Audrey et sa famille (5)
Récit entièrement fantasmé.
Liste des personnages présents :
- Audrey 47 ans dit Soumise Marie.
- Alexandre 20 ans, fils d’Audrey, alias Maître David.
- Leïla, amie d’Audrey 53 ans divorcée.
PARTIE 5 : La Putain et son amie Leïla.
Suite du texte : https://fr.xhamster.com/posts/10493945
Un mois déjà que je fais la Putain de bord de route pour mon fils. Cela arrive environ 1 à 2 fois par semaine, jamais de jour ni de lieu fixe. Il est toujours présent avec moi quand cela arrive. Il aime surtout me vendre à des routiers bedonnant, cela contribue largement à ma dégradation selon lui. Comme je dois lui rembourser la somme de 18 000 € j’ai de quoi faire d’autant plus qu’il me « brade » à ses routiers. 10 € la pipe et 20 € pour me faire baiser la chatte, par contre interdiction de me faire enculer pour le moment, il se réserve encore mon cul pour un petit moment.
Hier j’ai battu mon record en me faisant 20 clients en seulement 3 heures de présence, faut dire que la Cibi des routiers fonctionne encore bien entre eux. J’étais fière de moi-même si j’avais la mâchoire en vrac de sucer autant de queues diverses. Mon fils a le chic en plus pour bien m’insulter quand je pompe des mecs rebutants, limite crade. Pour me provoquer il m’a même dit hier :
- Alex/David : « à voir si je ne te loue pas à une bande de SDF puant la vinasses, les pauvres eux aussi ont bien le droit de se faire un Pute quasi gratos de temps en temps. »
J’avoue honteusement que cette parole m’a fait juter sans que je me touche.
Malgré tout n’allez pas croire que mon fils n’est pas tendre avec moi. Depuis que je suis sa Soumise, nous vivons une belle histoire d’amour, je sais que la grande majorité est choquée de ce genre de relation.
Avec le divorce et l’argent que j’ai pu réclamer à mon connard d’ex époux, nous projetons de déménager dans le Gard d’ici quelques mois, où personne ne nous connaîtra et où l’on pourra ouvertement s’afficher en publie. Du coup quand on sortira ensemble, les gens penseront que je me tape un jeune sans imaginer les liens qui nous unis.
Mon fils me laissant quartier libre aujourd’hui vu ma performance de la veille, j’ai rendez-vous avec ma meilleure amie Leïla que je n’ai pas revu depuis que je suis avec mon Maître. On a prévu une sortie boutique. Comme elle est partie en voyage un long moment, elle va constater ma métamorphose physique en tant que femme enfin épanouie et va vouloir me questionner sur ce changement. Je verrais sur le moment ce que je lui répondrais.
C’est une blonde de 53 ans, divorcée depuis longtemps. Elle a toujours été libre et délurée et j’ai toujours enviée pour son indépendance sexuelle. Elle sort très souvent avec des jeunots et m’a souvent pousser à cocufier mon mari avec un jeune homme….si j’avais su, je l’aurais écouté il y a longtemps. Mais même si elle est hyper libérée, je n’oserais pas lui avouer cette relation tabou.
Elle habite dans une jolie petite maison pas très loin de la ville. Quand je sonne à la porte, elle m’envoie ce texto :
- Leïla : « Entre, la porte n’ai pas fermée à clé, je suis dans la salle de bain, je suis à la bourre. »
Une fois dans le hall d’entrée, je remarque une paire de basket pour homme et je suis un peu surprise, elle ne m’a dit qu’elle était avec quelqu’un en ce moment lors de nos discussions téléphoniques. Je vais pour patienter dans le salon en l’attendant en criant que je suis arrivée. Mais des bruits bien particuliers attirent mon attention. Et il n’y a pas de doute sur l’origine de ses bruits, il y a bien un homme chez elle et elle est en train de se faire baiser cette coquine, j’entends des paires de claques qui jaillissent sans doute sur son cul et elle qui crie :
- Leïla : « Vas y plus fort mon salaud, j’aime ça quand tu me défonces le cul. »
Elle sait que je suis là mais ça n’a pas l’air de la déranger de s’envoyer en l’air et en plus d’hurler sa jouissance. Pfff avec mes hormones à fond, je suis excitée et je n’ose pas trop m’aventurer mais la curiosité l’emporte. Je m’approche doucement vers la salle de bain, malgré mes talons aiguilles j’essaye de faire le moins de bruit possible. Bien entendu à croire qu’elle l’a fait exprès mais la porte est légèrement entrebâillée, ce qui fait que je peux voir ce qui se passe sans avoir à l’ouvrir.
Leïla est à 4 pattes sur le sol et je vois le dos d’un homme qui lui défonce le cul avec une grande fougue, il lui claque le cul en même temps ce qui la fait gémir de plaisir. Immédiatement je sens que je suis en train de mouiller. Mais en relevant la tête je découvre leur visage à travers les jeux d’un miroir et là je pousse un cri, mélange de surprise et d’indignation. Car c’est mon propre fils qui baise ma meilleure amie. Eux aussi m’ont vu et tous les 2 ont un sourire pervers. Je suis pétrifiée sur place quand mon fils m’interpelle.
- Alex/David : « Tiens, tiens qui voilà ??? ma Salope de Marie ! Que fais-tu immobile, rends toi utile emmène tes fesses de suite et fous toi à poil. »
Leïla se retourne vers mon fils.
- Leïla : « Alors c’est donc vrai tu l’appelles Marie et pas Audrey ? »
- Alex/David : « Oui quand c’est ma Chienne elle devient Marie et quand c’est à ma mère que je parle c’est Audrey, mais cela devient de plus en plus Marie maintenant. »
Je suis toujours stoïque ne sachant que faire, m’enfuir ou rester. Je suis à la fois jalouse de voir mon fil baiser une autre femme que moi (en plus ma meilleure amie), mais d’un autre côté je sais que je lui dois obéissance maintenant.
