Marie-France
Après cette excellente soirée j’ai continué mes activités les plus diverses sans entendre parler de Marie-France.
J’ai reçu la grosse Jacqueline Duval mais je n’ai même pas eu le goût de la baiser. Avec ses gros seins flasques et ses cheveux décolorés elle ne me faisait vraiment pas envie. Pour lui faire plaisir je lui ai permis de me sucer et je lui ait laissé entrevoir un rôle dans un prochain tournage. Elle a très bien avalé tout le sperme que je lui ai balancé.
C’est seulement un mois plus tard, que la secrétaire m’annonce qu’une dame Daumont souhaitait me voir sans avoir pris rendez-vous. Bien que n’étant pas particulièrement occupé je lui dit d’annoncer à cette personne que j’étais au téléphone mais qu’elle serait reçue d’ici peu. Après plus d’une heure, passée à visionner des vidéos pornographiques, cette excellente Marie-France est introduite dans mon bureau. Elle porte toujours beau mais quelques détails donnent à penser que sa situation ne s’est pas améliorée : elle est habillée du même tailleur que la dernière fois, ses cheveux n’ont pas vu un coiffeur depuis quelques temps, ses ongles n’ont pas été faits par un professionnel…Elle a cependant fait des efforts pour être séduisante : un décolleté bien profond qui laisse entrevoir une grosse poitrine encore appétissante, des lèvres bien rouge qui appellent la bite..
A peine assise -en relevant sa jupe pour me montrer ses cuisses - elle entreprend de raconter ses malheurs, ses difficultés, ses espoirs déçus…Tout le monde se détourne d’elle, ceux qu’elle pensait être ses amis l’abandonnent, elle connaît des difficultés financières, elle a besoin de moi, son seul vrai ami…
Je la laisse discourir sans l’interrompre, content de voir qu’elle est à ma merci et malgré tout excité par ses gros seins qu’elle fait balloter devant mes yeux.
Quand elle s’arrête de parler en attendant une réponse de ma part je lui dit simplement :
« Suce moi »
« Quoi ? Tu n’y penses pas ? »
« Si, suce moi »
Après quelques instants de réflexion elle s’agenouille entre mes cuisses écartées, défait ma ceinture, ouvre ma braguette, descend mon pantalon et mon slip, pour atteindre la bite qui commence à bien bander et qu’elle prend en bouche. D’abord le gland puis toute la hampe. Au moins c’est une bonne suceuse. Elle lèche, elle gobe, titille le méat avec sa langue, englouti l’engin en entier, le garde au fond de sa gorge jusqu’à étouffer - surtout que je lui tiens la tête bien enfoncée - , les larmes coulent, son Rimmel aussi.. j’adore. Quand elle interrompt ses mouvements de va et viens je lui frappe le visage avec ma bite, badigeonne de mouille ses lèvres de salope, lui rentre tout au fond de la gorge pour lui baiser la bouche comme si c’était une chatte. Je m’excite encore plus en regardant ses gros seins qui s’agitent dans son décolleté. Vais je essayer la cravate de notaire ? Elle se laisse faire et participe même avec ardeur.
Quelle revanche sur cette pimbêche qui m’avait snobé.
Mais ce n’est pas comme ça que je veux jouir. Je la relève, la penche sur le bureau, écarte sa jupe et son slip. Bon seigneur, je lui enduit le trou avec le lubrifiant que j’ai toujours dans un tiroir et je l’encule à fond d’un coût sec. Elle crie de surprise mais tend son cul pour la saillie. C’est bon. Ma queue est au fond de son trou bien au chaud. Je lime doucement, vite, dedans, dehors…pour y revenir plus fort. Elle réagit bien, elle gémit, chaloupe des anches, ne cherche pas à s’échapper. Manifestement elle aime ça. Moi aussi. Je me venge de mes frustrations de jeunesse. Je ne peux pas m’empêcher de l’insulter comme dans les pornos que je produits.
« Prends ça salope.. tu la sentes ma grosse bite, tu la veux..? »
« Oui, oui.. mais pas trop fort, tu le fais mal.. »
Elle halète, moi aussi et je jouis au fond de son cul.
Avec un bruit de mouille très excitant ma bite sort de son cul et je la lui donne à sucer pour bien la nettoyer.
