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Quatre jours de sexe

Quatre jours de sexe

A Paris pour quatre jours et un peu de liberté dans l’après-midi je compte en profiter.

Lundi :
J’arrive à l’Atlas vers 13 heures. Zut, y a personne en bas. Je monte au premier : deux ou trois usagers tournicotent en se regardant en biais, pas de travesti en vue. Je m’assoie pour attendre. 10, 15 minutes il ne se passe rien. Je redescends à la salle du bas, je remonte en haut… Rien, rien, rien… 11€ de perdus c’est pas trop cher quand même.
Je quitte les lieux.
Est que je vais traverser la rue pour aller en face au Crusing qui m’a été recommandé ici par un camarade ? J’hésite mais je crains d’être à nouveau déçu. Il est trop tôt et un lundi les amateurs de bites restent chez eux.
Puisque je suis là je vais aller visiter le Sexodrome juste en face. Un grand magasin d’accessoires sexuels sur trois niveaux. Belle présentation, marchandise variée, malgré tout rien de très excitant.
Bon, il est 14 heures passées je peux aller à l’EMC ou je trouverai toujours une queue à pomper. Ça ne manque pas, dès le hammam après la douche mon voisin me touche puis me caresse la cuisse. Je réagi en me branlant la bite pour lui montrer mon accord, il s’y met aussi, il branle puis il suce d’abord de biais puis a genoux entre mes cuisses. J’aime. Je lui caresse la poitrine et les tétons. Il se relève pour que je puisse le sucer à mon tour. C’est agréable. Dans la backroom je me mêle à un groupe de branleurs-suceurs, je caresse des couilles, des bites, je m’agenouille pour pomper…À l’étage suivant j’entre dans le jacuzzi, mon voisin attends de longues minutes avant de me mettre la main au paquet mais après il branle gentiment. Dans la salle de ciné je pompe longuement une queue bien raide, à genoux sur un gradin, le cul ouvert et offert, la queue ballotant au rythme de ma tête. C’est bon. Mon partenaire m’emmène dans la petite salle au dessus du sauna et on peut confortablement s’installer pour un long 69. J’ai la tête coincée entre ses grosses cuisses…j’adore. Malheureusement il n’éjacule pas. Après ça je vais faire une petite sieste dans une cabine puis je quitte les lieux pour rentrer à l’hôtel en passant par la rue Blondel juste pour voir les putes aux gros seins et la rue de Tracy pour vérifier si Sylvie est en poste ce qui n’est pas le cas.

