Comment je suis devenue une lopette
Mon ex femme vient de publier sur ce site un texte intitulé "comment je suis devenue une soumise". Comme de nombreux hommes, j’ai trouvé le récit de son parcours qui a fait d'elle la salope qu'elle est aujourd'hui très intéressant. J'ai souhaité faire de même et vous raconter mon histoire. Contrairement à ma salope d’ex femme, j'étais prédisposé pour être une lopette puisque mes premiers rapports sexuels avec des hommes datent de quand j'étais ado. J'ai très tôt été attiré par le sexe des hommes, alors que pour moi le sexe des femmes était un véritable mystère.
C'est donc tout naturellement que très jeune j'ai sucé des bites et je me suis fait sodomiser. Sans pour autant être dominant, j’enculais aussi mes partenaires. Pour moi il s'agissait tout simplement de rapports homosexuels, je n'avais pas encore pris conscience de mon statut de lopette. Je prenais beaucoup de plaisir à ses échanges entre mecs et les filles étaient bien loin de mes préoccupations. Je n’envisageais pas un seul instant de mettre mon sexe dans la fente puante d'une femelle. La pensée qu'elles dégoulinaient de leurs règles par cet orifice avait quelque chose d'assez répugnant.
Plus tard, la morale m’a poussé à me détourner des hommes et à aller vers les femmes, mais dans mon fort intérieur j'étais toujours fasciné par les bites en érections. C'est dans ces conditions, et pour ne pas passer aux yeux de mon entourage pour un pédé, que j'ai rencontré Carine et que je me suis marié avec elle. Quand je l'ai connue, elle avait à peine plus de vingt ans, mais elle était déjà une bonne salope. Elle se faisait baiser par des hommes beaucoup plus vieux qu'elle, parfois même mariés. Les premières années de notre mariage se passèrent à peu près normalement, même si elle montrait peu d'enthousiasme à se faire baiser par moi. Elle était une très mauvaise suceuse, ses lèvres fines ne se prêtaient pas à la fellation. Elle accomplissait cet acte plus par devoir que par envie. De même elle se contentait d'écarter les cuisses pour se laisser pénétrer dans sa chatte poilue sans manifester le moindre signe de plaisir jusqu'à ce que j’éjacule.
Je dois préciser que j'ai une toute petite bite et que je suis un éjaculateur précoce. Ceci explique certainement pourquoi je ne l'ai jamais faite jouir. Pour ma part, mettre mon sexe dans la fente humide et odorante de cette salope ne m'a jamais réellement excité. Parfois, pour me stimuler, je pensais à sa sœur Valérie, une autre grosse cochonne aux gros nichons que j'imaginais être une excellente suceuse tant ses lèvres étaient pulpeuses. J'ai néanmoins réussi à l’engrosser a deux reprises. Après son deuxième accouchement son corps a changé, ses petits seins ont commencé à devenir flasques, son cul a grossi. A 25 ans à peine Carine était déjà une vieille femelle avec quelques vergetures. A partir de là, nos rapports sexuels se sont espacés.
Je me suis vite rendu compte qu’elle me faisait cocu. Quelque part j'étais flatté que des hommes aient envie de baiser ma sale truie de femme. J’ai pris l'habitude de me masturber sur ses culottes souillées par un mélange de sa mouille et du sperme de ses amants et d'y répandre mon propre sperme. J'ai aussi pris l'habitude d'aller sur des sites porno. Au début c'était pour voir des femelles à poil sucer ou se faire prendre, mais très vite je me suis mis à regarder des bites de mâles. Une envie irrésistible de toucher ses beaux sexes bien raides et juteux me prenait. Ce pourquoi j'étais fait et que j'avais vainement essayer de cacher toute ma vie, ressortait tout d'un coup. C'est comme ça que j'ai pris conscience que ma fonction était de servir les vrais hommes et que je devais leur offrir mes orifices comme si j'étais une femelle.
