Une invitée de taille 7
Vous allez pouvoir vous donner du plaisir… Vous allez pouvoir vous donner du plaisir… Mais oui, c’est bien ça ! Il vient de nous donner le Sésame ouvrant la porte à nos envies, nos désirs. Comme une bouffée d’air pur m’envahit, je deviens bulle, légère, si légère. Nous voilà à genoux, souillées d’urine et de sperme, deux salopes chauffées à blanc dont on vient de lâcher les rênes. Notre appétit est grand, nos mets préférés ne sont pas forcément les mêmes, mais les heures que nous venons de passer sous les ordres du maître, nous ont permis de sentir ce qui faisait frémir l’autre.
Obéissant au dernier ordre donné, chacune nettoie le visage de l’autre à grands coups de langues, se repaissant des coulées de sperme laissée par le maître. Nos langues chargées de ce foutre finissent par se mêler, s’entremêler, nos lèvres se rejoignent, nos corps se rapprochent, se plaquent l’un contre l’autre. Je ressens intensément le besoin de cette parenthèse de douceur, de sensualité après ces longs moments de douleurs, de frustrations, d’humiliations. Mes mains parcourent avec délice le corps frêle d’Alice, sa peau est douce, sous mes doigts. Je sens les traces laissées par les lanières du martinet. Ce petit moment de tendres caresses ne dure que l’espace d’un instant, la petite diablesse a des désirs bien plus sulfureux. Elle me m ord la lèvre, je me recule surprise par cette attaque en traitre. Ces yeux brillent de cet éclat si particulier, la petite elfe maléfique est de retour et j’ai bien peur d’en être la proie. Elle me dit :
- Ne bouge pas je reviens.
Cette brusque interruption de ce tendre intermède a l’effet d’une douche glacée, ma bulle éclate pour laisser place à l’appréhension. Incapable de réagir, je la regarde se diriger vers un sac dont je n’avais pas remarqué la présence, et en sortir des cordes et un ou plusieurs instruments que je n’arrive pas à distinguer. Elle revient, fièrement, la lumière des bougies donne des reflets dorés à sa longue chevelure ainsi qu’à sa peau. Je la trouve magnifique cette jeune perverse.
Restée agenouillée, elle attrape mes mains pour tirer mes bras vers l’arrière. Je rouspète un peu, avec un petit air malicieux, elle me dit alors :
- Tu vas voir je vais bien m’occuper de toi.
- On ne devait pas se faire plaisir ?
- Si bien sûr, mais je vais t’emmener vers d’autres rivages du plaisir...
Cette réponse n’est pas forcément faite pour me rassurer.
Avec les cordes, elle me ligote, les chevilles et les poignets ensemble. Me voilà le buste renversé en arrière, ligotée, à sa merci.
Ces cordes, me rendant soudainement impuissante, je deviens son jouet, son esclave et mon esprit me crie de refuser cette nouvelle humiliation. Je perds encore toute dignité face à cette petite peste, je sens l’angoisse me tordre le ventre.
Elle repart, je vois ses deux fines jambes, son un joli petit cul encore zébré de rose le tout surmonté de sa magnifique chevelure blonde se diriger vers le frigo. Elle ouvre la partie congélateur et en sort… une plaque de glaçons qu’elle démoule dans un saladier.
Elle revient vers moi, elle a pris un air sérieux. Elle est vraiment jolie dans la douce clarté des bougies, avec ce corps parfait d’une jeune femme de 25 ans. J’ai presque honte de mon corps ainsi exposé, marqué par les traces que les années ont irrémédiablement laissées. Ce contraste ne fait qu’accroitre mon sentiment d’humiliation.
Elle s’agenouille devant moi, son regard est à la fois doux et intense. Elle prend un glaçon et le pose sur mon téton, le froid me saisit, elle ne le bouge pas, le froid devient brûlure. Elle s’empare d’un deuxième glaçon et l’applique sur mon autre téton. Elle les fait glisser sur l’aréole de mes seins, j’aime cette sensation de froid sur mes tétons si sensibles. Elle descend le long de mon ventre jusqu’à mon pubis, puis sur mes cuisses écartées, je frissonne.
