Séduire l'amant de ma femme
Les faits se sont déroulés pendant les années 2010/2012.
Depuis quelques années déjà, mon épouse et moi même faisions chambre à part. Elle s'autorisait souvent à faire venir des amants à la maison prétextant que j'étais incapable de bander correctement pour elle..
Je dois dire que cette situation, ne me choquait pas puisque je compensais en me travestissant régulièrement.
Je trouvais même un certain plaisir à l 'entendre gémir son plaisir dans les bras d un autre homme , l'entendre couiner comme une jeune vierge et supplier son amant du soir de la pistonner de plus en plus fort. Lorsqu'elle l'implorait de la baiser avec sa grosse queue comme une chienne en châleur j'écoutais à la porte et j'étais gagnée par des érections incroyables.
Souvent je collais mon oreille au mur afin de mieux écouter leurs ébats. Je crois bien que mon épouse s en doutait et faisait en sorte d exagérer son plaisir afin de me faire râler.
Elle racontait à ses partenaires que j'étais une fiotte à humilier, ne méritant aucun respect. Que mon plaisir était de revêtir des dessous féminins et de me branler dans des culottes de satin comme une gamine à l'âge de ma puberté. Elle encourageait mon vice en m achetant toutes sortes de vêtements qu'elle m obligeait à porter le plus souvent possible afin de m assouvir, de me rendre vulnérable à ses besoins, consentir à ses envies extraconjugales etc etc..
Elle m'avait souvent acheté des dessous qu'elle m'obligeait à porter lorsque nous étions seuls à la maison. Elle poussait l'humiliation à m'obliger à me vernir les ongles des pieds et des mains, de me maquiller et de porter des perruques. Elle insistait pour que j aille bosser avec des ongles vernis aux pieds recouverts de collants ou de bas...des petites culottes en satin et elle exigeait que je rentre le soir avec des culottes souillées par moi même ou par des collègues qui se serait branlé au dessus de moi.
Elle choisissait mes coiffes comme si elle testait la coupe de cheveux qui pourrait à son tour lui convenir. Lorsque j'étais totalement transformée elle sortait l'appareil photo et me mitraillait sous tous les angles pour immortaliser mon travestissement. Les jours ou elle était de mauvaise humeur elle me menaçait avec ces dernières de tout divulguer à mes proches, mes amis, mes voisins ce que je refusais d envisager même si le risque était réel.
Elle en avait déjà parlé à ma soeur sans lui montrer les photos de moi en femme ce qui pouvait laisser un doute à ma soeur.
Un soir, alors que j'étais maquillée habillée à sa demande elle m'avisa qu'elle attendait un amant et qu'elle souhaitait lui montrer le "mari" avec lequel elle vivait et pourquoi elle me trompait.
Un peu interloquée par cette nouvelle je restais fermée à son souhait....tout en réfléchissant plus tard que c était peut être ma chance et qu'il fallait que je la saisisse.
De plus je connaissais l'amant dont elle me parlait et il ne me laissait pas indifférent.
Il avait un beau visage avec un sourire lumineux et un corps assez sympa contrairement à certaines de ses connaissances.
Je l'avais déjà vu au sortir de la douche en ayant eu la pensée que j'en aurais bien fait mon 4 heures et leurs ébats amoureux me laissaient supposer qu'il était très fougueux au lit et savait s'occuper de sa partenaire.
Finalement je retournais voir mon épouse pour lui signifier que j'acceptais son challenge de le recevoir dans ma tenue. Il me semblait que tout était bien organisé et que mon refus aurait contrarié leurs plans.
Lorsque ma femme eu mon accord elle me donna les consignes et m expliqua le scénario qu'ils avaient élaborés ensembles.
Je devais accueillir son mec dans le hall d entrée et me mettre rapidement à genoux pour défaire sa braguette et avaler sa queue afin de le mettre dans une forme optimale ce qui a vrai dire ne me déplaisait pas du tout. J'aime les verges molles qu'il faut raffermir, j'ai la prétention de savoir m'y prendre et de sucer comme une déesse les bonnes bites qui passent dans ma bouche, qui glissent sous ma langue.
A l'heure prévue de son arrivée mon épouse surveillait la rue impatiemment lorsque soudain elle me dit : "file dans le corridor et mets toi à genoux". Je courrais avec mes escarpins en claquant le carrelage de mes talons. Je venais à peine de m'agenouiller lorsque le carrillon sonna. Sans même poser la main sur la poignée de porte celle ci s'ouvrit et laissa entrer un homme élégant qui s'était mis sur son 31 pour honorer les femelles qui l'attendaient.
