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VOISIN VOISINE.

VOISIN VOISINE.

Voisin voisine : Un bénéfice du confinement.

J'habite un petit village de campagne.
Mon voisin le plus proche se trouve à une bonne centaine de mètres.
Pour le voisin suivant, multipliez par trois.
L'avantage est qu'on est tranquille.
Je peux me balader à poil sans craindre de voir survenir quelqu'un.
L'été, je m'autorise même le petit déjeuner sur la terrasse avec les couilles à l'air.
Mais ce n'est pas le sujet.
Je suis là pour parler de mes voisins.
C'est un couple avec trois enfants.
Monsieur est travailleur agricole, ni moche ni beau mais avec un petit truc sympa dans la gestuelle et le regard.
Pour ne rien gâcher, c'est un barbu rigolard qui aime descendre une bonne bière en fin de journée.
Sophie, sa femme, est employé par la communauté de communes.
Au premier abord, elle ne correspond en rien à mes critères de beauté ou d'attirance physique.
Un mètre soixante pour pas loin de quatre-vingt-dix kilos.
Un des plus gros culs que je n’ai jamais croisés et la démarche de ces personnes qui n'ont pas la stature prévue pour un tel surpoids.
J'aime bien les mecs type Bear, bien rond mais là je ne ressent même pas l'envie de voir ce que ça ferai de l'enculer sur la table de sa cuisine.VOISIN VOISINE.
Pour finir la description de la famille, il y a un grand ados quasi invisible avec une console greffé dans les mains et deux petites jumelles bien partie pour ressembler à la mère.

Niveau relation de voisinage, c'est longtemps resté au stade « bonjour, bonsoir », petite bière avec monsieur quand il me livre du bois ou autres.
Cela a évoluer pendant le confinement.
Je suis passé filer un coup de main sur une fuite d'eau et pour poser une bâche provisoire sur le toit du bâtiment qui sert de garage.
J’étais chez moi toute la journée.
Télétravail puis plus de travail.
Mon temps libre se partageant entre les travaux de la maison et les tentatives de rencontres sexuelles via internet.
Le changement a eu lieu un jour ou je suis passé payer mon bois de chauffage.
Il était tout juste dix-huit heures et après avoir pris son enveloppe, Francis m'a invité à boire une bière.
Nous étions tranquillement assis entrain de siroter quand une porte s'est ouverte.
Sa femme est apparue en tenue de sortie de douche, les seins à l'air avec une serviette vaguement enroulé autour de son bassin.
Elle est passé devant nous en me saluant et a pris la direction de l'escalier qu'elle a monté en laissant voir un cul encore plus impressionnant que je ne le croyais.
Son mari lui a fait remarquer que je voyais son cul.
Ce à quoi elle a répondu qu'il n'y avait pas de mal à regarder des jolies choses.
Pour être franc, je dirais plus gros que jolie.
Ses seins ressemblaient à deux énormes gants de toilettes un peu gonflés tombant jusqu'au premier plis de son ventre.
Son cul qui basculait d'un côté puis de l'autre en montant l'escalier ne ressemblait à aucun autre cul que je n’avais jamais vu en vrai.
Son mari m'a tapé sur l'épaule en me disant :
- « Tu ne dois pas en voir souvent des culs comme ça hein ! ».
Ce à quoi j'ai répondu benoîtement et sans mentir qu'effectivement, c’était plutôt rare et que je n'en avais même jamais vue d'aussi gros.
- « Pas touche hein, c'est ma femme ».
Nous avons fini nos bières respectives et je suis rentré chez moi.
Vingt minutes plus tard, je me branlai en regardant des photos et vidéos de femmes que la veille encore je ne trouvai pas vraiment attirante en imaginant une partie à trois avec mes voisins.
Les choses auraient pu en rester là…
Mais je fus invité pour dîner quelques jours plus tard.
J'ai fantasmé sur un résultat de soirée arrosée ou Francis et moi prendrions sa femme en double sur le canapé, mais c'est resté à l'état de fantasme.
En fait c’était un traquenard pour me présenter une copine à eux célibataires.
Yvonne de son prénom n'avait encore moins de chose pour me plaire que Sophie.
C’était tout son contraire mais en pas mieux.
Une tête toute en longueur avec une dentition de lapin, voire de cheval, à faire disparaître la moindre envie de fellation dans la seconde.
C'était une grande gigue de presque un mètre quatre-vingt pour sûrement moins de cinquante kilos.
Un phasme faite femme sans la moindre différence de diamètre des épaules au cuisses.
Pas de seins, pas de cul, pas de bassin, rien.
Pourtant le repas m'a montré que ce n’était pas un problème de nourriture vu ce qu'elle s'empiffrait sans vergogne en rigolant un peu bêtement.
J'ai royalement fui en fin de soirée en prétextant un réunion zoom tôt le lendemain alors que l'invitation à raccompagner la dame chez elle commencé à se préciser.
Deux jours plus tard, le voisin est passé et m'a dit que j'avais eu tort de partir seul parce que la copine était une super suceuse.
J'ai mis l'info dans un coin de mon cerveau avec une absence totale de volonté de vérifier la chose.

