Tu vas bientôt jouir petit cochon ?
-Oh oui Madame.Elle écarta bien à fond son chemisier, dégageant complètement sa superbe et plantureuse poitrine.
Je ne pus me retenir, et me mis à gicler sur ses nichons. Jamais je n'avais autant joui. Seins étaient maculés de longues trainées de foutre.
Ma Boss récupéra une trainée de foutre avec son doigt puis le lécha avec une mine gourmande. Puis elle recommença et cette fois me tendit son doigt.
- Lèche petite salope
Comme j'hésitai, elle me tira par les cheveux, puis enfourna son doigt dans ma bouche. Après que je l'eus sucé, elle le retira
-Maintenenant tu vas lécher mes seins.
Et à nouveau elle attrapa mes cheveux et plongea mon visage entre ses seins.
Le goût du sperme n'était pas une nouveauté pour moi, car lors de mes branlettes solitaires je finissai toujours par lécher mes doigts maculés de sperme, mais c'était plutôt la brutalité de ma boss qui me perturbait. Sans rechigner, je me mis à lécher toutes les traces de foutre. Lécher sa poitrine souillée de sperme était encore plus excitant. D'ailleurs ma petite bite se tendait à nouveau. Une fois sa poitrine nettoyée, elle referma son chemisier, puis elle me renvoya.
-Tu me termines ce dossier, et n'oublie pas de refermer ta braguette.
Un peu honteux, je quittai son bureau.
Retournant à mon bureau, je vis que Carole me regardait d'un air un peu narquois.Est-ce qu'elle se doutait de quelque chose ? Impossible, le bureau de la boss comportait un sas qui devait isoler les bruits.
La journée était presque terminée, je pris le temps de me conformer aux instructions que je venais de recevoir. Carole était déja sur le départ. A ma grande surprise, elle me fit une bise sur la joue.
-A demain Gérald.
-Au..au revoir Carole.
Puis je rentrai chez moi. Par chance j'avais trouvé un petit studio tout proche de mon travail, à guère plus de cinq minutes. Toute la soirée je ressassai ce qui s'était passé dans le bureau, me demandant ce qui allait se passer maintenant.
Le Lendemain
Lorsque j'arrivai au bureau, j'étais le premier. Comme d'habitude, j'allumai les ordinateurs et préparai le café.Carole et la boss arrivèrent ensemble.
-Bonjour Gérald dirent-elles d'une même voix.
- Euh... Bonjour Patronne, bonjour Carole.
Puis je m'installai à mon bureau et m'attaquai à un nouveau dossier.
-Gérald, vous m'apporterez mon café d'ici une petite heure s'il vous plaît.
-Bien Madame
A l'heure dite, café en main j'entrai dans le bureau.
-Merci Gérald posez le à côté du téléphone.
-Dites moi mon petit Gérald, notre petit jeu d'hier vous a plû .
-Oh oui Madame.
-Je suis sûre que vous avez dû vous branler en y repensant. Ai-je raison ?
Honteux, je hochai la tête affirmativement.
-N'ayez pas honte, le sexe est une bonne chose, et on n'a qu'une vie. Approchez maintenant, je veux voir votre jolie petite bite.
Je m'approchai, arrivé près d'elle, elle s'empara du zip de mon jean jean, et l'abaissa. Puis baissa mon boxer et s'empara de mon sexe.
-Il va falloir que vous fassiez quelque chose pour moi mon petit chou.-Quoi Madame ?
- Je ne veux plus voir ces vilains poile, je veux que votre bas ventre soit entièrement lisse. C'est compris ?
-Oui Madame.
- je vous indiquerai une crème dépilatoire efficace. Je veux que demain matin tous ces vilains poils aient disparus.
Puis sans plus de cérémonie, elle prit tout mon sexe dans sa bouche. Je sentis tout mon corps traversé par une onde de plaisir. Je n'en croyais pas mes yeux. Ma queue était entierment dans la bouche de ma boss, et en plus elle me regardait dans les yeux.
Lentement sa bouche se retira. Mon sexe était couvert de salive.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame c'est trop bon.
-Tu veux que je continue ?
-Oh oui.
Aussitôt elle me reprit en bouche, et se mit à me sucer avec de doux va et vient.
Une fois de plus je n'en revenais pas. Comment cela se pouvait-il qu'une femme aussi belle qui ne devait sûrement pas manquer d'admirateurs, prenne plaisir avec un garçon comme moi. Je n'avais rien d'attirant. J'étais de taille modeste, mon corps était plutôt mince, ne dépassant pas les 60 kilos. Mon visage était quasi imberbe, et l'ensemble n'était pas très viril. Ce que j'avais de plus beau c'étaient mes cheveux blonds et longs que je gardais en catogan.