ALors que je cherchais la poignée de porte ma main s agrippa à un sexe déjà bien développé qui gambadait à braguette ouverte et sur lequel je plongeais comme un aigle sur sa proie.
Gloup gloup et me voilà bâillonnée pour le début de soirée.
Je n'avais plus mon mot à dire alors que Nicolas parfois surnommé Slimysuit secouait ma bouche et ma gorge sans ménagement en même temps qu'il saluait mon épouse avec des gestes affectueux que je ne pouvais ignorer. Cette salope s'était habillée ultra sexy pour l aguicher encore plus que d'habitude avec sans doute la crainte que je ne me l accapare. Bas noirs, guêpière et son string assorti sur des talons vertigineux.
Pour ma part j'avais opté pour des bas noirs également et un porte jarretelles 6 points de la même couleur, une jupe plissée et un haut à dentelles sur des talons tout aussi vertigineux que ceux de mon épouse. Il faut dire que depuis un certain temps c est elle qui me les achetaient. Elle voulait que je progresse dans ma manière de marcher avec des talons afin aiguilles pour sortir plus souvent ensemble en ville en mode chasse à l'homme pour deux tigresses affamées.
Les fesses appuyées sur mes talons justement je continuais à pomper cette bite qui avait raffermi significativement. Elle avait une allure de gladiator dans une arêne romaine et elle vivrait à chaque coup de langue comme une corde de guitare. Son gland cramoisi pointait la tête haute et se laissait sucer sans sourciller, quelques plaintes, quelques gémissements de plaisir s'échappait quelquefois de la bouche de son propriétaire.
Tandis qu'il embrassait fougueusement ma femme ses mains s agrippaient à ma nuque pour plaquer ma gorge sur son sexe énorme qui devait bien faire 21/5. Je m'étouffais à engloutir l'objet mais cela ne semblait aucunement le déranger. Il insistait sans ménagement pour me pistonner la bouche tout en éructant des insultes à mon encontre " grosse salope suce moi comme tu sais si bien le faire dans les clubs ou avec des amants" et en félicitant ma femme d'avoir fait de moi une femelle servile.
Au bout d un bon quart d'heure d'une fellation que je qualifiais d anthologie monsieur décida de nous amener dans la chambre sans même prendre le temps de siroter une liqueur.
Ma femme avait la petite culotte inondée, le tissu humide cachait mal son excitation Je dois avouer que j'avais du mal à cacher la mienne, mon clitoris avait atteint sa taille de croisière et son coeur palpitait à la cadence d'un métronome. Je me branlais pendant que je suçais et j avais du interrompre mes gestes pour suivre la croupe de ma femme et celle de son mec.
Dans la chambre ma femme redoubla de féminité lorsqu'elle se frotta à Nicolas comme une pieuvre qui veut enserrer sa proie. Ses mains courraient sur son corps tout comme ses jambes qui s'enroulaient autour de son cou, de ses bras, de son torse musclé comme un haltérophile. Elle se faisait plus chatte qu'elle ne l avait jamais été avec moi comme si elle cherchait à me rendre jalouse...tandis que ma jalousie me rongeait uniquement parce que c était elle qui avait le sexe de Slimysuit dans sa vulve inondée, trempée, déteempée. Les draps n'avaient pas épongé le quart de ses effluves lorsqu'elle se fit baiser par cette magnifique queue qui donnait à la pièce tout son cachet. Elle s'engouffra dans la chatte de Corinne mon épouse au point de lui faire perdre un court instant la notion de la réalité. Elle hurla à réveiller les enfants des voisins, elle cria son envie de se faire sauter, elle attira Slimysuit à elle pour le sentir la pénétrer.
Tandis qu'elle gémissait sous les coups de boutoirs de Nicolas, je mettais allongée derrière lui pour lécher ses couilles au rythme de ses vas et vients....lui sucer la hampe juste avant qu'elle ne pénètre à nouveau ma femme. Par moment il sortait sa bite de cette chatte toute gonflée, toute rouge, et je m'empressais d aller la sucer en dégustant la cyprine de Corinne qui dégoulinait de cette verge d'Appolon.
Je pompais fermement en cherchant à le faire jouir avant que ma femme n y parvienne lorsqu'il abandonna la chatte de cette dernière pour venir m enculer...en disant à Corinne : Tu vois tu n es pas capable de m offrir ton cul alors que ta fiotte de mari le fait...Et on est tellement bien dans un cul serré que tu devrais y penser....