Mardi:
Je vais découvrir l’Amphibi.
On m’en a parlé sur travestis-chat et le site que je consulte sur le net décrit le lieu comme ouvert aux travestis et à toutes les sexualités. J’y crois pas trop mais on ne sait jamais. Long trajet en métro puis longue marche à pieds. J’entre, je sonne, un excellent accueil par une charmante jeune femme qui m’explique le fonctionnement du lieu et me fait payer 33€. Un peu cher quand même.
Entrée directement dans le grand vestiaire, déshabillage, serviette autour des fesses, accès au bar pour échanger la clé de vestiaire contre un bracelet numéroté et un bandeau de poignet contenant une capote. Au moins on ne cache pas pourquoi on est là. Extra.
Les lieux sont spacieux, propres, élégants. Au Rez de chaussée : le bar, un salon, le sauna, une salle fumeur(!). En dessous un dédale de couloir avec des cabines spacieuses, des coins sombres, des télés.
C’est là que ça se passe.
Je ne suis pas plutôt descendu que je me frotte à un trav en perruque blonde (elles étaient toutes blondes quand j’y était), culotte et soutien gorge noir.. pas superbe mais excitant. Aussitôt et sans qu’aucun mot ne soit échangé, je le/la suis dans une cabine avec une couchette spacieuse. Il/Elle m’équipe d’une capote et se met accroupi sur le lit pour que l’encule ! Quelle entrée en matière ! Je n’hésite pas et j’y vais de bon cœur. Bien sûr la porte ouverte attire les spectateurs. J’adore. Mon partenaire laisse échapper des petits cris de plaisir auxquels je réponds par des grognements et des gémissements. Après ce que j’estime être une bonne baise je débande et je laisse la place à un des spectateurs qui lui fermera la porte après mon départ. Il y a des gens pudibonds même dans ce genre d’endroit.
En réfléchissant je me demande si mon accueil n’a pas été prévu par l’établissement pour justifier le prix qu’on paye. Je ne le saurai jamais mais en tôt cas c’était très satisfaisant.
Après cette très bonne entrée en matière je fais le tour des lieux, plusieurs fois. Il y a 5 ou 6 clients mâles assez jeunes ( la trentaine) et bien foutus, 3 travestis en plus de ma blonde et, surprise, 2 jeunes femmes au comportement assez curieux. L’une d’elle reste cloîtrée dans le sauna avec la serviette bien serrée sur les seins. Je n’ose pas l’aborder. L’autre se tient debout au pied de l’escalier, vêtue d’un maillot une pièce noir assez sexy et tenant sa serviette devant elle comme un bouclier. Je lui demande poliment si je peux lui tenir compagnie mais elle décline de la main et s’enfuit à l’autre bout du couloir ! Au moins ça m’a permis d’apercevoir son gros cul. Excitant. Je n’insiste pas. À chaque fois que je repasse à cet endroit elle est là, seule, dans la même position. Bizarre.
Après quelques tours de piste je m’assoie dans la salle du fond à côté d’un autre trav : perruque blonde au carré, guêpière noire, porte jarretelles, bas noirs, escarpins à hauts talons ! Tout ce j’aime ! J’engage la conversation (habilement) en lui faisant des compliments auxquelles elle est sensible. Je lui dit combien j’aime caresser des bas et le haut des cuisses au dessus. Bien sûr je joins le geste à la parole et elle se laisse faire. Elle est parfaitement lisse et épilée. Rapidement elle propose d’aller approfondir notre relation en cabine pour être plus confortable.
On s’allonge, on s’installe, on se met à l’aise, tête bêche sur le côté pour un 69 que j’affectionne particulièrement. J’ai sa douce bite en bouche, la tête entre ses grosses cuisses et je pompe, caresse, aspire… à l’opposé elle en fait de même. C’est bon. C’est très bon.
Après 10, 15, 20 minutes (je ne sais plus) nous changeons de position pour nous câliner gentiment.
Finalement nous sortons de la cabine et j’ai le dernier plaisir de lui remettre ses escarpins en lui caressant les pieds et les jambes gainées de nylon.
Excellente séance.
Après cela je tourne dans les couloirs, m’assois au salon, fait un peu de sauna mais comme il ne se passe plus rien je quitte les lieux tout à fait satisfait.
Puisque je suis dans le quartier et que j’ai le temps, pourquoi ne pas retourner à l’Atlas ? Il devrait y avoir du monde à cette heure.
Aussitôt dit aussitôt fait, je paye mes 11€ et je monte au 1er. Quelques spectateurs bien sages mais en regardant mieux j’aperçois quelqu’un à demi couché, les pieds sur le siège de devant, les cuisses écartées, pas de culotte mais des bas noirs. Je caresse puis branle sa bite assez grosse et peu poilue, je suce un moment à genoux, je triture ses tétons très proéminents. Ça l’excite bien car ça fait lever son chibre qui jusqu’à présent restait plutôt mou.
Après cela je descends à l’étage inférieur. Il y a plus de monde. Presque dès mon entrée quelqu’un me tripote, les fesses, puis la braguette que je tarde pas à ouvrir pour libérer la bite. Il branle, tripote les couilles et me guide dans une rangée de fauteuils où nous nous asseyons pour qu’il puisse me pomper. Il le fait vraiment bien. Je montre mon appréciation en chaloupant du cul ce qui fait grincer le siège et attire l’attention des voisins et des voyeurs. Ça m’excite.
Trois ou quatre rang devant j’aperçois une perruque blonde. Un trav. Il faut que je l’aborde. J’interromps mon partenaire qui ne fait pas de difficulté mais au contraire propose qu’on se revoit. Sans parfaitement comprendre de quoi il parle je lui donne mon accord. Il est très sympathique et souriant. Il me rappelle le gars dont j’ai parlé dans mon billet « une rencontre ». Entre temps mon trav est sorti de la salle mais je le retrouve derrière la porte où il stationne : cuissardes, bas, mini raz la touffe, profond décolleté sur des gros seins en plastique, maquillage vulgaire, perruque blonde. Excitant. J’engage la conversation mais elle répond avec réticence. Quand je lui dit que j’aimerai la pomper elle s’exclame « je n’aime pas ça ». Quelle déception. Je comprends que c’est moi qu’elle n’aime pas. Pourtant je ne suis pas plus mal qu’un autre et même mieux que beaucoup des personnes présentes. Je n’insiste pas et je vais rejoindre mon gentil pompeur pour continuer notre conversation.


Mercredi :
C’est la journée nudiste aux Bains d’Odessa (le mardi aussi) je ne vais pas rater ça. J’adore me promener an public la bite à l’air et quand elle bande c’est encore mieux.
Donc je sors du vestiaire la serviette à la main et la bite en avant, descente aux douches, puis le sauna. Étendu à l’étage supérieur dans la salle du fond j’attends tranquillement que quelqu’un vienne me branler. Ça ne rate pas. Au bout de 3 minutes les premiers attouchements, la masturbation, le pompier…c’est agréable. Après cette bonne entrée en matière je descends au 2eme sous-sol, d’abord à droite, le lit à partouze. Il est occupé par une seule personne. Je tripote, branle une queue un peu mole mais je n’insiste pas. Je passe de l’autre côté vers les cabines ultras sombres. Personne. En remontant l’escalier je bute sur un camarade qui m’agrippe, me caresse, me branle comme si nous étions des jeunes mariés ! Il semble très amoureux, il me roule des pelles bien baveuse, suce ma langue comme un sucre d’orge, se serre contre moi, me pétri les fesses, les couilles, la bite…Bien sûr je participe avec enthousiasme en lui rendant ses baisers, en branlant nos deux queues en même temps, en lui doigtant le cul…Au bout de plusieurs minutes on se sépare contents. C’est ça la sauna !
Après ça, pas grand chose, je tourne dans les escaliers, les couloirs sombres puis totalement noirs. J’aime beaucoup avancer à tâtons, en frôlant les murs, pour finalement tomber sur un torse, un cul, une bite plus ou moins poilus mais toujours offerts. Je prends le soleil dans le solarium. C’est un des gros avantages de l’établissement.
Satisfait je quitte les lieux.

