Une journée mémorable
Après une soirée extraordinaire j’ai quartier libre toute la journée et jusqu’au lendemain matin. J’ai contacté Maîtresse Alex pour savoir si elle pourrait m’accueillir dans une de ses partouzes mais elle n’est pas libre. Alors j’irai à l’Atlas, à l’EMC et finirai la soirée à l’Impact.
Est ce que ce sera ouvert ? Il y aura t’il du monde ? Quelle angoisse !
Je me renseigne : L’Atlas et l’EMC sont ouverts aux heures habituelles mais l’Impact n’ouvre qu’à minuit !
C’est beaucoup trop tard pour moi. Pourquoi est ce qu’on doit attendre la nuit pour se faire enculer ? C’est dommage mais je n’irai pas. Je resterai à l’Atlas qui lui ferme à minuit. Voilà mon plan : j’irai en fin de matinée à l’Atlas jusque vers 14 heure, puis à l’EMC où je pourrai toujours faire une sieste dans une cabine et je retournerai après dîner pour finir la soirée à l ´Atlas.
Vers midi j’arrive à Pigalle. Il y a une queue énorme devant l’Atlas ! Que se passe-t’il ? Ah non, c’est pour le restaurant d’à côté ( le Bouillon Pigalle). Ça y est j’ai mon billet, je descends les escaliers, je m’arrête pour uriner dans les toilettes qui sont étonnamment propres, je pousse la porte disjointe, je suis dans la salle, dans le noir presque total à part la lumière de l’écran sur lequel une blonde au gros seins gémit en se faisant sodomiser. Personne ! Si, une silhouette debout dans un coin sombre, un homme d’un certain âge et même d’un âge certain. Un peu plus loin un autre, puis un troisième. Ils attendent sagement (?) en regardant le film.
Je monte à l’étage en lisant au passage les messages romantiques qui ornent le couloir : « je suce et j’avale 06… », « trav salope cherche grosse queue 07… »..). J’ai toujours aimé ce genre de littérature.
En haut personne mais je remarque qu’il fait plus froid, seul le rez-de-chaussée est chauffé aujourd’hui.
Je redescends.
Maintenant on est 4 dans la salle. Je vais jusqu’à l’escalier à côté de l’écran voir à tout hasard. Personne, mais quand je reviens les choses ont changées : debout au milieu du couloir un trav imposant : 1m80 (avec les talons) cheveux bruns courts, maquillage genre salope, décolleté avantageux et plongeant, minijupe dévoilant le haut des bas…excitant. Tous les spectateurs précédemment sages sont regroupés autour d’elle, ils frôlent, caressent, tripotent..plusieurs sont bite à l’air et en main dans l’espoir d’une branlette, voir plus. Elle se laisse faire en souriant. Bien sûr je me joins au groupe. Par dessus l’épaule d’un camarade je peux atteindre un téton, puis une cuisse, je glisse un doigt dans l’entre jambe pour constater qu’elle a un slip, je caresse le haut de sa cuisse…C’est un peu la bousculade mais c’est bandant. Un grand et jeune black s’approche par derrière et accapare son attention, lui roule une pelle puis l’emmène s’assoir au fond de la salle. Nous les seniors, restons dépités.
Heureusement pas pour longtemps : cette fois c’est une petite brune à lunette qui rentre dans la salle. Un petit haut en fourrure noire, une minijupe en velours multicolore, des bottines, un bon maquillage…très appétissant. Aussitôt tous les camarades se regroupent autour d’elle et recommence leurs caresses. Je ne suis pas en reste. Je glisse la main dans son corsage, plus bas je constate qu’elle n’a pas de culotte et je peux branler sa queue petite et douce, triturer ses couilles épilées, essayer d’atteindre son trou mignon. Bien sûr j’ai en même temps sorti ma bite que je branle de la main gauche - c’est n’est pas ma meilleure - et un participant s’agenouille pour me sucer. Pourquoi pas. Au bout de quelques minutes je laisse la place aux autres et vais voir ailleurs ce qui se passe.
La grande brune est debout au fond de la salle occupée à se faire pistonner par son partenaire, je ne vais pas m’en mêler. En dehors de ça il ne passe pas grand chose.