- Leïla : « Coucou ma chérie !!! Allez tu as entendu ton fils, à poil je sais tout de votre relation. Il ne me cache rien, je sais que tu fais la Pute en plus. Viens me lécher la chatte pendant qu’il défonce mon cul. »
Restant toujours inerte, mon Maître s’approche et me donne une claque sur mes nibards. Il m’ordonne de vite obéir avant qu’il se fâche pour de bon. Du coup je me retrouve vite à poil en gardant que mes bas et mes talons aiguilles, à genoux sur le carrelage, j’ai la bite de mon Maître devant mes yeux et elle me fascine toujours autant.
- Alex/David : « Allez ma Salope, suce là et goûte à l’odeur du cul de Leïla, tu pourras le comparer à l’odeur du tien. »
Pendant que je le dévore avec gourmandise, Leïla s’amuse avec mes seins, les tordant à me faire gémir.
- Leïla : « Humm ! depuis le temps que je rêve de te soumettre ma chérie. Tu me prêteras ta Chienne Alex ? »
- Alex/David : « Evidemment ma chérie !!! Ma Chienne sera aussi ta Salope. Tu peux faire tout ce qui te passe par la tête, je vais adorer te voir la dresser. »
De l’entendre appeler Leïla « ma chérie » me rends hyper jalouse. Elle se joint à moi pour sucer mon Maitre. Puis sans prévenir me tire fort les cheveux, me crache au visage, l’étale sur ma gueule et enfourne sa langue profondément en moi. Je suis tellement sidérée que je n’ose toujours pas parlé mais au fond de moi, cette humiliation m’excite de plus en plus.
- Leïla : « T’aimes ça petite trainée de te faire dominer et humilier ? »
Moi toute honteuse lui répondant un timide « oui » en baissant la tête de honte.
Elle me gifle le visage et me recrache dessus.
- Leïla : « Oui qui ??? dorénavant quand on baisera ce sera Maîtresse L. Quand tu étais avec ton connard d’époux avec ton air de femme prude et coincée, j’ai toujours su qu’il serait facile de faire de toi une vraie serpillère à foutre. Ton fils ne me croyait pas quand je lui en parlais. »
C’est à ce moment que je réalise qu’ils se fréquentent depuis longtemps, j’ai beau posé la question de savoir depuis quand, qu’une autre claque plus forte arrive sur mes nibards.
- Leïla : « La ferme Soumise, ici tu n’as pas à poser des questions, contente toi d’obéir avant que je me fâche sérieusement. On aurait le temps d’en reparler. En attendant prends la queue de ton Maître et mets moi là dans mon trou du cul béant. »
Je suis à ses ordres et prends le sexe bien dur de mon Maître et l’enfonce bien profond dans cette Salope qui miaule quand celui-ci lui claque le cul.
- Alex/David : « Rends toi utile Marie pendant que je l’encule et viens me bouffer le cul. »
- Audrey/Marie : « Humm ! avec plaisir Monsieur, vous savez comme j’aime vous lécher le petit. »
- Alex/David : « En effet, y a pas meilleure bouffeuse de fion que toi ma trainée. »
Tout en lui bouffant le cul, je m’astique le clito tellement je suis trempée. De temps en temps, Alex sort sa bite et me la donne à sucer et m’ordonne aussi de bouffer le fion de mon amie. Et pendant que je leur donne du plaisir, ils ne se gênent pas de parler de moi.
- Leïla : « T’as raison, ta mère est une vraie bouffeuse de cul, on voit qu’elle adore cela la Putain ! »
- Alex/David : « Oui je l’ai bien dressé pour mais c’est une pratique qu’elle a de suite pris plaisir à faire et parfois elle me fait sans que j’ai eu besoin de lui demander. »
- Leïla : « Tu m’as bien dit que pour le moment, personne d’autre que toi n’avait pris son trou du cul ? »
- Alex/David : « Non pour le moment, y a que moi qui ait le droit de l’enculer. »
- Leïla : « Et pour moi tu ne ferais pas une exception ? »
- Alex/David : « Tout ce négocie ma chérie, que me proposes tu en échanges ? »
- Leïla : « Ce que je t’ai toujours refuser pour le moment, c’est-à-dire une bonne douche dorée tout à l’heure. »
- Alex/David : « Humm tu sais m’appâter Salope ! Mais dans ce cas tu devras toi aussi arroser ma Soumise de ton jus dorée. »
- Leïla : « Oh Putain ! quels pervers nous faisons tous les 2. Bon je reviens vite, je vais chercher mon gode ceinture. »
Tandis que mon amie s’absente un cours instant je questionne mon fils sur un ton un peu sec, voulant reprendre mon rôle de mère :
- Audrey/Marie : « Depuis quand tu baises Leïla ? »
- Alex/David : « Pourquoi t’es jalouse ? »
- Audrey/Marie : « Je veux savoir depuis quand ça dure. »
- Alex/David : « C’est pas le moment d’en parler, je te signale que t’es Soumise Marie alors reste à ta place de Soumise, je n’ai aucun compte à te rendre. Leïla te le dira après qu’elle t’aura baisée avec son gode. En attendant continue à me pomper, gobe bien mes couilles comme tu sais si bien le faire. »
Comme voulait vous ne pas obéir quand c’est demander si gentiment…Ce salaud s’est comment me remettre à ma condition de soumise. J’avale sa queue au plus profond de ma gorge, je sais qu’il adore quand je bave intensément dessus. Je veux aussi montrer à cette trainée de Leïla quand elle va revenir que je suis plus douée qu’elle. Tiens la revoilà, elle s’est harnachée d’un gros gode ceinture noir et me jette un bon regard de garce.