Elle remonte maintenant vers mon entre jambe pour atterrir sur mon clitoris, elle a pris les deux glaçons dans une main et me masturbe doucement le clitoris avec. Aussitôt, malgré ces glaçons, je sens la chaleur amie prendre possession de mon ventre. Mes sensations sont brouillées, entre la morsure de la glace et les caresses procurées, je ne sais plus où j’en suis. Je gémis sous cette glaciale caresse. Le glaçon sur ma chatte, fond rapidement, Alice en prend un autre qu’elle repose sur ma vulve, fait glisser sur mon clito avant de l’introduire dans mon vagin. Je suis saisie par le froid sur mes muqueuse, froid qui se transforme rapidement en brûlure. C’est à la fois insupportable et si délicieusement douloureux. Comme si ça ne suffisait pas, Alice pioche de nouveau dans le saladier un autre glaçon qui va rejoindre le premier, puis encore un, et un autre, et non ! un autre encore… Ma chatte se remplit de ce froid intense, aussi intense que la douleur qui irradie maintenant tout mon ventre, je gémis « Je n’aime beaucoup ce rivage. » Avec un petit sourire, elle me répond : « Patience ma belle, aie confiance, tu vas l’adorer. » Je n’aime pas trop la lueur qui traverse son regard à ce moment-là, difficile à cet instant de lui accorder ma confiance.
La douleur provoquée par la morsure du froid dans mon vagin devient insupportable, je me tortille mais bien sûr, rien n’y change. Il faut que j’apprivoise cette douleur, que je la fasse mienne, que je la chérisse, je tente de me détendre, de respirer profondément, j’ai envie que tout s’arrête, s’en est trop pour moi.
Alice saisi l’objet qu’elle avait récupéré dans le sac, tous mes sens sont en alerte, mon appréhension est à son comble, quel sort me réserve-t-elle ? Un vibromasseur ... Quelle bonne surprise! Je souris à la vue de cet engin qui tant de fois à su m’apporter les orgasmes dont j’avais besoin pour faire retomber la tension de mes désirs parfois trop pressants.
Elle enclenche la machine, l’approche de mon clitoris. Sensations tellement incroyablement fortes que je n’en trouve pas les mots. Mon clitoris rendu hyper sensible à cause du froid, surréagit, la première vague de plaisir se propage dans toutes les cellules de mon corps qui se tend aussitôt. Ces nouvelles sensations me transportent, j’aime sentir quand le plaisir gronde en moi, qu’il grandit pour finir par exploser .Rapidement, un premier orgasme arrive, un orgasme mêlé à la douleur devenue diffuse dans mon vagin. Je sens de l’eau glacée qui s’écoule de ma chatte.
Alice ne relâche pas pour autant la pression du vibromasseur sur mon clitoris, le corps encore tremblant, je sens déjà une deuxième vague orgasmique s’en emparer. Mon cœur bat à tout rompre, j’ai le souffle court, tous mes membres tremblent, et cette eau qui continue d’inonder mes cuisses. Les glaçons, je ne les sens plus, mon vagin est anesthésié par le froid. En revanche tout le reste de mon corps semble en sur chauffe. Quand le troisième orgasme arrive tel une déflagration secouant chacune de mes cellules, je suffoque, c’en est trop, si j’avais un drapeau blanc je l’agiterai pour signaler ma reddition. Mais de drapeau blanc, je n’en ai pas et de plus je suis pieds et poings liés, soumise au bon vouloir de cette petite salope qui prend un malin plaisir à me voir succomber à ses caprices lubriques.
Le bruit du moteur de l’engin maléfique cesse enfin. La diablesse aurait-elle une once de pitié pour mon pauvre clitoris en détresse. Elle vient m’embrasser fougueusement, visiblement très excitée par le traitement qu’elle vient de me faire subir. Ce baiser, comme une douce caresse vient me réconforter. Je suis prise d’un sentiment de tendresse pour cette fille aux allures a do lescentes cachant une âme qui a déjà pongé profondément dans les abysses de la perversion. Je me sens comme une innocente jeune fille face à cette déesse de la luxure, entre ses griffes acérées par milles sévices subis je ne suis qu’un frêle moineau à qui, si elle le désirait, elle pourrait arracher les ailes en rien de temps. Mais la perverse a, bien caché derrière son armure de guerrière, la plus belle des âmes, teintée de bienveillance, de générosité et pour qui veut bien gratter encore un peu, une grande sensualité. Comment ne pas succomber à son charme.
Délicatement elle délie mes liens, libérant mes membres endoloris. Tant bien que mal je me redresse, elle m’enveloppe de ses bras pour m’y aider. A cet instant je me sens reconnaissante devant cette délicate attention.
A genoux face à moi elle reprend ma bouche, comme pour se faire pardonner ses sévices. Je m’abandonne volontiers à la caresse de sa langue, son corps frêle vient se plaquer contre le mien. Nous nous enlaçons et roulons au sol, nous prodiguant mille et une caresses réconfortantes. Je quitte sa bouche pour descendre vers ses seins si joliment dessinés. J’en prend un en bouche pendant que je malaxe fermement le second. Mes caresses ne semblent pas laisser insensible la petite dévergondée. J’ai pu remarquer lors de nos précédents jeux, combien elle appréciait que je triture sa poitrine, que je la maltraite même. Telle une chienne en chaleur je frotte ma vulve contre sa cuisse. Elle m’attrape par les cheveux pour appuyer mon visage avec plus de vigueur contre son sein. Sans le savoir, elle déclenche en moi une envie irrépressible d’abuser à ma façon de son corps.