Après plusieurs temps d’attente, debout, assis, dans la salle du haut, la salle du bas (c’est comme ça à l’Atlas on marche pas mal) je retrouve la petite brune à lunette assise au dernier rang de la salle du haut occupée à branler un type assis à sa droite. Comme il y a une place à sa gauche je m’y installe sans opposition de sa part. Je sors ma queue et la lui présente pour qu’elle me suce. Elle décline en me disant gentiment et sans agressivité qu’elle trouve qu’elle sent un peu trop et que je devrais y passer un coup de lingette ! Allons bon ! C’est la première fois qu’on me fait ce genre de remarque alors que je me savonne le gland tous les jours. Il est vrai que je ne l’ai pas fait aujourd’hui car m’étant réveillé tard j’avais hâte de commencer les activités prévues dans la journée.
Cette remarque me coupe les moyens si bien que dans ces conditions et compte tenu de l’heure je quitte les lieux pour aller comme prévu à l’EMC où je pourrai prendre une douche et bien me savonner les parties.
J’y suis, sous la douche brûlante à côté du hammam vers 15 heure. Je savonne, je savonne, je décalotte, je savonne, je recalotte, je savonne, je branle, je branle…oh ! Arrête tu vas pas jouir ici tout seul ! Oui, oui, je savonne, je savonne, je m’enfonce deux doigts savonneux dans le trou, bien profond, je savonne…là plus personne ne pourra me faire des remarques désobligeantes. C’est ça qui est bien, aussi, dans les saunas, c’est que tout le monde prend une douche avant de baiser. Fini les mauvaises odeurs.
Maintenant j’ai tout mon temps. D’abord, comme d’habitude, détente au hammam. Il est bien chaud, vaporeux et embrumé. C’est agréable mais il ne se passe rien. Puis je fais le tour des lieux. Il n’y a pas la foule mais c’est quand même animé. Personne dans la backroom du 1er sous-sol, plusieurs cabines occupées. A l’étage du dessous le jacuzzi est complet, la piscine, comme la salle de ciné, est vide de même que la nouvelle backroom. Une place c’est libérée dans le jacuzzi, je m’y glisse. C’est agréable mais personne ne viens me tripoter. Je sors et je vais au sauna me réchauffer. Je somnole couché sur la banquette du haut. Je sens une main me saisir la bite, qui ne tarde pas à se raidir, puis une bouche qui l’engloutit et la pompe. J’aime et je le fait savoir en remuant les anches dans le rythme et en poussant de petits gémissements. Malheureusement mon pompeur est timide, il s’arrête quand quelqu’un entre dans la pièce. Les 15 minutes étant écoulées je sors et gagne une cabine dans l’idée de faire une petite sieste. Malgré tout je laisse la porte ouverte et je m’enduis la bite et les couilles de lub pour me branler un petit peu avant de m’assoupir. Très rapidement j’ai de la visite et je me retrouve, couché sur le côté à sucer un sexe de bonne taille. C’est même la taille idéale pour moi : bien raide, pas trop petite mais pas non plus trop grosse, je peux faire une gorge profonde sans m’étouffer. J’y vais de bon cœur en haletant, gémissant et ne cherchant pas à dissimuler les bruits de salive. Mon compagnon me branle et me doigte le trou. Parfois il s’arrête pour me baiser la bouche en me fourrer sa langue bien au fond. C’est obscène et ça m’excite.
Comme la porte est restée ouverte, ce que j’adore, nous sommes rejoints par plusieurs intéressés et je me retrouve à sucer et branler plusieurs bites à la fois. C’est ce que j’aime.
Au bout de quelques temps je me retrouve seul avec celui qui va bien s’occuper de moi. Après m’avoir donné sa queue à téter puis roulé des pelles d’enfer il me fait mettre sur le ventre, me lèche le trou, y enfonce sa langue, ses doigts enduits de lub et se couche sur moi pour y mettre sa pine raide. Cette fois ci il est gros. Je dois lui demander d’y aller doucement et de ne pas tout mettre d’un coup. Il entre juste le gland et lime et bon moment. Je crois qu’il avait une capote mais je ne l’ai pas vérifié, pris dans l’ambiance. Finalement il décule, me roule une pelle, me remercie et me laisse pantelant. Une très bonne séance.