- Leïla : « Ton fils m’a dit que tu adorais te faire prendre le cul par lui et que pour le moment c’était le seul à pouvoir le faire. Je vais adorer te faire hurler avec mon joujou. »
Voulant être provoquante et ne pas me laisser trop rabattre je lui lance à la gueule.
- Audrey/Marie : « Essaye quand même sale traitresse. Rien ne remplacera la queue de mon Maître, espèce de trainée que tu es ! »
Une forte claque retentit de sa part.
- Leïla : « Je vais te calmer te me parler ainsi !!! »
Elle fouille dans un des tiroirs de la salle de bain et en sort 2 pinces à linges.
- Leïla : « Alex, tu me la laisses comme convenu, j’ai droit de faire ce que je veux ? »
- Alex/David : « Si tu respectes le deal pour la douche dorée, oui tu as carte blanche, mais attention pas de violence physique, ni de marques sur le corps qui durerait. »
Je veux protester pour la forme mais mon Maître maintient sa bite au fond de ma bouche. Leïla attache les pinces à linges sur mes tétines déjà gonflées de plaisir. Une larme coule le long de mon visage.
- Leïla : « Te voilé parée, grosse cochonne. Alex maintient la bien, je vais défoncer le cul de ta PUTE ! »
Même si je suis habituée maintenant à me faire sodomiser, rarement on me le prend à sec comme est en train de le faire Leïla, elle a juste cracher sur mon œillet et sans aucun ménagement m’a enfoncé son pieu directement au fond de mon cul me faisant pousser un cri de douleur. Je la supplie d’y aller en douceur et que je m’excuse de lui avoir mal parler, ça a l’air de la calmer car elle ralentit l’allure tout en me caressant les fesses.
Mon Maître lui comme un bon sadique s’amuse avec les pinces à linges. Même si la douleur est présente, j’ai aussi une sensation de plaisir qui envahit mon corps.
- Alex/David : « Si tu m’aimes comme tu le prétends, je vais te demander d’appartenir aussi à Leïla. Tu lui serviras d’esclave quand elle en aura envie et tu devras venir chez elle quand elle te le demanderas. Fini de faire le Pute de bord de route, j’ai des projets plus ambitieux te concernant. »
Sans trop prendre le temps de la réflexion, je lui réponds instantanément :
- Audrey/Marie : « Oui je vous aime. Je vous appartiens et c’est avec plaisir que je m’offre à mon amie. J’ai tellement de jouissance quand je suis avec vous mon Maître que je peux rien vous refuser. »
Leïla demande à mon fils de venir l’enculer pendant qu’elle me sodomise. Je sens les mouvements brusques de mon fils dans le cul de mon amie à travers le gode ceinture. Je ne suis que jouissance non stop. Leïla sent elle aussi son plaisir arriver, elle se retire brusquement de mon anus et me demande de venir lui brouter le minou avec ma langue. Elle miaule comme une bonne chatte en chaleur avec la bite de mon fils dans son cul et ma langue lui mordillant le clito. Mon Maître est au bord de l’explosion et il lâche dans la tour du cul de cette Salope.
- Alex/David : « Putain que c’est bon de se finir dans ton fion de Salope de bourge mature. »
À ces mots, Leïla devient subitement fontaine et m’arrose le visage. C’est la première fois que je vois une femme être fontaine et je la jalouse car même si je mouille abondamment je n’ai jamais explosé de cette façon. Au départ cela surprend car j’ai cru qu’elle me pissait à la gueule. Elle m’insulte tout en me jutant dessus. Mon Maître se retire de son cul et lui ordonne.
- Alex/David : « Positionne ton cul sous sa gueule et laisse couler mon foutre dans sa bouche de grosse cochonne. »
- Leïla : « Mmmm quelle excellente idée !!! Tu vas adorer Salope avaler le foutre de ton fils qui va sortir de ma raie. »
C’est dégradant et humiliant mais je remercie mon Maître de m’utiliser ainsi. À la fin Leïla me prends la tête à pleine main et me roule un patin d’enfer. Le foutre d’Alex se retrouve à se mélanger dans nos deux bouches avides.
Mais mon fils n’en a pas encore tout à fait fini avec nous 2.
- Alex/David : « Tu te souviens de ta promesse Leïla si je te laisse l’enculer !!! Filez sous la douche toute les deux. »
Je prend position à genoux sur le carrelage, Leïla m’ordonne d’ouvrir grand la bouche et elle m’arrose d’urine tout en ricanant. Une fois qu’elle a fini elle m’ordonne de lui nettoyer la chatte comme il faut avec ma langue. Je m’exécute sans discuter tout en regardant intensément mon Maître dans les yeux. Celui-ci ordonne ensuite à cette Salope de s’agenouiller et il lui déverse sa pisse à même sa bouche grande ouverte. Leïla joue avec ce jus puis me le recrache sur les seins et me masse avec ce jus doré.
Nous sommes tous exténué par cette partie de baise intense. Une douche rapide tout en tendresse et caresse puis nous passons au salon. Je prends place sur un fauteuil tandis que mon Maître et mon amie s’installe sur le canapé. Mon fils s’amuse à lui caresser la cuisse, voulant sans aucun doute me rendre jalouse d’elle.
Je me sens d’un coup toute gênée par la situation. Leïla nous quitte un instant pour préparer du thé et du café je tente de reprendre mon rôle de maman à demandant à mon fils depuis quand il voit intimement mon amie.
- Alex/David : « Ne tente pas de jouer à la maman !!! T’es toujours ma Salope de Marie ne l’oublie pas. »
- Audrey/Marie : « Pardon Monsieur. »
- Alex/David : « Je laisse Leïla te le dire elle même. »
Elle revient les mains chargés pour prendre une collation et j’installe collé à mon fils.
- Leïla : « Tu veux tout savoir je suppose ? »
- Audrey/David : « Oui s’il te plait. »
- Leïla : « Ton fils et moi avons des relations intimes depuis 5 ans déjà. »
Faisant rapidement le calcul, je suis choquée et outrée.
