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Chaude soirée

Chaude soirée

Après avoir raconté une soirée de baise à un ami, il a tellement été excité que je me suis dit que je pouvais l’écrire pour l’offrir à d’autres coquins du net… Cette aventure étant assez ancienne, il se peut que quelques détails soient un peu flous… sans que cela ne change le coté excitant de l’histoire.

Charlène était une collègue de 39 ans, travaillant dans un service voisin du mien. Je la savais célibataire mais déjà en couple, je restais fidèle à mon serment même si elle ne me laissait pas insensible à ses charmes !
De taille moyenne, blonde, souriante, des seins qui me semblaient fermes et « arrogants », de jolies jambes douces terminées par des pieds mis en valeur par un verni de couleur. De par son poste dans la boite, elle était plus souvent en pantalon qu’en jupe ou en robe. Alors quand elle découvrait ses jambes au printemps, quand les chaleurs arrivaient, c’était toujours une fête !
Justement, une fête avait été organisée par l’entreprise pour fêter le départ des stagiaires et par la même occasion la belle saison fin juin. La soirée était très sympa, les cocktails succulents et un peu chargés en alcool. Tout ce qu’il faut pour désinhiber et favoriser les rapprochements. Nous avions beaucoup discuté entre deux verres avec Charlène. Elle s’est ouverte en me racontant ses histoires d’amour malheureuse, son célibat actuel dont sa surcharge d’activité ne lui permettait pas d’espérer de rencontrer le prince charmant.
La soirée avançant, elle a souhaité rentrer. Elle habitait à deux pas de la salle où se tenait la soirée. Le quartier n’étant pas sûr, je l’ai raccompagnée Pour me remercier, elle a voulu m’inviter à boire un coup de rosé ! Un immeuble classique, un appartement au deuxième étage, sans ascenseur… La galanterie a voulu que je la laisse passer devant moi, ce qui bien sûr m’a permis de me rincer l’œil en matant ses fesses bien mises en valeur par sa robe.
En ouvrant sa porte, elle se retourne et me dit avec un sourire enjôleur que je ne la laissais pas insensible…Tu m’en vois ravi lui dis-je… elle referme la porte et je la prends dans mes bras pour oser un baiser qui devient vite très chaud… elle me fouille la bouche de sa langue…l’embrasser à pleine bouche…mes mains descendent le long de son dos pour se poser sur ses fesses… elle ne dit rien, je sens que la voie est ouverte ! On continue à se rouler une grosse pelle comme de jeunes adolescents… je lui malaxe les fesses, je commence à durcir. Je passe une main sur le côté de son torse pour commencer à lui caresser la naissance d’un sein. Son absence de réaction m’autorise à aller plus loin dans mes caresses. Je lui prends le sein à pleine main, il est bien ferme et je le crois épanoui…
Je me colle bien à elle pour lui faire sentir mon envie d’elle et lui faire comprendre combien je bandais pour elle. Elle s’en aperçoit et se serre encore plus. Je ne la laisse pas insensible à cet hommage à ses charmes !
Nous nous sommes assis sur son canapé et j'ai commencé à lui caresser les jambes. Sa robe était boutonnée sur le devant… Je remontais la main sur l’intérieur de sa cuisse. En raison de la tiédeur de l’époque, elle n’avait mis ni de collant ni de bas. Elle a ouvert en grand ses cuisses pour me laisser le passage vers son trésor. Je l'ai caressée sur le string, je sentais son humidité à travers… elle était toute trempée. Elle commençait à gémir en même temps qu’elle ouvrait plus les jambes tout en avançant le bassin au rythme de mes caresses.
J’arrête un moment mes caresses pour l’embrasser tout en déboutonnant sa robe. Elle avait mis un joli soutien-gorge transparent à fine dentelle que j’avais pu entrevoir lors de la soirée. Je lui ai sorti les seins pour les lui sucer, pour les prendre en bouche…les tétons durcissaient de plaisir et donnaient du relief aux aréoles bien larges...Ils étaient comme je les imaginais : lourds et fermes en même temps. Je les caressais, les léchais, lui mordillais les tétons, les prenais à pleines mains…
La soirée avait été chaude, Charlène avait dansé un certain moment ce qui expliquait qu’elle sentait un peu la sueur. Mais cette odeur m’excitait dans ce côté intime des sensations.
Elle a posé la main sur mon sexe encore sagement rangé dans mon jean. Je bandais comme un dingue, elle m’a enserré la tige et a commencé des petits va et viens !
Dans un souffle, elle m’a susurré qu’elle la trouvait grosse et dure. Sors-la alors que je lui répondais. Elle m’a ouvert la braguette, dégagé mon sexe tout dur de mon caleçon, m’a branlé un peu et s’est penchée pour la sucer timidement puis m’a gobé le gland tout entier. Pendant qu’elle me faisait don de ses talents de suceuse, je la caressais en ayant passé la main sous son string… Elle dégoulinait de désir, de plaisir…
Je l'ai alors allongée pour la sucer à mon tour... j’ai reniflé sa culotte qui sentait la sueur et l’amour puis je l’ai écartée pour commencer à la lécher. Ma langue glissait entre ses lèvres. Je lui titillais le clitoris pour revenir entre ses lèvres.et la pénétrant de ma langue. Je lui ai enlevé le string complètement pour continuer mon cunnilingus plus facilement. Sa toison était entretenue, juste ce qu’il faut de poils, bien taillée ! De la cyprine coulait déjà la rendant luisante ! elle était trempée. Je la léchais, je la dégustais, je la buvais… ma langue alternait entre ses lèvres, la pénétrait et remontait vers son clitoris pour l’aspirer, lui presser le bouton d’amour…Je l’entendais gémir de plus en plus. Je la doigtais en même temps ce qui a décuplé son plaisir. Je l’ai alors senti se raidir et me plaquer les mains sur la tête. Elle jouissait une première fois.
