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Chabrot de pisse et morteau dans le cul

Chabrot de pisse et morteau dans le cul

L'après-midi tirait à sa fin. Je venais de discuter avec toi au téléphone. Tu étais en symposium à La Réunion pour quinze jours. Tu avais réussi à m'exciter avec tes petites histoires inventives mais surtout par ce que tu avais ajouté « Je t'ai envoyé un petit cadeau » dont tu n'avais rien voulu dire. Tu me manques.
Il allait falloir se décider à préparer le repas. Malgré l'abondance de denrées, je n'avais aucune idée. Et aucune envie de m'y mettre. Et si j'allais dîner dehors. La petite auberge à l'orée du bois, ça te dit ? Ça me dit. Cette auberge découverte grâce au temps menaçant. Je prends une lampe et je me mets en route.

L'auberge est éclairée. J'entre. Et je la vois tout de suite. Elle est en train de servir à une table. Je me retiens pour ne pas lui sauter dessus. Je suis heureux et reconnaissant de la retrouver. Ses cheveux blonds ont poussé. Elle a abandonné le tailleur strict. Elle porte maintenant des tenues plus amples, plus légères, vaporeuses avec des jeux de transparences. Elle n'a pas grossi. Elle est un autre type de femelle avec le même corps. Elle a fait d'autres changements dans sa vie. Elle a viré son lourdaud de mari et embauché un jeune chef imaginatif. Elle profite du célibat et n'a pas du tout envie de se remettre avec un homme. Elle est épanouie. Elle aussi est heureuse de me revoir. Notre expérience spontanée et commune nous a laissé un goût d'amitié inconditionnelle (voir Un doigt et un poing dans le cul au resto). Elle est étonnée de me voir seul. Je le suis moi-même. Ne suis-je pas en train de tromper mon amour ?

Par ici monsieur. Elle me fixe puis me précède. Son immense cul roule devant mes yeux. Ses hanches balancent sous le tissu. Elle exagère à peine. Elle me mène directement à notre table ronde près d'une fenêtre. Elle me regarde encore, interrogative. Je lui montre que j'ai apprécié. Son œil s'allume. Un jeune couple est déjà attablé. Ils en sont aux fromages. Je les salue et je m'installe.

Elle s'absente pour aller chercher les menus semble-t-il. Elle revient sans les menus. Elle a ôté une couche de vêtements et son soutien-gorge. Comme elle ne porte jamais de culotte, elle est nue sous son léger vêtement. Ses seins lourds tombent sur son ventre. On aperçoit les larges aréoles à travers le tissu. Elle se redresse. Je tends la main, je tâte discrètement un sein. Je sens une surproduction de mouille dans mon bas-ventre. Elle a aussi passé une jupe très courte. Elle n'est pas gênée par les clients. C'est très excitant d'avoir toute cette chair offerte à disposition, de n'avoir qu'à tendre la main. Servez-vous toujours de la soupe, madame ? Oh oui, monsieur. Je vais prendre de la soupe. Vous avez toujours aussi cette énorme saucisse de Morteau ? Oui, monsieur. Faites suivre alors. Et comme boisson ? Le vin rouge que vous nous avez servi la dernière fois. Bien monsieur. Elle s'éloigne vers la cuisine. Je ne peux pas m'empêcher de la suivre du regard. Mais que fait le jeune couple; qu'est-ce qu'ils attendent; ils n'ont rien à faire ? Elle revient de la cuisine, se dirige vers l'autre table et leur demande s'ils ont envie d'autre chose. Ils se regardent amoureusement. Dégagez bordel, allez baiser! À la voir, je crains que la femme n'opte pour un dessert. Mais non. Ah, ça y est, ils demandent l'addition. La porte s'ouvre, deux hommes entrent. Elle les salue et leur indique tout de suite que le service est fini. L'un d'eux a remarqué sa tenue, il insiste. Non, messieurs, le personnel est parti. Faites-nous un œuf au plat. Non messieurs, c'est fermé. Ils abandonnent et s'en vont. Le jeune couple en profite pour sortir. Elle se précipite à leur suite et ferme la porte à clef. Elle s'y adosse. Nous nous regardons. Et imperceptiblement, nous commençons à bouger de concert. N'y tenant plus, nous courons l'un vers l'autre, nous nous jetons dans les bras l'un de l'autre. Je bande, dur, soudain. Je n'arrive pas à te soulever ma grosse. Alors je l'étreins fort, je serre, je veux rentrer dans sa chair. Des larmes de bonheur glissent. Je sens ma mouille couler dans mon slip. Nous nous séparons pour nous contempler. Je bande comme jamais par un simple contact. Qu'est-ce que je vais devenir si je suis déjà si excité ? J'ai déjà une forte envie de jouir.