- Audrey/Marie : « Mais il était ****** il y a 5 ans ? »
- Leïla : « Non, j’ai eu ma première relation avec lui pile pour ses 18 ans, mais arrête de me couper et écoute l’histoire en entier, sinon je ne te dis plus rien, c’est bien compris Soumise. »
Piteusement je baisse la tête et lui fait signe que je l’écoute.
- Leïla : « En fait pour être précise, tout a commencé 1 ans avant ses 18 ans, vous étiez venu mangé à la maison tout les 3 avec ton mari un soir d’été. Alex s’était absenté prétendant aller aux toilettes. Nous étions installé dehors et une légère brise s’est faite ressentir. Je suis rentrée un moment pour aller nous chercher un gilet. Passant devant la porte de la salle de bain, celle-ci était légèrement entrouverte et là j’ai découvert abasourdi ton fils la bite dehors en train de se branler sur une de mes culottes tout en reniflant une autre qui était dans le bac à linge sale. J’avais la main sur la porte, furieuse, pour aller le gronder mais je me suis retenu. J’avais un sentiment d’être souillée mais je suis restée statufié par ce spectacle. En fait très vite j’ai ressenti une grande fierté de plaire à un tel beau jeune homme. À l’époque j’étais déjà libertine tu le sais, mais les jeunes n’étaient pas mon genre encore. »
Elle boit une gorgée de thé et reprend son récit.
- Leïla : « Quand il a jouie dans ma culotte, il a tout remis dans le panier à linge et moi je suis partie discrètement, ton fils n’a pas su que je l’avais surpris. Quand vous êtes partis, je suis retourné dans le panier à linge, j’ai reprise cette culotte pleine de son foutre et me suis branlée comme une dingue en repensant à sa grosse bite. Le lendemain je me suis tapé mon premier jeune, un mec de 19 ans dans un club privé, j’ai adoré le dominer et très vite je me suis prise de frénésie à déniaiser des puceaux mais c ‘était toujours le coup d’un soir rien de plus. »
Je commence à remouiller en l’entendant se confesser ainsi. Mon Maître le remarque car je me passe la langue sur mes lèvres tout en les pinçant.
- Leïla : « Même si ses jeunes m’apportaient beaucoup de plaisir, je n’arrêtais pas d’avoir l’image de ton fils dans ma tête. Si tu te souviens bien, je vous ai souvent invité cet été là. Je faisais exprès de m’habiller encore plus sexy rien pour qu’il fantasme sur moi. Et bien sur je l’ai de nouveau surprise en train de se branler sur mon peignoir. Mais cette fois ci je l’ai interrompu, il était rouge pivoine tout en s’excusant. J’ai fais semblant de le gronder en lui promettant que je ne dirais rien. »
- Alex/David : « À l’époque si tu veux savoir, je me branlais aussi sur des dessous Marie pour comparer vos deux odeurs de femmes matures. »
- Leïla : « Je suis une Salope mais pas au point de me faire un ******, aussi j’ai patiemment attendu 1 an et le lendemain de ses 18 ans je suis passé le chercher à la sortie de son école. Il fut surpris de me voir, lui ai demandé de monter dans la voiture car j’avais un cadeau pour son anniversaire. »
- Alex/David : « Comment oublier cette journée. »
- Leïla : « Il fut surpris de me voir prendre la direction de chez moi, me posant des questions et moi lui demandant d’être patient. J’étais vêtue d’un manteau avec une ceinture et dès qu’on a franchi la porte d’entrée, j’ai enlevée la ceinture et me suis retrouver totalement à poil devant lui. Le pauvre il était bouche bée ne sachant que faire. »
- Alex/David : « Tu m’étonnes, même si je le fantasmais souvent, je ne m’attendais pas à cela. »
- Leïla : « Là fièrement j’ai pris un bon regard de Salope et je lui ai dit que c’était moi son cadeau d’anniversaire, qu’il n’avait pas besoin de se branler sur ma lingerie, que je l’avais surprise la première fois et que je rêvais de sa bite souvent. »
- Alex/David : « J’avais déjà eu 2-3 fellations avec des filles de mon âge mais rien d’autres et ce jour là, Leïla m’a à la fois offerte sa chatte mais aussi son cul. Tu comprends mieux maintenant mon attirance pour les femmes mûres depuis ce jour-là. »
- Leïla : « Malgré sa relative inexpérience, il fût un amant merveilleux avec une fougue inépuisable. »
Je suis toute humide les entendre et je sens mes mamelons qui pointent dur.
- Audrey/Marie : « Et lui aussi alors il est devenu ton soumis ? »
- Leïla : « Et bien c’était mon idée de départ en effet, mais je suis tombée sur plus fort que moi. Ton fils n’était pas accro à moi, en fait c’est à toi qu’il pensait sans arrêt, il me l’a très vite confié n’osant pas franchir le pas de ce tabou. Mais moi je ne pouvais plus me passer de lui alors très vite, c’est moi qui suis devenu sa Soumise. C’est le seul homme qui me domine, les autres je les matte crois moi. »
De l’entendre me dire qu’Alex était accro de moi, me comble de joie. Aussi sans attendre un ordre quelconque je m’approche d’eux, je dégrafe son jean et lèche sa belle bite. Leïla l’embrasse à pleine bouche tandis que je gobe ses couilles avec le plus de bave possible comme il aime.
- Alex/David : « Je suis un Maître comblé avec mes 2 belles Chiennes à mes côtés. Mais Marie n’oublie pas que tu appartiens aussi maintenant à Leïla. »
- Audrey/Marie : « Avec plaisir Maître....et Maîtresse. »
- Leïla : « On en a déjà parlé avec Alex, on a tout un tas de grand projet avec toi ma Salope. »
- Audrey/Marie : « Vous m’en voyez ravie Maîtresse. »
À suivre....