La laissant reprendre ses esprits, je me suis relevé pour me déshabiller. Elle était là, sur le divan, affalée, la robe ouverte, les seins à l’air, le sexe humide. J’ai pris un préservatif que j’ai toujours dans la poche, on ne sait jamais… Elle a entr’ouvert les yeux, et m’a fait comprendre du regard que je pouvais mettre cette protection puis m’a murmuré de venir en elle…
Je me suis alors agenouillé devant elle, un coup de langue et la queue bien dure, je lui ai relevé les jambes pour poser mon sexe sur ses lèvres qui se sont ouvertes toutes seules, je l'ai alors prise de façon classique bien au fond. Elle avait un sexe serré mais qui glissait bien tant elle mouillait. Elle a repris ses gémissements… que c’est excitant d’entendre une femme qui ose exprimer son plaisir, qui se lâche. A chaque coup de rein, ses seins ballotaient...Je voyais mon sexe sortir et entrer dans sa vulve qui coulait de plus en plus. Ça claquait contre ses fesses. Je sentais que je n’allais plus pouvoir tenir longtemps. J’ai osé lui demander où elle voulait que je jouisse. Pour toute réponse, elle s’est reculée pour que je me retire et s’est retournée pour se mettre à quatre pattes, appuyée contre le dossier. J’ai compris sans un mot d’elle qu’elle souhaitait que je la prenne en levrette. Je ne me suis pas fait prier et pourtant la vue de son anus me donnait d’autres envies moins conventionnelles que je ne me suis pas autorisé pour une première fois. La queue bien au fond, je la tenais par les hanches. J’ai toutefois osé chatouiller son petit trou avec le pouce… voyant qu’elle ne disait rien, je l’ai sodomisée avec mon pouce. La tension sexuelle était telle, qu’il n’a pas fallut longtemps avant qu’on jouisse tous les deux en même temps… On est resté l’un contre l’autre quelques instants… Je l’ai embrassée à pleine bouche…
Une fois les esprits retrouvés, elle m’a proposé une douche. Sa salle de bain n’était, comme toutes celles d’appartement classique pas très grande mais elle avait eu le bon goût de remplacer sa baignoire par une cabine de douche à l’italienne, suffisamment grande pour y être à deux, voire trois. Mais ça c’est une autre histoire !
Tout dégoulinant de sueur et de jus d’abricot ( !) on s’est savonnés ensemble...le devant , le dos. J'étais derrière elle je lui savonnais les seins bien lourds et ma queue a rapidement redurci...blottie entre ses fesses. D’un murmure, elle m’a demandé si, d’après ce qu’elle sentait, j’avais encore envie. A ton avis ? Du coup, elle s'est penchée en avant... je l'ai pénétrée par le vagin, le savon nous rendait plus …glissants ! Dans le feu de l’action, nous avons oublié de nous protéger. Je la savais clean et de mon côté j’en étais certain également… tant pis, sans capote alors ! Après quelques allers retours, je lui ai susurré dans le creux de l’oreille, pour la faire frissonner par la même occasion que j’avais envie de plus... « quoi ? » me dit-elle. En lui posant la pulpe de mon index sur sa rondelle, je lui ai répondu « ça »… « hmmmm » pour toute réponse puis elle ajoute d’y aller doucement! Je me retire de son sexe et pose mon gland sur son petit trou. Elle tremblait un peu… je force doucement, appuie sur sa rondelle qui cède doucement pour accepter mon sexe… A son souffle qui devenait court et son anus serré, je pense qu’elle n’en avait pas l’habitude. Ça n’a fait que m’exciter encore plus. Elle se caressait en même temps. J’adore quand une femme se masturbe, quel que soit la situation ! Elle gémissait de plus en plus fort, m’intimant de continuer, plus fort encore… elle a jouit du cul, incroyable ! De mon côté, je sentais que j’allais venir. Par délicatesse, je lui ai demandé ce que je devais faire. Elle m’a dit de rester, qu’elle voulait me sentir gicler et c’est donc dans son cul magistral que j’ai explosé.
Nous avons terminé notre douche, nous sommes séchés mutuellement et je me suis rhabillé. De son côté, elle a revêtu un vieux pyjama bien confortable et d’une sagesse presque enfantine, bien loin de ce que nous venions de vivre.
Assis sagement sur le canapé, un verre de rosé à la main, qu’elle m’a finalement servi, on s’est dit que cette soirée restera notre secret.
Ça me convenait pleinement car j’étais à l’époque fiancé à celle qui allait devenir ma femme quelque mois plus tard…

Voilà donc mon histoire qui, j’espère, a pu vous exciter et faire monter le désir… Je dois reconnaitre que j’ai modifié le nom et la situation. En effet, Charlène est un prénom inventé car elle est mariée. Elle n’avait plus la même libido qu’avant avec son mari et avait besoin d’une bonne soirée de sexe. L. (son initiale, je n’en dirais pas plus) est pharmacienne dans une ville moyenne de province. Elle et son mari sont connus. Je connais également son mari qui ne sait absolument pas ce qui s’est passé, bien évidemment. Comme vous vous en doutez, il ne s’agissait pas d’une soirée de service mais d’une soirée organisée par un laboratoire pharmaceutique comme il s’en faisait beaucoup à l’époque. Elle y avait été seule car son homme était de garde dans leur officine. Leurs enfants étant en garde chez ses parents, nous nous sommes retrouvés à son domicile, dans la ville voisine…
Mais chut… ça restera notre secret, je compte sur votre discrétion !
Published by spec72
1 year ago
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