ÉBATS.
Premiers ébats entre hommes.
À l'aube de mes 14 ans, je passais mes vacances estivales dans l'arrière-pays Varois avec mes parents.
La caravane de mes parents était placée sur un terrain avec cabanon prêté par la famille.
Moi, j’avais planté une petite tente à côté, pour être peinard.
Après le repas du midi, tout le monde faisait la sieste à l'ombre.
J’aimais sortir du terrain et me promener dans les vignes et garrigues environnantes sous un soleil de plomb et profitais de cette solitude pour entamer mes débuts de naturiste naissants.
Les brises légères sur mon corps de pré-ado me provoquaient souvent de fortes érections et la balade se finissait souvent par une bonne branlette au milieu des cigales.
C'est lors d'une de ces sorties, que j’aperçois devant moi, un homme brun vêtu d'un short et tee-shirt blanc s'avançant en direction des vignes d'un pas hésitant, comme la peur d'être vu.
Intrigué, je décide de le suivre de loin.
Le chemin qui dessert les vignes finies en queue de poisson par un rond-point naturel avec un petit talus en son milieu cerné de grosses pierres de granit blanc.
L’homme a disparu de ma vue.
Je reste à l’affût en m'enfonçant derrière quelques cépages.
En tendant l’oreille, j'entends une conversation lointaine et quelques minutes plus tard, comme des gémissements.
Ma curiosité l'emporte sur la discrétion et j'essaie en m'enfonçant dans le vignoble de contourner la butte d’où me semble-t-il proviennent ses gémissements.
Mon astuce est bonne…
Je tombe, éberlué, sur un drôle de spectacle :
L’homme que je suivais, debout, les mains posées sur une grosse pierre, jambes écartées, qui subit les assauts virils d'un homme grand, noueux et bronzé.
Les claques sur les fesses, le clap-clap des corps, les grognements de l'homme mêlés aux couinements du garçon arrivent aussi à mes oreilles…
S’en m'en rendre compte, ma main agite ma petite bite si énergiquement qu’au bout de quelques minutes, de grands jets de sperme arrosent la terre sèche du vignoble.
Je reprends mes esprits et le couple à l'air d'en avoir terminé aussi.
L’homme donnant des coups de reins espacés mais profonds au garçon, puis se retirant doucement.
La vue de cette bite raide et luisante m’impressionne par sa longueur et sa grosseur.
À cette époque je n'avais jamais vu de queues bandées à par la mienne sortie à peine de l'enfance.
Ce couple se réajuste, échange quelques mots et se sépare.
L’homme s'enfonce au milieu des vignes et disparaît et le garçon reprend le chemin en sens inverse.
Je décide de le suivre de nouveau et avant de rejoindre le hameau j'accélère le pas pour le ratt****r.
Celui-ci m'entend et se retourne surpris de ma présence.
Il a l'air un peu plus âgé que moi et plus costaud ce qui le rassure.
Il me demande ce que je fous ici et d'où je viens d'un ton étonné comme si je tombais du ciel.
Je lui relate mon parcours et de ce que j'y ai vu mais lui avoue que je n'ai pas osé me montrer de peur de leurs réactions mais que j'ai beaucoup aimé les regarder...
Gentiment et souriant, il me traite de petit salaud voyeur et qu'il est content que cela m’ait plu. Il m'explique aussi, que tous les étés, des ouvriers harkis sont embauchés dans les vignes et prenant la relève de son frère, il aime se faire sauter par ces hommes qui sont en manque de femmes.
Les rendez-vous ont lieu en débuts d'après-midi sur trois jours, souvent les mêmes personnes.
- « Si tu es intéressé, je peux te prendre un rendez-vous, on ne sera pas trop de deux pour les satisfaire. »
Bien que très intéressé par les filles, l'idée d'être une "femelle" livrée à un mâle viril me titille déjà depuis longtemps avec des rêves érotiques agrémentés de sodomies de divers petits objets ovoïdes faisaient partis de mon quotidien mais à cette époque, internet n'existait pas et je gardais en moi ce fantasme utopique.
Pourtant ce que j'avais vu aujourd'hui et l'assurance de ce nouveau copain (Alain) m’ouvrait à des perspectives bien réelles....
Je répondais favorablement à sa proposition, lui faisant part de ma timidité et mon inexpérience due à mon âge.