Lors de son absence pour ôter quelques couches, elle était passée par la cuisine pour signifier au cuisto qu'il pouvait partir. Et le cuisinier vient saluer sa patronne avant de le faire. Il remarque sa tenue et me jette un coup d'œil égrillard. Rêve toujours camarade. Il part. Elle va fermer la porte de service derrière lui. Enfin seuls. Elle fait le tour de la salle. Nous nous prenons dans les bras, nous embrassons. Elle tire les rideaux. Je lui suggère de se mettre nue pour faire ça. Elle se retourne vers moi, étonnée. Elle n'y avait pas pensé. C'est une idée qui vient de moi, elle est d'accord si c'est moi qui la déshabille. Je me rue sur elle. Elle a un léger mouvement de recul puis se reprend, s'offre. Il n'y a pas grand chose à enlever. Je le fais en douceur même si j'ai envie de lui arracher. En haut, l'espèce de caraco transparent n'est tenu que par un bouton dans le dos. Rapidement il tombe. Je vois son dos large, je le caresse. Deux petits plis sous chaque omoplate. Deux fossettes sous les reins. J'embrasse sa nuque. Je fais descendre la jupette. Elle est nue. Elle se retourne, le regard humble. Elle me propose presque timidement mais avec arrogance ses deux gros seins ronds et longs. Je t'en prie, n'aie pas honte de ces deux merveilles, sois-en fière. Si tu m'aimes, tu vas t'aimer. Elle se redresse. Elle prend ses seins par en dessous, les soulève légèrement et me les tend. Je les embrasse, je titille les tétins, les mordille. Elle reprend son activité. Mais maintenant, elle est nue et je vois sa chair remuer, trembler au moindre de ses mouvements. Je me mets nu aussi. Ses seins roulent sur son ventre. Son cul se tend. Je m'approche tenté par cette opulence. Je sais ce que je veux depuis la dernière fois. Est-ce que ça va être possible ? Je m'approche d'elle par derrière, je flatte son cul. Je glisse une main entre ses fesses. Elle se cambre. Je cherche l'anus. Trouvé. Mon index farfouille, il tente une percée. Ça rentre tout seul. C'est un bon signe. Je tente tout de suite un deuxième, ça rentre, un troisième, ça résiste. Zut. J'insiste. Je l'entends haleter. Elle supporte. Sous un autre angle ? Ça rentre un peu mieux. J'essaye la chatte. Pareil. Je débande. Dommage, je rêvais de mettre ma main dans son fion et dans sa chatte. J'envisageais que c'était possible. Elle manque de pratique. Je lui suggère d'avoir encore à s'entraîner. Je lui propose de venir régulièrement l'entraîner moi-même. En toute camaraderie et à la main. Que dirait-elle d'une fois par semaine pour commencer ? Elle est prête à devenir mon élève. Je rebande. Ah, dresser une chatte, un rêve. Elle sait qu'en plus de mes leçons, elle devra faire des exercices quotidiens. Je vais essayer de me faire inviter à ses séances.

J'ai faim. Elle aussi. Elle se rend à la cuisine, je la suis. Stop. Tabou. On n'est pas admis à la cuisine. Quel dommage, tous ces instruments… Je rejoins ma place. Elle revient vite avec une soupière. Elle fait le service, s'assoit en face de moi. Ah, si tu étais là. Nous soupons. Elle regarde de plus en plus souvent mon assiette et mon visage. Elle attend, elle espère quelque chose. Elle constate qu'il ne me reste que peu de soupe. Elle se lance et me dis qu'elle a cherché longtemps ce qu'elle avait surpris la dernière fois. Elle croit avoir deviné et me propose de le faire pour moi. Ma queue réagit fort. Je la touche, la saisis et ne peux m'empêcher d'aller et venir. Attention, c'est sensible. Elle se lève, me tend la main et s'appuie sur moi pour monter sur la table. Ses seins roulent, pendent. Elle est debout sur la table, elle s'accroupit au dessus de mon assiette. Elle est épilé de frais. Elle pose une main sur mon épaule, me regarde. Elle dit « Chabrot ». Et elle pisse. Stop, stop, c'est assez. Elle tapote ma joue, je la regarde. Elle prends mon verre avec un sourire, me le montre et le remplit. Elle sait qu'elle a deviné juste. Elle triomphe. Elle bascule des hanches et vient coller son sexe gros et gras à ma bouche. Je la lèche, je fais disparaître toute trace d'urine. Et, mes yeux dans les siens, je prends mon assiette et je bois avec un immense plaisir le mélange tiède. Elle rayonne. Je l'aide à redescendre. Elle se rassoit. Elle fait un triste constat, son assiette est presque vide. Elle me le dit, elle ajoute « Chabrot ». Je me lève plein de l'intention de lui plaire. Je m'approche. Je lui tends la main, elle m'aide à monter sur la table. Je suis debout, je la domine. Je m'accroupis au dessus de son assiette. Je caresse mes grosses couilles. Je lâche quelques traits de pisse. Assez. Je sens qu'elle espérait ça depuis qu'elle essaye de deviner. Elle prend l'assiette, la porte à ses lèvres en me regardant. Elle boit. Tout. Elle lèche l'assiette. Elle me tend son verre. Je le remplis. Oh, le maladroit, je fais un faux mouvement, je pisse sur ses seins, sur son ventre. C'est trop bon. Je me relève, la bite à la main. Je bande. Je lâche ma queue. Je pisse en l'air, le jet pleut sur elle. Elle ouvre la bouche, je tords ma queue, je vise difficilement, je la remplis. Elle avale. Elle ouvre encore, elle avale. De son visage trempé, elle me demande une petite faveur très importante à ses yeux. Si je suis pour jouir, que je la prévienne assez tôt. Elle veut mon foutre dans sa gorge. Ma queue a une secousse, le jet dévie. Mon cœur s'affole. Une forte bouffée de désir me tord. Oh oui, ma salope, compte sur moi. Je la contemple toute mouillée. Elle m'aide à redescendre. Je pose les mains sur elle. J'étale la pisse sur sa peau. Je caresse.