Après cette soirée, j'ai revu Francis plusieurs fois car je dois l'aider pour rénover un petit bâtiment durant l'été à venir.
Nous travaillons sur les plans en cherchant des moyens de le faire pour le moins cher possible.
Deux fois ou nous avons fait cela chez lui, j'ai à nouveau eu droit au passage de madame en sortie de douche.
Nos rapports de mecs ont évolué et j'ai maintenant droit a du graveleux de sa part même lorsqu'il parle de sa femme.
À chaque fois il finit sa phrase par un :
- « Tu ne répètes pas ce que je viens de te dire hein ! C'est entre mecs ».
J'ai soigneusement refusé de venir dîner à nouveau pour éviter de me retrouver avec la Yvonne alors que Francis m'a fait remarquer plusieurs fois que je devrais l'inviter chez moi pour « m’éclater un peu et lui éclater le cul ».
Oui je vous ai prévenu, qu'il devenait graveleux.
Puis j'ai eu un peu plus de boulot et n'ai pas trop revu les voisins pendant deux bonnes semaines.
Un soir, j'ai croisé Francis qui m'a proposé de venir déjeuner le lundi suivant.
J'ai failli refuser quand il m'a dit qu'Yvonne mangerait avec nous puis il a précisé, en faisant un clin d’œil, que sa femme partait avec les enfants chez sa mère pour les vacances.
J'ai donc accepté sans vraiment réfléchir.
Certainement que le peu de rencontre de ces derniers temps et la curiosité de voir jusqu’où cela pourrait aller m’ont aidé à prendre cette décision.

