VOISIN.
Notre bon voisin.
Une anecdote de cocu parmi tant d'autre.
À cette époque, on peut dire que mon couple n’était pas au beau fixe.
Nous étions amis avec un couple de voisins qui avaient une dizaine d’années de plus que nous.
Lui était belle homme et plutôt porté sur les femmes.
Mais sa femme était vraiment coincée et je doute que sensuellement elle satisfaisait son époux
Lui venait souvent me rendre visite pour discuter et prendre l'apéro.
Il s’appelait Joël.
Souvent ma femme le cherchait en lui disant des mots tendres du genre :
- « Alors mon petit Jojo. »
Autrement dit je voyais bien qu’il l’attirait,
Un jour mon ami me dit, alors que nous étions que tous les deux :
- « elle commence à me chauffer Françoise, si ça continue je vais craquer, je te préviens ! »
Je lui ai répondu :
- « ben vas-y, tente ta chance, tu verras bien ! »
- « ah bon, tu prends ça comme ça, tu n'es pas jaloux ? »
Me dit-il.
- « Si, mais si elle a décidé de le faire autant que je sois au courant non ! »
Quelques instant après ma femme revint dans le salon ou nous étions à prendre l'apéro et se mit à minauder et tortiller du cul autour du voisin.
N'y tenant plus celui-ci l'attrapa par la taille et l'obligea à s’asseoir sur ses genoux.
- « Alors ma petite Françoise, qu'est-ce qu'il y a, tu es en chaleur pour me tourner autour comme ça, tu me cherche. Ton homme ne t'en donne pas assez ? »
- « Mon homme tu parles avec son fusil à un coup, il est à peine rentré qu'il a déchargé ! »
- « Ah tu m'en diras tant, tu veux essayer avec un vrai mâle comme moi ? »
Elle répondit :
- « Oui ! Tiens devant lui pour lui montrer comment on fait ! de toute façon en ce moment il m’emmerde, j’en ai marre de lui. »
- « Bien, dit moi tout, on fait ça sur la table ? »
Demanda le voisin.
- « Viens dans notre chambre, tu vas me faire l’amour dans notre lit conjugal !!! »
Elle cherchait vraiment à m'humilier.
Une fois dans la chambre elle se colle à lui et lui roule une pelle.
Il commence par lui déboutonner son corsage et lui caresse les seins par-dessus son soutien-gorge.
Puis il fait descendre la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds et là, surprise, elle n’a pas de culotte laissant apparaître sa foufoune rouquine bien taillée en petit triangle…
La garce elle avait prémédité son coup comme c’est là.
Il lui enlève totalement son corsage et ma femme défait elle-même son soutien-gorge, dévoilant sa forte mais magnifique poitrine qui se tient toujours très bien malgré ses trois maternités.
Le voisin ne peut retenir un sifflement à leur vue.
- « c’est joli tout ça !!! »
Tout en posant les mains sur ses deux seins qu’elle mettait bien en évidence en bombant le torse,
- « ça faisait longtemps que je n’en avais pas touché des comme ça ! Tu permets que j’en profite ? »
Demanda-t-il à mon épouse.
- « Surtout ne te gêne pas, j’adore me faire peloter les seins, tu peux y aller franchement ! »
- « Ah ben toi alors Françoise, je ne te croyais pas comme ça, tu as pourtant la renommée d’une femme sérieuse dans le quartier. »
- « Et bien, tu vois il faut se méfier de l’eau qui dort. La femme sérieuse elle aime aussi bien le sexe. C’est une chose sérieuse aussi le cul, non ? »
Après lui avoir copieusement malaxé les nichons, il se mis à jouer avec ses tétons qu’elle a très sensible, il les pince et les fait tourner entre le pouce et l’index je sais qu’elle aime ça et qu’on arrive à la faire jouir rien qu’en jouant avec.
D’ailleurs elle commence à haleter...
- « arrête tu vas me faire jouir ! »
Lui dit-elle.
Notre ami la pousse alors vers notre lit et d’autorité la fait se positionner en levrette le cul bien en l’air au pied du lit.
Il quitte alors son pantalon et son slip laissant apparaître un zob de belle taille, il est mieux monté que moi le bougre, ça me file des complexes, la mienne est de taille plutôt moyenne.
Il prend position derrière elle et je comprends immédiatement au regard porter sur son anus qu’il va me l’enculer.
Il se baisse et se met à lui lécher et bouffer l’anus qu’il humidifie copieusement de sa salive.
- « non pas là ! »
Dit-elle
- « Ah je suis désolé mais c’est moi qui décide !!! »
Répliqua t’il en présentant son gland à l’entrée de son petit trou.
