Rendez vous qui tourne surprennement bien
Elle s'appelle Excita, certainement un nom qu'elle a reçu de toutes ces remarques que l'on.<div> Je ne l'avais pas vue depuis longtemps et maintenant mon esprit était tourné vers elle. Je n'avais pas pu goûter à la chair depuis longtemps, et l'image de sa silhouette apparaissant au détour de la ruelle où j'allais lui donner rendez-vous provoquait en moi déjà l'excitation. Dans quelle tenue allait-elle se présenter à moi demain ? Quel allait être l'emballage qui recouvrira son corps chocolat aux formes généreuses ? Comment son visage serait mis en valeur, comment allait-elle entourer des yeux : de flamme ou de désir licoreux ? Allait-elle frapper le sol de nouveaux talons qui feront onduler ses fesses provocantes ? Sa poitrine sera t'elle emballée dans un tissu qui la fera rebondir ou portera t'elle un décolleté qui me présentera deux beaux fruits d'abondance ? Et surtout, son attitude de courtisane des plaisirs qui sentait le sexe à la ronde, l'avait-elle encore ?</div><div>Cet être d'un chaleureux raffinement allait croiser ma route demain soir, et là, j'intériorisait déjà nos retrouvailles. J'allais dans vingt-quatre heure exactement être en sa compagnie, discuter en la voyant, voyant ses sourcils battre comme un papillon aux ailes de soie, prendre son visage de poupée aux joues écarlates dans mes mains, entendre sa voix sonner comme du crystal sortir de sa bouche qui prend des moues de l****a à la fin de chaque phrase. J'allais aussi tenir ses mains, sentir ses doigts d'une fraîcheur égale à leur architecture délicate. Sachez que je ne parle que de ce tout à chacun peut voir et constater. Mais n'oubliez pas que j'ai connu cette personne dans son entièreté et que je vais vous faire un témoignage de ce délice sur terre. Oui je sais ce qui se cache derrière ce corps remarquable de beauté, et je vous assure que ce que vous avez tous vu d'elle n'est que le reflet de sa beauté, la nudité étant décidément son plus beau vêtement. </div><div>Ô Excita, mon chocolat, je m'endors mais nous allons enfin nous voir.</div><div>Le jour était arrivé. Je m'étais préparé, coiffé, rasé, parfumé, habillé de saison, pantalon de coton bleu ciel, mocassins et chemise jaune pastel. S'il y allait y avoir des photos, je devrais être en adéquation avec cet environnement, ce sera une soirée de confiseries et je serais un bonbon, le bonbon d'une bouche gourmande.</div><div>Sur le chemin du rendez-vous, si vous m'aviez vu, vous auriez pu voir en moi sa présence tant mon attitude avait été transformée. Je souriais d'un sourire béat, ma démarche assurée trahissait mon enthousiasme. C'étaient des "bonjour" éclatants que je donnais à tout à chacun au fil de mon cheminement vers le port, là où se trouvait le restaurant où j'avais convenu d'un rendez-vous avec Excita la délicieuse.</div><div>Je regarde ma montre, il me reste encore dix minutes avant mon rendez-vous. Je m'installe donc et prend un petit café. Je n'ai pas réussi à manger de la journée tant j'étais excité et tendu. Et j'en profite maintenant pourvous dire une bonne chose : à ce moment j'ai connu toutes les émotions en même temps. Épris d'amour puis dubitatif, plein d'espoir puis désespéré. L'attente n'en finissait pas, et à ce genre de moments, on peut se demander si on est vraiment cette personne qu'il m'a semblé être au moment où je suis arrivé à table. Le café terminé, j'ai voulu me relâcher et ai commandé un cocktail, afin d'être disposé à discuter pleinement de ces choses si frivoles mais tellement importantes. </div><div>Je me tourne, me retourne, regarde mon téléphone, puis j'entends un son qui sonnait comme un éclat. Ô ma douce est là, elle discute avec je ne sais qui, mais elle est là. Jambes à l'air dans son short d'été, faisant sonner ses talons elle marche en ma direction, mais elle n'est pas seule. Pourquoi ? Mais tant pis... La femme qui l'accompagne est également plutôt jolie, plutôt réservée, comparée à l'ambassadrice du charme qu'est Excita la radieuse. Excita la somptueuse a mis d'un décolleté, c'est ce que mes yeux n'arrivent plus à les quitter, il fait encore jour et je vais pouvoir garder les lunettes. Elle aussi en porte, mais là n'est pas le problème, après m'avoir fait la bise, Elle montre sa tenue en faisant un tour sur elle même tout en sautillant à chaque pas, elle le fait exprès, on sent mieux la fermeté de tout son corps. Ses fesses rebondissent bien dans leur jupe blanche, mais c'est assez subtil pour que ce ne soit vulgaire, je sais à quoi ressemble ce qu'il y a en dessous, et elle le sait. Et de par cette visite inattendue qu'est son amie, je me tiens plutôt sage, même si je suis plutôt tactile. Elle lui a parlé de moi dit elle alors ! Je la salue donc avec un bon sourire qu'elle le rend également. </div><div>- salut Enzo, je te présente Gina, Gina, je te présente Enzo.