Me voilà donc devant la porte…
Il est midi pile et j’entends le rire un peu niais de la dame a l’intérieur.
Je manque faire demi-tour puis me décide à sonner.
Francis m'ouvre avec un sourire en mode banane.
Je salue Yvonne qui me claque la bise au mépris de toute distanciation sociale et nous nous posons sur le canapé pour un apéro bien pourvu en grignotage de tout genre.
Cela va des chips à la quiche en passant par les petites saucisses apéro et deux gros morceaux de fromages.
Un verre de (mauvais) whisky chacun et nous parlons de tout et de rien.
J’apprends que madame et en fait une jeune veuve qui avait épousé un vieux monsieur.
La situation est étrange, une tension palpable règne autour de la table quand elle se met à expliquer qu'elle a réussi à alpaguer son mari en lui faisant des trucs sexuels dont il n'osait même pas rêver.
Elle se met à parler pipe en mode gorge profonde, sodomie et doigt dans le cul du monsieur alors que Francis s'est levé et lui masse les épaules en glissant les mains dans son corsage.
Je bande.
Et cela se voit puisqu'elle en fait la remarque :
- « T'a vue Francis, je t'avais dit que je ferais bander ton copain ! »
Et en quelques secondes, la situation passe au programme visiblement prévu par le duo tentateur.
Le voisin sort son sexe tendu et tourne la tête d'Yvonne en disant :
- « Y'a pas que lui qui bande, suce-moi donc ça ! »
Puis s'adressant à moi pendant qu'elle obéit,
- « Va s’y sort ta queue, elle attend que ça ».
J'ouvre ma braguette et extirpe difficilement ma bite en m'approchant de la suceuse. Lorsqu’elle se tourne vers moi pour me prendre en bouche, j'ai une petite appréhension en voyant sa dentition mais elle m'avale d'un seul coup jusqu'à la garde sans la moindre anicroche.
Francis fait le tour du canapé pour venir se placer à mes côtés et Yvonne le prend par la queue et met nos deux glands en bouche.
Sa langue virevolte un instant puis elle s'applique doucement et réussi à nous avaler jusqu'à la moitié tous les deux.
Francis a une belle bite, un peu plus longue et plus fine que moi.
Son petit gland ressemble à celui trop lisse d'un god alors qu'une énorme veine dessine la carte d'un fleuve et de ses affluents sur sa tige.
VOISIN VOISINE. 2
Yvonne nous repousse d'un coup et se lève en disant :
- « Allez hop, tout le monde à poil. J'ai trop envie de baiser. »
Francis est comme je l'imaginais, costaud avec un peu de gras ou il faut.
Yvonne est encore plus maigre que je ne l'imaginais.
On voit ses os partout.
Deux énormes tétons tendus de plus d'un centimètre lui font office de poitrine.
Un anneau lui en traverse un et un deuxième anneau apparaît lorsqu'elle s'allonge en écartant les jambes.
- « A toi l'honneur, moi j'ai déjà goûté »
Me dit Francis en me poussant entre les jambes de madame.
Et effectivement, il y a de quoi déguster.
Son clitoris percé pointe droit comme une bite et je l'avale en glissant deux doigts entre ses grandes lèvres qui portent bien leurs noms.
Elle mouille déjà beaucoup et mes doigts disparaissent dans sa chatte aussi vite que la queue de Francis dans sa bouche.
Ma bouche, ma langue et mes doigts travaillent consciencieusement pour essayer de la faire jouir le plus vite possible car je sens que c'est ce qu'elle veut.
Pas de fioritures ni de préliminaires pleins de tendresse.
Quelques minutes plus tard, je réussi sans aucune difficulté à passer le pouce sans même avoir besoin de rajouter du lubrifiant.
Je la fiste doucement en mordillant son clito et elle jouit enfin.
Un jus blanc et épais comme du sperme coule d'elle quand je retire ma main alors qu'elle tremble encore.
Francis est en train de boire son verre en nous regardants.
Le jus qui couvre le visage d'Yvonne et coule de sa bouche m'apprend qu'il a finis avant nous.
Il me tend un préservatif en disant :
- « C'est le meilleur moment pour l'enculer, elle adore ça ».
Pas besoin de me le répéter deux fois.
Mes doigts encore gluant ouvre la voie qui s’avère facilement pénétrable.
Je viens poser mon gland sur la rosette grasse du jus qui vient de couler de sa chatte.
Ma bite plie en peu tandis que je pousse puis rentre d'un coup et je sodomise Yvonne jusqu'au fond.
Elle pousse un petit crie de bête qu'on égorge puis relève ses jambes pour les passer derrière sa tête.
Je tiens à peine deux minutes avant de remplir la capote au fond de son cul tandis que Francis nous regarde en se branlottant.
Je me retire et la propreté de la capote m'apprend que madame avait effectivement prévu la situation en se faisant un lavement peu de temps avant mon assaut anal.
Je me dirige vers la cuisine ouverte en retirant ma capote pour la jeter à la poubelle.
- « Tu vois hein ! Je t'avais dit que c’était une top suceuse »
Me dit Francis alors que je me rince les couilles poisseuses du jus d'Yvonne.
Elle rajoute :
- « En tout cas t'avais raison, y m'a défoncé direct ton pote »
Et avant que je ne réponde elle ajoute
- « Allez hop, on mange un bout, je vous redresse la bite et on remet ça ! »
Et effectivement on a respecté son programme.
Deux parts de quiche et une pipe plus tard, elle s’allongeait sur Francis en m'invitant à les rejoindre.
La position souligne encore plus la maigreur de la dame et l'absence de cul qui la caractérisé.
Son anus qui s'ouvrait et se fermait me fis passer outre la piètre qualité du spectacle et je me suis mis en place en lui mettant deux doigts dans le cul avant de venir y placer ma bite.
Mais elle a passé sa main derrière elle et m'a replacé plus bas pour ce qui fut la première double vaginale de ma vie.
Étrange sensation que de sentir ma queue frotter sur celle de Francis tandis que nos couilles se mélangeaient.
J'ai remis mes doigts à l'endroit qu'il venait de quitter et suis rester sans trop bouger tandis que Francis y allait franchement en ponctuant ses coups de rein de phrase pleine de délicatesse :
- « T'aime ça hein grosse salope ! Tu les sens bien nos bites espèce de putain ! »
Et autres exemples de poésies graveleuses.
Yvonne répondant invariablement :
- « OUI, oh Oui !!! ».
Je tachais de me concentrer pour ne pas lâcher la purée aussi vite que le premier coup quand elle jouit à nouveau en comprimant nos bites presque jusqu'à nous faire mal en poussant un cri digne de Chewbaca.
Je me retirais de cette grotte dégoulinante vite suivi par mon voisin que retira rapidement son préservatif pour juter sur le torse de notre salope.
Je bandais encore et était en train d'hésiter à enculer Yvonne ou la baiser quand elle se retourna, se mit à genoux devant moi en me retirant la capote et me dire :
- « Si tu veux tu peux me juter dans la bouche »
Avant de me faire passer entre ses dents guillotinesque pour m'avaler en entier.
Le doigt qu'elle introduisis dans mon cul eu raison de ma prévenance et je me vidais les couilles avec les mains sur sa tête en lui maintenant le nez dans mes poils pubiens.
Je sentais ses dents sur ma bite tandis qu'elle avalait sans faillir mon éjaculation dont j’eus l'impression qu'elle était plus que copieuse.
- « Putain ça fait du bien !!! »
Furent ses premiers mots alors que ma bite ramollie sortait de sa bouche.
Elle vint placer son pouce à la base de ma queue et remonta pour en faire sortir les dernières gouttes qu'elle lécha d'un air gourmand avant de se relever pour me rouler une pelle au goût de sperme, de quiche et de vice.
Le retour à la réalité fut à nouveau un peu étrange.
Yvonne alla se rincer rapidement sous la douche tandis que Francis et moi buvions une bière affaler sur le canapé.