Puis il ajouta :
- « Avec ma femme je n’ai jamais eu droit alors je ne vais pas me gêner ! »
Mince alors !
Moi il fallait que je la paye 50€ pour avoir le droit de l'enculer.
J'étais totalement excité…
Je me suis approché et j'ai écarté les fesses de ma femme pour que ça rentre plus facilement et être aux premières loges pour assister à cette sodomie de mon épouse.
J'ai vu le gros sexe de mon voisin pénétré à l'intérieur de ma femme…
Je n'en pouvais plus…
J’ai quitté mon pantalon et mon slip et je me suis mis à me branler pendant qu'il allait et venait dans son cul.
Il ne me fallut pas longtemps pour que j’éjacule sur ses reins.
Pour moi la tension était retombée et là j'avais un peu honte de la situation, je trouvais ça beaucoup moins excitant.
Cette femme, dont j’avais été si fier et follement amoureux m’inspirait maintenant un sentiment de dégoût.
Ce n’était qu’une grosse salope, qu’une grosse pute parmi tant d’autres.
Mais lui n’en avait pas encore fini et il continua d’aller et venir dans le rectum de Françoise.
Et ce, pendant de longues minutes, jusqu’à se planter au plus profond de ses entrailles et se vider les couilles dans un grognement bestial.
J’étais là comme un con avec ma petite bite ramollie à regarder ma femme se faire sodomiser par un « ami »
Elle y prenait goût, elle s’était mise à gueuler comme une truie…
Je regardai ses gros nichons pendants sous son corps, se balancer au rythme des coups de boutoir de notre « bon voisin ».
Je su par la suite qu'il venait rendre visite régulièrement à mon épouse pendant que j’étais au boulot !
Il continuait à venir me voir et me disait
- « tiens je suis venu faire un petit coucou à Françoise telle jour »
et moi je lui rétorquai
- « un petit coucou seulement ? »
- « tu me connaît Stephane, je ne fais que ce qu’on me demande, d’ailleurs moi je fais ça pour te rendre service, Françoise m’a dit que tu n’arrivais pas à fournir et puis il faut savoir partager ! »
Ben voyons non seulement il baisait ma femme et en plus il se foutait de ma gueule.
Méfiez-vous des amis et des voisins !
Une anecdote de cocu parmi tant d'autre.
À cette époque, on peut dire que mon couple n’était pas au beau fixe.
Nous étions amis avec un couple de voisins qui avaient une dizaine d’années de plus que nous.
Lui était belle homme et plutôt porté sur les femmes.
Mais sa femme était vraiment coincée et je doute que sensuellement elle satisfaisait son époux
Lui venait souvent me rendre visite pour discuter et prendre l'apéro.
Il s’appelait Joël.
Souvent ma femme le cherchait en lui disant des mots tendres du genre :
- « Alors mon petit Jojo. »
Autrement dit je voyais bien qu’il l’attirait,
Un jour mon ami me dit, alors que nous étions que tous les deux :
- « elle commence à me chauffer Françoise, si ça continue je vais craquer, je te préviens ! »
Je lui ai répondu :
- « ben vas-y, tente ta chance, tu verras bien ! »
- « ah bon, tu prends ça comme ça, tu n'es pas jaloux ? »
Me dit-il.
- « Si, mais si elle a décidé de le faire autant que je sois au courant non ! »
Quelques instant après ma femme revint dans le salon ou nous étions à prendre l'apéro et se mit à minauder et tortiller du cul autour du voisin.
N'y tenant plus celui-ci l'attrapa par la taille et l'obligea à s’asseoir sur ses genoux.
- « Alors ma petite Françoise, qu'est-ce qu'il y a, tu es en chaleur pour me tourner autour comme ça, tu me cherche. Ton homme ne t'en donne pas assez ? »
- « Mon homme tu parles avec son fusil à un coup, il est à peine rentré qu'il a déchargé ! »
- « Ah tu m'en diras tant, tu veux essayer avec un vrai mâle comme moi ? »
Elle répondit :
- « Oui ! Tiens devant lui pour lui montrer comment on fait ! de toute façon en ce moment il m’emmerde, j’en ai marre de lui. »
- « Bien, dit moi tout, on fait ça sur la table ? »
Demanda le voisin.
- « Viens dans notre chambre, tu vas me faire l’amour dans notre lit conjugal !!! »
Elle cherchait vraiment à m'humilier.
Une fois dans la chambre elle se colle à lui et lui roule une pelle.
Il commence par lui déboutonner son corsage et lui caresse les seins par-dessus son soutien-gorge.
