SUCER.

Pourquoi j'aime sucer...

Personnellement, je suis accro à tout ce qui est oral.
Avec une femme bien sûr mais aussi avec un homme (mes favoris sont là pour le prouver...). Et ce goût si prononcé remonte à il y a longtemps, jusqu'à mon adolescence et jusqu'à la première fois où j'ai pratiqué une fellation...
Mon meilleur ami et moi étions en vacances d'été, pas de voyage pour l'un ni pour l'autre, nous passions l'été chez nous.
Nous avions quinze ans tous les deux.
Un été chaud.
Et d'ailleurs, idée saugrenue due l'âge peut être, j'avais demandé à mes parents si nous pouvions monter la tente dans le jardin et dormir dedans.
Après accord, j'ai donc monté cette tente, ancien modèle, pas celle que l'on jette et qui se déplie toute seule.
Non, le modèle avec armature métallique, qui date des années 70 et dans laquelle on dort facilement à 6 ou 7.
Mais nous n'étions que deux, et c'était pour nous l'occasion rêvée d'en profiter pour sortir. Nous avions même réussi à nous procurer quelques fonds de bouteilles d'alcool.
Le dernier jour de notre aventure en "camping", nous avons rejoint nos copines respectives de l'époque, dans la rue.
Nous avons profité du moment avec elle mais leurs permissions de sortie étaient limitées, contrairement à nous.
Quelques verres, des baisers, des langues qui se mêlent, des mains qui se baladent jusque dans les culottes de nos charmantes amies mais pas plus.
Nous étions pile à l'époque où ça nous titillait mais où nous n'étions pas encore passés à l'action à proprement parlé.
Nos copines nous caressaient au travers du pantalon mais ça s'arrêtait là.
Quelques mois plus tard, nous aurons franchi le cap de la pénétration mais là, ce n'était pas encore le cas.
Bref, nous rentrons, un peu éméchés et surtout ultra excités d'avoir caresser le sexe de nos copines, d'avoir sentis toute l'humidité qui régnait dans leur culotte et même d'avoir forcés un peu l'ouverture de leur chatte qui, d'ici quelque temps allait devenir notre lieu de récréation favori.
Nous nous déshabillons dans la pénombre (c'est une nuit très "lumineuse") et nous nous allongeons.
Nous rebuvons un verre ou deux en ressassant le moment que nous venons de vivre.
Nos queues sont raides, prêtes à exploser quand nous décidons qu'il est temps de dormir.
Mais en bandant ainsi, il est impossible pour mon ami comme pour moi d'en rester là.
En chuchotant, nous reprenons la conversation en nous caressant, chacun de son côté.
Les derniers verres font effet.
L'odeur des chattes de nos copines est encore sur nos doigts.
De fil en aiguille, nous en venons à nous dire que la prochaine fois, on insistera pour qu'elles nous sucent.
On fantasme là-dessus.
Et là, je ne sais pas comment, on commence à se montrer nos bites, à se rapprocher.
Jusqu'à ce que nos glands se frôlent.
Il commence par faire exprès que ses doigts entrent en contact avec mon gland.
Je me rapproche pour qu'il puisse le caresser, ce qu'il fait immédiatement.
Ma main part elle aussi sur sa queue.
Elle est longue, assez fine et extrêmement dure.
C'est une sensation délicieuse que de se faire branler.
J'adore aussi tenir son sexe dans ma main.
C'est notre première fois à tous les deux et je pense que le plaisir est partagé.
Je l'empoigne à la base de la queue et prodigue des va et vient doux, jusqu'à ses couilles.
Lui s'attache plus à caresser le bout de mon sexe.
Il s'attarde sur mon gland, fais glisser ses doigts dessus.
Je me redresse et me met assis, lui reste allongé.
Je passe une jambe au-dessus des siennes et nos queues se frottent l'une à l'autre très régulièrement, au fur et à mesure de nos caresses.
Nous ne nous disons plus rien.
Il y a juste le bruit de nos mains qui glissent sur nos queues.
Je pense que lui est au bord de l'éjaculation car il se retire rapidement et lâche ma queue du même coup.
Il se retourne et m'assène un :
- « On n’est pas pédé quand même !!! »
J'acquiesce à contre cœur mais j'ai envie de plus.
Il bande toujours, je sais qu'il a aimé que je le branle et me branler mais j'accepte son choix.
Je m'allonge à côté de lui.
Il se remet sur le dos, proche de moi.