Pour moi, être une lopette c'est avant tout un état d'esprit. Celui d'un homme qui sait qu'il est inférieur aux autres hommes, les vrais mâles, les alphas, mais aussi inférieur aux femmes auxquelles il rêve de ressembler sans pouvoir jamais y parvenir. Être une lopette c'est renoncer à sa virilité et à son amour propre, si tant est qu'il nous en reste un tant soit peu. C'est aussi accepter d'être humilié par tous ceux qui découvrent notre sexualité de passif soumis. Lorsque j'ai admis cela, tout le reste ne fut qu'une évidence pour moi. La suite logique d'un long cheminement entrepris plusieurs années auparavant.
Notre divorce fut en quelque sorte une libération et m'a permis de vivre pleinement ma sexualité. Depuis, je porte en permanence des sous-vêtements féminins, je mets parfois ma petite bite dans une cage de chasteté et puis surtout je suce et je me fais sodomiser avec un plaisir que je n'avais jamais ressenti quand je pénétrais le vagin de ma salope d’ex femme. En fin de compte, je ne suis pas un veritable homme et je ne l'ai assurement jamais été. J'en suis arrivé à maudire ce petit appendice ridicule qui pend lamentablement entre mes jambes, à imaginer que je me fait castrer et à rêver qu'il me pousse des petits seins.
Désormais je suce et je me fais prendre dans des lieux publics, aires d’autoroute, plages naturistes, forêts ou à l'hôtel, comme une pute mais toujours gratuitement. J'accepte toutes sortes de bites, sans distinction aucune, quelque soit la taille, l'âge ou la couleur. J'estime que ma fonction est de salubrité publique, en permettant aux hommes dont les femmes n'assurent pas cette tâche, de se vider les couilles sans se branler ou sans avoir recours aux services des putes payantes. Je sais que je suis faite pour ça et j'en suis fière. Je n'ai plus honte d'aller dans des lieux publics en portant un soutien-gorge rembourré ou de me promener en forêt en leggings de femme en dentelle. Carine a rencontré un maître arabe qui l'a bien dressée pour en faire une véritable pute et moi je suis devenue une lopette soumise... nous avons finalement tous les deux trouvé notre rôle dans lequel nous nous épanouissons !
C'est donc tout naturellement que très jeune j'ai sucé des bites et je me suis fait sodomiser. Sans pour autant être dominant, j’enculais aussi mes partenaires. Pour moi il s'agissait tout simplement de rapports homosexuels, je n'avais pas encore pris conscience de mon statut de lopette. Je prenais beaucoup de plaisir à ses échanges entre mecs et les filles étaient bien loin de mes préoccupations. Je n’envisageais pas un seul instant de mettre mon sexe dans la fente puante d'une femelle. La pensée qu'elles dégoulinaient de leurs règles par cet orifice avait quelque chose d'assez répugnant.
Plus tard, la morale m’a poussé à me détourner des hommes et à aller vers les femmes, mais dans mon fort intérieur j'étais toujours fasciné par les bites en érections. C'est dans ces conditions, et pour ne pas passer aux yeux de mon entourage pour un pédé, que j'ai rencontré Carine et que je me suis marié avec elle. Quand je l'ai connue, elle avait à peine plus de vingt ans, mais elle était déjà une bonne salope. Elle se faisait baiser par des hommes beaucoup plus vieux qu'elle, parfois même mariés. Les premières années de notre mariage se passèrent à peu près normalement, même si elle montrait peu d'enthousiasme à se faire baiser par moi. Elle était une très mauvaise suceuse, ses lèvres fines ne se prêtaient pas à la fellation. Elle accomplissait cet acte plus par devoir que par envie. De même elle se contentait d'écarter les cuisses pour se laisser pénétrer dans sa chatte poilue sans manifester le moindre signe de plaisir jusqu'à ce que j’éjacule.