Ayant repris mes esprits je vais m’étendre sur un des transats à côté de la piscine et bercé par le bruit du jacuzzi et des conversations je m’endors un bon quart d’heure.
Au réveil je vais visiter la nouvelle backroom où je croise sans m’arrêter quelques adeptes des plaisirs cachés puis je vais m’assoir sur les gradins du ciné pour regarder bite en main l’habituel film d’enculade. Juste en dessous de moi un gars très maigre se branle énergiquement en me jetant des regards de biches. Pour ne pas le décevoir et pour le plaisir de m’exhiber je m’agenouille entre ses cuisses pour le pomper un bon moment.
Après cela je remonte au premier, refais un peu de hammam et m’étends à nouveau dans une cabine. Très rapidement je suis rejoint par un bel homme. Je le suce, il me suce et on se met en 69 pour le faire en même temps. J’adore mais il n’est pas bien placé et j’ai du mal à atteindre sa bite. Tant pis, je lui lèche les couilles, le périnée et l’anus. Il apprécie et se redresse pour se branler furieusement alors que j’ai la langue dans son trou du cul. Je sens son corps qui frémit et il me décharge sur le torse et le ventre. Il y en a une grande quantité avec laquelle je me frotte avec délectation. A mon tour je me branle pour rajouter mon propre foutre. Ça fait du bien.
Une bonne douche bien savonnée et je quitte les lieux très satisfait pour aller manger.
Après je repas je dois me faire violence pour remonter à l’Atlas. Mais quand faut y aller, faut y aller, comme on dit. Je ne le regretterai pas.
L’ambiance n’est plus celle de ce matin, maintenant il y a au moins 10 travs plus excitantes les une que les autres et le double de consommateurs. Surtout de jeunes blacks baraqués qu’on suppose hyper-membrés et qui bien sûr ont la faveur de ces belles si bien que nous les seniors qui bandent mou nous sommes un peu mis sur la touche. Qu’à cela ne tienne c’est aussi excitant de faire le voyeur.
Après avoir fait le tour des lieux j’arrive à la salle à l’étage, au dernier rang deux couples en pleine activité : une brune bien enrobée, dans un ensemble à fleurs et penchée vers son voisin qu’elle pompe avec application. Dans cette position on aperçoit son gros cul blanc et une minuscule culotte noire. Excitant, mais quand un passant viens y mettre la main elle l’éloigne. De l’autre côté une blonde bien bâtie, presque nue en lingerie rouge, suce un autre jeune black avant de se mettre à genoux sur le siège pour se faire enculer. Son partenaire et elle on du mal à trouver une bonne position et doivent si reprendre plusieurs fois avant de trouver leur rythme. Peut-être que finalement il ne bande pas si dur que ça ? J’aurai pu être dû aller proposer mes services. Ce groupe pittoresque attire les voyeurs qui viennent admirer et s’assoir à côté en espérant participer. D’autre travs vont et viennent : une très grande black en ensemble rouge reste quelques minutes sans rien faire. Elle est remplacée par une brune filiforme, cheveux brun, mi-longs habillée très bon-chic bon-genre, écolière sage, un haut fermé noir, une jupe plissée marron descendant au genoux…que fait elle dans ce lieux de perdition ? Justement rien : elle regarde, se promène d’une salle à l’autre, s’assoit, se lève…elle semble repousser toute avance. A un moment donné, dans la salle bas, j’essaie de m’assoir à côté d’elle en lui demandant poliment si je peux lui tenir compagnie. Elle refuse d’un geste de la main qu’elle a très belle et fine. C’est dommage, je suis sûr qu’elle m’aurait si bien branlé.
A un moment donné la grosse brune en robe à fleur abandonne son compagnon et sort de la salle. Elle est aussitôt remplacée par une trav black qui se met à sucer le type qui n’a pas bougé. Quelques minutes plus tard la robe à fleur revient et trouve la place prise. Elle semble estomaquée et reste sur place à regarder les coupables. Elle va ensuite s’assoir à proximité et quand la black se lève elle se précipite pour reprendre sa place et son activité. Mais qu’est ce qu’il a ce type ? Une bite en sucre ?
