Nini
Nini était en larmes devant le distributeur.
Sa carte venait d’être avalée…à découvert d’au moins 2000€…
Sa vieille Twingo en panne…les Assedic qui ne lui versaient plus rien, pas facile le chômage après
50ans…
Son portable se mit à sonner.
Elle décrocha machinalement.
C’était Mme Diop la proprio de son modeste appartement.
« Madame X ? je me permets de vous relancer pour les 6 mois de loyer impayés… »
« euh oui je… »
« Ça n’a que trop durer Madame X , moi aussi je dois rendre des comptes et à des gens nettement
moins conciliants que moi… passez chez moi cet après-midi et on essayera de trouver un terrain
d’entente… »
« Je…je ne suis pas très loin de chez vous actuellement…je…je peux passer vous déposer le
chèque… »
« Je ne suis présentement pas chez moi, seul mon papa est là , néanmoins, faisons comme cela...je
l’avertis afin qu’il vous ouvre ! »
Résignée Nini pris son vieux sac à main et commença à marcher…son surpoids la ralentissait et elle
s’essoufflait…elle n’était pas vieille pourtant, tout juste 54 printemps soufflés mais depuis le décès de
son cher Thierry il y avait 10ans elle s’était un peu laissé aller. Ses hanches étaient trop larges, et son
115
E ne justifiait pas ses kilos en trop.
Elle arriva en sueur devant chez Mme Diop…elle prit une profonde inspiration et sonna.
Mr Diop lui ouvrit visiblement étonné de la voir arriver si tôt…l’octogénaire était paré d’un peignoir qui
peinait à recouvrir son immense corps. il était d’une couleur ébène prononcée et confiait parfois que
nul sang blanc ne coulait dans ses veines…Malgré ses 80ans bien passé, il en imposait et Nini se
sentit bien vulnérable devant lui…
« Assieds-toi là Nini …c’est bien ainsi qu’on t’appelle ? »
Il désignait un vieux canapé…
Bien qu’interloquée qu’il la tutoie et connaisse son surnom, Nini obtempéra
« Ma fille Faty m’a averti un peu tard de ta venue, je n’ai pas eu de le temps d’enfiler une tenue
disons…correcte …je vais nous servir un apéritif…c’est l’heure de l’apéritif… »
« oh ne vous dé… »
« il ne sera pas dit que quelqu’un venant chez nous, quel qu’il soit, parte sans avoir pris l’apéritif si
c’est l’heure de l’apéro… »
« une larme, alors… » bégaya la pauvre Nini…
« il reste un fond de gin et un peu de tonic, ça fera l’affaire… »
Il remplit 2 verres du mélange, « chargeant » celui de Nini en gin…
« Faty m’a dit que c’est bon tu as récolté l’argent des loyers ? »
Nini prit une grande rasade pour se donner du courage…
« Je peux vous faire 1 chèque par mois de retard, si vous voulez bien attendre un peu entre… »
« Tu ne crois pas qu’elle a bien assez attendu ? ça suffit à la fin !»
Son ton était monté…
« Regarde ce que ses associés lui ont envoyés… »
Nini avala une autre rasade avant de regarder le cliché que Mr Diop lui tendait.
C’était une photo de sa fille…
Dessous était inscrit à la main son adresse …et une note indiquant :
« On ne peut sans doute pas mettre la mère sur le trottoir mais on devrait se faire un max avec la
fille…Et si elle ne rapporte pas assez c’est toi qu’on colle sur le trottoir… »
Nini, pâlit et engloutit le verre qui s’était miraculeusement rempli entre temps…
« S’il vous plaît ne faites rien à mon bébé, je n’ai plus qu’elle… »
« Comme je te l’ai dit, Faty ne lui veut pas de mal, mais ses associés veulent leur argent…je ne sais
pas quoi faire… »
« Je ferai tout ce que vous voudrez mais ne touchez pas à ma fille… »
« Il y a bien un moyen…je vis seul ici avec ma fille, elle travaille beaucoup à l’extérieur et je n’ai
personne pour faire l’entretien de cette grande maison…je te verse un peu plus que le Smic, tu viens
habiter ici, donc plus de loyers…et je t’avance l’argent du « retard » …ses associés ont leur argent et
ta fille est tranquille… »
« Venir vivre ici…je…mais…euh… »
« Bien sûr je dois avoir des compensations pour tous les efforts que je fais … il faudra te comporter
comme ma femme… un autre ? »
Nini avait avalé le verre comme si c’était de l’eau…
« C’est que je suis veuve et… »
« Moi aussi…nous nous réconforterons… »
« Je ne sais… je… »
« tu n’as pas le choix…ta banque te refuse un découvert plus important, tu n’as pas de travail,
et tu me dois un max…et n’oublies pas : ta fille est à la merci de mes « amis »…tu sais ce
qu’ils font ? ils l’att****nt, l’enferment dans une cave de cité et là ils organisent des
tournantes…si ta fille n’a jamais connu les joies de la double vaginale, elle risque de
morfler…des injections quotidienne d’héroïne …bien sûr pas de capotes…ils ne la relâchent
que pour la mettre complètement stone sur un trottoir où elle tapinera jusqu’à rembourser ta
dette…
Nini pleurait.
