Chalet des fantasmes. Chapitre 1 : Jocelyne 70 ans
Erick, chef cuisiner et son chalet des fantasmes.
Chapitre 1 : Jocelyne 70 ans
Je m’appelle Erick, chef cuisinier depuis mon jeune âge. À l’aube de ma cinquantaine, j’ai décidé de vendre mon restaurant et la bâtisse. Une offre que je ne pouvais refuser. Les difficultés liées à la restauration m’ont convaincu de laisser ma place aux plus jeunes. J’ai aussi décidé de vendre ma maison à Montréal. Avec un bon montant en poche, j’ai rapidement acheté un grand chalet en Estrie sur le bord d’un lac. Un bel endroit avec une plage privée, quai et forêt. La tranquillité absolue.
Je n’ai jamais eu de conjointe stable, je profitais des serveuses pour des aventures éphémères. Mon statut de patron me donnait une chance incroyable de baisser les plus belles filles. Un soir, j’avais oublié des papiers au resto. Je me dirige dans mon bureau au sous-sol et je vois le concierge, assis sur ma chaise, les culottes au genou se masturber les yeux fermés. Je le regarde sans bruit. Je le vois accélérer et de puissants jets de sperme sort de son gland et se dépose au sol. Il ouvre ses yeux et me regarde en secouant sa verge. Il me sourit, comme si rien n’était arrivé. Il me fait signe d’approcher. Il baisse mon short et mon boxer. Je suis surpris d’être en érection. Sans perdre de temps, il ouvre la bouche et me fais la meilleure fellation de ma vie. Je me vide rapidement dans sa gorge. Il avale et se lève. Ma queue encore bandée touche à la sienne. Je le remercie et il me dit qu’il va me faire découvrir un autre monde. C’est ce soir-là que je suis devenu bisexuel. Le soir suivant, je l’enculais, le suivant, je fis ma première fellation et la semaine suivante, il me fit perdre ma virginité anale. Le matin, je baissais mes serveuses et le soir, il me baissait. Un dernier sprint épuisant.
Après 6 mois de repos, le public me manque. Une idée germe dans mon esprit, ouvrir une table champêtre avec location a court terme. Le concept est simple. Les gens louent une chambre et je leurs préparent tous les repas pendant leurs séjours. Un tout inclus de luxe. Les dates se comblent rapidement, j’ajuste mon offre pour améliorer l’expérience client.
Quelques mois passent, un weekend d’avril, je reçois un couple d’environ 70 ans. Le courant passe entre nous, l’homme, visiblement alcoolique descends les bouteilles de vin comme des pichets d’eau. Jocelyne s’excuse sans arrêt, sans être désagréable titube de plus en plus. Vers 21h00, je le supporte vers sa chambre et le couche dans le lit. J’invite Jocelyne dans le spa. Elle me rejoint avec un maillot de bain 1 pièce. Une grosse poitrine rempli le haut de son maillot. Je suis surpris par sa taille plutôt fine pour son âge. On jase pendant 1 bonne heure, ses seins qui flotte me perturbe. Ayant été abstinent depuis quelques mois, sa proximité fait gonfler ma verge. Le spa arrête de fonctionner et il est temps de sortir avant de devenir comme des raisins. Elle se lève devant moi en m’offrant une belle vue de son entre sein. Elle me souhaite une bonne nuit et se dirige vers sa chambre. Je termine de ranger toujours en semi-érection. Je n’avais jamais fantasmé sur des dames plus vielles que moi. Je suis excité. Je me dépêche pour aller me masturber. J’entre dans ma chambre et je me déshabille, nue, j’entre en dessous des couvertures et je me touche doucement. Je bande rapidement. J’entends des pas dans le couloir. J’arrête de me toucher et je vois la porte s’ouvrir. Il fait noir, je distingue Jocelyne qui entre doucement. Elle approche du lit et se couche sur le côté, dos à moi. Je me tourne vers elle et je m’approche. Sa voix tremblotante, elle me demande de l’enlacer. Je me colle sur elle, mon érection glisse entre ses fesses. Elle soupire en appliquant plus de pression. Mes bras se glisse sur ses seins. Ils sont lourd et mou. Je la serre contre moi. Sa peau plissée vibre contre moi. Mon pénis palpite contre son dos. Elle me demande de la caresser. J’en profite pour malaxer sa poitrine. Mon autre main descend vers son entre jambe. Un mont de vénus bien poilue attend mes doigts. Elle me demande si j’ai du lubrifiant, elle ne mouille plus comme dans son jeune temps. Je me retourne et j’ouvre le tiroir. J’ouvre le tube et j’en applique une bonne dose sur mes doigts. J’approche de sa fente. Le liquide froid la fait sursauter. J’entre doucement mon doigt en elle. Sa respiration accélère, son dos devient humide de sueur. Je la masturbe un bon moment en ajoutant du lubrifiant. Elle retire ma main et se cambre un peu plus. Je comprends le message. Je prends mon membre bien humide et je le glisse entre ses jambes. Je fais quelques allers-retours et elle pousse mon gland en elle. Hummm, elle est grosse…. Et dure…. Sa vulve bien glissante, je la pénètre lentement pour faire durer le plaisir. Après plusieurs minutes en elle, ma respiration accélère, je ralenti la cadence, je suis près de l’orgasme. Elle se colle encore plus sur moi, elle lâche un petit cri de jouissance qui me fais perdre mes moyens et je joui en elle. Elle quitte la chambre sans dire un mot.
