Un mâle dominant
J'avais fait connaissance dans un club sauna gay d'un gars très macho. Sa présence incongrue dans un espace à mille lieux de sa sexualité détonait. Sa curiosité sexuelle l'avait menée dans ce lieu de dépradation.
Néanmoins il véhiculait son corps d'un pas nonchalant dans ce cadre intimiste. La salle étaient chauffée aux hormones. Avec l'aisance d'un mannequin il marchait la serviette nouée autour de la taille. Elle laissait un pan s'ouvrir et se refermer à chaque pas. Elle exposait ses couilles et son sexe par intermittence à tous les clients et les spectateurs majoritairement hommes écumaient de bave à imaginer sucer cette bête de scène.
L'enfoiré le savait et refis un second passage en toisant ses admirateurs. Son corps glabre attisait la convoitise et des cris de "femelles" en chaleur fusaient dans la pièce, des "folles" mouillaient leurs strings comme les voiles ouvertes d'un voilier dans la tempête.
Des mains tentaient de toucher le fruit interdit, des lèvres frémissaient d'envie de sucer ce gland rosé et luisant sous les projecteurs mais l'homme m'avait désignée comme la pute qu'il désirait dominer ce soir.
Alors qu'il quittait la scène il attrapa mon bras et m'obligea à le suivre sans l espace aménagé pour la soumission, la torture parfois, l abandon.
Je pensais être seule mais de nombreux clients avaient pris place sur les quelques sièges disponibles pour assouvir leur voyeurisme.
Il pris une paire de menottes mis à disposition de la clientèle et m'entrava les mains avant d appuyer sur mes épaules pour me ****** à m agenouiller. Je me retrouvais face à sa serviette légèrement entre ouverte et je constatais une protubérance qui trahissait son excitation.
Je dois reconnaitre que la cage de chasteté que je m étais imposée était désormais totalement occupée et mon sexe un temps perdu entre les parois avait pris du volume qui justifiait la pose d une cage.
Avec mon visage, je fouillais l'échancrure de sa serviette et tombait face à face avec un sexe de toute beauté. Légèrement ramolli mais déjà en expression artistique il entra avec facilité dans ma bouche. Mes lèvres maquillées d'un rouge écarlate s'empressèrent d'envelopper ce morceau de chair fragile et si doux afin de l'accueillir comme un cadeau.
Je salivais autant que la chatte d''une femme en châleur et mon nid semblait convenir à Matia....Il se laissait faire comme un bébé dans les bras de ses parents. Il ne résistait pas mais son sexe développait une reconnaissance inexpliquée pour un homme qui se croyait hétéro.
Il me savait à sa merci, tapette incontrôlée devant un sexe d'homme, putain gay assoiffée de bites chaudes et dures. Je continuais de sucer langoureusement son membre qui avait décuplé de volume. Ses râles de plaisir ne me laissaient aucun doute sur la performance que je réussissais à prodiguer.
Une verge de 19 cms maintenant pointait vers moi comme un signal directionnel. deux mains fortes et puissantes avaient saisi ma nuque et mon crâne afin de m imposer un mouvement que de tentais de refuser. Des gloups gloups sortaient de ma bouche comme un égout gorgé d'eau.
malgré tout à chaque va et vient mes lèvres tentaient de rester au contact de cette messe charnue qui goutait bon le "mâle dominant". Je m abandonnais à ses désirs pour satisfaire mon Appolon et ne pas gâcher une séance dont je rêvais depuis tant d année.
J'étais faite pour être dominée, docile et servile à un homme avec du caractère. Un homme fort, désireux de faire de moi une chienne dévouée et offerte à ses exigences sexuelles. Je voulais lui appartenir sans violence, lui appartenir dans la douceur et le respect mais être à l'écoute de tous ses désirs, les prévoir, les devancer et lui donner envie de rentrer à la maison baiser la femme que je désirais être. Etre sa confidente sur l'oreiller, son nid d amour pour se reposer, sa femelle libre et déjantée pour tester toutes les positions, toutes les situations et le repaitre de sexe.
Je suçais devant une foule plus nombreuse qui m insultait, des hommes se branlaient énergiquement à quelques centimètres de moi près à s'offrir en guise d apéro, près à décharger des litres de foutre pour me rabaisser à un rang de putain, de chienne, de grosse salope. Je les incitaient du regard, en remuant mes fesses que j offrais sans retenue au premier qui oserait m'enculer profondément pendant que je suçais mon mannequin Italien.