« Tu es content ? »
« Oui et je vais t’aider mais naturellement tu devras contribuer »
« Tout ce que tu voudras »
« J’espère bien. Voilà ce que je peux te proposer : la secrétaire qui t’a reçu part en congé maternité pour trois mois. Je t’offre de la remplacer. Le salaire est bon, le travail facile. Il s’agit de garder le contact avec les acteurs et les techniciens qui participent aux tournages que j’organise. Tu connais le genre des œuvres dont je m’occupe principalement. Tu devras donner de ta personne, aider si un acteur ne bande pas, t’assurer que l’actrice est prête à recevoir les plus gros calibres, tartiner le lubrifiant, enfiler les capotes s’il y en a … »
« Je suis prête »
« Si tu le veux tu pourras augmenter ton revenu en participant à certaines scènes. Je te verrai bien dans la série Bourgeoises en gang-bang ou MILFs en banlieue »
« Ah non je n’en suis pas là quand même »
« On verra. En tout cas tu devras être tout le temps disponible pour satisfaire mes besoins et dorénavant je ne veux plus te voir avec un slip »
« D’accord, d’accord »
« Tu viendras lundi prochain pour que Janine te mette au courant avant de partir en congé »
Le jour dit elle se présente dans mon bureau. Assez pimpante en robe légère. Je vérifie qu’elle a bien respecté mes instructions en lui doigtant la chatte qui mouille abondamment et je constate avec plaisir qu’elle a pris la précaution de se lubrifier l’anus. Elle ronronne en tortillant du cul et bien sûr je ne vais pas laisser passer cette occasion. Je l’invite à sa mettre à genoux sur un des fauteuils et le pantalon aux genoux je l’encule pendant un bon quart d’heure avant d’être dérangé par un coup de fil intempestif.
Ce sera notre rituel désormais : tous les matins, quand je suis au bureau, elle passe à la casserole. Toujours dans le cul, jamais dans la chatte. Je ne veux pas qu’elle jouisse trop facilement. Quelques fois, dans son rôle de parfaite secrétaire il lui arrivera de décrocher le téléphone alors que je suis entrain de la besogner par derrière. Les correspondants ont ils perçus quelque chose dans le son de sa voix quand ils l’entendaient répondre « Monsieur est occupé » ? Je ne le saurai jamais.
Un soir je me suis trouvé à dîner dans un restaurant où elle était elle même avec une amie. Je lui ai fait remettre un billet par le serveur l’invitant à me retrouver aux toilettes et j’ai eu le plaisir de la voir immédiatement traverser l’établissement en tortillant du cul sous le regard de tous les hommes présents. Je l’ai enculé une bonne demi-heure dans le water des hommes jusqu’à ce que quelqu’un frappe à la porte de manière insistante. C’était jouissif de sortir avec elle devant le regard surpris de ceux qui attendaient, puis de la voir, de retour à sa table, expliquer à son ami ce qui l’avait retenue si longtemps.
Un autre soir, alors que j’avais été absent plusieurs jours, je suis passé dans le studio qu’elle occupait. Elle m’en avait donné les clefs, pour les besoins du service bien sûr. Entrant sans m’annoncer je l’ai surprise assise sur son canapé-lit, en discussion avec une amie dont je remarque immédiatement l’énorme poitrine. Sans lui laisser le temps de faire les présentations je sors ma bite et lui demande de me présenter son cul pour que je l’encule. L’amie est gênée, elle veut s’en aller mais je la retiens en l’invitant à sortir ses seins que je pétri tout en enculant Marie-France. Contrairement à l’habitude je n’ai pas déchargé dans son cul mais dans la chatte de l’amie pendant que Marie-France jouissait en se branlant. L’amie en question est par la suite devenue une actrice habituelle de la série Mega Boobs.
Au point de vue travail Marie-France donnait satisfaction. Outre la réception des coups de fils et la rédaction de courriers, elle participait aux tournages en pompant les étalons défaillants - il y en a plus qu’on imagine-, en léchant la chatte et le cul des actrices qui avaient besoin d’un peu d’excitation avant une scène et plus généralement en faisant tout le nécessaire pour que tout se passe bien. Je dois dire qu’elle était parfaitement obéissante et pleine de bonne volonté.
Naturellement quand nous recevions des producteurs ou des réalisateurs étrangers elle donnait de sa personne et ne rechignait jamais à pomper toutes les queues qui lui étaient présentées et à offrir ses trous à tous les amateurs.