Le lendemain matin, on se retrouve les trois autour d’un copieux déjeuner. Jocelyne fui mon regard, mal à l’aise. Plus tard, son mari dans la douche, j’en profite pour la déculpabiliser. Elle se sent coupable d’avoir trompé son mari, mais satisfaite d’avoir eu un orgasme. Elle ne se souvient pas de la dernière fois. Elle m’avoue que c’est seulement le deuxième pénis qui la pénètre. Je l’invite à me rejoindre ce soir. Elle rougit et retourne dans sa chambre.
Ils quittent pour la journée visité la région et les vignobles. Lors de leurs retours pour souper, Yves est déjà *****. Il continue de boire avant de s’*******r à la table après avoir mangé. Comme hier, je l’aide à se rendre dans le lit. La porte fermée, il ronfle déjà.
Jocelyne me sourit et va prendre une douche. Elle ressort une vingtaine de minutes plus tard avec un peignoir. Face à moi, ses cheveux blancs humides, le visage rouge comme une tomate, elle ne bouge pas. Je lui prends la main et on se rends dans ma chambre. Je ferme la porte à clé et je me retourne. Je prends le visage de Jocelyne avec mes mains et j’approche ma bouche. Elle finit par céder. Nos langues s’enlacent passionnément. Je glisse mes mains entre nous et je détache son peignoir. J’ai rêvé toute la journée de voir sa poitrine. J’ouvre son peignoir et je le pousse vers l’arrière. Il tombe sur le sol. Elle est maintenant nue devant moi. Ses gros seins lourds tombent sur son ventre. Je remonte mes mains et je soupèse sa poitrine. Je bande comme un fou. Elle retire mon chandail et tire mon pantalon vers le bas. Je lui donne un coup de main. Elle regarde avec attention mon érection qui déforme mon boxer. Je le retire rapidement. Ses doigts glissent sur mon membre dur. Je me retiens pour ne pas jouir entre ses doigts. Je la pousse doucement vers le lit. Elle se couche sur le dos en serrant ses jambes. Je vais chercher la bouteille de lubrifiant et je lui écarte les jambes en la massant. Je fais couler du liquide sur sa toison fournie. Elle semble être impatiente. Je lui entre 2 doigts bien humide en elle et elle se cambre de plaisir. Je la masturbe un bon moment avant d’embarquer sur elle. Mon gland trouve rapidement le chemin de sa vulve. Je la pénètre une vingtaine de minutes. Elle est en sueur, la bouche ouverte. Elle a plusieurs petits orgasmes. Je joui à mon tour. Je me retire et je me couche sur le dos. Elle appuie sa tête sur mon ventre et en jouant avec ses cheveux, je m’endors.