JE fus comblée assez vite lorsqu'une BITE dure pris possession de mon cul et s'activa lentement mais surement entre mes reins. Je venais de pénétrer dans une autre galaxie, j 'étais aux commandes d'une navette que je ne maitrisais plus. Les copilotes avaient pris les commandes et décidaient pour moi de la bonne direction à prendre. Je venais d être dégradée, de perdre mon poste de pilotage. Je sentais deux bites me limer contre vents et marrées.
Je devais absorber dans mes trous deux forces contraires. L'une me poussait de dos tandis qu'une autre plantée dans ma bouche exerçait une poussée inverse. Mon corps, tel un navire sans gouverne, restait planté entre deux eaux, les vagues se succédaient à un rythme infernal et j'encaissais la tempête sans frémir.
Dans ma tête, la chanson "Hisse et hot santiano" fredonnait comme une douce mélodie.
Mon cul rougit par les fessées infligées par lui, par cet autre coquin ou par celui ci....hurlaient d'en finir, cambraient pour obtenir la crème fouettée de tous les généreux donateurs présents.
Je souhaitais donner à mes fesses l apparence d un gateau à la crème et poser sur celles ci des bougies de 18 à 25 cms, toutes dressées comme des trophées conquérants.
Je fus remerciée par un volumineux gland juteux qui envoya son jet blanc s écraser dans mon oeil droit? Aveuglée alors que je ne m y attendais pas je cherchais goulument de la langue l'objet de l attaque.....Mon italo agresseur s'empressa de finir son don en fourrant sa bite dans ma gorge, profondément comme s il cherchait en m engrosser par une voie autre que naturelle, comme s il voulait inséminer sa semance entre deux secteurs totalement opposés.
Je serrais les lèvres tandis qu il quittait son domicile du moment afin d éponger toutes les goutes qui pourraient avoir envie de s évader.....Le sexe de mon mâle ressorti aussi sec qu'un bois perdu dans le désert. Rien ne laissait transpirer de l exploit qu'i venait d accomplir.
Il avait perdu de sa superbe mais je ne croyais pas un instant qu il allait renoncer à un autre combat dans les heures qui allaient suivre..
Néanmoins il véhiculait son corps d'un pas nonchalant dans ce cadre intimiste. La salle étaient chauffée aux hormones. Avec l'aisance d'un mannequin il marchait la serviette nouée autour de la taille. Elle laissait un pan s'ouvrir et se refermer à chaque pas. Elle exposait ses couilles et son sexe par intermittence à tous les clients et les spectateurs majoritairement hommes écumaient de bave à imaginer sucer cette bête de scène.
L'enfoiré le savait et refis un second passage en toisant ses admirateurs. Son corps glabre attisait la convoitise et des cris de "femelles" en chaleur fusaient dans la pièce, des "folles" mouillaient leurs strings comme les voiles ouvertes d'un voilier dans la tempête.
Des mains tentaient de toucher le fruit interdit, des lèvres frémissaient d'envie de sucer ce gland rosé et luisant sous les projecteurs mais l'homme m'avait désignée comme la pute qu'il désirait dominer ce soir.
Alors qu'il quittait la scène il attrapa mon bras et m'obligea à le suivre sans l espace aménagé pour la soumission, la torture parfois, l abandon.
Je pensais être seule mais de nombreux clients avaient pris place sur les quelques sièges disponibles pour assouvir leur voyeurisme.
Il pris une paire de menottes mis à disposition de la clientèle et m'entrava les mains avant d appuyer sur mes épaules pour me ****** à m agenouiller. Je me retrouvais face à sa serviette légèrement entre ouverte et je constatais une protubérance qui trahissait son excitation.
Je dois reconnaitre que la cage de chasteté que je m étais imposée était désormais totalement occupée et mon sexe un temps perdu entre les parois avait pris du volume qui justifiait la pose d une cage.
Avec mon visage, je fouillais l'échancrure de sa serviette et tombait face à face avec un sexe de toute beauté. Légèrement ramolli mais déjà en expression artistique il entra avec facilité dans ma bouche. Mes lèvres maquillées d'un rouge écarlate s'empressèrent d'envelopper ce morceau de chair fragile et si doux afin de l'accueillir comme un cadeau.