Il me proposa alors que je l'accompagne la prochaine fois pour me montrer comment il
s'y prenait et pour voir le déroulement de la scène sans que je participe et bien sûr avec l'accord de l'ouvrier du jour.
Deux jours plus tard, je me retrouvais assis avec Alain sur les grosses pierres du fameux rond-point.
Des bruissements de feuilles coupent notre béatitude et un colosse à la peau mate, pantalon de travail, maillot de corps sans manche humide de sueur, laissant apparaître des poils longs et soyeux sur ses bras et biceps, s'avance vers nous.
Alain se lève et le rejoint, je les vois discuter puis me regarde tous les deux et l'arabe fait un "oui" de la tête et empoigne mon copain par les fesses et lui les remonte l'obligeant à se tenir sur la pointe des pieds.
Alain enroule ses bras autour du cou de Mustapha et lui roule une pelle magistrale.
Ébahi, je commence à bander très fort et me masser le bas-ventre.
Le harki lui masse les fesses et l'anus par-dessus le short moulant d'Alain et relâche son étreinte.
Alain tombe à genoux devant Mustapha et commence par desserrer le ceinturon…
Ouvre la braguette dont il extirpe un membre volumineux et circoncis qu'il s'empresse d’happer.
Alain tête longuement et soigneusement l'arabe puis d'un coup se retourne vers moi et m'invite à le rejoindre.
Il me demande de le sucer pendant qu’Alain lui bouffe les couilles.
Je m'exécute, pas très convaincu.
Une main rude vient m'appuyer sur la tête et obligé, je commence ma première fellation qui restera gravé dans ma mémoire.
Avoir ce membre en bouche est délicieux, je tête, suce, lèche de tout mon cœur et surtout ce sentiment de soumission qui m’envahis avec une vraie envie d'aller plus loin…
Mais ce ne sera pas pour aujourd’hui.
Délaissant les couilles bien remplies et baveuses de Mustapha, le copain m'invite à retourner à mon point d’observation.
Un peu dépité, j’obéis.
Le harki retourne Alain…
Lui demande de se pencher en avant et de quitter son mini short.
Les mains d'Alain posées sur une pierre, Mustapha accroupi derrière écarte les fesses du garçon, plonge sa bouche et sa langue dans la raie afin d'atteindre la rondelle rose et fermée.
Gloussant de plaisir, Alain remue les fesses et caresse sa bite dressée comme moi d'ailleurs.
L'arabe arrête, se lève et j'aperçois encore sa queue qui a encore pris du volume me semble-t-il.
Il la dirige vers le cul offert de mon pote, enduit un peu son gland de salive et pénètre lentement la rondelle détendue d'Alain en faisant quelques doux vas et vient.
Je n'en peux plus…
J’éjacule de longs jets puissants en continuant à mater.
L'homme a agrippé Alain par les cheveux et ses coups de reins se sont accélérés et sont devenus plus puissants…
Ce qui fait ballotter dans tous les sens la bite ramollie et les petites couilles d’Alain entre ses cuisses blanches et de projeter, quand même, de petits jets de sperme à droite et à gauche.
Au bout d'un instant l'arabe pousse des grognements et rempli de sperme épais la chatte de mon nouvel ami avec de violents coups de reins qui lui soulève presque les pieds de terre.
Reprenant leurs esprits, Mustapha gentiment caresse le dos d'Alain puis se retire entraînant une fuite de jus laiteux qui dégouline dans la raie rosie d’Alain qui se relève dans un état second.
Mustapha s'approche de moi et avec un accent et une voix grave me dit que ce sera mon tour avec lui dans deux jours et qu'il sera bien excité....
Sur ce, il rengaine son matos et disparaît dans les vignes.
Alain a entendu le harki, et en rigolant, me montre sa chatte ruisselante en forme de "O" et me dit, que bientôt j'aurai la même...
Effectivement deux jours plus tard, j'avais la rondelle explosée et spermée par Mustapha…
Mais pas que, car Alain et moi avons continué tout l'été.
Étant resté dans ma famille jusqu'en septembre, on se partageait les ouvriers harkis.
Après quelques étés mémorables, après mes 18 ans, la vie ne m'a plus donné l'occasion de redescendre sur ce lieu de vacances…
Mais il me reste de très bons souvenirs de ces premiers ébats entre hommes.