Je ne sais comment de temps j’ai dormi. Je me réveille en sursaut. Je comprends rapidement que mon pénis est dans sa bouche. Elle me suce et mon membre réagit rapidement. Sa succion est incroyable. Je ne me comprends pas comment elle fait. Lorsque je suis bien dur, elle se retourne. Elle avait enlevé ses dentiers. Elle me demande si j’aime? Je la complimente chaudement sur cette façon de me réveiller et j’aurais probablement éjaculer si je n’avais pas joui quelques instants auparavant. Elle se retourne et continue cette incroyable fellation. Au bout d’un moment, je lui demande d’arrêter, je voulais encore avoir mon membre en elle, j’étais retissant à me vider dans sa bouche, même si l’envie était grande. J’inonde mes doigts de lubrifiant et je la lubrifie adéquatement. Mélangeant le sperme de ma dernière éjaculation et le liquide. Elle a la vulve pleine. Encore sur le dos, elle se couche sur moi. Mon gland frotte sur sa fente. Un mouvement plus rapide et ma queue entre en elle. Hummmm, c’est bon. Je lui chuchote à l’oreille de se relever. Elle hésite, plutôt timide et conservatrice. Elle fini par céder. Elle s’appuie sur mes jambes et ses gros seins glissent sur mon ventre avant de pendre dans le vide. Hésitante au début, elle y prend plaisir et ses mouvements s’amplifie. Sa poitrine se balancent dans tout les sens, j’attrape ses mamelons au passage et je me lève pour les sucer. Le spectacle est sublime. Elle arrête de bouger et son corps vibre. Je ressens son orgasme, le plus gros du weekend. Elle se couche sur moi, sa respiration chaude dans mon cou. Elle se retire et tombe sur le lit, sa peau humide. Son cœur qui bat rapidement. Je me tourne vers elle et je l’embrasse. Elle me tâte le pénis et me demande si j’ai joui. Je pousse ma chance et je lui demande de se mettre à quatre pattes. Je ne croyais pas qu’elle le ferait. Sans hésitation, elle se retrouve en levrette. Se seins frottent sur le lit. Je lui écarte les jambes et je la prends. Je regarde la scène par le miroir de la porte. J’accélère ma pénétration et je me colle sur ses fesses pour éjaculer en elle.
Je la remercie d’avoir été ouverte à mes demandes. Elle me remercie à son tour de lui avoir fait vivre ce weekend parfait. Elle remet son peignoir et quitte ma chambre. Après le déjeuner et une étreinte soutenue, il quitte le chalet.
Cette expérience m’a incité à élargir mon offre de services. Maintenant, cuisine, repos et fantasme sont offerts. Avec ma présence ou non. Les semaines suivantes, j’ai reçu plusieurs personnes pour des relations extraconjugale.
Une demande spéciale arrive dans mon courriel. Je vous raconte la suite dans le prochain chapitre.
Par Monti2003
Chapitre 1 : Jocelyne 70 ans
Je m’appelle Erick, chef cuisinier depuis mon jeune âge. À l’aube de ma cinquantaine, j’ai décidé de vendre mon restaurant et la bâtisse. Une offre que je ne pouvais refuser. Les difficultés liées à la restauration m’ont convaincu de laisser ma place aux plus jeunes. J’ai aussi décidé de vendre ma maison à Montréal. Avec un bon montant en poche, j’ai rapidement acheté un grand chalet en Estrie sur le bord d’un lac. Un bel endroit avec une plage privée, quai et forêt. La tranquillité absolue.
Je n’ai jamais eu de conjointe stable, je profitais des serveuses pour des aventures éphémères. Mon statut de patron me donnait une chance incroyable de baisser les plus belles filles. Un soir, j’avais oublié des papiers au resto. Je me dirige dans mon bureau au sous-sol et je vois le concierge, assis sur ma chaise, les culottes au genou se masturber les yeux fermés. Je le regarde sans bruit. Je le vois accélérer et de puissants jets de sperme sort de son gland et se dépose au sol. Il ouvre ses yeux et me regarde en secouant sa verge. Il me sourit, comme si rien n’était arrivé. Il me fait signe d’approcher. Il baisse mon short et mon boxer. Je suis surpris d’être en érection. Sans perdre de temps, il ouvre la bouche et me fais la meilleure fellation de ma vie. Je me vide rapidement dans sa gorge. Il avale et se lève. Ma queue encore bandée touche à la sienne. Je le remercie et il me dit qu’il va me faire découvrir un autre monde. C’est ce soir-là que je suis devenu bisexuel. Le soir suivant, je l’enculais, le suivant, je fis ma première fellation et la semaine suivante, il me fit perdre ma virginité anale. Le matin, je baissais mes serveuses et le soir, il me baissait. Un dernier sprint épuisant.
Après 6 mois de repos, le public me manque. Une idée germe dans mon esprit, ouvrir une table champêtre avec location a court terme. Le concept est simple. Les gens louent une chambre et je leurs préparent tous les repas pendant leurs séjours. Un tout inclus de luxe. Les dates se comblent rapidement, j’ajuste mon offre pour améliorer l’expérience client.