Obéissant au dernier ordre donné, chacune nettoie le visage de l’autre à grands coups de langues, se repaissant des coulées de sperme laissée par le maître. Nos langues chargées de ce foutre finissent par se mêler, s’entremêler, nos lèvres se rejoignent, nos corps se rapprochent, se plaquent l’un contre l’autre. Je ressens intensément le besoin de cette parenthèse de douceur, de sensualité après ces longs moments de douleurs, de frustrations, d’humiliations. Mes mains parcourent avec délice le corps frêle d’Alice, sa peau est douce, sous mes doigts. Je sens les traces laissées par les lanières du martinet. Ce petit moment de tendres caresses ne dure que l’espace d’un instant, la petite diablesse a des désirs bien plus sulfureux. Elle me m ord la lèvre, je me recule surprise par cette attaque en traitre. Ces yeux brillent de cet éclat si particulier, la petite elfe maléfique est de retour et j’ai bien peur d’en être la proie. Elle me dit :
- Ne bouge pas je reviens.
Cette brusque interruption de ce tendre intermède a l’effet d’une douche glacée, ma bulle éclate pour laisser place à l’appréhension. Incapable de réagir, je la regarde se diriger vers un sac dont je n’avais pas remarqué la présence, et en sortir des cordes et un ou plusieurs instruments que je n’arrive pas à distinguer. Elle revient, fièrement, la lumière des bougies donne des reflets dorés à sa longue chevelure ainsi qu’à sa peau. Je la trouve magnifique cette jeune perverse.
Restée agenouillée, elle attrape mes mains pour tirer mes bras vers l’arrière. Je rouspète un peu, avec un petit air malicieux, elle me dit alors :
- Tu vas voir je vais bien m’occuper de toi.
- On ne devait pas se faire plaisir ?
- Si bien sûr, mais je vais t’emmener vers d’autres rivages du plaisir...
Cette réponse n’est pas forcément faite pour me rassurer.
Avec les cordes, elle me ligote, les chevilles et les poignets ensemble. Me voilà le buste renversé en arrière, ligotée, à sa merci.
Ces cordes, me rendant soudainement impuissante, je deviens son jouet, son esclave et mon esprit me crie de refuser cette nouvelle humiliation. Je perds encore toute dignité face à cette petite peste, je sens l’angoisse me tordre le ventre.
Elle repart, je vois ses deux fines jambes, son un joli petit cul encore zébré de rose le tout surmonté de sa magnifique chevelure blonde se diriger vers le frigo. Elle ouvre la partie congélateur et en sort… une plaque de glaçons qu’elle démoule dans un saladier.
Elle revient vers moi, elle a pris un air sérieux. Elle est vraiment jolie dans la douce clarté des bougies, avec ce corps parfait d’une jeune femme de 25 ans. J’ai presque honte de mon corps ainsi exposé, marqué par les traces que les années ont irrémédiablement laissées. Ce contraste ne fait qu’accroitre mon sentiment d’humiliation.
Elle s’agenouille devant moi, son regard est à la fois doux et intense. Elle prend un glaçon et le pose sur mon téton, le froid me saisit, elle ne le bouge pas, le froid devient brûlure. Elle s’empare d’un deuxième glaçon et l’applique sur mon autre téton. Elle les fait glisser sur l’aréole de mes seins, j’aime cette sensation de froid sur mes tétons si sensibles. Elle descend le long de mon ventre jusqu’à mon pubis, puis sur mes cuisses écartées, je frissonne.
Elle remonte maintenant vers mon entre jambe pour atterrir sur mon clitoris, elle a pris les deux glaçons dans une main et me masturbe doucement le clitoris avec. Aussitôt, malgré ces glaçons, je sens la chaleur amie prendre possession de mon ventre. Mes sensations sont brouillées, entre la morsure de la glace et les caresses procurées, je ne sais plus où j’en suis. Je gémis sous cette glaciale caresse. Le glaçon sur ma chatte, fond rapidement, Alice en prend un autre qu’elle repose sur ma vulve, fait glisser sur mon clito avant de l’introduire dans mon vagin. Je suis saisie par le froid sur mes muqueuse, froid qui se transforme rapidement en brûlure. C’est à la fois insupportable et si délicieusement douloureux. Comme si ça ne suffisait pas, Alice pioche de nouveau dans le saladier un autre glaçon qui va rejoindre le premier, puis encore un, et un autre, et non ! un autre encore… Ma chatte se remplit de ce froid intense, aussi intense que la douleur qui irradie maintenant tout mon ventre, je gémis « Je n’aime beaucoup ce rivage. » Avec un petit sourire, elle me répond : « Patience ma belle, aie confiance, tu vas l’adorer. » Je n’aime pas trop la lueur qui traverse son regard à ce moment-là, difficile à cet instant de lui accorder ma confiance.