Liste des personnages présents :
- Audrey 47 ans dit Soumise Marie.
- Alexandre 20 ans, fils d’Audrey, alias Maître David.
- Leïla, amie d’Audrey 53 ans divorcée.
PARTIE 5 : La Putain et son amie Leïla.
Suite du texte : https://fr.xhamster.com/posts/10493945
Un mois déjà que je fais la Putain de bord de route pour mon fils. Cela arrive environ 1 à 2 fois par semaine, jamais de jour ni de lieu fixe. Il est toujours présent avec moi quand cela arrive. Il aime surtout me vendre à des routiers bedonnant, cela contribue largement à ma dégradation selon lui. Comme je dois lui rembourser la somme de 18 000 € j’ai de quoi faire d’autant plus qu’il me « brade » à ses routiers. 10 € la pipe et 20 € pour me faire baiser la chatte, par contre interdiction de me faire enculer pour le moment, il se réserve encore mon cul pour un petit moment.
Hier j’ai battu mon record en me faisant 20 clients en seulement 3 heures de présence, faut dire que la Cibi des routiers fonctionne encore bien entre eux. J’étais fière de moi-même si j’avais la mâchoire en vrac de sucer autant de queues diverses. Mon fils a le chic en plus pour bien m’insulter quand je pompe des mecs rebutants, limite crade. Pour me provoquer il m’a même dit hier :
- Alex/David : « à voir si je ne te loue pas à une bande de SDF puant la vinasses, les pauvres eux aussi ont bien le droit de se faire un Pute quasi gratos de temps en temps. »
J’avoue honteusement que cette parole m’a fait juter sans que je me touche.
Malgré tout n’allez pas croire que mon fils n’est pas tendre avec moi. Depuis que je suis sa Soumise, nous vivons une belle histoire d’amour, je sais que la grande majorité est choquée de ce genre de relation.
Avec le divorce et l’argent que j’ai pu réclamer à mon connard d’ex époux, nous projetons de déménager dans le Gard d’ici quelques mois, où personne ne nous connaîtra et où l’on pourra ouvertement s’afficher en publie. Du coup quand on sortira ensemble, les gens penseront que je me tape un jeune sans imaginer les liens qui nous unis.
Mon fils me laissant quartier libre aujourd’hui vu ma performance de la veille, j’ai rendez-vous avec ma meilleure amie Leïla que je n’ai pas revu depuis que je suis avec mon Maître. On a prévu une sortie boutique. Comme elle est partie en voyage un long moment, elle va constater ma métamorphose physique en tant que femme enfin épanouie et va vouloir me questionner sur ce changement. Je verrais sur le moment ce que je lui répondrais.
C’est une blonde de 53 ans, divorcée depuis longtemps. Elle a toujours été libre et délurée et j’ai toujours enviée pour son indépendance sexuelle. Elle sort très souvent avec des jeunots et m’a souvent pousser à cocufier mon mari avec un jeune homme….si j’avais su, je l’aurais écouté il y a longtemps. Mais même si elle est hyper libérée, je n’oserais pas lui avouer cette relation tabou.
Elle habite dans une jolie petite maison pas très loin de la ville. Quand je sonne à la porte, elle m’envoie ce texto :
- Leïla : « Entre, la porte n’ai pas fermée à clé, je suis dans la salle de bain, je suis à la bourre. »
Une fois dans le hall d’entrée, je remarque une paire de basket pour homme et je suis un peu surprise, elle ne m’a dit qu’elle était avec quelqu’un en ce moment lors de nos discussions téléphoniques. Je vais pour patienter dans le salon en l’attendant en criant que je suis arrivée. Mais des bruits bien particuliers attirent mon attention. Et il n’y a pas de doute sur l’origine de ses bruits, il y a bien un homme chez elle et elle est en train de se faire baiser cette coquine, j’entends des paires de claques qui jaillissent sans doute sur son cul et elle qui crie :
- Leïla : « Vas y plus fort mon salaud, j’aime ça quand tu me défonces le cul. »
Elle sait que je suis là mais ça n’a pas l’air de la déranger de s’envoyer en l’air et en plus d’hurler sa jouissance. Pfff avec mes hormones à fond, je suis excitée et je n’ose pas trop m’aventurer mais la curiosité l’emporte. Je m’approche doucement vers la salle de bain, malgré mes talons aiguilles j’essaye de faire le moins de bruit possible. Bien entendu à croire qu’elle l’a fait exprès mais la porte est légèrement entrebâillée, ce qui fait que je peux voir ce qui se passe sans avoir à l’ouvrir.
Leïla est à 4 pattes sur le sol et je vois le dos d’un homme qui lui défonce le cul avec une grande fougue, il lui claque le cul en même temps ce qui la fait gémir de plaisir. Immédiatement je sens que je suis en train de mouiller. Mais en relevant la tête je découvre leur visage à travers les jeux d’un miroir et là je pousse un cri, mélange de surprise et d’indignation. Car c’est mon propre fils qui baise ma meilleure amie. Eux aussi m’ont vu et tous les 2 ont un sourire pervers. Je suis pétrifiée sur place quand mon fils m’interpelle.
- Alex/David : « Tiens, tiens qui voilà ??? ma Salope de Marie ! Que fais-tu immobile, rends toi utile emmène tes fesses de suite et fous toi à poil. »
Leïla se retourne vers mon fils.
- Leïla : « Alors c’est donc vrai tu l’appelles Marie et pas Audrey ? »
- Alex/David : « Oui quand c’est ma Chienne elle devient Marie et quand c’est à ma mère que je parle c’est Audrey, mais cela devient de plus en plus Marie maintenant. »
Je suis toujours stoïque ne sachant que faire, m’enfuir ou rester. Je suis à la fois jalouse de voir mon fil baiser une autre femme que moi (en plus ma meilleure amie), mais d’un autre côté je sais que je lui dois obéissance maintenant.
