SALOPE.

Ma femme est une grosse salope.

Mes objectifs de la semaine étant atteints, je décidai ce jour-là de rentrer plus tôt à la maison et d’emmener ma femme en promenade et faire un peu de shopping.
c’est vrai qu'entre mon boulot et les enfants on ne faisait que se croiser…
Je me faisais donc une joie de lui faire cette surprise.
Sur de moi je m’imaginais déjà son sourire posé sur son visage.
La pauvre avait elle aussi besoin de décompressée, la vie de femme au foyer n’est pas de tout repos, entre le ménage, les courses, la cuisine et les enfants…
La pauvre n’avait pas une seule seconde à elle, et bien souvent le soir elle s’effondrait dans le lit une fois les enfants couchés, ce que je comprenais tout à fait.
C’est donc le cœur en joie que j’ouvris la porte de notre doux nid d’amour prêt à serrer fort ma petite femme si douce dans mes bras.
Personne au rez de chaussé, ma femme devait surement être au premier en train de mettre de l’ordre dans la chambre des gosses, c’est donc à pas de loup que j’entrepris de gravir les marches.

Me voilà donc le cœur battant d’excitation de faire plaisir à ma femme devant la porte de la chambre entrouverte .
Quelle ne fut pas ma stupeur de voir ma femme, mon épouse, mon petit cœur, ma vie…
À genou les mains attachées dans le dos avec un foulard sur les yeux, portant des bas noirs qui lui faisait des jambes soyeuses et des pieds divins, un string qui lui rentrait dans les fesses, les seins à air, deux belles mamelles dont les tétons pointaient au vent en train de s’afférer à sucer un inconnu de dos qui la tenait par les cheveux.
Le choc !
j’étais comme tétanisé…
Impossible de bouger et encore moins de parler.
Je restais la, dans la porte à regarder ma femme se faire baiser la bouche comme une salope…
L’homme viril ondulait, faisait des vas et viens dans la gorge de mon épouse en la traitant de trainée, de pute, de chienne…
Et ma femme sucer goulument son dard bien raide en lui répondant qu’elle aimait sa queue dure, qu’elle la voulait tout au fond de la gorge.
Elle se démenait à satisfaire cette brute qui ne la ménageait pas en alternant claques et mots grossiers.
Je n’avais jamais vu ma femme comme ça !
j’avais du mal à me ressaisir tout se chamboulait dans ma tête…
Voilà donc à quoi s’adonnait cette grosse pute les après-midi…
Ses gestes étaient assurés, ses mains, que l’homme venait de libérer, couraient sur le cul et les cuisses de ce gougeât, elle le branlait lui pétrissait les couilles tout en aspirant sa queue ou donnant des petits coups de langues sur son gland brulant.
C’était brutale pour moi, violent même…
Mais je dois dire, que voir ma femme sous ce nouveau jour m’excitait !
Je sentais ma queue durcir dans mon pantalon et j’entrepris donc de la sortir pour me caresser devant le spectacle.
Ce n’est qu’après lui avoir lui avoir bouffé la queue et les couilles comme une reine, que l’homme, la tenant toujours par les cheveux la fit mettre à quatre pattes sur le lit…
Offerte comme une grosse pute.
il lui pelotait ses mamelles tout en lui claquant le cul.
il la traitait de pute et madame au lieu de s’offusquer, acquiesçait avec ardeur…
elle allait même à couiner comme jamais je ne l’avais entendue, tout en demandant à son amant de lui bouffer le cul.
Je failli jouir et du me retenir en entendant ses paroles.
L’homme lui écartant la ficelle de son string sur le côté, enfoui son visage dans le cul de ma femme et se délecta de son trou humide tout en glissant des doigts dans son intimité trempée, ce qui la fit se cambrer et râler de plus belle.
Jambes largement écartées twerkant sur le visage de cet inconnu, ma femme se transformait en chienne, usant un langage bien diffèrent de celui que je lui connaissait

- « bouffe moi le cul mon salaud, je suis ta chienne, tu l’aime hein le cul de ta salope !!! »
L’homme la dévorait, lui écartant ses grosses fesses pour avoir un accès maximum.
- « Putain mon cochon tu te régal ! prend moi, j’ai envie de sentir ta grosse bite en moi, viens engrosser ta cochonne !!! »
C’est donc la bite tendue que monsieur vient se caler entre ses cuisses et d’un mouvement brusque la pénètre d’un coup, tout en lui agrippant les fesses fermement pour une prise de choix.
Il n y allait pas de main morte se salaud, quelle fougue !!
À chaque coup de rein ma femme faisait presque un mètre en avant en poussant des cris de bête et sa tête tapait contre le mur.
La salope encaissait bien les coups de boutoir et en demandais encore plus .

-« Tire mes cheveux, claque mon cul, baise moi comme une truie ! »
les corps haletants, le duo se donnait à fond…
J’entendais les fesses de ma femme claquer.
Je voyais ses gros seins bouger en rythme…
Elle bougeait comme une reine déchue donnant elle aussi des coups de reins pour prendre la verge au plus profond.
L’homme grognant, donnant tout ce qu’il a pour satisfaire la pute.
- « Tu ne vas pas déjà jouir mon salaud ?! Tu ne m’as même pas encore enculé ! »
le bras en arrière, elle saisit la queue et la plaça contre sa rondelle et sans le laisser respirer s’empala dessus.
Un long râle commun s’échappa du duo.
Et moi pantalon sur les chevilles je n’en perdais pas une goutte et me branlais énergiquement.
a chaque fois qu’il sortait sa queue, je voyais la rondelle de ma femme béante, puis la remplissait de plus belle.
Leurs corps étaient transpirants.
Je les entendais grogner comme des bêtes.
Ma (pute de) femme n’y tenant plus, une main sur sa chatte se mis à jouir comme je ne l’avais encore jamais vu.
Elle était comblée…
Le pervers en profita pour se retirer et venir se branler sur son visage.
Il gicla fort, de longs jets vinrent s’écraser sur le visage de ma pute de femme…
Elle ouvrait grand la bouche et se délectait de sa semence.
Sans plus tardé, je crachais aussi avec puissance mon sperme.
Je les laissait finir et m éclipsais en pensant que ma femme était vraiment une sacrée salope doublée d’une grosse pute !!!