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Son corps m'appartient

Son corps m'appartient

Je lui avais attaché les main au lit. C’était parti de rien. D’une petite réflexion de sa part pendant nos échanges. « Et tu me ferais quoi si je ne pouvais pas me défendre ? » … Elle était donc là, sur le dos, les 2 mains attachées à sa tête de lit, dans une nuisette en satin nuit qui laissait deviner la forme de ses seins magnifiques en forme de poire. En bas, elle ne portait qu’une culotte noire, un peu transparente, qui laissait deviner sa magnifique chatte lisse. Elle me souriait. Dans ces yeux, je pouvais lire qu’elle avait hâte de connaitre la suite. Je ne savais pas où j’allais… C’était une première pour moi. J’étais ravi que ce soit avec elle.
Je m’allongeais à côté d’elle, complétement nu, en la regardant droit dans les yeux. Je commençais par lui caresser son visage, je passe un doigt dans sa bouche, elle me le lèche, joue avec sa langue, elle voudrait que ce soit ma queue. Je retire mon doigt et je continue de descendre, d’abord son cou, puis je m’attarde sur son sein gauche. Je la caresses, elle sent ma main à travers sa nuisette. J’abaisse sa brettelle pour découvrir son sein, que j’aime tellement. Son têton est déjà bien dur d’excitation. Je caresse son sein, je joue avec ses mamelons, je fais passer son têton dans mes doigts, je le pince. Réaction immédiate, son dos se cambre, ses genoux se replient, elle gémit. Je l’embrasse, sa langue caresse la mienne, tandis que ma main continue son exploration. Je redescends doucement jusqu’à arriver à son entrejambe. Je la caresses, toujours à travers sa culotte. Elle est trempée. Elle me veut, elle me désire. Je sais que si ses mains étaient libres, elle se serait déjà jetée sur mon chibre pour le prendre en bouche. Mais là, elle est impuissante. Elle doit se plier à ma volonté.
Je suis toujours en train de la caresser, je l’embrasse. J’écarte délicatement sa culotte pour passer mon doigt sur sa vulve. Je trouve l’entrée de sa chatte, j’y entre un doigt, puis 2, et je l’entends gémir. Je commence par des vas et vient délicats, mon majeur et mon annulaire lui font l’effet escompté, elle se cambre, gigotte, tire sur ses cordes. Elle voudrait avoir ses mains pour me caresser pendant que je la doigte. J’augmente la cadence, et plus j’augmente, plus son souffle s’accélère, plus ses gémissements se font important. Je continue, je le sens, elle va venir. « Continue, ne t’arrête pas, je vais jouir, vas-y, oui, oui, ouiiiii !!!! ». Enfin ! le résultat tant attendu, des flots de cyprine coulent de sa chatte, inondent sa petite culotte. Je retire mes doigts. Je lui fais lécher. « Goute à ta chatte » lui dis-je. Elle lèche goulument mes doigts.
Je me redresse et me mets à genoux, à coté de sa tête. Ma bite est au niveau de sa tête et son corps à portée de ma main. Elle me sourit et approche sa tête, tant bien que mal. Elle est là, la queue qu’elle désire depuis que nous avons commencé. Le fait de ne pas être libre de ses mains la rend folle, je le sais, elle voudrait déjà avoir pris ma queue en main et dans sa bouche. Je pose mon gland sur ses lèvres. Elle donne de petits coups de langues, puis, entre ma queue dans sa bouche. C’est trop bon. Je passe mes mains autour de sa tête, je m’accroche à ses cheveux. Elle fait des va et vient avec son cou, elle m’aspire. Qu’est ce que c’est bon. Je retire ma queue et je change de position. Je me mets cette fois tête bêche, au-dessus d’elle. Ma queue est au niveau de sa bouche, tandis que sa chatte est au niveau du mien. Un bon 69 en perspective. Je replace ma queue à sa place dans sa bouche, je lui retire sa culotte et je m’occupe de lui lécher le clito. Elle gémit de plus belle. Ses cris sont étouffés par ma queue dans sa bouche. Quant tout à coup, je sens un coup de dents sur ma queue. Elle m’a mordu ! Je me redresse et me retire de sa bouche. « Qu’est ce qui te prends ? » lui dis-je doucement. « Il faut bien que je me venge, me répond-elle. Tu m’attaches, tarde à me donner ta queue, et il faudrait en plus que je sois docile ? ». Son sourire taquin m’excite au plus haut point. « T’es vraiment la plus belle des salopes ». Elle rit aux éclats. Je prends sa tête, et je reglisse mon sexe sans sa bouche. Je tiens sa gorge entre mes mains, comme s’il s’agissait de sa croupe, et je commence à donner de petits coups de reins. Je me glisse lentement au fond de sa gorge. Mes coups de rein se font de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je pose ma main sur sa chatte, et je sens qu’elle est trempée. Ça l’excite de se faire baiser la bouche, elle adore ça. Je continue de la baiser, ma queue entre et sort de sa gorge, je n’en peux plus, l’excitation est intense, ses seins sont durs, sa chatte dégouline, et dans un dernier coup de reins, je laisse échapper des jets de sperme dans la fond de sa gorge.
Je me retire, mon sperme coule de sa bouche. Elle me fixe, joue avec. Elle le goute, joue avec sa langue, s’amuse à le faire déborder de sa bouche. Je l’embrasse. Ma langue passe dans sa bouche, et la sienne viens à sa rencontre. La sensation de ce baiser, chaud et gluant, au gout de foutre me plait au plus haut point. J’arrête de l’embrasser, la regarde dans les yeux. Elle me sourit et avale la totalité de mon jus chaud en me faisant un grand sourire.
« Bon et maintenant tu me détaches ? »
« Non ».
Je redescends vers sa chatte, et je lui lève les cuisses. Je commence à la lécher goulument. Je me régale, sa chatte est bonne. Elle est encore pleine de mouille. Je lui tiens les cuisse en l’air et je m’attèle à la lécher. Ma langue passe sur ses lèvres, son clito ; j’entre en elle, j’essaie d’aller au plus profond avec ma langue. Avec ma main droite, je caresse son anus. J’humidifie un de mes doigt avec ma bouche et je le présente à l’entrée de son anneau. Il ne faut pas longtemps pour que j’arrive à le glisser en entier. Le résultat ne se fait pas attendre. Elle adore. Je continue de la lécher en faisant des va et vient avec mon doigt dans son cul. Au fur et à mesure, son trou se dilate. J’adore ça. Je continue, je sens sa chatte, de plus en plus humide, ma salive se mélange à sa mouille. Elle dégouline tellement que je sens des goutes perler sur ma main dont le doigt est encore dans son cul. Dans un cri de plaisir elle jouit intensément, des jets de cyprine m’arrosent le visage. Je la bois, tout en continuant de la doigter et en diminuant le rythme. Son corps cesse de gigoter, son dos se colle au matelas. Je retire mon doigt et remonte à son niveau.
Je l’embrasse, lui pince une dernière fois le téton, un plus fort que d’habitude.
« Aie ! me dit elle. Qu’est ce qui te prend, ça ne va pas non ?! »
« Ça t’apprendra à me mordre la queue salope. »
Son sourire taquin réapparait. « Bon ok je l’ai mérité, tu me détaches maintenant ? »
« On verra… »
Published by matlr
1 year ago
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