Depuis 2 mois , je travaillai dans une petite PME . Le bureau dans lequel je travaillai était déporté par rapport au site de production.
Je me trouvai donc avec une collègue secrétaire, dans le même bureau, et dans le bureau d’à côté celui de notre boss.
Après quelques emplois, qui, s’ils avaient été formateurs, n’avaient pas vraiment été intéressants, j’avais finalement trouvé cet emploi. Mon salaire était plus que correct, je m'entendais bien avec Carole ma collègue de bureau et la boss plutôt sympa. Et ce qui ne gâtait rien, ces deux femmes étaient absolument à tomber.
J’étais plongé dans mon travail, quand la chef entrouvrit la porte, et me fit sursauter.
-Mon petit Gérald, pourriez vous m’apporter le dossier Météor s’il vous plaît ?
-Tout de suite Madame. Ca tombait à pic, car je venais juste de mettre le dossier à jour.
Muni du dossier j’entrai dans le bureau.
-Voilà Madame, le dossier est au complet.
-Parfait, vous contacterez cette société et leur proposerez un RDV en fin de semaine si cela leur convient.
Malgré moi, tout en écoutant ma chef je n’avais pas pu m’empêcher d’admirer sa poitrine . Il faut dire que ses formes généreuses débordaient largement de son chemisier.
-Eh bien mon petit Gérald, on s’égare, on mate sa cheffe.
-Désolé Madame, en même temps le rouge de la honte empourpra mon visage..
-N’ayez pas peur, il fait si chaud aujourd’hui que je n’ai pas pu m’empêcher de me dégrafer un peu. Et si vous approchiez un peu du bureau ?
Obéissant je me rapprochai.
-Alors vous voyez mieux d’ici ?
J’étais comme statufié.
-Ne soyez pas timide.
Tout en me parlant elle avait dégrafé deux autres boutons, m’offrant une vue imprenable sur ses seins superbes.
-Alors ils vous plaisent ?
J’étais incapable de de m’exprimer.
-Vous allez me vexer si vous ne me répondez pas, mes seins ne vous plaisent pas ?
Oh si..Ma…ame balbutai-je…ils …sont …magnifiques
Je n'arrivai pas à détacher mon regard, cette femme magnifique, ma patronne qui plus est , me montrait une bonne partie de sa poitrine, en totale impudeur.
-Tu veux les toucher ?
J’étais en plein rêve, à moi le jeune puceau, on me demandait de les toucher. Trop timide pour aller vers les filles, je m’étais jusqu’alors masturbé devant des revues pornos, mais n'avait jamais osé aborder la moindre femme.
-Alors tu les touches ?
Timidement,je posai ma main sur l’un de ses seins, puis je me mis à le caresser. La peau était incroyablement douce et tiède. Presqu’aussitôt je sentis mon sexe durcir.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame, c'est ...c'est très doux.
-Continue à les caresser, prends les bien en mains, regarde, mes tétons commencent à durcir.
C'était vrai, ils pointaient fièrement, ils devaient bien faire au moins 1.5 cm avec la grosseur d'un doigt.
-Hum c'est bon continue....
Je continuai à peloter ces deux délicieuses masses de chair tiède, ravi de cette aubaine. Je me sentais comme un enfant devant un étal de friandises.
- J'aime aussi que l'on me suce les seins mon chou. Tu as déja fait ça ?
-Oh non Madame.
-Qu'attends tu ?
Obéissant j'attrapai un des jolis tétons roses entre les lèvres. Puis je me lis à le sucer, en même temps je massai doucement l'autre sein, puis glissait doucement vers l'autre téton. Instinctivement j'attrapai le petit bout de chair rose, le pinçant doucement je le le fis rouler entre mes doigts. Ma boss , les yeux fermés gémissait de plaisir, tout en gémissant, je sentis sa main s'aventurer sur mon entrejambes, puis elle empoigna mon sexe à travers le tissu. Elle se se mit lentement à le branler, toujours
Soudain, elle s'arrêta et me repoussa. Interloqué, je la regardai, pensant avoir fait quelque chose de mal.
Elle me regardait, le regard un peu brouillé.
-Sors ta queue me dit-elle.
-Vous...voulez que je la sorte ?
-Ne discute pas, et je veux te voir te branler.
-je fis ce qu'elle me demandait, bien que gèné, et je me mis à me masturber.
-Oui c'est bien, j'adore voir les garçons branler leurs bites, et je veux te voir jouir.
-Mais je vais en mettre partout Madame.T'inquiète, je veux que tu jouisses sur mes seins.
Ça devenait de plus en plus torride, et je sentais la jouissance monter en moi.-Tu vas bientôt jouir petit cochon ?