« Pitié, pas ma fille… »
Debout devant elle, Il ouvrit son peignoir…
« Tu as le choix…là, tu me suces, je te baise et ta fille est tranquille, sinon… »
Elle n’avait jamais vu de sexe noir auparavant. Son esprit un peu embrumé par l’alcool lui disait de ne
pas s’en approcher mais son corps était irrésistiblement attiré par l’homme…l’image de son cher
époux trop vite disparu lui revint comme un flash…
« C’est dégueulasse ce que … »
« Dégueulasse ? qui doit de l’argent à l’autre ? c’est un deal ! maintenant si ma came n’est pas
assez bien pour toi, je remballe et tu iras expliquer à ta fille sur un trottoir d’Alger ou je ne
sais où pourquoi elle est là… »
« Mais je ne peux pas, je suis fidèle… »
« Sais-tu pourquoi j’aime les femmes comme toi ? »
« Non…je »
« Parce que vous faites toutes les timides, les fidèles, les honteuses…mais quand ma bite vous
tape dans le fond, là vos scrupules s’envolent et vous jouissez comme des chiennes en rut ! »
« Mieux vous en redemandez…des « enculez moi encore » des « s’il vous plaît foutez votre
main dans ma chatte
Mr Diop avait été gâté par la nature... un sexe de près de 28cm et d’un bon diamètre…elle se disait
que « son » Thierry était loin d’être ainsi équipé et pourtant il lui donnait un plaisir immense à la belle
époque où la maladie ne l’avait pas affaibli…sa main avait glissé jusqu’au membre viril et le caressait
doucement…doucement le sexe prenait de la vigueur…comme hypnotisée Nini se mit à genoux et
joua de sa langue sur le membre…
Sa carte venait d’être avalée…à découvert d’au moins 2000€…
Sa vieille Twingo en panne…les Assedic qui ne lui versaient plus rien, pas facile le chômage après
50ans…
Son portable se mit à sonner.
Elle décrocha machinalement.
C’était Mme Diop la proprio de son modeste appartement.
« Madame X ? je me permets de vous relancer pour les 6 mois de loyer impayés… »
« euh oui je… »
« Ça n’a que trop durer Madame X , moi aussi je dois rendre des comptes et à des gens nettement
moins conciliants que moi… passez chez moi cet après-midi et on essayera de trouver un terrain
d’entente… »
« Je…je ne suis pas très loin de chez vous actuellement…je…je peux passer vous déposer le
chèque… »
« Je ne suis présentement pas chez moi, seul mon papa est là , néanmoins, faisons comme cela...je
l’avertis afin qu’il vous ouvre ! »
Résignée Nini pris son vieux sac à main et commença à marcher…son surpoids la ralentissait et elle
s’essoufflait…elle n’était pas vieille pourtant, tout juste 54 printemps soufflés mais depuis le décès de
son cher Thierry il y avait 10ans elle s’était un peu laissé aller. Ses hanches étaient trop larges, et son
115
E ne justifiait pas ses kilos en trop.
Elle arriva en sueur devant chez Mme Diop…elle prit une profonde inspiration et sonna.
Mr Diop lui ouvrit visiblement étonné de la voir arriver si tôt…l’octogénaire était paré d’un peignoir qui
peinait à recouvrir son immense corps. il était d’une couleur ébène prononcée et confiait parfois que
nul sang blanc ne coulait dans ses veines…Malgré ses 80ans bien passé, il en imposait et Nini se
sentit bien vulnérable devant lui…
« Assieds-toi là Nini …c’est bien ainsi qu’on t’appelle ? »
Il désignait un vieux canapé…
Bien qu’interloquée qu’il la tutoie et connaisse son surnom, Nini obtempéra
« Ma fille Faty m’a averti un peu tard de ta venue, je n’ai pas eu de le temps d’enfiler une tenue
disons…correcte …je vais nous servir un apéritif…c’est l’heure de l’apéritif… »
« oh ne vous dé… »
« il ne sera pas dit que quelqu’un venant chez nous, quel qu’il soit, parte sans avoir pris l’apéritif si
c’est l’heure de l’apéro… »
« une larme, alors… » bégaya la pauvre Nini…
« il reste un fond de gin et un peu de tonic, ça fera l’affaire… »
Il remplit 2 verres du mélange, « chargeant » celui de Nini en gin…
« Faty m’a dit que c’est bon tu as récolté l’argent des loyers ? »
Nini prit une grande rasade pour se donner du courage…
« Je peux vous faire 1 chèque par mois de retard, si vous voulez bien attendre un peu entre… »
« Tu ne crois pas qu’elle a bien assez attendu ? ça suffit à la fin !»