Evidemment elle devenait de moins en moins inhibée et de plus en plus salope. A force d’être utilisé son anus s’était élargi et était devenu souple comme une chatte. J’avais l’impression qu’il s’ouvrait juste en voyant ma queue. De ce fait quand je lui ai proposé de participer, contre une bonne rémunération, à un film de la série Bourgeoises anales elle n’hésita que pour la forme demandant juste à être bien lubrifiée. Pour cet épisode, d’une trentaine de minutes, j’avais particulièrement soigné le scénario et le choix des protagonistes. La bourgeoise - Marie-France- aguichait deux ouvriers -des africains particulièrement bien montés - qui venaient chez elle pour entretenir la piscine. Elle se faisait sodomiser sur le bord du bassin quand son mari - moi même - la surprenait et la fessait violemment. J’avais prévu de faire un double anal mais je n’en avais pas prévenu l’actrice.
Le tournage a eu lieu dans la maison de campagne d’un ami qui avait connu Marie-France du temps de sa splendeur et qui s’empressera de raconter à toutes nos connaissances ce qu’elle était devenue. J’avais choisi deux acteurs particulièrement bien montés, l’un était un véritable colosse alors que l’autre, plutôt petit était doté d’une bite vraiment énorme avec un gland gros comme une petite orange. Sans le dire, je craignais un peu qu’ils déchirent leur partenaire.
Dans la première scène Marie-France recevait les ouvriers piscinistes vêtue d’un bikini blanc vraiment minimaliste qui couvrait à peine ses gros seins dont on voyait la moitié des auréoles et les tétons qui pointaient du bord du tissu. En bas sa motte était clairement visible et quand elle se retournait pour guider les ouvriers ils pouvaient admirer ses grosses fesses seulement séparées par la ficelle du string.
Dans ces conditions l’action ne pouvait pas tarder. Rapidement Marie-France se retrouve à genoux à pomper les deux queues qui lui sont offertes. Elle y va de bon cœur même si elle rencontre des difficultés pour prendre en bouche la plus grosse de ces queues. Bientôt elle est à quatre pattes dans le gazon pour offrir son cul à monsieur grosse bite qui malgré ses efforts rencontre des difficultés pour entrer. Nous sommes obligés de couper la scène pour beurrer le trou de lubrifiant et l’assouplir à la main. Enfin la tête est entrée et le reste suit jusqu’au fond. Grosse bite lime calmement pendant que son compagnon se fait sucer à l’avant. Marie-France supporte le tout dans un état second auquel les pilules que je lui ait offert généreusement ne sont sans doute pas étrangères.
Maintenant il faut passer au clou du spectacle : le double anal. C’est délicat. Grosse bite se couche sur le dos et Marie-France, qui est maintenant bien dilatée, vient s’empaler sur lui en cow-boy inversé. Elle relève les jambes pour permettre au troisième larron de s’introduire. C’est fait. Elle est dilatée au maximum mais, heureusement, pas déchirée. Elle a quand même les yeux révulsés et le regard dans le vague. Grosse bite qui lime depuis un moment éjacule le premier. Gros plan sur le jus qui suinte du trou de l’actrice entre les bites qui la distendent.
C’est dans cette position que le mari - moi même - la découvre ! Stupéfaction, engueulade, injures… la coupable se retrouve sur mes genoux pour que je lui donne la fessée qu’elle mérite. Je ne fais pas semblant, j’y vais de bon cœur. Son gros cul blanc devient rose, puis rouge, puis carrément écarlate. En même temps je lui doigte le trou et je finis même par y mettre la main toute entière. C’est sur ce gros plan que la vidéo se termine.
Cependant je ne peux pas m’arrêter sans avoir joui. Dédaignant son trou béant je lui fourre ma bite dans la bouche et je la baise ainsi sans qu’elle réagisse vraiment. Après moi tous les participants au tournage et même le propriétaire de la maison se sont jetés sur elle en une joyeuse mêlée. Quand ils se sont relevés Marie-France était sans réaction, couverte de foutre et d’ecchymoses. Elle m’aurait presque fait pitié si je ne l’avais pas connu précédemment.
Rapidement après cela j’ai perdu de vue Marie-France, son remplacement s’est terminé et je ne l’ai pas renouvelé. J’ai appris qu’elle s’était mis en ménage avec l’un des africains du tournage, le grand je crois, qu’elle tapinait du côté de Barbés et qu’elle avait joué dans des films snufs mais ça c’est peut être de la médisance.