Sa queue est toujours raide, je distingue la bosse sous le duvet dans l'obscurité.
Au fur et à mesure, par quelques mouvements, je l'observe faire en sorte de mettre sa queue hors du duvet.
Assez rapidement, elle apparaît à nouveau, droite, raide, fière.
J'hésite longtemps à la retoucher.
Je ne veux pas qu'il s'offusque à nouveau.
Je brise le silence et lui lâches :
- « Tu m'excuseras mais moi, je me branle, je ne peux pas m'en empêcher ».
Il me répond :
- « Fais ce que tu veux, moi je dors !!! »
Je sais qu'il n'en est rien.
Sa bite est tendue au possible.
Alors je prends ma queue dans ma main et prend un malin plaisir à faire du bruit par le frottement contre le duvet.
Je vois sa main se poser sur sa queue et se masturber doucement.
Il sait que je le vois.
Alors je décide d'aller plus loin.
Je glisse progressivement vers le bas, ma tête à quelques centimètres de sa queue.
Sans lui demander, je passe au-dessus de lui.
Il continue de se masturber.
J'embrasse son gland.
Sa main s'est arrêtée à la base de son sexe, pour bien être décalotter.
Mes lèvres s'entrouvrent et sa queue rentre à peine dans ma bouche.
J'adore son goût.
Je continue, je progresse encore plus loin.
Son gland entre totalement.
C'est délicieux, je le savoure totalement.
Ma langue s'enroule autour.
Ma main remplace la sienne.
Je le branle à nouveau en le suçant.
Je le prends de plus en plus loin.
Je lèche sa queue sur toute la longueur.
Pendant ce temps, sa main à lui est revenue sur ma queue et s'active généreusement.
Il me masse les couilles et me branle activement.
Cela rajoute à mon excitation et j'en viens à le sucer très énergiquement, sur toute la longueur.
Son gland vient taper ma gorge.
Je tiens son sexe à la base, mon autre main sur ses couilles.
Je le pompe avec un plaisir immense.
Il bouge et se met en position pour me rendre la pareille.
Sa bouche prend ma bite goulument.
C'est un régal.
Je suis obligé d'arrêter de le sucer quelques instants tellement j'adore ce qu'il me fait.
Je suis en transe, ma queue prête à exploser.
Je le reprends en bouche.
Nous nous suçons mutuellement quelques minutes.
Je sens ses couilles se rétracter dans ma main.
Je sais ce que ça signifie.
Instantanément, son sperme envahit ma bouche.
Il est chaud, crémeux, légèrement salé.
Pas tout à fait comme le mien (NB : que j'ai déjà goûté à l'époque et que je continue d'avaler très régulièrement, à chaque fois que je me branle ou dans la bouche de ma femme, car j'adore ça), plus épais.
Je ralentis le mouvement mais je le garde en bouche.
Sa queue mollit mais elle conserve un goût divin.
Je garde son sperme dans la bouche quelques secondes puis je l'avale.
Juste à ce moment-là, c'est à mon tour de décharger mon sperme dans sa bouche.
Il ne dit rien mais se retire presque tout de suite.
Lui aussi l'avale, tout en continuant à me branler.
Nous restons ainsi très peu de temps avant de reprendre nos places respectives.
Pas un mot.
Nous n’avons jamais reparlé de ça.
Et pourtant, ce fut la première fois, que quelqu'un me touchait la queue, et la première que j'en touchait une autre.
Ma première masturbation avec quelqu'un, la première fois que je touchais et branlais une autre queue que la mienne, ma première fellation, prodiguée et subie...
Bref, un souvenir mémorable !!
J'ai adoré sa queue, son goût, son sperme, le branler, le sucer et qu'il en fasse de même.
J'ai gardé un goût très prononcé pour cet acte sexuel.
J'adore.
Plus tard, quand j'ai léché ma première chatte, j'ai presque eu l'impression de revivre un moment similaire.
Je pense être définitivement accro à tout ce qui est oral.
Et accessoirement accro à une queue de mec, généreuse et bien dure dans ma bouche.
J'adore mater des vidéos de gorge profonde, de fille ou de mec qui suce des queues énormes et la bouffant comme si leur vie en dépendait.
Je les envie.
Et j'adore aussi, à la conclusion, que celui ou celle qui suce avale.
C'est une partie intégrante d'une bonne fellation

Avis aux amateurs et amatrices !!!!!

PS : impossible pour moi de ne pas me branler en écrivant cette histoire...