</div><div>Je la salue bien prestement.</div><div>Mon esprit est transit, je dois me ressaisir. D'un geste serein, je me débarrasse de toute ambivalence. Je suis possesseur de ma table, je vais les y inviter.</div><div>-- mais venez donc mes chères. Quelles nouvelles m'amenez vous ? Leur ais-je aussitôt demandé en me levant pour reculer leurs sièges. </div><div>Bien que Gina avait un certain charme, mon regard était fixé sur Excita. Je commençais à me rendre compte qu'elle avait était annoncée de son aura, mais de près, elle se laissait découvrir ses détails qui augmentaient son exquise beauté. Dans la discussion elle me fit part que Gina et elle avaient emménagé ensemble en centre-ville. Je ne me posais pas plus de questions que ça pour le moment, l'heure était venue de prendre nos boissons. Quelle réjouissance tout de même : le climat est doux, les couleurs du ciel sont belles, et je suis en compagnie de deux belles femmes à siroter des cocktails conçus par des esprits techniciens de l'ivresse et du bon goût. Tout ça commençait à me chauffer, mais j'allais devoir attaquer, parce-que je n'étais pas venu pour autre chose qu'Excita.</div><div>- alors Gina, elle est comment Excita ? Elle est toujours aussi pimentée ? Je sais qui elle est, et tu dois en voir des vertes et des pas mûres. Je me trompe ?</div><div>Et là, elle se mit à sourire, puis a lancé un rire qui a entraîné l'éclat de notre désirée.</div><div>- aah, Gina, tu me connais, tu sais bien que je ne suis pas comme ça ! Dit Excita lançant dans le ciel un éclat de rire.</div><div>J'ai compris alors la complicité des femmes à la manière dont elles se sont arrêtées de rire : regards complices et ces petites caresses échangées à la manière de jeunes l****as. </div><div>- ah ! Laisse la avec ces vieilles histoires, elle ne connait pas autre chose que la douceur que je lui ai toujours montrée.</div><div>Mais qu'est-ce qui pouvait bien se passer entre ces femmes ? Excita je la connais, et je sais très bien que ceux qui l'apellent comme ça connaissent la définition du mot excité. On ne peut pas l'appeler Excita sans que l'on n'ai de ses yeux vu une femme s'abandonner entièrement aux plaisirs. C'est un bonbon qui a sa peau au goût du sucre, un bonbon presque psychédélique et dont sa saveur caresse tous les sens, et je suis persuadé qu'elle n'a même pas conscience d'à quel point elle est exquise. </div><div>Me questionnant toujours sur cette affaire, je n'en perdait toujours pas nos excitantes discussions. Et oui, j'ai été vite désigné comme son ex à sa copine, a qui elle lui dit : " ah lui il est bon, tu peux me croire ! " . C'était l'exclusivité journalistique, Gina ouvrit les yeux de manière subite, elle semblait très bien prendre cette nouvelle. Puis rapidement le sujet fut écarté quand les assiettes chaudes et bien présentées étaient arrivées.</div><div>Toutefois, j'étais venu pour voir Excita, pour la posséder, pour jouir de son corps et de ses charmes, pour me noyer entre des cuisses humides. Après que nous ayons mangé, Gina voulu aller aux toilettes, et avant que notre désirée parte la rejoindre, je lui glissa dans l'oreille une suggestion à laquelle elle me chuchota à l'oreille : "t'inquiètes chéri, tu vas goûter à de bonnes choses ce soir" . Érection immédiate ! La partie aurait donc une fin chaleureuse ! </div><div> Mais à quoi cela pourrait ressembler ? Qu'est-ce qu'elle me préparait ? À partir de ce moment, j'étais devenu complètement extasié à chaque parole qu'elle prononçait, à chaque geste qu'Excita donnait. De ce moment jusqu'à ce que nous étions partis dans un bar à DJ, elle avait repousser chacune des allusions