En tout cas ma vengeance était accomplie.
a suivre
J’ai reçu la grosse Jacqueline Duval mais je n’ai même pas eu le goût de la baiser. Avec ses gros seins flasques et ses cheveux décolorés elle ne me faisait vraiment pas envie. Pour lui faire plaisir je lui ai permis de me sucer et je lui ait laissé entrevoir un rôle dans un prochain tournage. Elle a très bien avalé tout le sperme que je lui ai balancé.
C’est seulement un mois plus tard, que la secrétaire m’annonce qu’une dame Daumont souhaitait me voir sans avoir pris rendez-vous. Bien que n’étant pas particulièrement occupé je lui dit d’annoncer à cette personne que j’étais au téléphone mais qu’elle serait reçue d’ici peu. Après plus d’une heure, passée à visionner des vidéos pornographiques, cette excellente Marie-France est introduite dans mon bureau. Elle porte toujours beau mais quelques détails donnent à penser que sa situation ne s’est pas améliorée : elle est habillée du même tailleur que la dernière fois, ses cheveux n’ont pas vu un coiffeur depuis quelques temps, ses ongles n’ont pas été faits par un professionnel…Elle a cependant fait des efforts pour être séduisante : un décolleté bien profond qui laisse entrevoir une grosse poitrine encore appétissante, des lèvres bien rouge qui appellent la bite..
A peine assise -en relevant sa jupe pour me montrer ses cuisses - elle entreprend de raconter ses malheurs, ses difficultés, ses espoirs déçus…Tout le monde se détourne d’elle, ceux qu’elle pensait être ses amis l’abandonnent, elle connaît des difficultés financières, elle a besoin de moi, son seul vrai ami…
Je la laisse discourir sans l’interrompre, content de voir qu’elle est à ma merci et malgré tout excité par ses gros seins qu’elle fait balloter devant mes yeux.
Quand elle s’arrête de parler en attendant une réponse de ma part je lui dit simplement :
« Suce moi »
« Quoi ? Tu n’y penses pas ? »
« Si, suce moi »
Après quelques instants de réflexion elle s’agenouille entre mes cuisses écartées, défait ma ceinture, ouvre ma braguette, descend mon pantalon et mon slip, pour atteindre la bite qui commence à bien bander et qu’elle prend en bouche. D’abord le gland puis toute la hampe. Au moins c’est une bonne suceuse. Elle lèche, elle gobe, titille le méat avec sa langue, englouti l’engin en entier, le garde au fond de sa gorge jusqu’à étouffer - surtout que je lui tiens la tête bien enfoncée - , les larmes coulent, son Rimmel aussi.. j’adore. Quand elle interrompt ses mouvements de va et viens je lui frappe le visage avec ma bite, badigeonne de mouille ses lèvres de salope, lui rentre tout au fond de la gorge pour lui baiser la bouche comme si c’était une chatte. Je m’excite encore plus en regardant ses gros seins qui s’agitent dans son décolleté. Vais je essayer la cravate de notaire ? Elle se laisse faire et participe même avec ardeur.
Quelle revanche sur cette pimbêche qui m’avait snobé.
Mais ce n’est pas comme ça que je veux jouir. Je la relève, la penche sur le bureau, écarte sa jupe et son slip. Bon seigneur, je lui enduit le trou avec le lubrifiant que j’ai toujours dans un tiroir et je l’encule à fond d’un coût sec. Elle crie de surprise mais tend son cul pour la saillie. C’est bon. Ma queue est au fond de son trou bien au chaud. Je lime doucement, vite, dedans, dehors…pour y revenir plus fort. Elle réagit bien, elle gémit, chaloupe des anches, ne cherche pas à s’échapper. Manifestement elle aime ça. Moi aussi. Je me venge de mes frustrations de jeunesse. Je ne peux pas m’empêcher de l’insulter comme dans les pornos que je produits.
« Prends ça salope.. tu la sentes ma grosse bite, tu la veux..? »
« Oui, oui.. mais pas trop fort, tu le fais mal.. »
Elle halète, moi aussi et je jouis au fond de son cul.
Avec un bruit de mouille très excitant ma bite sort de son cul et je la lui donne à sucer pour bien la nettoyer.