Quelques mois passent, un weekend d’avril, je reçois un couple d’environ 70 ans. Le courant passe entre nous, l’homme, visiblement alcoolique descends les bouteilles de vin comme des pichets d’eau. Jocelyne s’excuse sans arrêt, sans être désagréable titube de plus en plus. Vers 21h00, je le supporte vers sa chambre et le couche dans le lit. J’invite Jocelyne dans le spa. Elle me rejoint avec un maillot de bain 1 pièce. Une grosse poitrine rempli le haut de son maillot. Je suis surpris par sa taille plutôt fine pour son âge. On jase pendant 1 bonne heure, ses seins qui flotte me perturbe. Ayant été abstinent depuis quelques mois, sa proximité fait gonfler ma verge. Le spa arrête de fonctionner et il est temps de sortir avant de devenir comme des raisins. Elle se lève devant moi en m’offrant une belle vue de son entre sein. Elle me souhaite une bonne nuit et se dirige vers sa chambre. Je termine de ranger toujours en semi-érection. Je n’avais jamais fantasmé sur des dames plus vielles que moi. Je suis excité. Je me dépêche pour aller me masturber. J’entre dans ma chambre et je me déshabille, nue, j’entre en dessous des couvertures et je me touche doucement. Je bande rapidement. J’entends des pas dans le couloir. J’arrête de me toucher et je vois la porte s’ouvrir. Il fait noir, je distingue Jocelyne qui entre doucement. Elle approche du lit et se couche sur le côté, dos à moi. Je me tourne vers elle et je m’approche. Sa voix tremblotante, elle me demande de l’enlacer. Je me colle sur elle, mon érection glisse entre ses fesses. Elle soupire en appliquant plus de pression. Mes bras se glisse sur ses seins. Ils sont lourd et mou. Je la serre contre moi. Sa peau plissée vibre contre moi. Mon pénis palpite contre son dos. Elle me demande de la caresser. J’en profite pour malaxer sa poitrine. Mon autre main descend vers son entre jambe. Un mont de vénus bien poilue attend mes doigts. Elle me demande si j’ai du lubrifiant, elle ne mouille plus comme dans son jeune temps. Je me retourne et j’ouvre le tiroir. J’ouvre le tube et j’en applique une bonne dose sur mes doigts. J’approche de sa fente. Le liquide froid la fait sursauter. J’entre doucement mon doigt en elle. Sa respiration accélère, son dos devient humide de sueur. Je la masturbe un bon moment en ajoutant du lubrifiant. Elle retire ma main et se cambre un peu plus. Je comprends le message. Je prends mon membre bien humide et je le glisse entre ses jambes. Je fais quelques allers-retours et elle pousse mon gland en elle. Hummm, elle est grosse…. Et dure…. Sa vulve bien glissante, je la pénètre lentement pour faire durer le plaisir. Après plusieurs minutes en elle, ma respiration accélère, je ralenti la cadence, je suis près de l’orgasme. Elle se colle encore plus sur moi, elle lâche un petit cri de jouissance qui me fais perdre mes moyens et je joui en elle. Elle quitte la chambre sans dire un mot.
Le lendemain matin, on se retrouve les trois autour d’un copieux déjeuner. Jocelyne fui mon regard, mal à l’aise. Plus tard, son mari dans la douche, j’en profite pour la déculpabiliser. Elle se sent coupable d’avoir trompé son mari, mais satisfaite d’avoir eu un orgasme. Elle ne se souvient pas de la dernière fois. Elle m’avoue que c’est seulement le deuxième pénis qui la pénètre. Je l’invite à me rejoindre ce soir. Elle rougit et retourne dans sa chambre.
Ils quittent pour la journée visité la région et les vignobles. Lors de leurs retours pour souper, Yves est déjà *****. Il continue de boire avant de s’*******r à la table après avoir mangé. Comme hier, je l’aide à se rendre dans le lit. La porte fermée, il ronfle déjà.