Un peu plus tard, dans la salle du bas, j’aperçois dans le pénombre une tache blanche. Tiens quelqu’un a oublié son sac ! Mais en me rapprochant je vois en fait qu’il s’agit d’un cul offert : son propriétaire est un homme entre deux âges que j’avais déjà repéré. Les cheveux blancs, une petite barbe, un blouson en jean, normal. Mais en bas il est simplement en collant sur lequel il a enfilé un slip de femme, noir. Comme personne ne s’occupait de lui a trouvé ce moyen pour attirer l’attention. En fait ça ne marche pas très bien. Les gens passent devant son cul sans s’arrêter. Moi je le caresse, il est doux et bien épilé, je lui doigte le trou, enfonce un puis deux doigts, je pourrai y mettre ma queue mais comme je n’ai ni capote ni lubrifiant je renonce.
Plus tard dans la soirée je découvre une autre personne dans la même position à proximité. Cette fois c’est une belle trav blonde, cheveux long, robe noire à paillettes à mi-cuisse, talons hauts… tout ce qu’il faut pour exciter les hommes. Malgré cela elle s’est mis la tête dans un fauteuil et offre son cul aux passants. En plus elle a un slip noir fendu que j’ouvre avec délectation. Je caresse, je doigte mais comme dans le cas précédent je ne pénètre pas. Je remarque aussi qu’elle n’a pas beaucoup de succès : l’endroit où elle s’est mise -au fond de la salle du bas- est trop sombre et on ne la remarque que difficilement. Les gens sont debout, juste à côté, tournés vers l’avant à regarder l’écran ou 2 couples qui baisent dans les rangées mais il ne semblent pas voir le cul qui est offert. J’ai envie de leur crier :
« là, derrière vous, regarder ces belles fesses, arrêtez de vous branler et venez les enculer… »
mais je m’abstiens.
De toute façon il se fait tard et je dois quitter les lieux pleinement satisfait. Quand pourrais-je revenir ? J’ai hâte.
Est ce que ce sera ouvert ? Il y aura t’il du monde ? Quelle angoisse !
Je me renseigne : L’Atlas et l’EMC sont ouverts aux heures habituelles mais l’Impact n’ouvre qu’à minuit !
C’est beaucoup trop tard pour moi. Pourquoi est ce qu’on doit attendre la nuit pour se faire enculer ? C’est dommage mais je n’irai pas. Je resterai à l’Atlas qui lui ferme à minuit. Voilà mon plan : j’irai en fin de matinée à l’Atlas jusque vers 14 heure, puis à l’EMC où je pourrai toujours faire une sieste dans une cabine et je retournerai après dîner pour finir la soirée à l ´Atlas.
Vers midi j’arrive à Pigalle. Il y a une queue énorme devant l’Atlas ! Que se passe-t’il ? Ah non, c’est pour le restaurant d’à côté ( le Bouillon Pigalle). Ça y est j’ai mon billet, je descends les escaliers, je m’arrête pour uriner dans les toilettes qui sont étonnamment propres, je pousse la porte disjointe, je suis dans la salle, dans le noir presque total à part la lumière de l’écran sur lequel une blonde au gros seins gémit en se faisant sodomiser. Personne ! Si, une silhouette debout dans un coin sombre, un homme d’un certain âge et même d’un âge certain. Un peu plus loin un autre, puis un troisième. Ils attendent sagement (?) en regardant le film.
Je monte à l’étage en lisant au passage les messages romantiques qui ornent le couloir : « je suce et j’avale 06… », « trav salope cherche grosse queue 07… »..). J’ai toujours aimé ce genre de littérature.
En haut personne mais je remarque qu’il fait plus froid, seul le rez-de-chaussée est chauffé aujourd’hui.
Je redescends.