Puis il fait descendre la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds et là, surprise, elle n’a pas de culotte laissant apparaître sa foufoune rouquine bien taillée en petit triangle…
La garce elle avait prémédité son coup comme c’est là.
Il lui enlève totalement son corsage et ma femme défait elle-même son soutien-gorge, dévoilant sa forte mais magnifique poitrine qui se tient toujours très bien malgré ses trois maternités.
Le voisin ne peut retenir un sifflement à leur vue.
- « c’est joli tout ça !!! »
Tout en posant les mains sur ses deux seins qu’elle mettait bien en évidence en bombant le torse,
- « ça faisait longtemps que je n’en avais pas touché des comme ça ! Tu permets que j’en profite ? »
Demanda-t-il à mon épouse.
- « Surtout ne te gêne pas, j’adore me faire peloter les seins, tu peux y aller franchement ! »
- « Ah ben toi alors Françoise, je ne te croyais pas comme ça, tu as pourtant la renommée d’une femme sérieuse dans le quartier. »
- « Et bien, tu vois il faut se méfier de l’eau qui dort. La femme sérieuse elle aime aussi bien le sexe. C’est une chose sérieuse aussi le cul, non ? »
Après lui avoir copieusement malaxé les nichons, il se mis à jouer avec ses tétons qu’elle a très sensible, il les pince et les fait tourner entre le pouce et l’index je sais qu’elle aime ça et qu’on arrive à la faire jouir rien qu’en jouant avec.
D’ailleurs elle commence à haleter...
- « arrête tu vas me faire jouir ! »
Lui dit-elle.
Notre ami la pousse alors vers notre lit et d’autorité la fait se positionner en levrette le cul bien en l’air au pied du lit.
Il quitte alors son pantalon et son slip laissant apparaître un zob de belle taille, il est mieux monté que moi le bougre, ça me file des complexes, la mienne est de taille plutôt moyenne.
Il prend position derrière elle et je comprends immédiatement au regard porter sur son anus qu’il va me l’enculer.
Il se baisse et se met à lui lécher et bouffer l’anus qu’il humidifie copieusement de sa salive.
- « non pas là ! »
Dit-elle
- « Ah je suis désolé mais c’est moi qui décide !!! »
Répliqua t’il en présentant son gland à l’entrée de son petit trou.
Puis il ajouta :
- « Avec ma femme je n’ai jamais eu droit alors je ne vais pas me gêner ! »
Mince alors !
Moi il fallait que je la paye 50€ pour avoir le droit de l'enculer.
J'étais totalement excité…
Je me suis approché et j'ai écarté les fesses de ma femme pour que ça rentre plus facilement et être aux premières loges pour assister à cette sodomie de mon épouse.
J'ai vu le gros sexe de mon voisin pénétré à l'intérieur de ma femme…
Je n'en pouvais plus…
J’ai quitté mon pantalon et mon slip et je me suis mis à me branler pendant qu'il allait et venait dans son cul.
Il ne me fallut pas longtemps pour que j’éjacule sur ses reins.
Pour moi la tension était retombée et là j'avais un peu honte de la situation, je trouvais ça beaucoup moins excitant.
Cette femme, dont j’avais été si fier et follement amoureux m’inspirait maintenant un sentiment de dégoût.
Ce n’était qu’une grosse salope, qu’une grosse pute parmi tant d’autres.
Mais lui n’en avait pas encore fini et il continua d’aller et venir dans le rectum de Françoise.
Et ce, pendant de longues minutes, jusqu’à se planter au plus profond de ses entrailles et se vider les couilles dans un grognement bestial.
J’étais là comme un con avec ma petite bite ramollie à regarder ma femme se faire sodomiser par un « ami »
Elle y prenait goût, elle s’était mise à gueuler comme une truie…
Je regardai ses gros nichons pendants sous son corps, se balancer au rythme des coups de boutoir de notre « bon voisin ».
Je su par la suite qu'il venait rendre visite régulièrement à mon épouse pendant que j’étais au boulot !
Il continuait à venir me voir et me disait
- « tiens je suis venu faire un petit coucou à Françoise telle jour »
et moi je lui rétorquai
- « un petit coucou seulement ? »
- « tu me connaît Stephane, je ne fais que ce qu’on me demande, d’ailleurs moi je fais ça pour te rendre service, Françoise m’a dit que tu n’arrivais pas à fournir et puis il faut savoir partager ! »
Ben voyons non seulement il baisait ma femme et en plus il se foutait de ma gueule.
Méfiez-vous des amis et des voisins !
2 years ago