Je salivais autant que la chatte d''une femme en châleur et mon nid semblait convenir à Matia....Il se laissait faire comme un bébé dans les bras de ses parents. Il ne résistait pas mais son sexe développait une reconnaissance inexpliquée pour un homme qui se croyait hétéro.
Il me savait à sa merci, tapette incontrôlée devant un sexe d'homme, putain gay assoiffée de bites chaudes et dures. Je continuais de sucer langoureusement son membre qui avait décuplé de volume. Ses râles de plaisir ne me laissaient aucun doute sur la performance que je réussissais à prodiguer.
Une verge de 19 cms maintenant pointait vers moi comme un signal directionnel. deux mains fortes et puissantes avaient saisi ma nuque et mon crâne afin de m imposer un mouvement que de tentais de refuser. Des gloups gloups sortaient de ma bouche comme un égout gorgé d'eau.
malgré tout à chaque va et vient mes lèvres tentaient de rester au contact de cette messe charnue qui goutait bon le "mâle dominant". Je m abandonnais à ses désirs pour satisfaire mon Appolon et ne pas gâcher une séance dont je rêvais depuis tant d année.
J'étais faite pour être dominée, docile et servile à un homme avec du caractère. Un homme fort, désireux de faire de moi une chienne dévouée et offerte à ses exigences sexuelles. Je voulais lui appartenir sans violence, lui appartenir dans la douceur et le respect mais être à l'écoute de tous ses désirs, les prévoir, les devancer et lui donner envie de rentrer à la maison baiser la femme que je désirais être. Etre sa confidente sur l'oreiller, son nid d amour pour se reposer, sa femelle libre et déjantée pour tester toutes les positions, toutes les situations et le repaitre de sexe.
Je suçais devant une foule plus nombreuse qui m insultait, des hommes se branlaient énergiquement à quelques centimètres de moi près à s'offrir en guise d apéro, près à décharger des litres de foutre pour me rabaisser à un rang de putain, de chienne, de grosse salope. Je les incitaient du regard, en remuant mes fesses que j offrais sans retenue au premier qui oserait m'enculer profondément pendant que je suçais mon mannequin Italien.
JE fus comblée assez vite lorsqu'une BITE dure pris possession de mon cul et s'activa lentement mais surement entre mes reins. Je venais de pénétrer dans une autre galaxie, j 'étais aux commandes d'une navette que je ne maitrisais plus. Les copilotes avaient pris les commandes et décidaient pour moi de la bonne direction à prendre. Je venais d être dégradée, de perdre mon poste de pilotage. Je sentais deux bites me limer contre vents et marrées.
Je devais absorber dans mes trous deux forces contraires. L'une me poussait de dos tandis qu'une autre plantée dans ma bouche exerçait une poussée inverse. Mon corps, tel un navire sans gouverne, restait planté entre deux eaux, les vagues se succédaient à un rythme infernal et j'encaissais la tempête sans frémir.
Dans ma tête, la chanson "Hisse et hot santiano" fredonnait comme une douce mélodie.
Mon cul rougit par les fessées infligées par lui, par cet autre coquin ou par celui ci....hurlaient d'en finir, cambraient pour obtenir la crème fouettée de tous les généreux donateurs présents.
Je souhaitais donner à mes fesses l apparence d un gateau à la crème et poser sur celles ci des bougies de 18 à 25 cms, toutes dressées comme des trophées conquérants.
Je fus remerciée par un volumineux gland juteux qui envoya son jet blanc s écraser dans mon oeil droit? Aveuglée alors que je ne m y attendais pas je cherchais goulument de la langue l'objet de l attaque.....Mon italo agresseur s'empressa de finir son don en fourrant sa bite dans ma gorge, profondément comme s il cherchait en m engrosser par une voie autre que naturelle, comme s il voulait inséminer sa semance entre deux secteurs totalement opposés.
Je serrais les lèvres tandis qu il quittait son domicile du moment afin d éponger toutes les goutes qui pourraient avoir envie de s évader.....Le sexe de mon mâle ressorti aussi sec qu'un bois perdu dans le désert. Rien ne laissait transpirer de l exploit qu'i venait d accomplir.
Il avait perdu de sa superbe mais je ne croyais pas un instant qu il allait renoncer à un autre combat dans les heures qui allaient suivre..
10 months ago