Jeudi :
Retour à l’EMC. Je n’ai pas beaucoup de temps. Il ne se passe rien de spécial jusqu’à l’épisode final. Je remonte à la backroom, la serviette sur l’épaule et la bite à la main, je tourne un peu et quand je vais pour ressortir je suis intercepté par un partenaire qui commence les caresses habituelles et me propose tout de suite d’aller en cabine. Je dois accepter mais je ne m’en rappelle pas. Je sors et me dirige vers les cabines à droite sans savoir, ni chercher à savoir, s’il me suit. J’arrive à la porte ouverte d’une cabine quand je sens dans mon dos qu’il me pousse doucement mais fermement. J’étends ma serviette sur la couchette et je me retourne pour lui faire face, le caresser, lui triturer les tétons, l’embrasser comme on le fait habituellement. Il a une autre idée. Il me retourne et se serre contre mon dos, me pelote les seins, la bite, les couilles par derrière. Ensuite il me dit :
« Étends toi sur le dos je vais te prendre »
J’ai senti sa bite elle est raide, de bonne taille mais pas trop grosse. J’ai envie. Je lui obéis, je m’étends, il m’enduit soigneusement de lub en entrant bien son doigt dans mon trou, il s’équipe d’une capote puis se couche sur moi de tout son long. J’aime le poids de son corps. Sa bite glisse entre mes fesses. Il force pour introduire son gland. Je suis étroit mais il entre. Je l’arrête,
« Pas trop profond, ça me fait mal »
il me rassure
« Ne crains rien je vais faire très doucement, tu vas aimer.. »
Je suis très excité, j’ai envie mais j’ai peur d’avoir trop mal. Je remue les fesses pour le faire entrer d’avantage et de son côté, toujours couché sur moi, il appuie. Il commence un lent va et vient. Je suis le mouvement en remontant et descendant les fesses. Je sens son souffle dans mon cou. Je suis à lui. Parfois sa bite sors de mon trou pour un revenir aussitôt. J’aime, j’adore faire la salope même si je ne suis qu’à moitié prise et si je voudrais qu’il aille plus profond, mais bêtement, par peur, je le retiens. On change de position. Il se relève, me libère et me présente sa bite à sucer après avoir changé de capote. Je préférerais sans mais je ne dit rien et m’efforce de bien pomper, bien à fond. Malheureusement avec la capote je ne peux pas titiller son méat. Dans cette position je peux voir vraiment à qui j’ai affaire : un bel homme brun, la quarantaine, type nord africain, musclé, sans un pouce de graisse, peu de poils sur le torse, la bite et les couilles rasés. J’adore.
Après il me demande de me mettre sur le dos et il me baise à nouveau, cette fois si avec mes jambes sur ses épaules. J’adore cette position. La encore je contrôle sa pénétration. Il ne proteste pas, reste gentil, et souriant.
Au bout de quelques temps nous sortons de la cabine et je monte au bar prendre un verre d’eau et me remettre de mes émotions. Assis sur un banc je feuillette le magasine Tétu quand il vient me rejoindre. Il voudrait que je redescende avec lui pour continuer ce que nous avons si bien commencé. Malheureusement je dois rentrer et nous nous séparons bons amis.
Published by M-Arena17
1 year ago
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 9 months ago
to racheltrav : Tu es une spécialiste. Merci
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racheltrav
racheltrav 9 months ago
tu controle trop la pénétration, laisse toi faire le plaisir n'est pas toujours immédiat! remets du lubrifiant. je te conseil: "PJUR BACK DOOR' il y a un leger anesthésiant et reste longtemp glissant! bonne chance!
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M-Arena17
M-Arena17 Publisher 12 months ago
to Kaboulo : Merci j’espère t’y rencontrer prochainement 
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Kaboulo 12 months ago
Bien sympa de te lire dans les divers endroits où tu fait du sexe .
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salopepede
QUELLE PUTE..!!   vraie salope 
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farfalle01
farfalle01 1 year ago
Excellent, vivement la suite.
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jacbisex59
jacbisex59 1 year ago
Très excitant. Vivement la suite!
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dhl69 1 year ago
Très très excitant 
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bicomplice
bicomplice 1 year ago
Excellent endroit l'amphi I, j'aime 
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jeandomino
jeandomino 1 year ago
excitant vite la suite
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