- Leïla : « Coucou ma chérie !!! Allez tu as entendu ton fils, à poil je sais tout de votre relation. Il ne me cache rien, je sais que tu fais la Pute en plus. Viens me lécher la chatte pendant qu’il défonce mon cul. »
Restant toujours inerte, mon Maître s’approche et me donne une claque sur mes nibards. Il m’ordonne de vite obéir avant qu’il se fâche pour de bon. Du coup je me retrouve vite à poil en gardant que mes bas et mes talons aiguilles, à genoux sur le carrelage, j’ai la bite de mon Maître devant mes yeux et elle me fascine toujours autant.
- Alex/David : « Allez ma Salope, suce là et goûte à l’odeur du cul de Leïla, tu pourras le comparer à l’odeur du tien. »
Pendant que je le dévore avec gourmandise, Leïla s’amuse avec mes seins, les tordant à me faire gémir.
- Leïla : « Humm ! depuis le temps que je rêve de te soumettre ma chérie. Tu me prêteras ta Chienne Alex ? »
- Alex/David : « Evidemment ma chérie !!! Ma Chienne sera aussi ta Salope. Tu peux faire tout ce qui te passe par la tête, je vais adorer te voir la dresser. »
De l’entendre appeler Leïla « ma chérie » me rends hyper jalouse. Elle se joint à moi pour sucer mon Maitre. Puis sans prévenir me tire fort les cheveux, me crache au visage, l’étale sur ma gueule et enfourne sa langue profondément en moi. Je suis tellement sidérée que je n’ose toujours pas parlé mais au fond de moi, cette humiliation m’excite de plus en plus.
- Leïla : « T’aimes ça petite trainée de te faire dominer et humilier ? »
Moi toute honteuse lui répondant un timide « oui » en baissant la tête de honte.
Elle me gifle le visage et me recrache dessus.
- Leïla : « Oui qui ??? dorénavant quand on baisera ce sera Maîtresse L. Quand tu étais avec ton connard d’époux avec ton air de femme prude et coincée, j’ai toujours su qu’il serait facile de faire de toi une vraie serpillère à foutre. Ton fils ne me croyait pas quand je lui en parlais. »
C’est à ce moment que je réalise qu’ils se fréquentent depuis longtemps, j’ai beau posé la question de savoir depuis quand, qu’une autre claque plus forte arrive sur mes nibards.
- Leïla : « La ferme Soumise, ici tu n’as pas à poser des questions, contente toi d’obéir avant que je me fâche sérieusement. On aurait le temps d’en reparler. En attendant prends la queue de ton Maître et mets moi là dans mon trou du cul béant. »
Je suis à ses ordres et prends le sexe bien dur de mon Maître et l’enfonce bien profond dans cette Salope qui miaule quand celui-ci lui claque le cul.
- Alex/David : « Rends toi utile Marie pendant que je l’encule et viens me bouffer le cul. »
- Audrey/Marie : « Humm ! avec plaisir Monsieur, vous savez comme j’aime vous lécher le petit. »
- Alex/David : « En effet, y a pas meilleure bouffeuse de fion que toi ma trainée. »
Tout en lui bouffant le cul, je m’astique le clito tellement je suis trempée. De temps en temps, Alex sort sa bite et me la donne à sucer et m’ordonne aussi de bouffer le fion de mon amie. Et pendant que je leur donne du plaisir, ils ne se gênent pas de parler de moi.
- Leïla : « T’as raison, ta mère est une vraie bouffeuse de cul, on voit qu’elle adore cela la Putain ! »
- Alex/David : « Oui je l’ai bien dressé pour mais c’est une pratique qu’elle a de suite pris plaisir à faire et parfois elle me fait sans que j’ai eu besoin de lui demander. »
- Leïla : « Tu m’as bien dit que pour le moment, personne d’autre que toi n’avait pris son trou du cul ? »
- Alex/David : « Non pour le moment, y a que moi qui ait le droit de l’enculer. »
- Leïla : « Et pour moi tu ne ferais pas une exception ? »
- Alex/David : « Tout ce négocie ma chérie, que me proposes tu en échanges ? »
- Leïla : « Ce que je t’ai toujours refuser pour le moment, c’est-à-dire une bonne douche dorée tout à l’heure. »
- Alex/David : « Humm tu sais m’appâter Salope ! Mais dans ce cas tu devras toi aussi arroser ma Soumise de ton jus dorée. »
- Leïla : « Oh Putain ! quels pervers nous faisons tous les 2. Bon je reviens vite, je vais chercher mon gode ceinture. »
Tandis que mon amie s’absente un cours instant je questionne mon fils sur un ton un peu sec, voulant reprendre mon rôle de mère :
- Audrey/Marie : « Depuis quand tu baises Leïla ? »
- Alex/David : « Pourquoi t’es jalouse ? »
- Audrey/Marie : « Je veux savoir depuis quand ça dure. »
- Alex/David : « C’est pas le moment d’en parler, je te signale que t’es Soumise Marie alors reste à ta place de Soumise, je n’ai aucun compte à te rendre. Leïla te le dira après qu’elle t’aura baisée avec son gode. En attendant continue à me pomper, gobe bien mes couilles comme tu sais si bien le faire. »
Comme voulait vous ne pas obéir quand c’est demander si gentiment…Ce salaud s’est comment me remettre à ma condition de soumise. J’avale sa queue au plus profond de ma gorge, je sais qu’il adore quand je bave intensément dessus. Je veux aussi montrer à cette trainée de Leïla quand elle va revenir que je suis plus douée qu’elle. Tiens la revoilà, elle s’est harnachée d’un gros gode ceinture noir et me jette un bon regard de garce.
- Leïla : « Ton fils m’a dit que tu adorais te faire prendre le cul par lui et que pour le moment c’était le seul à pouvoir le faire. Je vais adorer te faire hurler avec mon joujou. »
Voulant être provoquante et ne pas me laisser trop rabattre je lui lance à la gueule.
