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Une invitée de taille 5

Une invitée de taille 5

Comment expliquer ce qui se passe alors en moi… Après avoir été fouettée, léchée, maltraitée, pénétrée, secouée, recouverte de pisse… Je n’ai plus de repères, je ne suis plus en moi, je lâche prise et m’apprête à recevoir l’urine de mon maître comme une bénédiction. Comme si des barrières avaient cédé… Agenouillée, face à Alice, nos visages si proches que je sens sa respiration caresser ma joue, j’attends que cette douche dorée me coule dessus.
Le premier jet asperge ma poitrine, c’est chaud, c’est doux, c’est excitant. Il asperge Alice à son tour et nous ordonne d’ouvrir nos bouches de salopes. Instantanément nos bouches s’ouvrent prêtes à devenir selon son désir des urinoirs. L’urine envahit ma bouche, déborde sur mon menton, coule sur mon cou, mes seins mon ventre et vient finir entre mes cuisses. Je m’habitue à cette odeur qui est devenue mon eau de toilette depuis que j’ai reçu celle d’Alice, elle ne me dérange plus… Je regarde ma voisine, qui elle aussi est dégoulinante de pisse, nos bouches se frôlent, se rapprochent, se touchent, toujours offertes au pissat du Maître. Quand il a fini, il nous regarde en silence.
- Avalez salopes !
Nous nous regardons et dans un ensemble parfait nous avalons sa miction. Nous nous sourions, et inexplicablement je suis prise d’une envie folle de rouler une pelle à cette fille, je l’attrape par les cheveux et me jette sur sa bouche. A son tour elle m’attrape par les cheveux, de son autre main elle m’enserre un sein. Ce baiser n’a rien de tendre, il est rageur, violent même. Nos dents s’entrechoquent, pendant que nos langues s’entredévorent, s’entremêlent, se goutent …Je ne m’explique pas mon geste, il n’y a plus rien à comprendre, je n’explique pas cette rage, si ce n’est toutes ces frustrations, ces brimades qui réclament une sorte d’exutoire. Mais il y a aussi ce désir que cette fille a réveillé en moi dès que je l’ai vue s’offrir avec tant de ferveur à mes coups de martinets. D’une main j’attrape à mon tour un de ses seins, je le sers entre mes doigts, je quitte sa bouche pour m’emparer de ce téton tentant. Je l’aspire, le fais rouler sur ma langue et le m o r d s, je la sens frémir de façon infinitésimale, mais je comprends que cette morsure lui plait et m’aventure à reproduire cette morsure encore de façon plus marquée. Ça me monte au cerveau je m’acharne sur cette belle poitrine. Je la pince, la tords, la m o r d s, l’aspire, tout ça me donne une envie folle de baiser… A croire que la pisse de Maître François a des vertus aphrodisiaques.
Brusquement la morsure des lanières de cuir sur mon dos m’arrache à mon étreinte.
- De quel droit ? T’ais je donner la permission de la toucher et toi pareil ! mais quelles belles salopes vous faites ! Je me vois obligé de vous punir… le regard de Maître François brille, mais pas de colère, non, d’excitation sans aucun doute possible, et la bosse que j’aperçois sous son pantalon ne saurait démentir cette impression.

Il nous emmène devant une table rectangulaire, en retire les chaises, nous demande de nous allonger sur le ventre, chacune à un bout, face à pied de table, de façon à pouvoir y attacher nos poignets. Le froid de la table sur mon ventre et mon visage apaise un moment le feu qui me consume. Mes seins sont plaqués contre cette surface lisse et froide, mes bras bloqués au-dessus de ma tête me tirent un peu, alors que mes pieds reposent sur le sol. J’imagine qu’Alice, minuscule elfe, doit sans doute se tenir sur la pointe des pieds pour toucher le sol. Ainsi immobilisées, quasiment côte à côte, corps entravés, nous lui présentons nos culs, pour lesquels, il n’est pas difficile d’imaginer qu’il a quelques projets en tête.

Mais je n’avais pas pensé qu’il irait aussi loin quand je le vois prendre une des nombreuses bougies disposées un peu partout pour éclairer la pièce. Je regarde Alice avec appréhension, elle reste toujours impassible, il est vrai que la jeune beauté a déjà vécu sans doute cent fois pire que ça. Je respire un grand coup, profondément, surtout ne pas paniquer et avoir confiance en mon maître…

Ne pouvant me retourner, je ne vois pas ce qu’il fabrique dans notre dos… Vite je vais le sentir, une vive brûlure sur ma fesse droite me fait sursauter, tous mes muscles se contractent. La brûlure est intense, mais s’estompe assez vite. Je comprends rapidement à quoi il joue. A la goutte suivante de cire, je ne bouge pas. Il ne sait pas que petite je m’amusais à me faire couler de la cire sur les mains. Je connais cette sensation, et elle ne m’est pas insupportable, je me détends et prends presque plaisir à sentir chaque nouvelles gouttes de cire. Il alterne entre Alice et moi, et toutes deux nous restons stoïques. Il laisse couler les gouttes sur nos culs, notre dos. Jamais au même endroit, la douleur de chaque brûlure devient à ma grande surprise une source de plaisir. Il n’y a aucun doute, je mouille
Bientôt, nous ne sentons plus rien. Il est reparti de l’autre côté de la pièce et Nous le voyons revenir avec deux grosses bougies, éteintes cette fois.

- Je vais m’occuper de vos petits trous mesdames, de vos culs de petites putes…
- Oui Maître François, répondons-nous en chœur, et ce n’est certes pas le chœur des vierges.
Published by RoseMaryass
7 months ago
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hellyeeeeah
hellyeeeeah 7 months ago
L'idée d'une pénétration, ou plutôt une dilatation à l'aide de ces grosses bougies ne me laisse pas de marbre :fire:
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ccandau
ccandau 7 months ago
magnifique tu fais un superbe duo de soumise avec Alice, votre maitre doit être aux anges
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torpilleur
torpilleur 7 months ago
j ai la bouche inondée de salive a cette lecture, a vous imaginer je suis juste raide, je me mets tour a tour a la place de chacun des personnages et j avoue ne plus savoir ou donner de la téte, j adore !!!!!!!!!!!!! j en veux encore !!!!!!!!!
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IDAELE
IDAELE 7 months ago
to RoseMaryass : Je vais pouvoir avancer d'un pas supplémentaire...
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RoseMaryass Publisher 7 months ago
to IDAELE : Tu sais que tes lèvres sont de très bonnes critiques auxquelles je me fie pour évaluer la réussite de mon texte. Lèvres humides, je suis comblées
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IDAELE
IDAELE 7 months ago
Je suis pendue à tes adorables lèvres, les miennes sont à cet instant étrangement humides. . Tu parviens à nous tenir en haleine. A peine la tête sortie de l'eau tu sais appuyer de nouveau pour nous noyer d'émotions.
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