Jeux de mains, jeux du matin
Avec mon épouse, nous avions l'habitude, le week-end, de nous offrir un réveil tout en douceur. Le 1er réveillé se faisait le plaisir de réveiller l'autre en le caressant.
Ce week-end là, nous le passions chez la sœur de mon épouse. Les enfants occupants les chambres de l'étage, nous avions hérités du canapé.
Je m'étais réveillé le 1er et, sacrifiant à notre petit rituel, je commençais à caresser mon épouse au travers et sous sa nuisette en satin. J'ai toujours aimé le contact de cette matière. Je me demandais cependant si ma femme accepterait que nous nous donnions ce plaisir alors que nous étions chez sa sœur et que quelqu'un pouvait débarquer à tous moments.
Après avoir longuement caressé ses seins et son ventre, ma main s'aventura sur son shorty et, au travers du tissu, je faisais glisser un doigt entre ses lèvres.
Cette caresse ne tarda pas à réveiller mon épouse et, pour mon plus grand plaisir, je sentis sa main venir caresser mon torse alors qu'elle écartait un peu les jambes, me lançant une invitation à poursuivre.
Enhardis par la situation, nos caresses se firent rapidement plus intimes, plus appuyés, plus gourmandes. J'avais glissé 2 doigts dans sa chatte et mon pouce taquinait son clito, elle, de son côté, avait saisi fermement ma queue et me branlait avec dextérité.
Je regardais son visage, il est tellement excitant de regarder le visage d'une femme qui jouit et j'écoutais son souffle saccadé, entrecoupé de gémissements. De mon côté, je sentais la sève monter et me concentrais pour essayer de ne pas jouir avant elle, jouir ensemble est tellement bon!
C'est ce moment que ma belle-soeur choisit pour débarquer dans le salon. Un peu paniqué, j'arrêtais de branler ma femme et elle retira sa main de ma queue, non pas pour arrêter notre jeu mais, au contraire, pour venir saisir ma main et la remettre sur sa chatte déjà bien trempée, tout en me murmurant rapidement "ne t'arrêtes pas ! Fais moi jouir !". Surpris mais terriblement excité, je repris possession de son sexe et recommençais à la masturber, le plus discrètement possible mais de façon appuyée quand même. Un peu taquin, je profitais d'une ouverture pour glisser un doigt dans son cul, sachant très bien que, se faire branler la chatte et le cul en même temps, rendait ma femme folle de plaisir. Je l'entendis murmurer " salopard" mais son sourire me disait "ne t'arrêtes pas".
Ma femme discutait avec sa sœur, je la branlait et, bien qu'elle avait arrêté de me branler, ma queue restait dure et je me disais que j'allais finir par jouir comme ça.
L'action de mon doigt dans sa chatte et de l'autre dans son cul ne tarda pas à produire son effet et je sentais l'orgasme monter petit à petit. Sa voix se faisait plus hachée alors qu'elle continuait à discuter avec ma belle-soeur. A la tête de cette dernière, je me rendais qu'elle voyait que quelque chose n'était pas normal mais sans savoir vraiment quoi.
Je sentais la mouille de ma femme couler sur mon doigt, glisser dans le sillon menant à son cul et venir lubrifier le doigt avec lequel je branlait son cul. L'orgasme arrivait à grands pas, elle luttait je le sentais.
D'un coup, je sentis ses cuisses se refermer fortement, emprisonnant ma main et mes doigts dans son intimité et sa main vint saisir fermement ma queue m'infligeant une douleur, de celles que l'on adoré avoir. Elle jouissait, en silence, mais elle jouissait totalement, le corps tendu, retenant son souffle, ses cris, les yeux clos. Je ne quittais pas des yeux ma belle-soeur qui semblait avoir enfin compris ce qu'il se passait mais n'osait rien dire.
Ce fût un moment d'une rare intensité pour nous deux et en en reparlant plus tard nous ressentions toujours l'excitation venir et nous finissions toujours par faire l'amour sans retenues, violemment, passionnément.
J'eus le droit à une récompense, un peu plus tard, lorsqu'elle me rejoignit dans la douche pour me sucer jusqu'au jus tout en me doigtant le cul. Un pur régal et le pied total de la voir avaler mon foutre jusqu'à la dernière goutte, ma queue profondément enfoncée dans sa bouche.