- « Bien sur tu fermes ta gueule devant ma femme hein... Et si tu veux je peux essayer de la convaincre de faire un plan a trois avec toi ».
Je déclinais poliment l'invitation en disant que ce ne serait pas forcement bien pour nos relations de voisinage et que le mieux était de continuer comme si de rien n’était en s'enfilant Yvonne de temps en temps.
Elle sortait de la douche et surpris la fin de ma phrase.
- « Bin tiens, genre vous décidez de m'enfiler sans me demander si je suis d'accord de recommencer ? Nan j'déconne. C'est quand vous voulez. Et je suis sûr que si tu me laissais faire je pourrais convaincre Sophie de coucher avec moi même si elle fait sa tête de dégoutté à chaque fois qu'on voit la pub avec les lesbiennes ! »
Une autre bière, quelques chips et une dernière part de quiche plus tard, Yvonne et moi nous sommes rhabillés avant de partir tandis que Francis commençait déjà à s'endormir sur son canapé.

Elle m'a raccompagné jusqu'à chez moi en discutant de manières improbables.
- « T'a aimé quand je t'ai mis le doigt dans le cul ? »
Je répondis par la positive en précisant qu'un deuxième serait passé sans difficulté.
- « Mince alors !!! À chaque fois que j'approche un doigt de son anus, Francis bondi en arrière genre Je ne suis pas PD. Deux doigts tu dis ? »
Nouvelle réponse positive de ma part.
- « Euh, comment dire. Tu irais plus loin encore ? »
- « C'est à dire ? »
- « Bin mon mari y bandais pas alors y m'avais offert une bite pour que je l'encule. Au début je trouvais ça trop bizarre mais maintenant qu'il n'est plus là ça me manque alors je me demandais si par hasard tu ne serais pas d'accord pour un truc dans ce genre ? »
Vous avait deviné ma réponse bien sûr.

Ok, elle n’est pas terrible voir même moche selon les standards du moment.
C'est loin d’être mon style de femme et franchement je ne l'aurais même pas envisagé l'an dernier avant de découvrir le confinement et le vide que cela entraîne dans ma vie sexuelle mais je vais la revoir.
Une femme qui se fait fister, qui suce et avale avec plaisir et qui en plus a envie de t'enculer ! Ça ne se refuse pas…
Published by drd74
2 years ago
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ploplo57
ploplo57 1 year ago
bandant
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to apijo54 : et oui
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apijo54 1 year ago
les moches savent savent se mettre en valeur avec des talent spéciaux 
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to nono6264 : merci
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nono6264 1 year ago
Récit très sympathique
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pepere66
pepere66 1 year ago
on a vraiment envie de participer
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couple74
couple74 1 year ago
a lire et relire sans moderation  :open_mouth:n aime...
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toutnouveau
toutnouveau 1 year ago
On a envie de lire la suite...
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to antoineaux : c'est ça
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antoineaux
Ah ca, je vois que comme moi tu réalise que le plaisir est comme nous même , multiple 😂
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to jeandomino : oh oui, une chaude
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to kahecate : merci
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drd74
drd74 Publisher 1 year ago
to jeunemarc : merci
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jeunemarc 2 years ago
Très sympas comme histoire... elle donne envie d'être vecue
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jeandomino
jeandomino 2 years ago
j aimerai la rencontrer Yvonne hummm
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kahecate
kahecate 2 years ago
Sympathique billet xxx
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