« Tu es content ? »
« Oui et je vais t’aider mais naturellement tu devras contribuer »
« Tout ce que tu voudras »
« J’espère bien. Voilà ce que je peux te proposer : la secrétaire qui t’a reçu part en congé maternité pour trois mois. Je t’offre de la remplacer. Le salaire est bon, le travail facile. Il s’agit de garder le contact avec les acteurs et les techniciens qui participent aux tournages que j’organise. Tu connais le genre des œuvres dont je m’occupe principalement. Tu devras donner de ta personne, aider si un acteur ne bande pas, t’assurer que l’actrice est prête à recevoir les plus gros calibres, tartiner le lubrifiant, enfiler les capotes s’il y en a … »
« Je suis prête »
« Si tu le veux tu pourras augmenter ton revenu en participant à certaines scènes. Je te verrai bien dans la série Bourgeoises en gang-bang ou MILFs en banlieue »
« Ah non je n’en suis pas là quand même »
« On verra. En tout cas tu devras être tout le temps disponible pour satisfaire mes besoins et dorénavant je ne veux plus te voir avec un slip »
« D’accord, d’accord »
« Tu viendras lundi prochain pour que Janine te mette au courant avant de partir en congé »
Le jour dit elle se présente dans mon bureau. Assez pimpante en robe légère. Je vérifie qu’elle a bien respecté mes instructions en lui doigtant la chatte qui mouille abondamment et je constate avec plaisir qu’elle a pris la précaution de se lubrifier l’anus. Elle ronronne en tortillant du cul et bien sûr je ne vais pas laisser passer cette occasion. Je l’invite à sa mettre à genoux sur un des fauteuils et le pantalon aux genoux je l’encule pendant un bon quart d’heure avant d’être dérangé par un coup de fil intempestif.
Ce sera notre rituel désormais : tous les matins, quand je suis au bureau, elle passe à la casserole. Toujours dans le cul, jamais dans la chatte. Je ne veux pas qu’elle jouisse trop facilement. Quelques fois, dans son rôle de parfaite secrétaire il lui arrivera de décrocher le téléphone alors que je suis entrain de la besogner par derrière. Les correspondants ont ils perçus quelque chose dans le son de sa voix quand ils l’entendaient répondre « Monsieur est occupé » ? Je ne le saurai jamais.
Un soir je me suis trouvé à dîner dans un restaurant où elle était elle même avec une amie. Je lui ai fait remettre un billet par le serveur l’invitant à me retrouver aux toilettes et j’ai eu le plaisir de la voir immédiatement traverser l’établissement en tortillant du cul sous le regard de tous les hommes présents. Je l’ai enculé une bonne demi-heure dans le water des hommes jusqu’à ce que quelqu’un frappe à la porte de manière insistante. C’était jouissif de sortir avec elle devant le regard surpris de ceux qui attendaient, puis de la voir, de retour à sa table, expliquer à son ami ce qui l’avait retenue si longtemps.
Un autre soir, alors que j’avais été absent plusieurs jours, je suis passé dans le studio qu’elle occupait. Elle m’en avait donné les clefs, pour les besoins du service bien sûr. Entrant sans m’annoncer je l’ai surprise assise sur son canapé-lit, en discussion avec une amie dont je remarque immédiatement l’énorme poitrine. Sans lui laisser le temps de faire les présentations je sors ma bite et lui demande de me présenter son cul pour que je l’encule. L’amie est gênée, elle veut s’en aller mais je la retiens en l’invitant à sortir ses seins que je pétri tout en enculant Marie-France. Contrairement à l’habitude je n’ai pas déchargé dans son cul mais dans la chatte de l’amie pendant que Marie-France jouissait en se branlant. L’amie en question est par la suite devenue une actrice habituelle de la série Mega Boobs.
Au point de vue travail Marie-France donnait satisfaction. Outre la réception des coups de fils et la rédaction de courriers, elle participait aux tournages en pompant les étalons défaillants - il y en a plus qu’on imagine-, en léchant la chatte et le cul des actrices qui avaient besoin d’un peu d’excitation avant une scène et plus généralement en faisant tout le nécessaire pour que tout se passe bien. Je dois dire qu’elle était parfaitement obéissante et pleine de bonne volonté.
Naturellement quand nous recevions des producteurs ou des réalisateurs étrangers elle donnait de sa personne et ne rechignait jamais à pomper toutes les queues qui lui étaient présentées et à offrir ses trous à tous les amateurs.