que je pouvais lui renvoyer, n'entamait aucune discussion qui allait pouvoir me donner une idée de la suite. Au bar, l'ambiance était bonne, bon son de Burna Boy, néons violets et qui faisaient briller nos vêtements blancs d'une lumière violette, cocktail bien mixé. Puis je suis parti aux toilettes, dans la foule des gens, je n'avais pas vu Excita qui m'avait suivi. Alors qu'elle m'avait bloqué dans les toilettes, elle s'accroupit et en me fixant des yeux ouvrit ma braguette en me disant : "ne bouge pas si tu veux que je te dise ce qu'elle va faire ce soir" prenant ma verge à pleine main, "Elle là ! " et elle se mit à la sucer goulûment. Elle a une manière toute à elle de reprendre sa salive rapidement sur toute la longueur de la pipe à tailler pour la faire parfois glisser tout au fond de sa gorge. Le temps pressait, Gina devait attendre dehors, alors elle a rangé ma bite en me disant que l'on allait rentrer tous les trois chez elle. Que soit cette nuit la plus chaude je n'en revenait pas. On se connait très bien elle et moi, mais là, elle est en train de faire mieux que je n'aurais pu espérer. J'attends quelques instants pour sortir, ne pas être grillé par des gens dans les toilettes, je sors pour me laver les mains, et de retour dans le bar, je nai pu voir qu'Excita s'exciter contre un gars. Le gars semblait avoir dragué Gina, mais, je ne sais pas si il lui avait parlé trop irrespectueusement, ou s'il y avait eu de la jalousie, c'était un peu des deux je pense. Mais dans le fond, je l'ai adoré sur le coup cet inconnu, il a mit tellement Excita en rogne qu'elle nous emmena directement dehors en râlant : "vas-y c'est bon ! On est là, tu es bien, on va aux toilettes, tu commences à laisser des gars te parler tranquillement, comme ça ! Ah gna gna gna ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ce soir "</div><div>Zut, ça commençait bien, ça n'allait quand même pas faire tomber mon histoire en l'air cette scène de ménage. Je prenais alors mes deux copines par les épaules et les renconcilia surprennement facilement. On a pris le taxi, et j'arrivais enfin à l'appartement fatidique. "Et c'est parti les filles".</div><div>On est tous rentrés en cohue. Je me suis directement posé avec Gina dans le canapé de ce qui semblait être le salon, Excita revenait avec une bouteille et trois verres : "c'est pas mieux comme ça ?" </div><div>Rétrospectivement, je savais que ça allait chauffer. Excita peut sourire, mais je sais que cette pipe qu'elle m'a taillée un peu avant annonçait quelque chose de plus grandiose, je l'ai senti à la manière dont elle m'a appelé. Gina était pour sa part dans l'un état d'excitation qui l'a faisait sourire et pétiller comme le mousseux que nous buvions. Excitation sincère, réciprocité que nous avions tous à ce moment les deux filles s'embrassèrent vraiment passionnément. Gina se laissait dévorer par sa bonne copine. Plus sa langue tournait dans la bouche d'Excita, plus elle la laissait promener ses mains sur ses seins jusqu'à ce qu'elle les découvre puis plus bas jusqu'à ce qu'on m'appelle pour rejoindre ce duo enveloppé de désir suintant. Gina semblait être envoûtée par les baisers qu'elle recevait sur son torse découvert à ce qu'en disaient ses yeux remplis de supplications. Quand je suis arrivé près d'elles, Excita me pris par les cheveux, en serrant bien fort pour m'embrasser à mon tour. Nos baisers sentaient le champagne, le goût victorieux de plaisirs exubérants. Puis sans me lâcher, suça le lobe de l'oreille de Gina, et comme elle en connaissait le chemin, sorti mon sexe raide comme la justice de son pochoir de lin. Température grandissante en mon sein, je suivi Gina en me déshabillant. Nous nous laissons aller et embrassons la belle femme saveur chocolat, elle est encore habillée, il faut remédier à ça. D'un geste habille ayant mené tendresse et vice, elle emmena la bouche de Gina sucer mon membre. Excita vu avec sourire que tout le monde était bien chaud, et pris mes mains pour les poser sur sa tête. Gina n'était occupée que par le plaisir de l'instant, elle avait tout l'air d'étudier ce part si quoi elle allait très certainement passer. Mais je m'étais trompé, elle n'allait pas encore passer par moi. Et de la porte d'à côté nous avons entendu : "j'arriiiive" La dame de nos plaisirs était partie de changer je ne sais où, elle avait enlevé sa jupe pour mettre une sorte de culotte noire aux bords rouges. Elle venait en marchant vite, ce qui faisait rebondir le gode noir que tenait sa culotte. Je m'étais trompé effectivement, c'est elle qui allait inaugurer l'interstice de Gina. </div><div>Excité que j'étais, entendant sa bouche gémir d'un son étouffé par ma bite, elle accueillait en elle un sacré enthousiasme de la part d'Excita. Tout d'abord douce car consciente de la taille de ce qu'elle donnait, elle a commencé à la prendre par les hanches en cognant ses fesses de plus en plus fort, ce qui rendait sa bouche de plus en plus profonde. Puis je vis ma partenaire dans les yeux s'exciter de plus en plus à faire jouir une femme. Nous étions devenus compétiteurs du plaisir de Gina, et pour signer ce commun accord, nous nous sommes embrassés. Moi, toujours dans une bouche, elle dans la chatte qui lui correspond. Elle me lançait un regard de défi, les mains bien sur les hanches de notre amie, en faisant claquer au plus fort et au plus vite ses coups de reins. J'ai eu du mal à sortir de la bouche de Gina qui me tenait fort, mais je pris mon tour sur elle. Excita pris la place que j'avais laissé et qu'elle semblait déjà connaître. Mais à sa différence, ma queue c'est une vraie, et elle me parle, je sais l'écouter. Et elle me dit où aller, comment y aller, et à mon tour je fais changer Gina sur un nouvel air. J'embrasse encore et toujours cette beauté qui m'a fait rêver des nuits entières, et qui me donne au delà de mes espérances. Je suis d'égal avec elle, nous ne baisons pas ensemble, nous baisons en concert. Nous brûlons de désir l'un pour l'autre, et Gina est celle qui encaisse nos assauts. Et comme nous tournons, nous ne faisons que des séries courtes et intenses. Il faudra qu'elle nous dise qui de nous deux l'a la plus marquée. C'est une des raisons qui fait qu'alors allongée, elle prit Gina par son anus. Elle dut prendre le temps qu'il fallait, mais j'ai eu plaisir à voir le gode s'y enfoncer petit à petit jusqu'à ce que cette voie nouvellement empruntée soit aussi facile d'accès que de par sa charte qui n'en pouvait plus de baver de plaisir. "J'ai l'impression que je suis taillée un peu trop gros, retourne toi". Et Gina se tourna, avec Excita de nouveau dans sa chatte. Elle s'embrassèrent des yeux. Voir sa copine gémir la faisait vraiment sourire. Je ne pouvais pas rester là le sexe ballant, à chaque tour j'avais la bouche, il me fallait son cul. Qu'importe qu'elle y ait pensé, elle me le donne quasiment. Le gode visitant son intimité, je vois son petit trou qui bouge, se déforme, c'est très certainement un message d'appel, il faut y répondre, et j'y réponds. Je me positionne sens que personne n'y prête attention, je vais rappeler que je ne suis pas parti. Badigeonné de lubrifiant, je m'enfonce au plus profond puis je bloque. Excita s'arrête, puis donne l'impulsion, au début je donne mes coups de reins alternativement avec ceux donnés par la complice, puis simultanément. Elle tient la tête de la femme sandwich pour bien regarder dans ses yeux, plus Gina montre qu'elle n'a plus pied, plus dans amplifie ses coups de reins. Plus elle amplifie ses coups, plus j'emplifie les miens. Nous menons une bataille entre nous, et Gina mouille sporadiquement, elle ne proteste pas du tout, mais est complètement déstabilisée par cette sensation de remplissage de toute d'un intimité. Et fous de désir que nous sommes, nous embrassons goulûment. Je prends beaucoup de plaisir à sentir ma verge massée par le gode à travers les parois interne de Gina, qui pour l'instant je fait qu'en demander encore. "Ah tu en veux encore hein ?" Excita de lève et la met sur le dos, la prend de toute sa longueur, lui mettant ma bite dans sa bouche. Excita est chaude, très chaude, très excitée. Elle sort de Gina, la met à genou, et la fait sucer nos deux queues. Intensité du moment, prise sur le coup Excita se plaça derrière moi, pris mon sexe de ses deux mains et dit à Gina de se tenir tranquille. Gina était la tête dans les nuages, épuisée de ce qu'elle venait de découvrir. Malgré tout, elle se prit au jeu d'Excita, qui prenait ma bite pour la sienne en mettant sa tête à côté de la mienne, comme pour vivre ma vie d'homme. Elle me sentait venir, et approcha le visage de Gina qu'elle recouvrit de tout mon sperme. Elle en contrôlait tous les jets successifs pour marquer de son désir le visage de la femme qu'elle venait de combler d'orgasmes.</div><div>Éreintés, épuisés, nous nous sommes essuyés, lavés et revenus nous allonger. Et alors que Gina s'était endormie, Excita s'approcha de moi, toujours avec son gode ceinture...