- Audrey/Marie : « Essaye quand même sale traitresse. Rien ne remplacera la queue de mon Maître, espèce de trainée que tu es ! »
Une forte claque retentit de sa part.
- Leïla : « Je vais te calmer te me parler ainsi !!! »
Elle fouille dans un des tiroirs de la salle de bain et en sort 2 pinces à linges.
- Leïla : « Alex, tu me la laisses comme convenu, j’ai droit de faire ce que je veux ? »
- Alex/David : « Si tu respectes le deal pour la douche dorée, oui tu as carte blanche, mais attention pas de violence physique, ni de marques sur le corps qui durerait. »
Je veux protester pour la forme mais mon Maître maintient sa bite au fond de ma bouche. Leïla attache les pinces à linges sur mes tétines déjà gonflées de plaisir. Une larme coule le long de mon visage.
- Leïla : « Te voilé parée, grosse cochonne. Alex maintient la bien, je vais défoncer le cul de ta PUTE ! »
Même si je suis habituée maintenant à me faire sodomiser, rarement on me le prend à sec comme est en train de le faire Leïla, elle a juste cracher sur mon œillet et sans aucun ménagement m’a enfoncé son pieu directement au fond de mon cul me faisant pousser un cri de douleur. Je la supplie d’y aller en douceur et que je m’excuse de lui avoir mal parler, ça a l’air de la calmer car elle ralentit l’allure tout en me caressant les fesses.
Mon Maître lui comme un bon sadique s’amuse avec les pinces à linges. Même si la douleur est présente, j’ai aussi une sensation de plaisir qui envahit mon corps.
- Alex/David : « Si tu m’aimes comme tu le prétends, je vais te demander d’appartenir aussi à Leïla. Tu lui serviras d’esclave quand elle en aura envie et tu devras venir chez elle quand elle te le demanderas. Fini de faire le Pute de bord de route, j’ai des projets plus ambitieux te concernant. »
Sans trop prendre le temps de la réflexion, je lui réponds instantanément :
- Audrey/Marie : « Oui je vous aime. Je vous appartiens et c’est avec plaisir que je m’offre à mon amie. J’ai tellement de jouissance quand je suis avec vous mon Maître que je peux rien vous refuser. »
Leïla demande à mon fils de venir l’enculer pendant qu’elle me sodomise. Je sens les mouvements brusques de mon fils dans le cul de mon amie à travers le gode ceinture. Je ne suis que jouissance non stop. Leïla sent elle aussi son plaisir arriver, elle se retire brusquement de mon anus et me demande de venir lui brouter le minou avec ma langue. Elle miaule comme une bonne chatte en chaleur avec la bite de mon fils dans son cul et ma langue lui mordillant le clito. Mon Maître est au bord de l’explosion et il lâche dans la tour du cul de cette Salope.
- Alex/David : « Putain que c’est bon de se finir dans ton fion de Salope de bourge mature. »
À ces mots, Leïla devient subitement fontaine et m’arrose le visage. C’est la première fois que je vois une femme être fontaine et je la jalouse car même si je mouille abondamment je n’ai jamais explosé de cette façon. Au départ cela surprend car j’ai cru qu’elle me pissait à la gueule. Elle m’insulte tout en me jutant dessus. Mon Maître se retire de son cul et lui ordonne.
- Alex/David : « Positionne ton cul sous sa gueule et laisse couler mon foutre dans sa bouche de grosse cochonne. »
- Leïla : « Mmmm quelle excellente idée !!! Tu vas adorer Salope avaler le foutre de ton fils qui va sortir de ma raie. »
C’est dégradant et humiliant mais je remercie mon Maître de m’utiliser ainsi. À la fin Leïla me prends la tête à pleine main et me roule un patin d’enfer. Le foutre d’Alex se retrouve à se mélanger dans nos deux bouches avides.
Mais mon fils n’en a pas encore tout à fait fini avec nous 2.
- Alex/David : « Tu te souviens de ta promesse Leïla si je te laisse l’enculer !!! Filez sous la douche toute les deux. »
Je prend position à genoux sur le carrelage, Leïla m’ordonne d’ouvrir grand la bouche et elle m’arrose d’urine tout en ricanant. Une fois qu’elle a fini elle m’ordonne de lui nettoyer la chatte comme il faut avec ma langue. Je m’exécute sans discuter tout en regardant intensément mon Maître dans les yeux. Celui-ci ordonne ensuite à cette Salope de s’agenouiller et il lui déverse sa pisse à même sa bouche grande ouverte. Leïla joue avec ce jus puis me le recrache sur les seins et me masse avec ce jus doré.
Nous sommes tous exténué par cette partie de baise intense. Une douche rapide tout en tendresse et caresse puis nous passons au salon. Je prends place sur un fauteuil tandis que mon Maître et mon amie s’installe sur le canapé. Mon fils s’amuse à lui caresser la cuisse, voulant sans aucun doute me rendre jalouse d’elle.
Je me sens d’un coup toute gênée par la situation. Leïla nous quitte un instant pour préparer du thé et du café je tente de reprendre mon rôle de maman à demandant à mon fils depuis quand il voit intimement mon amie.
- Alex/David : « Ne tente pas de jouer à la maman !!! T’es toujours ma Salope de Marie ne l’oublie pas. »
- Audrey/Marie : « Pardon Monsieur. »
- Alex/David : « Je laisse Leïla te le dire elle même. »
Elle revient les mains chargés pour prendre une collation et j’installe collé à mon fils.
- Leïla : « Tu veux tout savoir je suppose ? »
- Audrey/David : « Oui s’il te plait. »
- Leïla : « Ton fils et moi avons des relations intimes depuis 5 ans déjà. »
Faisant rapidement le calcul, je suis choquée et outrée.