Maintenant on est 4 dans la salle. Je vais jusqu’à l’escalier à côté de l’écran voir à tout hasard. Personne, mais quand je reviens les choses ont changées : debout au milieu du couloir un trav imposant : 1m80 (avec les talons) cheveux bruns courts, maquillage genre salope, décolleté avantageux et plongeant, minijupe dévoilant le haut des bas…excitant. Tous les spectateurs précédemment sages sont regroupés autour d’elle, ils frôlent, caressent, tripotent..plusieurs sont bite à l’air et en main dans l’espoir d’une branlette, voir plus. Elle se laisse faire en souriant. Bien sûr je me joins au groupe. Par dessus l’épaule d’un camarade je peux atteindre un téton, puis une cuisse, je glisse un doigt dans l’entre jambe pour constater qu’elle a un slip, je caresse le haut de sa cuisse…C’est un peu la bousculade mais c’est bandant. Un grand et jeune black s’approche par derrière et accapare son attention, lui roule une pelle puis l’emmène s’assoir au fond de la salle. Nous les seniors, restons dépités.
Heureusement pas pour longtemps : cette fois c’est une petite brune à lunette qui rentre dans la salle. Un petit haut en fourrure noire, une minijupe en velours multicolore, des bottines, un bon maquillage…très appétissant. Aussitôt tous les camarades se regroupent autour d’elle et recommence leurs caresses. Je ne suis pas en reste. Je glisse la main dans son corsage, plus bas je constate qu’elle n’a pas de culotte et je peux branler sa queue petite et douce, triturer ses couilles épilées, essayer d’atteindre son trou mignon. Bien sûr j’ai en même temps sorti ma bite que je branle de la main gauche - c’est n’est pas ma meilleure - et un participant s’agenouille pour me sucer. Pourquoi pas. Au bout de quelques minutes je laisse la place aux autres et vais voir ailleurs ce qui se passe.
La grande brune est debout au fond de la salle occupée à se faire pistonner par son partenaire, je ne vais pas m’en mêler. En dehors de ça il ne passe pas grand chose.
Après plusieurs temps d’attente, debout, assis, dans la salle du haut, la salle du bas (c’est comme ça à l’Atlas on marche pas mal) je retrouve la petite brune à lunette assise au dernier rang de la salle du haut occupée à branler un type assis à sa droite. Comme il y a une place à sa gauche je m’y installe sans opposition de sa part. Je sors ma queue et la lui présente pour qu’elle me suce. Elle décline en me disant gentiment et sans agressivité qu’elle trouve qu’elle sent un peu trop et que je devrais y passer un coup de lingette ! Allons bon ! C’est la première fois qu’on me fait ce genre de remarque alors que je me savonne le gland tous les jours. Il est vrai que je ne l’ai pas fait aujourd’hui car m’étant réveillé tard j’avais hâte de commencer les activités prévues dans la journée.
Cette remarque me coupe les moyens si bien que dans ces conditions et compte tenu de l’heure je quitte les lieux pour aller comme prévu à l’EMC où je pourrai prendre une douche et bien me savonner les parties.
J’y suis, sous la douche brûlante à côté du hammam vers 15 heure. Je savonne, je savonne, je décalotte, je savonne, je recalotte, je savonne, je branle, je branle…oh ! Arrête tu vas pas jouir ici tout seul ! Oui, oui, je savonne, je savonne, je m’enfonce deux doigts savonneux dans le trou, bien profond, je savonne…là plus personne ne pourra me faire des remarques désobligeantes. C’est ça qui est bien, aussi, dans les saunas, c’est que tout le monde prend une douche avant de baiser. Fini les mauvaises odeurs.