Jocelyne me sourit et va prendre une douche. Elle ressort une vingtaine de minutes plus tard avec un peignoir. Face à moi, ses cheveux blancs humides, le visage rouge comme une tomate, elle ne bouge pas. Je lui prends la main et on se rends dans ma chambre. Je ferme la porte à clé et je me retourne. Je prends le visage de Jocelyne avec mes mains et j’approche ma bouche. Elle finit par céder. Nos langues s’enlacent passionnément. Je glisse mes mains entre nous et je détache son peignoir. J’ai rêvé toute la journée de voir sa poitrine. J’ouvre son peignoir et je le pousse vers l’arrière. Il tombe sur le sol. Elle est maintenant nue devant moi. Ses gros seins lourds tombent sur son ventre. Je remonte mes mains et je soupèse sa poitrine. Je bande comme un fou. Elle retire mon chandail et tire mon pantalon vers le bas. Je lui donne un coup de main. Elle regarde avec attention mon érection qui déforme mon boxer. Je le retire rapidement. Ses doigts glissent sur mon membre dur. Je me retiens pour ne pas jouir entre ses doigts. Je la pousse doucement vers le lit. Elle se couche sur le dos en serrant ses jambes. Je vais chercher la bouteille de lubrifiant et je lui écarte les jambes en la massant. Je fais couler du liquide sur sa toison fournie. Elle semble être impatiente. Je lui entre 2 doigts bien humide en elle et elle se cambre de plaisir. Je la masturbe un bon moment avant d’embarquer sur elle. Mon gland trouve rapidement le chemin de sa vulve. Je la pénètre une vingtaine de minutes. Elle est en sueur, la bouche ouverte. Elle a plusieurs petits orgasmes. Je joui à mon tour. Je me retire et je me couche sur le dos. Elle appuie sa tête sur mon ventre et en jouant avec ses cheveux, je m’endors.
Je ne sais comment de temps j’ai dormi. Je me réveille en sursaut. Je comprends rapidement que mon pénis est dans sa bouche. Elle me suce et mon membre réagit rapidement. Sa succion est incroyable. Je ne me comprends pas comment elle fait. Lorsque je suis bien dur, elle se retourne. Elle avait enlevé ses dentiers. Elle me demande si j’aime? Je la complimente chaudement sur cette façon de me réveiller et j’aurais probablement éjaculer si je n’avais pas joui quelques instants auparavant. Elle se retourne et continue cette incroyable fellation. Au bout d’un moment, je lui demande d’arrêter, je voulais encore avoir mon membre en elle, j’étais retissant à me vider dans sa bouche, même si l’envie était grande. J’inonde mes doigts de lubrifiant et je la lubrifie adéquatement. Mélangeant le sperme de ma dernière éjaculation et le liquide. Elle a la vulve pleine. Encore sur le dos, elle se couche sur moi. Mon gland frotte sur sa fente. Un mouvement plus rapide et ma queue entre en elle. Hummmm, c’est bon. Je lui chuchote à l’oreille de se relever. Elle hésite, plutôt timide et conservatrice. Elle fini par céder. Elle s’appuie sur mes jambes et ses gros seins glissent sur mon ventre avant de pendre dans le vide. Hésitante au début, elle y prend plaisir et ses mouvements s’amplifie. Sa poitrine se balancent dans tout les sens, j’attrape ses mamelons au passage et je me lève pour les sucer. Le spectacle est sublime. Elle arrête de bouger et son corps vibre. Je ressens son orgasme, le plus gros du weekend. Elle se couche sur moi, sa respiration chaude dans mon cou. Elle se retire et tombe sur le lit, sa peau humide. Son cœur qui bat rapidement. Je me tourne vers elle et je l’embrasse. Elle me tâte le pénis et me demande si j’ai joui. Je pousse ma chance et je lui demande de se mettre à quatre pattes. Je ne croyais pas qu’elle le ferait. Sans hésitation, elle se retrouve en levrette. Se seins frottent sur le lit. Je lui écarte les jambes et je la prends. Je regarde la scène par le miroir de la porte. J’accélère ma pénétration et je me colle sur ses fesses pour éjaculer en elle.
Je la remercie d’avoir été ouverte à mes demandes. Elle me remercie à son tour de lui avoir fait vivre ce weekend parfait. Elle remet son peignoir et quitte ma chambre. Après le déjeuner et une étreinte soutenue, il quitte le chalet.
Cette expérience m’a incité à élargir mon offre de services. Maintenant, cuisine, repos et fantasme sont offerts. Avec ma présence ou non. Les semaines suivantes, j’ai reçu plusieurs personnes pour des relations extraconjugale.
Une demande spéciale arrive dans mon courriel. Je vous raconte la suite dans le prochain chapitre.
Par Monti2003
6 months ago