"Alors ça t'a plu ? J'ai trouvé ça plutôt bien.", elle prit un verre et vint s'asseoir à côté de moi, puis se mit à jouer avec le gode qui lui tenait entre les cuisses et mima l'extase de Gina en faisant des mouvements de hanches qu'elle aurait pu tout à fait donner il y a une vingtaine de minutes. Puis elle vint vers moi, et s'asseyant face à moi sur mes genoux, elle entreprit de voir vraiment qui avait la plus grosse. Incontestablement, la sienne l'était, et malgré l'adage qui dit que "c'est pas la taille qui compte" elle sourit d'être franchement mieux membrée en les regardant côte à côte. C'est comme avoir une clé que l'on sait pouvoir ouvrir plus de portes, d'ailleurs, elle me demanda tranquillement : "Gina l'a aimée cette bite, tu voudrais l'essayer ? Elle dort, elle n'entendra rien." Mais quelle est donc cette proposition ? "Tu es sérieuse Excita ? Mais c'est complètement fou de proposer de telles choses !" Je n'étais pas habillé à ce moment là, et c'est pour ça que telle une anguille, elle se faufila la tête entre mes cuisses à me sucer de manière très persuasive. Ce n'était pas là un pêcheur ayant capturé une proie avec son hameçon, c'était tout l'inverse : elle ne lâchait pas le bout d'un centimètre tout en titillant de sa langue une partie de moi qui me fit vaciller. Et quand elle m'avait bien en main, en bouche si vous voulez, et descendu sur mon dos pour ressentir mieux encore sa bouche chaude elle se mit à parcourir ma raie de sa langue. Ma raie, qu'est-ce que c'est bon. J'ai honte mais je ne peux juste pas m'empêcher de bouger, c'est tellement bon, une langue dont le contact ressemble au coton. J'ai honte, mais c'est bon. Quel écart dans ma tête, entre ma morale et cette suggestion qui commençait à prendre beaucoup de place dans ma tête : "et si..." Excita devait le savoir, elle m'a pris de court avec sa subite fellation. Elle allait presque le convaincre de la laisser me prendre tout court. En pensant à tout ça, elle avait encore avancé d'une case. Au point de poser mon gode sur mon ventre, me faisant bien comprendre que là, nous allions passer le Rubicon, su je ne disais rien à partir de là, mon sort serait scellé. On ne pense pas lors de ce genre de moment, Excita m'avait encerclé de toutes parts, et un canon serait prêt à ouvrir le feu d'un instant à l'autre, je ne savais plus rien de ce que je voulais, mais ce que je ne voulais pas, j'en était sûr, c'était passer à côté de ce genre d'expérience, surtout que dans ma tête je commençais à être convaincu de me lancer sans rien en attendre. Plus elle me titillait, plus je sentais que sa proposition pouvait être envisageable. Au bout de deux doigts, j'ai dû me résoudre, il fallait aller au bout. Le lubrifiant commençait à couler, elle s'en mis sur son braquemart, et une noisette dans ma raie. Puis se mit au dessus de moi, mes jambes sur ses épaules avec une main qui tentait de guider son membre noir vers mon trou. L'opération fut fastidieuse, elle était à ce moment d'une douceur remarquable, je ressentais l'évolution de chaque centimètres. Son gland était dur à rentrer, et alors qu'elle me regardait dans les yeux, elle vit le moment où elle m'avait travaillé sur la largeur. Je compris que je n'étais plus vierge, j'ai compris que j'étais à la merci d'une femme dont j'ai vu son travail à l'œuvre quand nous gang-banguions à l'unisson tous les orifices de Gina. Je suis à elle, je lui suis offerte, je ne peux même pas bouger, mes mains ne peuvent à peine prendre ses hanches, encore moins contrôler quoi que ce soit qui entre moi qui sort de moi, et le commence à les sentir en moi les centimètres venir de plus en plus nombreux au fil de ses coups de reins. Elle avait vraiment ce savoir-faire qui a rendu l'insertion facile et agréable, les coups de