Maintenant j’ai tout mon temps. D’abord, comme d’habitude, détente au hammam. Il est bien chaud, vaporeux et embrumé. C’est agréable mais il ne se passe rien. Puis je fais le tour des lieux. Il n’y a pas la foule mais c’est quand même animé. Personne dans la backroom du 1er sous-sol, plusieurs cabines occupées. A l’étage du dessous le jacuzzi est complet, la piscine, comme la salle de ciné, est vide de même que la nouvelle backroom. Une place c’est libérée dans le jacuzzi, je m’y glisse. C’est agréable mais personne ne viens me tripoter. Je sors et je vais au sauna me réchauffer. Je somnole couché sur la banquette du haut. Je sens une main me saisir la bite, qui ne tarde pas à se raidir, puis une bouche qui l’engloutit et la pompe. J’aime et je le fait savoir en remuant les anches dans le rythme et en poussant de petits gémissements. Malheureusement mon pompeur est timide, il s’arrête quand quelqu’un entre dans la pièce. Les 15 minutes étant écoulées je sors et gagne une cabine dans l’idée de faire une petite sieste. Malgré tout je laisse la porte ouverte et je m’enduis la bite et les couilles de lub pour me branler un petit peu avant de m’assoupir. Très rapidement j’ai de la visite et je me retrouve, couché sur le côté à sucer un sexe de bonne taille. C’est même la taille idéale pour moi : bien raide, pas trop petite mais pas non plus trop grosse, je peux faire une gorge profonde sans m’étouffer. J’y vais de bon cœur en haletant, gémissant et ne cherchant pas à dissimuler les bruits de salive. Mon compagnon me branle et me doigte le trou. Parfois il s’arrête pour me baiser la bouche en me fourrer sa langue bien au fond. C’est obscène et ça m’excite.
Comme la porte est restée ouverte, ce que j’adore, nous sommes rejoints par plusieurs intéressés et je me retrouve à sucer et branler plusieurs bites à la fois. C’est ce que j’aime.
Au bout de quelques temps je me retrouve seul avec celui qui va bien s’occuper de moi. Après m’avoir donné sa queue à téter puis roulé des pelles d’enfer il me fait mettre sur le ventre, me lèche le trou, y enfonce sa langue, ses doigts enduits de lub et se couche sur moi pour y mettre sa pine raide. Cette fois ci il est gros. Je dois lui demander d’y aller doucement et de ne pas tout mettre d’un coup. Il entre juste le gland et lime et bon moment. Je crois qu’il avait une capote mais je ne l’ai pas vérifié, pris dans l’ambiance. Finalement il décule, me roule une pelle, me remercie et me laisse pantelant. Une très bonne séance.
Ayant repris mes esprits je vais m’étendre sur un des transats à côté de la piscine et bercé par le bruit du jacuzzi et des conversations je m’endors un bon quart d’heure.
Au réveil je vais visiter la nouvelle backroom où je croise sans m’arrêter quelques adeptes des plaisirs cachés puis je vais m’assoir sur les gradins du ciné pour regarder bite en main l’habituel film d’enculade. Juste en dessous de moi un gars très maigre se branle énergiquement en me jetant des regards de biches. Pour ne pas le décevoir et pour le plaisir de m’exhiber je m’agenouille entre ses cuisses pour le pomper un bon moment.
Après cela je remonte au premier, refais un peu de hammam et m’étends à nouveau dans une cabine. Très rapidement je suis rejoint par un bel homme. Je le suce, il me suce et on se met en 69 pour le faire en même temps. J’adore mais il n’est pas bien placé et j’ai du mal à atteindre sa bite. Tant pis, je lui lèche les couilles, le périnée et l’anus. Il apprécie et se redresse pour se branler furieusement alors que j’ai la langue dans son trou du cul. Je sens son corps qui frémit et il me décharge sur le torse et le ventre. Il y en a une grande quantité avec laquelle je me frotte avec délectation. A mon tour je me branle pour rajouter mon propre foutre. Ça fait du bien.
Une bonne douche bien savonnée et je quitte les lieux très satisfait pour aller manger.
Après je repas je dois me faire violence pour remonter à l’Atlas. Mais quand faut y aller, faut y aller, comme on dit. Je ne le regretterai pas.
L’ambiance n’est plus celle de ce matin, maintenant il y a au moins 10 travs plus excitantes les une que les autres et le double de consommateurs. Surtout de jeunes blacks baraqués qu’on suppose hyper-membrés et qui bien sûr ont la faveur de ces belles si bien que nous les seniors qui bandent mou nous sommes un peu mis sur la touche. Qu’à cela ne tienne c’est aussi excitant de faire le voyeur.
