Les ruines de l'ancienne discothèque de

Aux beaux jours, j'avais pris l'habitude les samedis matin d'aller sur le site de l'ancienne discothèque de Layrac.
La pauvre boite avait subit un incendie et ravagé la totalité du bâtiment. Il ne restait que les murs sur un immense terrain.
La bâtisse longeait une route peu fréquentée mais ouverte à la circulation. Beaucoup de cyclistes fréquentaient cet axe parce qu il était assez sécurisé.

A une centaine de mètres de là un golf sur lequel jouaient des passionnés de ce sport. J'entendais au loin des bruits de conversation et quelque part ça m excitait de savoir que des hommes étaient à proximité sans se douter que derrière les murs de brique un autre homme passait son temps à se travestir et s admirer. S'ils avaient su peut être auraient ils échangé de trou et fait de mon cul un par 3

Sur ce qui devait être un parvis de danse à la belle époque du bâtiment je déposais mon sac rempli de fringues, de perruques, escarpins. Je m'organisais la veille en chargeant le sac avec au moins 3 tenues différentes que j'envisageais de mettre pour mes photos en extérieur. Ma femme ne savait rien et je profitais de ses grasses matinées pour me faire plaisir.



Je me levais à l'aube à l heure où le soleil commence juste à s'éveiller et je fonçais sur le site pour y passer entre 2 et 3 heures. Ainsi, vers 9h je levais le camp et lorsque je rentrais à la maison souvent mon épouse dormait encore. Je pouvais filer à la salle de bains vérifier que j 'avais tout démaquillé correctement. En effet dans mon sac j'avais toute la panoplie pour me maquiller et le matériel pour me démaquiller mais je n étais pas à l abri d voir oublié un détail.

Ce matin là, j'étais arrivée vers 6h et avais échangé les fringues de mec pour des dessous féminins. Malgré la petite fraicheur ambiante j'étais chaude comme une bouilloire. Mon coeur battait au rythme de la transformation et, après une demie heure, je devenais Candice. Je pouvais me faire plaisir pendant plus d'une heure et j'en profitais à essayer plusieurs tenues en profitant pour me photographier sous toutes les coutures.



J'aimais ces moments là car je me sentais femme et chienne en même temps.
Sur l'immense parvis où juste quelques herbes tentaient de se faire une place, je pouvais marcher en claquant des talons comme une "salope" dans la rue. Je m'imaginais aguicher les mâles attablés en terrasse et je déhanchais du cul comme une vraie femelle.

Souvent j'espérais être surprise dans mes tenues affriolantes et je n'arrivais pas à imaginer ma réaction.

Ce matin là, j'eu ma réponse lorsque deux cyclistes s'avancèrent dans les ruines. L'un d'eux souhaitait uriner et ayant aperçu mon sac sur une bache rouge il appela son copain de sortie pour lui montrer les affaires.

J'étais à 30 mètres de mes fringues et je tentais de me cacher mais mes talons aiguilles me trahirent en claquant le sol en dehors de ma volonté.

Le premier gars se retourna et me vit. Aussitôt il suggéra à son copain de le suivre pour venir à ma hauteur. Lorsqu'ils me découvrirent accroupie, j'avais l'air affolée et toute embarassée de me retrouver devant eux. Il faut dire qu'un homme habillé en femme, à 8 h du matin un samedi ce n'est sans doute pas le genre de découverte qu'un groupe de cycliste s'attend.

J'étais habillée avec une nuisette noire et rouge moulante, un porte jarretelles noir et des bas noirs perchée sur des escarpins hauts de 12 cms. J'avais une mini jupe rose à ras du cul, un haut assorti et j'avais passé ma perruque blonde droite qui me donnait généralement un air très coquin. Seule et surprise j'avais sans doute perdu cet air coquin et e tremblais comme une feuille morte.

Avec galanterie de gentleman le premier me tendit la main pour m'aider à me relever non sans en profiter pour me détailler sur toutes les coutures. Il ne se priva pas de me demander de tourner sur moi même tout en sifflant lorsqu'il constata la cambrure de mes reins et les fesses rebondies qui prolongeaient la chute.

Il en profita pour me passer une main sur les fesses tout en disant à son ami sportif que ma présence ici ne le laissait pas indifférent. Il montra la bosse qui s était formée dans son cuissard et se frotta le sexe comme un homme qui a une grosse envie.

Il me proposa, sans ménagement, de le finir puisque j'avais écourté sa sortie cycliste et que je l avais excité plus qu'il n'aurait imaginé lorsqu'il avait attaqué sa balade matinale.



"Tu es une tapette qui aime jouer la femme, tu dois faire ce à quoi tu es programmée ma chérie me dit il ! En plus avec le cul que tu as tu réveillerais un comateux et il n'y a pas de raison que je ne l'honore pas puisque je suis bien vaillant encore.

Viens me sucer la bite sale fiotte et déguste mon sucre d'orge ! Ma femme le néglige et j'ai du sperme en quantité industrielle à te donner !

Pendant ce laps de temps son copain avait saisi mon bras et d'une poigne ferme me montrait le chemin de mon travail. Je sentais une pression sur mon avant bras suffisamment importante pour m'affaisser à hauteur des couilles de son pote. J'étais agenouillée sur un pull tiré de mon sac, les fesses dégagées en raison de la taille réduite du tissu de ma jupe. Mes bas noirs ainsi que mes hauts talons mettaient en valeur mes jambes féminines ce qui généra une caresse sur celles ci du second individu.