À l'aube de mes 14 ans, je passais mes vacances estivales dans l'arrière-pays Varois avec mes parents.
La caravane de mes parents était placée sur un terrain avec cabanon prêté par la famille.
Moi, j’avais planté une petite tente à côté, pour être peinard.
Après le repas du midi, tout le monde faisait la sieste à l'ombre.
J’aimais sortir du terrain et me promener dans les vignes et garrigues environnantes sous un soleil de plomb et profitais de cette solitude pour entamer mes débuts de naturiste naissants.
Les brises légères sur mon corps de pré-ado me provoquaient souvent de fortes érections et la balade se finissait souvent par une bonne branlette au milieu des cigales.
C'est lors d'une de ces sorties, que j’aperçois devant moi, un homme brun vêtu d'un short et tee-shirt blanc s'avançant en direction des vignes d'un pas hésitant, comme la peur d'être vu.
Intrigué, je décide de le suivre de loin.
Le chemin qui dessert les vignes finies en queue de poisson par un rond-point naturel avec un petit talus en son milieu cerné de grosses pierres de granit blanc.
L’homme a disparu de ma vue.
Je reste à l’affût en m'enfonçant derrière quelques cépages.
En tendant l’oreille, j'entends une conversation lointaine et quelques minutes plus tard, comme des gémissements.
Ma curiosité l'emporte sur la discrétion et j'essaie en m'enfonçant dans le vignoble de contourner la butte d’où me semble-t-il proviennent ses gémissements.
Mon astuce est bonne…
Je tombe, éberlué, sur un drôle de spectacle :
L’homme que je suivais, debout, les mains posées sur une grosse pierre, jambes écartées, qui subit les assauts virils d'un homme grand, noueux et bronzé.
Les claques sur les fesses, le clap-clap des corps, les grognements de l'homme mêlés aux couinements du garçon arrivent aussi à mes oreilles…
S’en m'en rendre compte, ma main agite ma petite bite si énergiquement qu’au bout de quelques minutes, de grands jets de sperme arrosent la terre sèche du vignoble.
Je reprends mes esprits et le couple à l'air d'en avoir terminé aussi.
L’homme donnant des coups de reins espacés mais profonds au garçon, puis se retirant doucement.
La vue de cette bite raide et luisante m’impressionne par sa longueur et sa grosseur.
À cette époque je n'avais jamais vu de queues bandées à par la mienne sortie à peine de l'enfance.
Ce couple se réajuste, échange quelques mots et se sépare.
L’homme s'enfonce au milieu des vignes et disparaît et le garçon reprend le chemin en sens inverse.
Je décide de le suivre de nouveau et avant de rejoindre le hameau j'accélère le pas pour le ratt****r.
Celui-ci m'entend et se retourne surpris de ma présence.
Il a l'air un peu plus âgé que moi et plus costaud ce qui le rassure.
Il me demande ce que je fous ici et d'où je viens d'un ton étonné comme si je tombais du ciel.
Je lui relate mon parcours et de ce que j'y ai vu mais lui avoue que je n'ai pas osé me montrer de peur de leurs réactions mais que j'ai beaucoup aimé les regarder...
Gentiment et souriant, il me traite de petit salaud voyeur et qu'il est content que cela m’ait plu. Il m'explique aussi, que tous les étés, des ouvriers harkis sont embauchés dans les vignes et prenant la relève de son frère, il aime se faire sauter par ces hommes qui sont en manque de femmes.
Les rendez-vous ont lieu en débuts d'après-midi sur trois jours, souvent les mêmes personnes.
- « Si tu es intéressé, je peux te prendre un rendez-vous, on ne sera pas trop de deux pour les satisfaire. »
Bien que très intéressé par les filles, l'idée d'être une "femelle" livrée à un mâle viril me titille déjà depuis longtemps avec des rêves érotiques agrémentés de sodomies de divers petits objets ovoïdes faisaient partis de mon quotidien mais à cette époque, internet n'existait pas et je gardais en moi ce fantasme utopique.
Pourtant ce que j'avais vu aujourd'hui et l'assurance de ce nouveau copain (Alain) m’ouvrait à des perspectives bien réelles....
Je répondais favorablement à sa proposition, lui faisant part de ma timidité et mon inexpérience due à mon âge.