La douleur provoquée par la morsure du froid dans mon vagin devient insupportable, je me tortille mais bien sûr, rien n’y change. Il faut que j’apprivoise cette douleur, que je la fasse mienne, que je la chérisse, je tente de me détendre, de respirer profondément, j’ai envie que tout s’arrête, s’en est trop pour moi.
Alice saisi l’objet qu’elle avait récupéré dans le sac, tous mes sens sont en alerte, mon appréhension est à son comble, quel sort me réserve-t-elle ? Un vibromasseur ... Quelle bonne surprise! Je souris à la vue de cet engin qui tant de fois à su m’apporter les orgasmes dont j’avais besoin pour faire retomber la tension de mes désirs parfois trop pressants.
Elle enclenche la machine, l’approche de mon clitoris. Sensations tellement incroyablement fortes que je n’en trouve pas les mots. Mon clitoris rendu hyper sensible à cause du froid, surréagit, la première vague de plaisir se propage dans toutes les cellules de mon corps qui se tend aussitôt. Ces nouvelles sensations me transportent, j’aime sentir quand le plaisir gronde en moi, qu’il grandit pour finir par exploser .Rapidement, un premier orgasme arrive, un orgasme mêlé à la douleur devenue diffuse dans mon vagin. Je sens de l’eau glacée qui s’écoule de ma chatte.
Alice ne relâche pas pour autant la pression du vibromasseur sur mon clitoris, le corps encore tremblant, je sens déjà une deuxième vague orgasmique s’en emparer. Mon cœur bat à tout rompre, j’ai le souffle court, tous mes membres tremblent, et cette eau qui continue d’inonder mes cuisses. Les glaçons, je ne les sens plus, mon vagin est anesthésié par le froid. En revanche tout le reste de mon corps semble en sur chauffe. Quand le troisième orgasme arrive tel une déflagration secouant chacune de mes cellules, je suffoque, c’en est trop, si j’avais un drapeau blanc je l’agiterai pour signaler ma reddition. Mais de drapeau blanc, je n’en ai pas et de plus je suis pieds et poings liés, soumise au bon vouloir de cette petite salope qui prend un malin plaisir à me voir succomber à ses caprices lubriques.
Le bruit du moteur de l’engin maléfique cesse enfin. La diablesse aurait-elle une once de pitié pour mon pauvre clitoris en détresse. Elle vient m’embrasser fougueusement, visiblement très excitée par le traitement qu’elle vient de me faire subir. Ce baiser, comme une douce caresse vient me réconforter. Je suis prise d’un sentiment de tendresse pour cette fille aux allures a do lescentes cachant une âme qui a déjà pongé profondément dans les abysses de la perversion. Je me sens comme une innocente jeune fille face à cette déesse de la luxure, entre ses griffes acérées par milles sévices subis je ne suis qu’un frêle moineau à qui, si elle le désirait, elle pourrait arracher les ailes en rien de temps. Mais la perverse a, bien caché derrière son armure de guerrière, la plus belle des âmes, teintée de bienveillance, de générosité et pour qui veut bien gratter encore un peu, une grande sensualité. Comment ne pas succomber à son charme.
Délicatement elle délie mes liens, libérant mes membres endoloris. Tant bien que mal je me redresse, elle m’enveloppe de ses bras pour m’y aider. A cet instant je me sens reconnaissante devant cette délicate attention.
A genoux face à moi elle reprend ma bouche, comme pour se faire pardonner ses sévices. Je m’abandonne volontiers à la caresse de sa langue, son corps frêle vient se plaquer contre le mien. Nous nous enlaçons et roulons au sol, nous prodiguant mille et une caresses réconfortantes. Je quitte sa bouche pour descendre vers ses seins si joliment dessinés. J’en prend un en bouche pendant que je malaxe fermement le second. Mes caresses ne semblent pas laisser insensible la petite dévergondée. J’ai pu remarquer lors de nos précédents jeux, combien elle appréciait que je triture sa poitrine, que je la maltraite même. Telle une chienne en chaleur je frotte ma vulve contre sa cuisse. Elle m’attrape par les cheveux pour appuyer mon visage avec plus de vigueur contre son sein. Sans le savoir, elle déclenche en moi une envie irrépressible d’abuser à ma façon de son corps.
7 months ago