Je dois préciser que j'ai une toute petite bite et que je suis un éjaculateur précoce. Ceci explique certainement pourquoi je ne l'ai jamais faite jouir. Pour ma part, mettre mon sexe dans la fente humide et odorante de cette salope ne m'a jamais réellement excité. Parfois, pour me stimuler, je pensais à sa sœur Valérie, une autre grosse cochonne aux gros nichons que j'imaginais être une excellente suceuse tant ses lèvres étaient pulpeuses. J'ai néanmoins réussi à l’engrosser a deux reprises. Après son deuxième accouchement son corps a changé, ses petits seins ont commencé à devenir flasques, son cul a grossi. A 25 ans à peine Carine était déjà une vieille femelle avec quelques vergetures. A partir de là, nos rapports sexuels se sont espacés.
Je me suis vite rendu compte qu’elle me faisait cocu. Quelque part j'étais flatté que des hommes aient envie de baiser ma sale truie de femme. J’ai pris l'habitude de me masturber sur ses culottes souillées par un mélange de sa mouille et du sperme de ses amants et d'y répandre mon propre sperme. J'ai aussi pris l'habitude d'aller sur des sites porno. Au début c'était pour voir des femelles à poil sucer ou se faire prendre, mais très vite je me suis mis à regarder des bites de mâles. Une envie irrésistible de toucher ses beaux sexes bien raides et juteux me prenait. Ce pourquoi j'étais fait et que j'avais vainement essayer de cacher toute ma vie, ressortait tout d'un coup. C'est comme ça que j'ai pris conscience que ma fonction était de servir les vrais hommes et que je devais leur offrir mes orifices comme si j'étais une femelle.
Pour moi, être une lopette c'est avant tout un état d'esprit. Celui d'un homme qui sait qu'il est inférieur aux autres hommes, les vrais mâles, les alphas, mais aussi inférieur aux femmes auxquelles il rêve de ressembler sans pouvoir jamais y parvenir. Être une lopette c'est renoncer à sa virilité et à son amour propre, si tant est qu'il nous en reste un tant soit peu. C'est aussi accepter d'être humilié par tous ceux qui découvrent notre sexualité de passif soumis. Lorsque j'ai admis cela, tout le reste ne fut qu'une évidence pour moi. La suite logique d'un long cheminement entrepris plusieurs années auparavant.
Notre divorce fut en quelque sorte une libération et m'a permis de vivre pleinement ma sexualité. Depuis, je porte en permanence des sous-vêtements féminins, je mets parfois ma petite bite dans une cage de chasteté et puis surtout je suce et je me fais sodomiser avec un plaisir que je n'avais jamais ressenti quand je pénétrais le vagin de ma salope d’ex femme. En fin de compte, je ne suis pas un veritable homme et je ne l'ai assurement jamais été. J'en suis arrivé à maudire ce petit appendice ridicule qui pend lamentablement entre mes jambes, à imaginer que je me fait castrer et à rêver qu'il me pousse des petits seins.
Désormais je suce et je me fais prendre dans des lieux publics, aires d’autoroute, plages naturistes, forêts ou à l'hôtel, comme une pute mais toujours gratuitement. J'accepte toutes sortes de bites, sans distinction aucune, quelque soit la taille, l'âge ou la couleur. J'estime que ma fonction est de salubrité publique, en permettant aux hommes dont les femmes n'assurent pas cette tâche, de se vider les couilles sans se branler ou sans avoir recours aux services des putes payantes. Je sais que je suis faite pour ça et j'en suis fière. Je n'ai plus honte d'aller dans des lieux publics en portant un soutien-gorge rembourré ou de me promener en forêt en leggings de femme en dentelle. Carine a rencontré un maître arabe qui l'a bien dressée pour en faire une véritable pute et moi je suis devenue une lopette soumise... nous avons finalement tous les deux trouvé notre rôle dans lequel nous nous épanouissons !
11 months ago