La vie de Sarah : une fin de semaine improbable E4

Episode 4
Sarah s’approche du lit, att**** le drap qu’elle tire d’un coup sec le faisant voltiger et découvre ma queue dressée telle un totem dédié au sexe. Elle monte à genou sur le lit. A quatre pattes, elle s’approche de moi comme une lionne se préparant à attaquer sa proie.
Elle s’avance jusqu’à mon bassin. S’arrête et prend ma bite à la main. Après quelques caresses délicates du bout des doigts, elle s’en empare d’une main ferme et douce à la fois et me branle d’un geste long et ample.
La lionne a attrapé sa proie.
Elle s’attarde sur mon gland avec lequel elle joue du bout des doigts m’électrisant le bas du ventre. A chaque touché, je relève mon bassin comme si j’allais jouir et exploser violemment tellement la sensation est intense.
Sarah approcha son visage. Tout en continuant la masturbation, elle approche sa langue de mon gland. D’abord des petits coups de langues qui me font sursauter à chaque impact humide puis passa sa langue de façon plus appuyée. Pris entre ses doigts, je sens mon membre se gonfler. Je vais exploser !
Cette journée étant ce qu’elle est depuis le début, c’est à dire pleine de surprise. Un événement inattendu se produisit.
La porte de la chambre de Sophie s’ouvrît. Sa silhouette se dessine en contre jour, la lumière de sa chambre passe au travers de sa nuisette dessinant les reliefs de son corps. La voilà se dirigeant vers nous. Avait’elle juste envie d’aller aux toilettes ou nous a t’elle entendu ?
Elle s’approche et pendant que Sarah s’occupait de mon sexe, elle se pose dans le passage de la porte qui donnait au salon et nous regarde en appui de l’épaule sur le montant de la porte.
Sarah ne la pas vu. Je la regarde, elle me regarde. L’excitation est encore plus forte. Sarah la certainement senti car elle commence à me sucer. D’abord ses lèvres sur mon gland puis ma bite dans sa bouche. Elle ne fait une fellation de tous les diables. Je ne peux m’empêcher d’émettre un râle fort de plaisir quand je sens sa langue caresser ma verge à chaque va et bien de mon sexe dans sa bouche.
Sophie nous regarde. Ses mains jusque là immobiles le long de son corps viennent à le caresser. Son ventre pour commencer puis sa poitrine, ses hanches et ses cuisses ensuite. Elle passe ses mains sous le tissu de sa nuisette, ondule son corps sous ses caresses. Ses gestes sont de plus en plus amples et appuyés. Sa bouche s’ouvre à chaque passage de ses mains sur ses zones érogènes. Elle glisse ses mains sur sa culotte, écarte les jambes pour les laisser librement passer.
Sarah toujours à le sucer ne voit rien de ce magnifique spectacle. Sophie a une vue plongeante sur les ses fesses. Mon excitation est à son comble. L’une me suce et l’autre m’offre un striptease sensuel et envoûtant.
Il y a vraiment des jours où je me dis que le hasard fait bien les choses. Rater son train et se retrouver dans une chambre d’hôtel avec deux magnifiques jeunes femmes. Le rêve absolu !

Sophie att**** le bas de sa nuisette et l’enlève délicatement en la faisant glisser le long de son corps.
Je découvre ses seins, très jolis magnifiquement dessinés, un tout petit peu plus gros que ceux de Sarah. Une poitrine que je voudrais elle aussi caresser.
Mon désir se faisant sentir, Sarah accélère la fellation.
Sophie avança un peu plus dans la pièce. Elle se caresse les seins. Un dans chaque main qu’elle passe et caresse de manière érotique. De temps à autre, une main descend sur son pubis, quelques appuis sur son sexe la font gémir la bouche entre ouverte.
Elle va ensuite s’assoir dans le petit fauteuil qui fait face au canapé.
Avec ses mains, elle écarte délicatement ses jambes, se touche l’intérieur de ses cuisses et sa minette.
Sophie lève ses jambes et les fait passer par-dessus les accoudoirs du fauteuil.
Elle écarte son sous-vêtement. Sa chatte est très belle. Un léger petit buisson sur le dessus façon ticket de métro souligne parfaitement son pubis. Elle fait glisser deux doigts le long de sa fente et caresse son minou avec délicatesse puisse passe deux doigts pour écarter ses petits lèvres. Elle ouvre son orifice vaginal qui brille de sa mouille.
Je veux que Sarah vois ça.
Je lève mon buste. Elle relève sa tête que je prends entre mes mains.
Je descends sur ses épaules puis vers le haut de sa poitrine pour la guider et lui demander de s’allonger dur le dos. Elle s’exécute doucement. Sa tête posée juste au bord du lit qu’elle penche légèrement en arrière lui permet de voir Sophie, les jambes écartées, la chatte en partie découverte entrain de se caresser. Elle n’en crois pas ses yeux. Elle était là à la regarde sucer Patrick goulûment avec l’envie et le désir de sa queue bien tendue.
J’écarte les cuisses de Sarah. Mes mains glissent dans leurs intérieurs en direction de sa chatte.