Son gland se frayait un passage dans mon anus alors que je gémissais de douleur et de plaisir. Corinne regardait le spectacle et m insultait copieusement: Regarde cette putain s'offrir à toi comme un cadeau tombé du ciel et en plus elle aime ça cette cochonne.....donnes lui son compte à cette putain qu'on en finisse avec elle.....Fais lui regretter de s'offrir à toi aussi facilement alors que vous vous connaissez à peine.....elle tend son cul comme un a****l en rut et elle bande comme un âne d être ton objet alors qu'avec moi elle n'a quasiment plus d érection...
c est une trainée à baiser et tu devrais ramener tes potes la prochaine fois afin de la posséder dans toutes les positions et de lui faire des doubles.
Sur ces dires je mouillais encore plus et j ondulais du cul pour faire cracher sa semence et la sentir inonder mes fesses. Il frappa ses dernières sans calmer la cadence et s'enfonca le plus profondément qu'il pu dans mon putain de cul en manque de bites. Il suffoqua de plaisir lorsque ses couilles frappèrent les miennes et lorsqu'il senti ma prostate se dérober au bout de son gland......avant de jouir et s'effondrer sur moi comme un assaillant vaincu.....il me couvrait de bisous partout dans le cou, la nuque, le dos alors que mon épouse verte de rage regrettait sa soirée......
pour me faire pardonner je me mis à li lécher la chatte goulument pendant que j'astiquais ma verge pour me porter à jouir de ma prestation, de jouir engloutie dans un tourbillon de bonheur maintenant que je me sentais enfin femme......J'avais converti l'amant de ma femme au désir de posséder des travesties et j'en étais fière...sachant que j allais sans doute le revoir frapper à ma porte lorsque Corinne travaillerait.....
Je revis plusieurs mois durant mon amant en l absence ou en présence de mon épouse qui s en détacha doucement pour ne plus le garder en amitié.
J'avais gagné en féminité, j avais gagné ma place de femme dans ce couple particulier et j avais gagné le combat entre elle et moi en séduisant son amant plus qu'elle ne l imaginait.
Hélas cette aventure ne me permit pas de recommencer une expérience sexuelle de ce genre avec mon épouse. Elle avait été réfroidie.
Depuis quelques années déjà, mon épouse et moi même faisions chambre à part. Elle s'autorisait souvent à faire venir des amants à la maison prétextant que j'étais incapable de bander correctement pour elle..
Je dois dire que cette situation, ne me choquait pas puisque je compensais en me travestissant régulièrement.
Je trouvais même un certain plaisir à l 'entendre gémir son plaisir dans les bras d un autre homme , l'entendre couiner comme une jeune vierge et supplier son amant du soir de la pistonner de plus en plus fort. Lorsqu'elle l'implorait de la baiser avec sa grosse queue comme une chienne en châleur j'écoutais à la porte et j'étais gagnée par des érections incroyables.
Souvent je collais mon oreille au mur afin de mieux écouter leurs ébats. Je crois bien que mon épouse s en doutait et faisait en sorte d exagérer son plaisir afin de me faire râler.
Elle racontait à ses partenaires que j'étais une fiotte à humilier, ne méritant aucun respect. Que mon plaisir était de revêtir des dessous féminins et de me branler dans des culottes de satin comme une gamine à l'âge de ma puberté. Elle encourageait mon vice en m achetant toutes sortes de vêtements qu'elle m obligeait à porter le plus souvent possible afin de m assouvir, de me rendre vulnérable à ses besoins, consentir à ses envies extraconjugales etc etc..
Elle m'avait souvent acheté des dessous qu'elle m'obligeait à porter lorsque nous étions seuls à la maison. Elle poussait l'humiliation à m'obliger à me vernir les ongles des pieds et des mains, de me maquiller et de porter des perruques. Elle insistait pour que j aille bosser avec des ongles vernis aux pieds recouverts de collants ou de bas...des petites culottes en satin et elle exigeait que je rentre le soir avec des culottes souillées par moi même ou par des collègues qui se serait branlé au dessus de moi.
Elle choisissait mes coiffes comme si elle testait la coupe de cheveux qui pourrait à son tour lui convenir. Lorsque j'étais totalement transformée elle sortait l'appareil photo et me mitraillait sous tous les angles pour immortaliser mon travestissement. Les jours ou elle était de mauvaise humeur elle me menaçait avec ces dernières de tout divulguer à mes proches, mes amis, mes voisins ce que je refusais d envisager même si le risque était réel.