reins qu'elle donnait étaient comme les vagues d'une mer paisible, et quand le dernier centimètre huit rentré, entre appuya progressivement en moi jusqu'à m'écraser complètement en même temps qu'elle prenait ma tête pour l'embrasser. Prenant mes cheveux pour les tirer en arrière et plaquer ma tête contre les coussins, elle commença à accélérer le rythme, toujours avec la même amplitude. Quel délice, quel bien-être,, c'est bon, c'est même très bon, alors je me relâche et lui laisse me faire ses vas et viens en moi. Mes yeux partent, je n'ai plus de possibilité de retenir quoi que ce soit, et je me surpris moi-même de lâcher un son puis un autre, tout en finissant par n'exprimer que des râles incessants. "Shhhh ! Tu vas la réveiller, mets toi à quatre pattes, allez !* Voir ces mains noires vous manipuler, qu'est ce qu'il y avait de mieux pour me faire bander ? Quatre pattes, ce doit être explicite, je vais vraiment ressentir quelque chose de spécial, je dois me cambrer pour que je lui donne faim, je présente au mieux mes fesses toutes blanches pour qu'elle croque vraiment dedans. Je sens ses mains caresser mon dos, suivre son école avec les ongles, et bien les tenir en main. Elle se présente en douceur à moi, se met at niveau à la manière d'un savant calcul métallique, c'est un côté technique que je ne connaissais d'elle. Elle en profite même pour boire, à ces démonstrations, je pourrais juger voir une athlète se préparant pour son épreuve. À ce moment le silence se pose, elle est en position, moi aussi. Je ne la vois pas, j'ignore ce qu'elle peut faire, ce qu'elle veut faire, et d'un coup le bruit d'un claquement surgissait du neant, je n'ai rien senti en moi, mais elle avait fait claquer son gode entre mes fesses au point qu'on en devinait sa taille et sa masse. Le lubrifiant aidant, elle fit glisser son membre turgescent dans la rainure de mes fesses de manière à ce que je puisse comprendre que c'était elle qui allait donner le rythme. Et là, une foule de question se pressent dans ma tête : suis-je vraiment désirable, va t'elle aimer la manière dont je vais exprimer mon désir ? Je sentais dans ma chair que j'avais besoin d'elle quand elle me prit sur le dos, et il me fallait explorer tous les aspects de cette pratique triviale : une femme prenant un homme, en plus d'être bon, c'est extrêmement excitant ! Sa verge me massait toujours en surface, elle me demanda enfin de ne pas bouger, de rester tranquille, ce que je fis évidemment, puis senti sa main lâcher ma hanche pour se guider en moi. Le gland rentra facilement cette fois, et en ayant touché le fond plutôt rapidement, elle se ressaisit de mon bassin et commencer à cogner sourdement : paf paf paf, ses coups résonnaient comme des claquements de mains rapides et directs. On applaudissait en quelques sortes le succès de cet extraordinaire événement, cette victoire sur l'inconnu, ce dévoilement subitement arrivé d'une passion naissante. Ses assauts sont puissants, elle cherche certainement un endroit profondément enfoui en moi, comme si elle voulait faire l'amour à mon cœur, elle prend vraiment au sérieux mon plaisir. "Maintenant, quand tu me verras, tu me regardera autrement, tu as vu comment moi je te gère, ah !" Elle se mettait derrière pour chercher la longueur, des fois devant pour chercher la puissance, mais elle ne s'arrêtait pas, elle continuait jusqu'à ce que sa transpiration l'empêchent de me tenir avec fermeté. Et puis on ne pourrait pas dire comment, vu que chacun d'entre nous était pris dans son plaisir, mais Gina était là. "Mais qu'est-ce que vous faites ? Vous êtes sérieux là ? Je dors tranquillement et j'entends du bruit, j'arrive et sérieux, vous avez commencé sans moi ?" Je ne savais pas quoi dire, j'étais découvert, j'étais entre l'excitation et la honte. Puis Excita pris sa copine, l'embrassa par derrière, lui bloqua les mains, et la renversa à côté de moi. Côte à côte, nous nous faisions baiser à tour de rôle, mais sans que nous ne nous mélangeons. Excita était jalouse, mais je m'en foutais, je voulais juste qu'elle me termine. Je voulais jouir, j'ai du prendre deux tours de Gina, mais s'en vallait la peine. Ma tête dans le coussin, mes mains serrant les draps, le gode a fait son travail, et d'un coup je senti un éclair en moi, sexe me faisait la sensation d'exploser, et je senti la jouissance lui couler sur sa longueur. Excita était satisfaite, Elle avait réussi à me faire partager ce secret délicieux, g huile ki un jk n'y tu</div>