Je sens la chaleur de son excitation à l’approche de son puit d’amour. Il est ruisselant. Sa cyprine brillante dessine délicatement les reliefs de ses grandes lèvres. J’appuie un peu plus sur l’intérieur de ses cuisses pour les écarter et avance ma bouche en direction de son petit abricot. Il est lisse, doux parfaitement épilé presque immaculé si il n’y a avait toute sa mouille.
Je sens son odeur, douce et sucré comme je l’imaginais. Un premier petit coup de langue la fit sursauter. Une deuxième puis un troisième et son bassin ondula. Du bout de ma langue je remonte sa fente depuis l’orée de son petit trou jusqu’à son petit bouton sur lequel je m’attarde un peu à chaque passage.
Sarah gémit. Je sens sa respiration et son rythme cardiaque s’accélérer m’incitant a plus.
Sophie ne perdait pas une miette du spectacle. Ses doigts s’insinuent dans son vagin, entrent et sortent au rythme de ma langue sur le sexe de Sarah.
Elle caresse ses seins, titille et tire sur ses tétons. Elle gémit également la bouche grande ouverte. Mon plaisir et mon désir augmente à chaque fois que j’entends ces deux belles jeunes femmes prendre du plaisir.

Je lèche les lèvres et le clitoris de Sarah. Le bout de ma langue s’insinue dans sa fente. Je me délecte de son doux nectar que j’aspire.
Sophie est de plus en excitée. Elle ressert ses jambes qu’elle lève en pliant les genoux, avance ses fesses sur l’avant du fauteuil et enlève sa culotte qu’elle jette droit devant elle. Elle atterrît sur les seins de Sarah qui la prend et la frotte contre sa poitrine puis me la tend face à mon visage. Je peux sentir l’odeur intime de Sophie, le parfum de sa jouissance. Sarah caressa sa chatte avec la culotte de Sophie. Elle est maintenant enduite de son jus. La met en boule, la porte à son nez pour la sentir et la lance à notre spectatrice. Sophie l’att**** au vol, se délecte en sentant ce doux mélange de fluides. Elle se remet en position sur le fauteuil, les jambes bien écartées par dessus les accoudoirs et avance encore un peu son bassin. Sa chatte est grande ouverte. Elle y enfonce sa culotte puis la ressort trempée, se caresse la minette avec et la lance à travers la pièce. Elle mouille tellement que cela atteint son petit trou mis bien en avant par sa position dans le fauteuil. Glissant une main sous ses fesses, elle caresse son anus tout serré du bout d’un doigt en le lubrifiant avec son jus intime. Il s’ouvre comme un bouton de fleur. De l’autre main, elle se caresse le clito d’un geste ample et circulaire plus ou moins appuyé. Elle gémit intensément. Que c’était bon et beau de la voir se donner du plaisir ainsi.
Je relève la tête et me mets sur les genoux devant Sarah les jambes écartées, sa chatte ouverte et trempée devant moi. Elle mouille beaucoup pour preuve l’auréole sur le drap sous ses fesses. J’avance vers elle en glissant sur les genoux. Mon sexe à hauteur du sien, je prends ma bite à sa base et l’approche de sa chatte. Je fais lentement glisser mon gland le long de sa fente que je caresse, je caresse son clitoris avec le bout turgescent de ma bite. J’accélère un peu le mouvement. Sarah se met elle aussi à gémir. J’assiste à un concert de jouissance.
Sophie très excitée glissa un doigt dans sa chatte et un doigt dans son petit trou et se masturbe à la façon d’une double pénétration.
Cette vision me fait accélérer le mouvement des caresses vaginales que je donne à Sarah si bien que d’un coup ma queue glisse et s’introduit dans le vagin de Sarah qui lança un petit cri de plaisir mêlé à de la surprise. Ma verge toute entière a été comme aspirée dans cette antre chaude et humide. Moi-même avec cette sensation je pousse un râle de plaisir.