Elle en avait déjà parlé à ma soeur sans lui montrer les photos de moi en femme ce qui pouvait laisser un doute à ma soeur.
Un soir, alors que j'étais maquillée habillée à sa demande elle m'avisa qu'elle attendait un amant et qu'elle souhaitait lui montrer le "mari" avec lequel elle vivait et pourquoi elle me trompait.
Un peu interloquée par cette nouvelle je restais fermée à son souhait....tout en réfléchissant plus tard que c était peut être ma chance et qu'il fallait que je la saisisse.
De plus je connaissais l'amant dont elle me parlait et il ne me laissait pas indifférent.
Il avait un beau visage avec un sourire lumineux et un corps assez sympa contrairement à certaines de ses connaissances.
Je l'avais déjà vu au sortir de la douche en ayant eu la pensée que j'en aurais bien fait mon 4 heures et leurs ébats amoureux me laissaient supposer qu'il était très fougueux au lit et savait s'occuper de sa partenaire.
Finalement je retournais voir mon épouse pour lui signifier que j'acceptais son challenge de le recevoir dans ma tenue. Il me semblait que tout était bien organisé et que mon refus aurait contrarié leurs plans.
Lorsque ma femme eu mon accord elle me donna les consignes et m expliqua le scénario qu'ils avaient élaborés ensembles.
Je devais accueillir son mec dans le hall d entrée et me mettre rapidement à genoux pour défaire sa braguette et avaler sa queue afin de le mettre dans une forme optimale ce qui a vrai dire ne me déplaisait pas du tout. J'aime les verges molles qu'il faut raffermir, j'ai la prétention de savoir m'y prendre et de sucer comme une déesse les bonnes bites qui passent dans ma bouche, qui glissent sous ma langue.
A l'heure prévue de son arrivée mon épouse surveillait la rue impatiemment lorsque soudain elle me dit : "file dans le corridor et mets toi à genoux". Je courrais avec mes escarpins en claquant le carrelage de mes talons. Je venais à peine de m'agenouiller lorsque le carrillon sonna. Sans même poser la main sur la poignée de porte celle ci s'ouvrit et laissa entrer un homme élégant qui s'était mis sur son 31 pour honorer les femelles qui l'attendaient.
ALors que je cherchais la poignée de porte ma main s agrippa à un sexe déjà bien développé qui gambadait à braguette ouverte et sur lequel je plongeais comme un aigle sur sa proie.
Gloup gloup et me voilà bâillonnée pour le début de soirée.
Je n'avais plus mon mot à dire alors que Nicolas parfois surnommé Slimysuit secouait ma bouche et ma gorge sans ménagement en même temps qu'il saluait mon épouse avec des gestes affectueux que je ne pouvais ignorer. Cette salope s'était habillée ultra sexy pour l aguicher encore plus que d'habitude avec sans doute la crainte que je ne me l accapare. Bas noirs, guêpière et son string assorti sur des talons vertigineux.
Pour ma part j'avais opté pour des bas noirs également et un porte jarretelles 6 points de la même couleur, une jupe plissée et un haut à dentelles sur des talons tout aussi vertigineux que ceux de mon épouse. Il faut dire que depuis un certain temps c est elle qui me les achetaient. Elle voulait que je progresse dans ma manière de marcher avec des talons afin aiguilles pour sortir plus souvent ensemble en ville en mode chasse à l'homme pour deux tigresses affamées.
Les fesses appuyées sur mes talons justement je continuais à pomper cette bite qui avait raffermi significativement. Elle avait une allure de gladiator dans une arêne romaine et elle vivrait à chaque coup de langue comme une corde de guitare. Son gland cramoisi pointait la tête haute et se laissait sucer sans sourciller, quelques plaintes, quelques gémissements de plaisir s'échappait quelquefois de la bouche de son propriétaire.
Tandis qu'il embrassait fougueusement ma femme ses mains s agrippaient à ma nuque pour plaquer ma gorge sur son sexe énorme qui devait bien faire 21/5. Je m'étouffais à engloutir l'objet mais cela ne semblait aucunement le déranger. Il insistait sans ménagement pour me pistonner la bouche tout en éructant des insultes à mon encontre " grosse salope suce moi comme tu sais si bien le faire dans les clubs ou avec des amants" et en félicitant ma femme d'avoir fait de moi une femelle servile.