-Oh oui Madame.Elle écarta bien à fond son chemisier, dégageant complètement sa superbe et plantureuse poitrine.
Je ne pus me retenir, et me mis à gicler sur ses nichons. Jamais je n'avais autant joui. Seins étaient maculés de longues trainées de foutre.
Ma Boss récupéra une trainée de foutre avec son doigt puis le lécha avec une mine gourmande. Puis elle recommença et cette fois me tendit son doigt.
- Lèche petite salope
Comme j'hésitai, elle me tira par les cheveux, puis enfourna son doigt dans ma bouche. Après que je l'eus sucé, elle le retira
-Maintenenant tu vas lécher mes seins.
Et à nouveau elle attrapa mes cheveux et plongea mon visage entre ses seins.
Le goût du sperme n'était pas une nouveauté pour moi, car lors de mes branlettes solitaires je finissai toujours par lécher mes doigts maculés de sperme, mais c'était plutôt la brutalité de ma boss qui me perturbait. Sans rechigner, je me mis à lécher toutes les traces de foutre. Lécher sa poitrine souillée de sperme était encore plus excitant. D'ailleurs ma petite bite se tendait à nouveau. Une fois sa poitrine nettoyée, elle referma son chemisier, puis elle me renvoya.
-Tu me termines ce dossier, et n'oublie pas de refermer ta braguette.
Un peu honteux, je quittai son bureau.
Retournant à mon bureau, je vis que Carole me regardait d'un air un peu narquois.Est-ce qu'elle se doutait de quelque chose ? Impossible, le bureau de la boss comportait un sas qui devait isoler les bruits.
La journée était presque terminée, je pris le temps de me conformer aux instructions que je venais de recevoir. Carole était déja sur le départ. A ma grande surprise, elle me fit une bise sur la joue.
-A demain Gérald.
-Au..au revoir Carole.
Puis je rentrai chez moi. Par chance j'avais trouvé un petit studio tout proche de mon travail, à guère plus de cinq minutes. Toute la soirée je ressassai ce qui s'était passé dans le bureau, me demandant ce qui allait se passer maintenant.
Le Lendemain
Lorsque j'arrivai au bureau, j'étais le premier. Comme d'habitude, j'allumai les ordinateurs et préparai le café.Carole et la boss arrivèrent ensemble.
-Bonjour Gérald dirent-elles d'une même voix.
- Euh... Bonjour Patronne, bonjour Carole.
Puis je m'installai à mon bureau et m'attaquai à un nouveau dossier.
-Gérald, vous m'apporterez mon café d'ici une petite heure s'il vous plaît.
-Bien Madame
A l'heure dite, café en main j'entrai dans le bureau.
-Merci Gérald posez le à côté du téléphone.
-Dites moi mon petit Gérald, notre petit jeu d'hier vous a plû .
-Oh oui Madame.
-Je suis sûre que vous avez dû vous branler en y repensant. Ai-je raison ?
Honteux, je hochai la tête affirmativement.
-N'ayez pas honte, le sexe est une bonne chose, et on n'a qu'une vie. Approchez maintenant, je veux voir votre jolie petite bite.
Je m'approchai, arrivé près d'elle, elle s'empara du zip de mon jean jean, et l'abaissa. Puis baissa mon boxer et s'empara de mon sexe.
-Il va falloir que vous fassiez quelque chose pour moi mon petit chou.-Quoi Madame ?
- Je ne veux plus voir ces vilains poile, je veux que votre bas ventre soit entièrement lisse. C'est compris ?
-Oui Madame.
- je vous indiquerai une crème dépilatoire efficace. Je veux que demain matin tous ces vilains poils aient disparus.
Puis sans plus de cérémonie, elle prit tout mon sexe dans sa bouche. Je sentis tout mon corps traversé par une onde de plaisir. Je n'en croyais pas mes yeux. Ma queue était entierment dans la bouche de ma boss, et en plus elle me regardait dans les yeux.
Lentement sa bouche se retira. Mon sexe était couvert de salive.
-Ça te plaît ?
-Oh oui Madame c'est trop bon.
-Tu veux que je continue ?
-Oh oui.
Aussitôt elle me reprit en bouche, et se mit à me sucer avec de doux va et vient.
Une fois de plus je n'en revenais pas. Comment cela se pouvait-il qu'une femme aussi belle qui ne devait sûrement pas manquer d'admirateurs, prenne plaisir avec un garçon comme moi. Je n'avais rien d'attirant. J'étais de taille modeste, mon corps était plutôt mince, ne dépassant pas les 60 kilos. Mon visage était quasi imberbe, et l'ensemble n'était pas très viril. Ce que j'avais de plus beau c'étaient mes cheveux blonds et longs que je gardais en catogan.
1 month ago