"Alors ça t'a plu ? J'ai trouvé ça plutôt bien.", elle prit un verre et vint s'asseoir à côté de moi, puis se mit à jouer avec le gode qui lui tenait entre les cuisses et mima l'extase de Gina en faisant des mouvements de hanches qu'elle aurait pu tout à fait donner il y a une vingtaine de minutes. Puis elle vint vers moi, et s'asseyant face à moi sur mes genoux, elle entreprit de voir vraiment qui avait la plus grosse. Incontestablement, la sienne l'était, et malgré l'adage qui dit que "c'est pas la taille qui compte" elle sourit d'être franchement mieux membrée en les regardant côte à côte. C'est comme avoir une clé que l'on sait pouvoir ouvrir plus de portes, d'ailleurs, elle me demanda tranquillement : "Gina l'a aimée cette bite, tu voudrais l'essayer ? Elle dort, elle n'entendra rien." Mais quelle est donc cette proposition ? "Tu es sérieuse Excita ? Mais c'est complètement fou de proposer de telles choses !" Je n'étais pas habillé à ce moment là, et c'est pour ça que telle une anguille, elle se faufila la tête entre mes cuisses à me sucer de manière très persuasive. Ce n'était pas là un pêcheur ayant capturé une proie avec son hameçon, c'était tout l'inverse : elle ne lâchait pas le bout d'un centimètre tout en titillant de sa langue une partie de moi qui me fit vaciller. Et quand elle m'avait bien en main, en bouche si vous voulez, et descendu sur mon dos pour ressentir mieux encore sa bouche chaude elle se mit à parcourir ma raie de sa langue. Ma raie, qu'est-ce que c'est bon. J'ai honte mais je ne peux juste pas m'empêcher de bouger, c'est tellement bon, une langue dont le contact ressemble au coton. J'ai honte, mais c'est bon. Quel écart dans ma tête, entre ma morale et cette suggestion qui commençait à prendre beaucoup de place dans ma tête : "et si..." Excita devait le savoir, elle m'a pris de court avec sa subite fellation. Elle allait presque le convaincre de la laisser me prendre tout court. En pensant à tout ça, elle avait encore avancé d'une case. Au point de poser mon gode sur mon ventre, me faisant bien comprendre que là, nous allions passer le Rubicon, su je ne disais rien à partir de là, mon sort serait scellé. On ne pense pas lors de ce genre de moment, Excita m'avait encerclé de toutes parts, et un canon serait prêt à ouvrir le feu d'un instant à l'autre, je ne savais plus rien de ce que je voulais, mais ce que je ne voulais pas, j'en était sûr, c'était passer à côté de ce genre d'expérience, surtout que dans ma tête je commençais à être convaincu de me lancer sans rien en attendre. Plus elle me titillait, plus je sentais que sa proposition pouvait être envisageable. Au bout de deux doigts, j'ai dû me résoudre, il fallait aller au bout. Le lubrifiant commençait à couler, elle s'en mis sur son braquemart, et une noisette dans ma raie. Puis se mit au dessus de moi, mes jambes sur ses épaules avec une main qui tentait de guider son membre noir vers mon trou. L'opération fut fastidieuse, elle était à ce moment d'une douceur remarquable, je ressentais l'évolution de chaque centimètres. Son gland était dur à rentrer, et alors qu'elle me regardait dans les yeux, elle vit le moment où elle m'avait travaillé sur la largeur. Je compris que je n'étais plus vierge, j'ai compris que j'étais à la merci d'une femme dont j'ai vu son travail à l'œuvre quand nous gang-banguions à l'unisson tous les orifices de Gina. Je suis à elle, je lui suis offerte, je ne peux même pas bouger, mes mains ne peuvent à peine prendre ses hanches, encore moins contrôler quoi que ce soit qui entre moi qui sort de moi, et le commence à les sentir en moi les centimètres venir de plus en plus nombreux au fil de ses coups de reins. Elle avait vraiment ce savoir-faire qui a rendu l'insertion facile et agréable, les coups de reins qu'elle donnait étaient comme les vagues d'une mer paisible, et quand le dernier centimètre huit rentré, entre appuya progressivement en moi jusqu'à m'écraser complètement en même temps qu'elle prenait ma tête pour l'embrasser. Prenant mes cheveux pour les tirer en arrière et plaquer ma tête contre les coussins, elle commença à accélérer le rythme, toujours avec la même amplitude. Quel délice, quel bien-être,, c'est bon, c'est même très bon, alors je me relâche et lui laisse me faire ses vas et viens en moi. Mes yeux partent, je n'ai plus de possibilité de retenir quoi que ce soit, et je me surpris moi-même de lâcher un son puis un autre, tout en finissant par n'exprimer que des râles incessants. "Shhhh ! Tu vas la réveiller, mets toi à quatre pattes, allez !