Au bout d un bon quart d'heure d'une fellation que je qualifiais d anthologie monsieur décida de nous amener dans la chambre sans même prendre le temps de siroter une liqueur.
Ma femme avait la petite culotte inondée, le tissu humide cachait mal son excitation Je dois avouer que j'avais du mal à cacher la mienne, mon clitoris avait atteint sa taille de croisière et son coeur palpitait à la cadence d'un métronome. Je me branlais pendant que je suçais et j avais du interrompre mes gestes pour suivre la croupe de ma femme et celle de son mec.
Dans la chambre ma femme redoubla de féminité lorsqu'elle se frotta à Nicolas comme une pieuvre qui veut enserrer sa proie. Ses mains courraient sur son corps tout comme ses jambes qui s'enroulaient autour de son cou, de ses bras, de son torse musclé comme un haltérophile. Elle se faisait plus chatte qu'elle ne l avait jamais été avec moi comme si elle cherchait à me rendre jalouse...tandis que ma jalousie me rongeait uniquement parce que c était elle qui avait le sexe de Slimysuit dans sa vulve inondée, trempée, déteempée. Les draps n'avaient pas épongé le quart de ses effluves lorsqu'elle se fit baiser par cette magnifique queue qui donnait à la pièce tout son cachet. Elle s'engouffra dans la chatte de Corinne mon épouse au point de lui faire perdre un court instant la notion de la réalité. Elle hurla à réveiller les enfants des voisins, elle cria son envie de se faire sauter, elle attira Slimysuit à elle pour le sentir la pénétrer.
Tandis qu'elle gémissait sous les coups de boutoirs de Nicolas, je mettais allongée derrière lui pour lécher ses couilles au rythme de ses vas et vients....lui sucer la hampe juste avant qu'elle ne pénètre à nouveau ma femme. Par moment il sortait sa bite de cette chatte toute gonflée, toute rouge, et je m'empressais d aller la sucer en dégustant la cyprine de Corinne qui dégoulinait de cette verge d'Appolon.
Je pompais fermement en cherchant à le faire jouir avant que ma femme n y parvienne lorsqu'il abandonna la chatte de cette dernière pour venir m enculer...en disant à Corinne : Tu vois tu n es pas capable de m offrir ton cul alors que ta fiotte de mari le fait...Et on est tellement bien dans un cul serré que tu devrais y penser....
Son gland se frayait un passage dans mon anus alors que je gémissais de douleur et de plaisir. Corinne regardait le spectacle et m insultait copieusement: Regarde cette putain s'offrir à toi comme un cadeau tombé du ciel et en plus elle aime ça cette cochonne.....donnes lui son compte à cette putain qu'on en finisse avec elle.....Fais lui regretter de s'offrir à toi aussi facilement alors que vous vous connaissez à peine.....elle tend son cul comme un a****l en rut et elle bande comme un âne d être ton objet alors qu'avec moi elle n'a quasiment plus d érection...
c est une trainée à baiser et tu devrais ramener tes potes la prochaine fois afin de la posséder dans toutes les positions et de lui faire des doubles.
Sur ces dires je mouillais encore plus et j ondulais du cul pour faire cracher sa semence et la sentir inonder mes fesses. Il frappa ses dernières sans calmer la cadence et s'enfonca le plus profondément qu'il pu dans mon putain de cul en manque de bites. Il suffoqua de plaisir lorsque ses couilles frappèrent les miennes et lorsqu'il senti ma prostate se dérober au bout de son gland......avant de jouir et s'effondrer sur moi comme un assaillant vaincu.....il me couvrait de bisous partout dans le cou, la nuque, le dos alors que mon épouse verte de rage regrettait sa soirée......
pour me faire pardonner je me mis à li lécher la chatte goulument pendant que j'astiquais ma verge pour me porter à jouir de ma prestation, de jouir engloutie dans un tourbillon de bonheur maintenant que je me sentais enfin femme......J'avais converti l'amant de ma femme au désir de posséder des travesties et j'en étais fière...sachant que j allais sans doute le revoir frapper à ma porte lorsque Corinne travaillerait.....
Je revis plusieurs mois durant mon amant en l absence ou en présence de mon épouse qui s en détacha doucement pour ne plus le garder en amitié.
J'avais gagné en féminité, j avais gagné ma place de femme dans ce couple particulier et j avais gagné le combat entre elle et moi en séduisant son amant plus qu'elle ne l imaginait.
Hélas cette aventure ne me permit pas de recommencer une expérience sexuelle de ce genre avec mon épouse. Elle avait été réfroidie.
1 year ago