Il me proposa alors que je l'accompagne la prochaine fois pour me montrer comment il
s'y prenait et pour voir le déroulement de la scène sans que je participe et bien sûr avec l'accord de l'ouvrier du jour.
Deux jours plus tard, je me retrouvais assis avec Alain sur les grosses pierres du fameux rond-point.
Des bruissements de feuilles coupent notre béatitude et un colosse à la peau mate, pantalon de travail, maillot de corps sans manche humide de sueur, laissant apparaître des poils longs et soyeux sur ses bras et biceps, s'avance vers nous.
Alain se lève et le rejoint, je les vois discuter puis me regarde tous les deux et l'arabe fait un "oui" de la tête et empoigne mon copain par les fesses et lui les remonte l'obligeant à se tenir sur la pointe des pieds.
Alain enroule ses bras autour du cou de Mustapha et lui roule une pelle magistrale.
Ébahi, je commence à bander très fort et me masser le bas-ventre.
Le harki lui masse les fesses et l'anus par-dessus le short moulant d'Alain et relâche son étreinte.
Alain tombe à genoux devant Mustapha et commence par desserrer le ceinturon…
Ouvre la braguette dont il extirpe un membre volumineux et circoncis qu'il s'empresse d’happer.
Alain tête longuement et soigneusement l'arabe puis d'un coup se retourne vers moi et m'invite à le rejoindre.
Il me demande de le sucer pendant qu’Alain lui bouffe les couilles.
Je m'exécute, pas très convaincu.
Une main rude vient m'appuyer sur la tête et obligé, je commence ma première fellation qui restera gravé dans ma mémoire.
Avoir ce membre en bouche est délicieux, je tête, suce, lèche de tout mon cœur et surtout ce sentiment de soumission qui m’envahis avec une vraie envie d'aller plus loin…
Mais ce ne sera pas pour aujourd’hui.
Délaissant les couilles bien remplies et baveuses de Mustapha, le copain m'invite à retourner à mon point d’observation.
Un peu dépité, j’obéis.
Le harki retourne Alain…
Lui demande de se pencher en avant et de quitter son mini short.
Les mains d'Alain posées sur une pierre, Mustapha accroupi derrière écarte les fesses du garçon, plonge sa bouche et sa langue dans la raie afin d'atteindre la rondelle rose et fermée.
Gloussant de plaisir, Alain remue les fesses et caresse sa bite dressée comme moi d'ailleurs.
L'arabe arrête, se lève et j'aperçois encore sa queue qui a encore pris du volume me semble-t-il.
Il la dirige vers le cul offert de mon pote, enduit un peu son gland de salive et pénètre lentement la rondelle détendue d'Alain en faisant quelques doux vas et vient.
Je n'en peux plus…
J’éjacule de longs jets puissants en continuant à mater.
L'homme a agrippé Alain par les cheveux et ses coups de reins se sont accélérés et sont devenus plus puissants…
Ce qui fait ballotter dans tous les sens la bite ramollie et les petites couilles d’Alain entre ses cuisses blanches et de projeter, quand même, de petits jets de sperme à droite et à gauche.
Au bout d'un instant l'arabe pousse des grognements et rempli de sperme épais la chatte de mon nouvel ami avec de violents coups de reins qui lui soulève presque les pieds de terre.
Reprenant leurs esprits, Mustapha gentiment caresse le dos d'Alain puis se retire entraînant une fuite de jus laiteux qui dégouline dans la raie rosie d’Alain qui se relève dans un état second.
Mustapha s'approche de moi et avec un accent et une voix grave me dit que ce sera mon tour avec lui dans deux jours et qu'il sera bien excité....
Sur ce, il rengaine son matos et disparaît dans les vignes.
Alain a entendu le harki, et en rigolant, me montre sa chatte ruisselante en forme de "O" et me dit, que bientôt j'aurai la même...
Effectivement deux jours plus tard, j'avais la rondelle explosée et spermée par Mustapha…
Mais pas que, car Alain et moi avons continué tout l'été.
Étant resté dans ma famille jusqu'en septembre, on se partageait les ouvriers harkis.
Après quelques étés mémorables, après mes 18 ans, la vie ne m'a plus donné l'occasion de redescendre sur ce lieu de vacances…
Mais il me reste de très bons souvenirs de ces premiers ébats entre hommes.
1 year ago