Après avoir fait le tour des lieux j’arrive à la salle à l’étage, au dernier rang deux couples en pleine activité : une brune bien enrobée, dans un ensemble à fleurs et penchée vers son voisin qu’elle pompe avec application. Dans cette position on aperçoit son gros cul blanc et une minuscule culotte noire. Excitant, mais quand un passant viens y mettre la main elle l’éloigne. De l’autre côté une blonde bien bâtie, presque nue en lingerie rouge, suce un autre jeune black avant de se mettre à genoux sur le siège pour se faire enculer. Son partenaire et elle on du mal à trouver une bonne position et doivent si reprendre plusieurs fois avant de trouver leur rythme. Peut-être que finalement il ne bande pas si dur que ça ? J’aurai pu être dû aller proposer mes services. Ce groupe pittoresque attire les voyeurs qui viennent admirer et s’assoir à côté en espérant participer. D’autre travs vont et viennent : une très grande black en ensemble rouge reste quelques minutes sans rien faire. Elle est remplacée par une brune filiforme, cheveux brun, mi-longs habillée très bon-chic bon-genre, écolière sage, un haut fermé noir, une jupe plissée marron descendant au genoux…que fait elle dans ce lieux de perdition ? Justement rien : elle regarde, se promène d’une salle à l’autre, s’assoit, se lève…elle semble repousser toute avance. A un moment donné, dans la salle bas, j’essaie de m’assoir à côté d’elle en lui demandant poliment si je peux lui tenir compagnie. Elle refuse d’un geste de la main qu’elle a très belle et fine. C’est dommage, je suis sûr qu’elle m’aurait si bien branlé.
A un moment donné la grosse brune en robe à fleur abandonne son compagnon et sort de la salle. Elle est aussitôt remplacée par une trav black qui se met à sucer le type qui n’a pas bougé. Quelques minutes plus tard la robe à fleur revient et trouve la place prise. Elle semble estomaquée et reste sur place à regarder les coupables. Elle va ensuite s’assoir à proximité et quand la black se lève elle se précipite pour reprendre sa place et son activité. Mais qu’est ce qu’il a ce type ? Une bite en sucre ?
Un peu plus tard, dans la salle du bas, j’aperçois dans le pénombre une tache blanche. Tiens quelqu’un a oublié son sac ! Mais en me rapprochant je vois en fait qu’il s’agit d’un cul offert : son propriétaire est un homme entre deux âges que j’avais déjà repéré. Les cheveux blancs, une petite barbe, un blouson en jean, normal. Mais en bas il est simplement en collant sur lequel il a enfilé un slip de femme, noir. Comme personne ne s’occupait de lui a trouvé ce moyen pour attirer l’attention. En fait ça ne marche pas très bien. Les gens passent devant son cul sans s’arrêter. Moi je le caresse, il est doux et bien épilé, je lui doigte le trou, enfonce un puis deux doigts, je pourrai y mettre ma queue mais comme je n’ai ni capote ni lubrifiant je renonce.
Plus tard dans la soirée je découvre une autre personne dans la même position à proximité. Cette fois c’est une belle trav blonde, cheveux long, robe noire à paillettes à mi-cuisse, talons hauts… tout ce qu’il faut pour exciter les hommes. Malgré cela elle s’est mis la tête dans un fauteuil et offre son cul aux passants. En plus elle a un slip noir fendu que j’ouvre avec délectation. Je caresse, je doigte mais comme dans le cas précédent je ne pénètre pas. Je remarque aussi qu’elle n’a pas beaucoup de succès : l’endroit où elle s’est mise -au fond de la salle du bas- est trop sombre et on ne la remarque que difficilement. Les gens sont debout, juste à côté, tournés vers l’avant à regarder l’écran ou 2 couples qui baisent dans les rangées mais il ne semblent pas voir le cul qui est offert. J’ai envie de leur crier :
« là, derrière vous, regarder ces belles fesses, arrêtez de vous branler et venez les enculer… »
mais je m’abstiens.
De toute façon il se fait tard et je dois quitter les lieux pleinement satisfait. Quand pourrais-je revenir ? J’ai hâte.
11 months ago
Meilleurs voeux à toutes et à tous