Evidemment elle devenait de moins en moins inhibée et de plus en plus salope. A force d’être utilisé son anus s’était élargi et était devenu souple comme une chatte. J’avais l’impression qu’il s’ouvrait juste en voyant ma queue. De ce fait quand je lui ai proposé de participer, contre une bonne rémunération, à un film de la série Bourgeoises anales elle n’hésita que pour la forme demandant juste à être bien lubrifiée. Pour cet épisode, d’une trentaine de minutes, j’avais particulièrement soigné le scénario et le choix des protagonistes. La bourgeoise - Marie-France- aguichait deux ouvriers -des africains particulièrement bien montés - qui venaient chez elle pour entretenir la piscine. Elle se faisait sodomiser sur le bord du bassin quand son mari - moi même - la surprenait et la fessait violemment. J’avais prévu de faire un double anal mais je n’en avais pas prévenu l’actrice.
Le tournage a eu lieu dans la maison de campagne d’un ami qui avait connu Marie-France du temps de sa splendeur et qui s’empressera de raconter à toutes nos connaissances ce qu’elle était devenue. J’avais choisi deux acteurs particulièrement bien montés, l’un était un véritable colosse alors que l’autre, plutôt petit était doté d’une bite vraiment énorme avec un gland gros comme une petite orange. Sans le dire, je craignais un peu qu’ils déchirent leur partenaire.
Dans la première scène Marie-France recevait les ouvriers piscinistes vêtue d’un bikini blanc vraiment minimaliste qui couvrait à peine ses gros seins dont on voyait la moitié des auréoles et les tétons qui pointaient du bord du tissu. En bas sa motte était clairement visible et quand elle se retournait pour guider les ouvriers ils pouvaient admirer ses grosses fesses seulement séparées par la ficelle du string.
Dans ces conditions l’action ne pouvait pas tarder. Rapidement Marie-France se retrouve à genoux à pomper les deux queues qui lui sont offertes. Elle y va de bon cœur même si elle rencontre des difficultés pour prendre en bouche la plus grosse de ces queues. Bientôt elle est à quatre pattes dans le gazon pour offrir son cul à monsieur grosse bite qui malgré ses efforts rencontre des difficultés pour entrer. Nous sommes obligés de couper la scène pour beurrer le trou de lubrifiant et l’assouplir à la main. Enfin la tête est entrée et le reste suit jusqu’au fond. Grosse bite lime calmement pendant que son compagnon se fait sucer à l’avant. Marie-France supporte le tout dans un état second auquel les pilules que je lui ait offert généreusement ne sont sans doute pas étrangères.
Maintenant il faut passer au clou du spectacle : le double anal. C’est délicat. Grosse bite se couche sur le dos et Marie-France, qui est maintenant bien dilatée, vient s’empaler sur lui en cow-boy inversé. Elle relève les jambes pour permettre au troisième larron de s’introduire. C’est fait. Elle est dilatée au maximum mais, heureusement, pas déchirée. Elle a quand même les yeux révulsés et le regard dans le vague. Grosse bite qui lime depuis un moment éjacule le premier. Gros plan sur le jus qui suinte du trou de l’actrice entre les bites qui la distendent.
C’est dans cette position que le mari - moi même - la découvre ! Stupéfaction, engueulade, injures… la coupable se retrouve sur mes genoux pour que je lui donne la fessée qu’elle mérite. Je ne fais pas semblant, j’y vais de bon cœur. Son gros cul blanc devient rose, puis rouge, puis carrément écarlate. En même temps je lui doigte le trou et je finis même par y mettre la main toute entière. C’est sur ce gros plan que la vidéo se termine.
Cependant je ne peux pas m’arrêter sans avoir joui. Dédaignant son trou béant je lui fourre ma bite dans la bouche et je la baise ainsi sans qu’elle réagisse vraiment. Après moi tous les participants au tournage et même le propriétaire de la maison se sont jetés sur elle en une joyeuse mêlée. Quand ils se sont relevés Marie-France était sans réaction, couverte de foutre et d’ecchymoses. Elle m’aurait presque fait pitié si je ne l’avais pas connu précédemment.
Rapidement après cela j’ai perdu de vue Marie-France, son remplacement s’est terminé et je ne l’ai pas renouvelé. J’ai appris qu’elle s’était mis en ménage avec l’un des africains du tournage, le grand je crois, qu’elle tapinait du côté de Barbés et qu’elle avait joué dans des films snufs mais ça c’est peut être de la médisance.
En tout cas ma vengeance était accomplie.
a suivre
2 months ago