Un week-end mémorable...
Ce week-end là, nous le passions chez la sœur de mon épouse. Les enfants occupants les chambres de l'étage, nous avions hérités du canapé.
Je m'étais réveillé le 1er et, sacrifiant à notre petit rituel, je commençais à caresser mon épouse au travers et sous sa nuisette en satin. J'ai toujours aimé le contact de cette matière. Je me demandais cependant si ma femme accepterait que nous nous donnions ce plaisir alors que nous étions chez sa sœur et que quelqu'un pouvait débarquer à tous moments.
Après avoir longuement caressé ses seins et son ventre, ma main s'aventura sur son shorty et, au travers du tissu, je faisais glisser un doigt entre ses lèvres.
Cette caresse ne tarda pas à réveiller mon épouse et, pour mon plus grand plaisir, je sentis sa main venir caresser mon torse alors qu'elle écartait un peu les jambes, me lançant une invitation à poursuivre.
Enhardis par la situation, nos caresses se firent rapidement plus intimes, plus appuyés, plus gourmandes. J'avais glissé 2 doigts dans sa chatte et mon pouce taquinait son clito, elle, de son côté, avait saisi fermement ma queue et me branlait avec dextérité.
Je regardais son visage, il est tellement excitant de regarder le visage d'une femme qui jouit et j'écoutais son souffle saccadé, entrecoupé de gémissements. De mon côté, je sentais la sève monter et me concentrais pour essayer de ne pas jouir avant elle, jouir ensemble est tellement bon!
C'est ce moment que ma belle-soeur choisit pour débarquer dans le salon. Un peu paniqué, j'arrêtais de branler ma femme et elle retira sa main de ma queue, non pas pour arrêter notre jeu mais, au contraire, pour venir saisir ma main et la remettre sur sa chatte déjà bien trempée, tout en me murmurant rapidement "ne t'arrêtes pas ! Fais moi jouir !". Surpris mais terriblement excité, je repris possession de son sexe et recommençais à la masturber, le plus discrètement possible mais de façon appuyée quand même. Un peu taquin, je profitais d'une ouverture pour glisser un doigt dans son cul, sachant très bien que, se faire branler la chatte et le cul en même temps, rendait ma femme folle de plaisir. Je l'entendis murmurer " salopard" mais son sourire me disait "ne t'arrêtes pas".
Ma femme discutait avec sa sœur, je la branlait et, bien qu'elle avait arrêté de me branler, ma queue restait dure et je me disais que j'allais finir par jouir comme ça.
L'action de mon doigt dans sa chatte et de l'autre dans son cul ne tarda pas à produire son effet et je sentais l'orgasme monter petit à petit. Sa voix se faisait plus hachée alors qu'elle continuait à discuter avec ma belle-soeur. A la tête de cette dernière, je me rendais qu'elle voyait que quelque chose n'était pas normal mais sans savoir vraiment quoi.
Je sentais la mouille de ma femme couler sur mon doigt, glisser dans le sillon menant à son cul et venir lubrifier le doigt avec lequel je branlait son cul. L'orgasme arrivait à grands pas, elle luttait je le sentais.
D'un coup, je sentis ses cuisses se refermer fortement, emprisonnant ma main et mes doigts dans son intimité et sa main vint saisir fermement ma queue m'infligeant une douleur, de celles que l'on adoré avoir. Elle jouissait, en silence, mais elle jouissait totalement, le corps tendu, retenant son souffle, ses cris, les yeux clos. Je ne quittais pas des yeux ma belle-soeur qui semblait avoir enfin compris ce qu'il se passait mais n'osait rien dire.
Ce fût un moment d'une rare intensité pour nous deux et en en reparlant plus tard nous ressentions toujours l'excitation venir et nous finissions toujours par faire l'amour sans retenues, violemment, passionnément.
J'eus le droit à une récompense, un peu plus tard, lorsqu'elle me rejoignit dans la douche pour me sucer jusqu'au jus tout en me doigtant le cul. Un pur régal et le pied total de la voir avaler mon foutre jusqu'à la dernière goutte, ma queue profondément enfoncée dans sa bouche.
Un week-end mémorable...
2 years ago