Son ton était monté…
« Regarde ce que ses associés lui ont envoyés… »
Nini avala une autre rasade avant de regarder le cliché que Mr Diop lui tendait.
C’était une photo de sa fille…
Dessous était inscrit à la main son adresse …et une note indiquant :
« On ne peut sans doute pas mettre la mère sur le trottoir mais on devrait se faire un max avec la
fille…Et si elle ne rapporte pas assez c’est toi qu’on colle sur le trottoir… »
Nini, pâlit et engloutit le verre qui s’était miraculeusement rempli entre temps…
« S’il vous plaît ne faites rien à mon bébé, je n’ai plus qu’elle… »
« Comme je te l’ai dit, Faty ne lui veut pas de mal, mais ses associés veulent leur argent…je ne sais
pas quoi faire… »
« Je ferai tout ce que vous voudrez mais ne touchez pas à ma fille… »
« Il y a bien un moyen…je vis seul ici avec ma fille, elle travaille beaucoup à l’extérieur et je n’ai
personne pour faire l’entretien de cette grande maison…je te verse un peu plus que le Smic, tu viens
habiter ici, donc plus de loyers…et je t’avance l’argent du « retard » …ses associés ont leur argent et
ta fille est tranquille… »
« Venir vivre ici…je…mais…euh… »
« Bien sûr je dois avoir des compensations pour tous les efforts que je fais … il faudra te comporter
comme ma femme… un autre ? »
Nini avait avalé le verre comme si c’était de l’eau…
« C’est que je suis veuve et… »
« Moi aussi…nous nous réconforterons… »
« Je ne sais… je… »
« tu n’as pas le choix…ta banque te refuse un découvert plus important, tu n’as pas de travail,
et tu me dois un max…et n’oublies pas : ta fille est à la merci de mes « amis »…tu sais ce
qu’ils font ? ils l’att****nt, l’enferment dans une cave de cité et là ils organisent des
tournantes…si ta fille n’a jamais connu les joies de la double vaginale, elle risque de
morfler…des injections quotidienne d’héroïne …bien sûr pas de capotes…ils ne la relâchent
que pour la mettre complètement stone sur un trottoir où elle tapinera jusqu’à rembourser ta
dette…
Nini pleurait.
« Pitié, pas ma fille… »
Debout devant elle, Il ouvrit son peignoir…
« Tu as le choix…là, tu me suces, je te baise et ta fille est tranquille, sinon… »
Elle n’avait jamais vu de sexe noir auparavant. Son esprit un peu embrumé par l’alcool lui disait de ne
pas s’en approcher mais son corps était irrésistiblement attiré par l’homme…l’image de son cher
époux trop vite disparu lui revint comme un flash…
« C’est dégueulasse ce que … »
« Dégueulasse ? qui doit de l’argent à l’autre ? c’est un deal ! maintenant si ma came n’est pas
assez bien pour toi, je remballe et tu iras expliquer à ta fille sur un trottoir d’Alger ou je ne
sais où pourquoi elle est là… »
« Mais je ne peux pas, je suis fidèle… »
« Sais-tu pourquoi j’aime les femmes comme toi ? »
« Non…je »
« Parce que vous faites toutes les timides, les fidèles, les honteuses…mais quand ma bite vous
tape dans le fond, là vos scrupules s’envolent et vous jouissez comme des chiennes en rut ! »
« Mieux vous en redemandez…des « enculez moi encore » des « s’il vous plaît foutez votre
main dans ma chatte
Mr Diop avait été gâté par la nature... un sexe de près de 28cm et d’un bon diamètre…elle se disait
que « son » Thierry était loin d’être ainsi équipé et pourtant il lui donnait un plaisir immense à la belle
époque où la maladie ne l’avait pas affaibli…sa main avait glissé jusqu’au membre viril et le caressait
doucement…doucement le sexe prenait de la vigueur…comme hypnotisée Nini se mit à genoux et
joua de sa langue sur le membre…
1 year ago