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De la femme fontaine

De la femme fontaine

Moi, à ma muse : « Ton cul, ça va être Stalingrad ! »
Je la vois dans deux jours, et j'y suis toujours allé en mode guerrier, sans rien à négocier, en me disant : « Je vais lui casser le cul et lui faire aimer ça. » Ça tombe bien : elle adore ça.
Avant de lui casser quoi que ce soit, je m'agenouille et je la lèche – je lui rends (à ma muse et à son cul) mes hommages : je fais preuve de dévotion à gros coups de langue. Ça aussi, on adore.
Une fois son anus bien humidifié, salivé, je la pénètre doucement, tout doucement – si je peux éviter de passer par sa bouche ou son vagin (que j'adore aussi, mais de manière différente), c'est mieux.
Ma muse : « Quand tu me prends, j'ai l'impression que ton âme (avec toutes ses intentions et ses désirs) s'infiltre dans la mienne, et c'est ça qui me fait jouir, l'union des deux je veux dire. »
Qu'on s'entende bien : Quand ma muse parle de jouissance, faut changer les draps ou passer un coup de serpillière après notre passage. Elle s'est découverte femme fontaine sous mes doigts, sous ma volonté je dirai presque, et c'est arrivé très vite dans notre relation (au bout d'une ou deux nuits passées ensemble). Depuis, elle en met partout. Et les 9/10ème de mon plaisir viennent de là : de la voir décharger ainsi sous mes doigts ou mes coups de butoir. Mon orgasme, à côté, m'apparaît dérisoire, anecdotique. Je dis pas qu'il est pas important, je dis juste qu'il est secondaire.
On préfère commencer à faire ça debout, de la même manière qu'un affamé n'attendra pas de s'asseoir pour commencer à manger.
Une fois que madame a dépassé les cinq orgasmes, ce qui est une histoire de cinq minutes max, on fait une pause, on boit un verre, on fume une clope, on parle. Et puis on y retourne. Et c'est comme ça toute la nuit. Je ne daigne jouir qu'une fois que madame a épuisé ses dernières réserves de plaisir, ce qui n'est pas une mince affaire, car madame est gourmande, gloutonne même, une vraie tox, elle en a jamais assez, et c'est pareil pour moi.
Quand je la vois partir, je me dis que la seule équivalence qui me soit arrivée, au niveau orgasmique, c'est quand j'avais de la coke, une seringue et de l'eau stérile à portée de main. C'est dans ce sens que je dis que c'est une vraie tox.
C'est les orgasmes de ma muse qui m'ont assujetti à elle.
Notre parade nuptiale se déroule en quatre phases : 1) « Non ! », 2) « Non, arrête ! », 3) « Vas-y doucement... », 4) « Continue, c'est trop bon ! »
Je savais, pour en avoir déjà aimé une, que de tels spécimens du beau sexe existaient (celles qui aiment se faire sodomiser et qui en mettent de partout quand elles jouissent), mais je soupçonnais pas au corps féminin de telles ressources. À titre d'exemple, elle en claque entre 20 et 50 (d'orgasmes) quand on décide de s'y mettre. Notre record est à 115, un jour où j'avais décidé de la punir – punir une jouisseuse à coup de bite, quelle idée !
J'adore l'agresser sexuellement (lui sortir ma bite en pleine discussion, la prendre dans son sommeil).
Quand je dis que ma muse s'est découverte femme fontaine sous mes doigts, je mens, ça lui était déjà arrivé deux ou trois fois avec le père de ses enfants, j'ai juste rendu la chose systématique.
Elle : « J'ai toujours aimé jouir. Ado, je me levais le samedi soir, à minuit, pour me branler devant les films de cul de Canal Plus... Mais avec toi, c'est au-delà de toutes mes espérances. Je veux bien reconnaître que tu es maladroit ou nul dans certains domaines, mais pas dans celui-là. »
Dès le début, dès notre deuxième rendez-vous, juste avant notre première nuit d'amour, je lui ai dit : « Mon but c'est de t'enculer, et de te faire aimer ça. » Ce fut chose faite lors de notre rendez-vous suivant.
Elle : « Ce qui est formidable, c'est quand même le "mystère" qui règne autour de l'orgasme féminin. Tu te rends compte : les pyramides, les premiers pas sur la Lune, la capacité des hommes à élucider ou à construire. Et les femmes fontaine restent un mystère. C'est merveilleux ! Tu sais pourquoi d'après moi ça reste un mystère (je vais faire ma théoricienne !) ? On parle peu de ce qui n'est pas physiologique, et encore moins de l'homme. J'ai la sensation que c'est ton âme (avec toutes ses intentions et ses désirs) qui s'infiltre dans la mienne quand on fait l'amour. C'est l'union des deux qui déclenche l'orgasme. »
Published by Tomas-et-Sabina
1 year ago
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XIIIor
XIIIor 6 months ago
Ça change de ce qu’on peut lire par ailleurs et c’est très intéressant. En plus d’être excitant et de vouloir participer 😏 continuez comme ça 
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spyhot
spyhot 1 year ago
Like!
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ccandau
ccandau 1 year ago
une muse fontaine un régal pour s'abreuver avec elle on a plus soif voila un homme heureux
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Kumanote
Kumanote 1 year ago
Bravo !
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Seneo64100
Quel hommage de Toma à sa muse et cette dernière, Sabina lui offre les plus magiques cadeaux, ses jouissances et ses torrents de plaisir 
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