* Voir ces mains noires vous manipuler, qu'est ce qu'il y avait de mieux pour me faire bander ? Quatre pattes, ce doit être explicite, je vais vraiment ressentir quelque chose de spécial, je dois me cambrer pour que je lui donne faim, je présente au mieux mes fesses toutes blanches pour qu'elle croque vraiment dedans. Je sens ses mains caresser mon dos, suivre son école avec les ongles, et bien les tenir en main. Elle se présente en douceur à moi, se met at niveau à la manière d'un savant calcul métallique, c'est un côté technique que je ne connaissais d'elle. Elle en profite même pour boire, à ces démonstrations, je pourrais juger voir une athlète se préparant pour son épreuve. À ce moment le silence se pose, elle est en position, moi aussi. Je ne la vois pas, j'ignore ce qu'elle peut faire, ce qu'elle veut faire, et d'un coup le bruit d'un claquement surgissait du neant, je n'ai rien senti en moi, mais elle avait fait claquer son gode entre mes fesses au point qu'on en devinait sa taille et sa masse. Le lubrifiant aidant, elle fit glisser son membre turgescent dans la rainure de mes fesses de manière à ce que je puisse comprendre que c'était elle qui allait donner le rythme. Et là, une foule de question se pressent dans ma tête : suis-je vraiment désirable, va t'elle aimer la manière dont je vais exprimer mon désir ? Je sentais dans ma chair que j'avais besoin d'elle quand elle me prit sur le dos, et il me fallait explorer tous les aspects de cette pratique triviale : une femme prenant un homme, en plus d'être bon, c'est extrêmement excitant ! Sa verge me massait toujours en surface, elle me demanda enfin de ne pas bouger, de rester tranquille, ce que je fis évidemment, puis senti sa main lâcher ma hanche pour se guider en moi. Le gland rentra facilement cette fois, et en ayant touché le fond plutôt rapidement, elle se ressaisit de mon bassin et commencer à cogner sourdement : paf paf paf, ses coups résonnaient comme des claquements de mains rapides et directs. On applaudissait en quelques sortes le succès de cet extraordinaire événement, cette victoire sur l'inconnu, ce dévoilement subitement arrivé d'une passion naissante. Ses assauts sont puissants, elle cherche certainement un endroit profondément enfoui en moi, comme si elle voulait faire l'amour à mon cœur, elle prend vraiment au sérieux mon plaisir. "Maintenant, quand tu me verras, tu me regardera autrement, tu as vu comment moi je te gère, ah !" Elle se mettait derrière pour chercher la longueur, des fois devant pour chercher la puissance, mais elle ne s'arrêtait pas, elle continuait jusqu'à ce que sa transpiration l'empêchent de me tenir avec fermeté. Et puis on ne pourrait pas dire comment, vu que chacun d'entre nous était pris dans son plaisir, mais Gina était là. "Mais qu'est-ce que vous faites ? Vous êtes sérieux là ? Je dors tranquillement et j'entends du bruit, j'arrive et sérieux, vous avez commencé sans moi ?" Je ne savais pas quoi dire, j'étais découvert, j'étais entre l'excitation et la honte. Puis Excita pris sa copine, l'embrassa par derrière, lui bloqua les mains, et la renversa à côté de moi. Côte à côte, nous nous faisions baiser à tour de rôle, mais sans que nous ne nous mélangeons. Excita était jalouse, mais je m'en foutais, je voulais juste qu'elle me termine. Je voulais jouir, j'ai du prendre deux tours de Gina, mais s'en vallait la peine. Ma tête dans le coussin, mes mains serrant les draps, le gode a fait son travail, et d'un coup je senti un éclair en moi, sexe me faisait la sensation d'exploser, et je senti la jouissance lui couler sur sa longueur. Excita était satisfaite, Elle avait réussi à me faire partager ce secret délicieux, g huile ki un jk n'y tu</div>
1 year ago