- Audrey/Marie : « Mais il était ****** il y a 5 ans ? »
- Leïla : « Non, j’ai eu ma première relation avec lui pile pour ses 18 ans, mais arrête de me couper et écoute l’histoire en entier, sinon je ne te dis plus rien, c’est bien compris Soumise. »
Piteusement je baisse la tête et lui fait signe que je l’écoute.
- Leïla : « En fait pour être précise, tout a commencé 1 ans avant ses 18 ans, vous étiez venu mangé à la maison tout les 3 avec ton mari un soir d’été. Alex s’était absenté prétendant aller aux toilettes. Nous étions installé dehors et une légère brise s’est faite ressentir. Je suis rentrée un moment pour aller nous chercher un gilet. Passant devant la porte de la salle de bain, celle-ci était légèrement entrouverte et là j’ai découvert abasourdi ton fils la bite dehors en train de se branler sur une de mes culottes tout en reniflant une autre qui était dans le bac à linge sale. J’avais la main sur la porte, furieuse, pour aller le gronder mais je me suis retenu. J’avais un sentiment d’être souillée mais je suis restée statufié par ce spectacle. En fait très vite j’ai ressenti une grande fierté de plaire à un tel beau jeune homme. À l’époque j’étais déjà libertine tu le sais, mais les jeunes n’étaient pas mon genre encore. »
Elle boit une gorgée de thé et reprend son récit.
- Leïla : « Quand il a jouie dans ma culotte, il a tout remis dans le panier à linge et moi je suis partie discrètement, ton fils n’a pas su que je l’avais surpris. Quand vous êtes partis, je suis retourné dans le panier à linge, j’ai reprise cette culotte pleine de son foutre et me suis branlée comme une dingue en repensant à sa grosse bite. Le lendemain je me suis tapé mon premier jeune, un mec de 19 ans dans un club privé, j’ai adoré le dominer et très vite je me suis prise de frénésie à déniaiser des puceaux mais c ‘était toujours le coup d’un soir rien de plus. »
Je commence à remouiller en l’entendant se confesser ainsi. Mon Maître le remarque car je me passe la langue sur mes lèvres tout en les pinçant.
- Leïla : « Même si ses jeunes m’apportaient beaucoup de plaisir, je n’arrêtais pas d’avoir l’image de ton fils dans ma tête. Si tu te souviens bien, je vous ai souvent invité cet été là. Je faisais exprès de m’habiller encore plus sexy rien pour qu’il fantasme sur moi. Et bien sur je l’ai de nouveau surprise en train de se branler sur mon peignoir. Mais cette fois ci je l’ai interrompu, il était rouge pivoine tout en s’excusant. J’ai fais semblant de le gronder en lui promettant que je ne dirais rien. »
- Alex/David : « À l’époque si tu veux savoir, je me branlais aussi sur des dessous Marie pour comparer vos deux odeurs de femmes matures. »
- Leïla : « Je suis une Salope mais pas au point de me faire un ******, aussi j’ai patiemment attendu 1 an et le lendemain de ses 18 ans je suis passé le chercher à la sortie de son école. Il fut surpris de me voir, lui ai demandé de monter dans la voiture car j’avais un cadeau pour son anniversaire. »
- Alex/David : « Comment oublier cette journée. »
- Leïla : « Il fut surpris de me voir prendre la direction de chez moi, me posant des questions et moi lui demandant d’être patient. J’étais vêtue d’un manteau avec une ceinture et dès qu’on a franchi la porte d’entrée, j’ai enlevée la ceinture et me suis retrouver totalement à poil devant lui. Le pauvre il était bouche bée ne sachant que faire. »
- Alex/David : « Tu m’étonnes, même si je le fantasmais souvent, je ne m’attendais pas à cela. »
- Leïla : « Là fièrement j’ai pris un bon regard de Salope et je lui ai dit que c’était moi son cadeau d’anniversaire, qu’il n’avait pas besoin de se branler sur ma lingerie, que je l’avais surprise la première fois et que je rêvais de sa bite souvent. »
- Alex/David : « J’avais déjà eu 2-3 fellations avec des filles de mon âge mais rien d’autres et ce jour là, Leïla m’a à la fois offerte sa chatte mais aussi son cul. Tu comprends mieux maintenant mon attirance pour les femmes mûres depuis ce jour-là. »
- Leïla : « Malgré sa relative inexpérience, il fût un amant merveilleux avec une fougue inépuisable. »
Je suis toute humide les entendre et je sens mes mamelons qui pointent dur.
- Audrey/Marie : « Et lui aussi alors il est devenu ton soumis ? »
- Leïla : « Et bien c’était mon idée de départ en effet, mais je suis tombée sur plus fort que moi. Ton fils n’était pas accro à moi, en fait c’est à toi qu’il pensait sans arrêt, il me l’a très vite confié n’osant pas franchir le pas de ce tabou. Mais moi je ne pouvais plus me passer de lui alors très vite, c’est moi qui suis devenu sa Soumise. C’est le seul homme qui me domine, les autres je les matte crois moi. »
De l’entendre me dire qu’Alex était accro de moi, me comble de joie. Aussi sans attendre un ordre quelconque je m’approche d’eux, je dégrafe son jean et lèche sa belle bite. Leïla l’embrasse à pleine bouche tandis que je gobe ses couilles avec le plus de bave possible comme il aime.
- Alex/David : « Je suis un Maître comblé avec mes 2 belles Chiennes à mes côtés. Mais Marie n’oublie pas que tu appartiens aussi maintenant à Leïla. »
- Audrey/Marie : « Avec plaisir Maître....et Maîtresse. »
- Leïla : « On en a déjà parlé avec Alex, on a tout un tas de grand projet avec toi ma Salope. »
- Audrey/Marie : « Vous m’en voyez ravie Maîtresse. »
À suivre....
8 months ago