Je pris soin de ne pas détendre l'élastique du cuissard et sorti un engin de belle facture. Un sexe que je qualifiais dans mon top 10 dès que je l'aperçu. Il mesurait environ 19 cms et se recourbait vers le haut comme mon godemichet préféré.
Son gland rouge se démarquait parfaitement de la colonne et luisait sous les premiers rayons de soleil du matin. Je posais quelques bisous sur cette magnifique verge et j'entrepris afin de me rabaisser plus encore de lécher les couilles du monsieur en insistant pour les gober délicatement avant de les malaxer avec mes lèvres et ma langue. Après 2 minutes de dégustation j'entrepris le plat principal en avalant sauvagement la bite de ce sportif. J'étais en harmonie avec lui en jouant la pédale.

Je suçais avec délectation cette bite, je savourais ce membre comme un dessert et je tirais quelques cris étouffés de son propriétaire. L'autre individu me regardait faire et se branlait énergiquement tout en se posant derrière moi pour frotter sa queue sur mon cul. J'ondulais nerveusement comme pour l'inviter à me posséder pendant que je faisais une fellation sympathique à son pote. Je senti une main me pousser à avaler la bite dans son intégralité et je perçu dans mon dos une bite qui se posait sur mes reins. Elle s'agitait fébrilement entre mes deux lobes de fesses et je sentais que mon heure était bientôt arrivée de me faire enculer.

Il cracha deux fois sur mon trou pour le lubrifier et y entrer quelques doigts histoire de travailler l'entrée. Il posa son gland contre mon anus et s'enfonça comme un spéléologue dans une grotte à découvrir.
Alors qu'il me pénètrait comme une vulgaire putain je senti un moment d extase lorsque sa queue franchi mes sprinters pour s'installer confortablement dans mes reins. Lui aussi lâcha un râle de plaisir avant de saisir mes hanches et me labourer le cul avec son sexe qui n'avait rien à envier à son copain visiblement.

"Ah sale chienne, tu veux faire la femme dévergondée, la putain.....et bien prend ma bite dans ton gros cul de bourgeoise. Petite salope tu m excites comme une puce, ton cul est tellement serré que j'ai ma bite en feu mais j'adore ça !!! Dire que ma femme ,ne veut pas entendre parler de sodomie et que je viens de tomber sur une tapette effeminée qui en rafole !! Putain toi il faut que tu nous donnes les dates où tu reviendras qu'on vienne te faire ta fête comme ce matin.

Putain de trainée que tu es....hummm je suis bien au chaud dans ton cul tandis que mes mains manucurées de la veille tirait sur mes fesses pour écarter mon trou. Je lâchais la bite du second pour l'inviter à m insulter car ça m excitait et je souhaitais qu'ils me fessent tous les deux pour m'humilier plus encore.

Le second ne se fit pas prier et gratifia mes fesses de larges claques qui firent rougir ces dernières. Je me sentais totalement soumise à leurs désirs dans un lieu magique où je n'aurais jamais pensé me faire surprendre.

Après m'avoir copieusement insulté et fessé ils échangèrent leurs positions et j'eu droit à une seconde pénétration énergique tandis que l autre décidait de se branler comme un dératé pour me souiller la face de son sperme chaud et onctueux. J'hapais sa queue avant que la dernière goutte ne s'échappe et pompait goulument sur celle ci pour en extirper les dernières larmes.

Putain quelle suceuse cette pouffiasse. Elle a bien fait de se travestir sur notre chemin car ça fait longtemps que je n avais pas pris un pied pareil.....C est fou qu'un homme ait besoin de s habiller en femme pour son plaisir sexuel mais au moins ça nous permet de compenser le manque de sexe en souillant ce truc ! J'en reviens pas de notre chance !!!

Pendant ce temps son acolyte ne ménageait pas sa peine pour tenter de vider son camion si sperme. IL me démontait l'anus comme peu le font et je chialais de pllaisir pendant qu'il m'enculait... Ecoutes moi cette demie femelle prendre son pied dit il à son copain.....On dirait qu'elle aime ça et qu elle en redemande encore et encore.
Je vais lui défoncer le cul pour repeindre son anus avec ma quantité phénoménale de sperme que j'ai emmagasiné depuis quelques mois.

Je cambrais encore plus comme une putain professionnelle et je sentis sa résistance s 'émousser lorsque j'entendis son souffle s accéler au rythme de ses coups de reins.
Il venait doucement et je ne pouvais pas le laisser partir sans qu'il soit soulagé. Je frappais de moi même mes fesses, de généreuses claques sur celle ci tout en le suppliant de me donner mon compte, de me tapisser les fesses de sperme....Ces artifices sexuels eurent raison de sa patience et je sentis, j'entendis un cri du coeur briser les sifflements des oiseaux dans les arbres. Dans un silence de cathédrale les volatiles admirèrent l'orgasme de mon baiseur. Sa queue entrait et sortait plus lentement maintenant qu'il vidait ses couilles pleines. Je sentis les parois de mes intestins se couvrir d'un liquide chaud comme un platre qui tapisse les parois.



J'étais en totale érection d être enculée et lorsque mes deux "invités" décidèrent de m'abandonner à mon triste sort je leur suggérais de me laisser me branler devant eux en me remémorant la scène que je venais de vivre grâce à eux. Ils consentirent sans rechigner et je les surpris même à se caresser le sexe pendant que je me branlais fiévreusement. J'étais déjà au bord du gouffre lorsque je repris ma branlette et je mis quelques minutes seulement à faire jaillir le jus que ces messieurs m'avaient fait monter. Je cru un instant que mes trippes avaient trouvé un passage pour rejoindre ma prostate et relacher tout le sperme que j avais avalé par la bouche et le cul. tellement fut abondante mon éjaculation.

D'autres samedi furent honorés de la même façon avec ces deux cyclistes.
Amis cycliste quand vous promenez dans les campagnes surveillez les lieux abandonnés il pourraient vous surprendre je vous assure.