Je veux l'aider à débarrasser. Elle presse sur mon épaule, je me rassieds. Je la regarde évoluer. Elle est gracieuse cette grosse femme. Elle me fait bander. Elle revient de la cuisine avec les saucisses fumantes. La purée est appétissante. Elle se rassoit. Je m'apprête à attaquer. Mais quelque chose me retient. Je lève les yeux. Elle tient sa saucisse à la main et me regarde provocante. Est-ce que je devine bien ? J'en rêve. Une vague de désir me secoue. Je lui dit suppliant fais-le, oui, fais-le pour moi. Elle triomphe. C'est tout juste si elle ne battrait pas des mains. Je l'aide à remonter sur la table. Elle s'avance jusqu'à me dominer de près. Elle écarte ses énormes cuisses. Je me branle. Elle ouvre son sexe de sa main potelée et de l'autre, elle s'introduit la saucisse. Elle l'enfonce. La saucisse sort à peine entre ses lèvres. Elle remue. D'un mouvement du bassin, elle présente la saucisse à ma bouche. Je lui caresse l'anus. Mon regard est reconnaissant mais dit non, pas encore. Elle recule. Je prends le pot et dépose un peu de moutarde sur le bord de mon assiette. Je la regarde. Elle avance, elle vise bien mais c'est trop court. Je tire un peu plus de saucisse. Cette fois, ça marche. Elle renverse à nouveau son bassin. Je n'ai plus qu'à avancer la tête. Je saisis la saucisse entre mes dents et par un mouvement du buste, je la fais entrer et sortir, là, sous mon nez. Je me branle toujours. Je la croque. D'une simple saucisse elle a fait un festin. Et la saucisse avance, disparaît petit à petit. Après la dernière bouchée, je vérifie avec quelques doigts dans sa chatte qu'elle est bien vide. Ma main accélère. Il reste la purée. Je la fais asseoir dedans. Elle se met à quatre pattes. Je lèche la purée sur son cul, dans la fente. Je suis rassasié. Je l'aide, elle se rassoit. Elle a toujours son air provocant. Elle me regarde et ordonne « Prends ta saucisse. Mets-toi doggy devant moi. »« Bien. » Elle me titille l'anus. « Donne-moi la saucisse. » Et elle caresses mon trou du cul avec. Elle appuies. J'avais un doute, mais ça rentre, facilement. Je continue à me branler. Je ne débande pas. Elle l'aime sans moutarde. Je sens la saucisse bouger dans mon ventre. Tu la fais aller et venir avec ta bouche. Puis tu la prends avec la main et tu l'agites dans mon cul. J'aime ça, continue. Tu sors la saucisse. Tu croques le bout qui était au fond. Tu remets la saucisse où tu l'as trouvée. Quelques allers et retours. Et la saucisse disparaît dans ton sexe. Oh, la bonne idée. Je te suggère une solution pour la récupérer. Intéressant dis-tu. Mais tu ne promets rien, tu ne sais pas si ça va passer. Essayons au moins. Où est la saucisse ? Oh, c'est vrai, elle est cachée au fond de ta chatte. Pleine d'espoir elle présente sa main à l'entrée de son vagin. Elle l'introduit, ça rentre. Elle en a donc l'habitude ? La main s'enfonce encore un peu. On devine un mouvement dans son ventre. Le poing ressort. Elle le retourne, l'ouvre. La saucisse est là. Championne.

Je veux lécher, mais ma main accélère. Il faut que je jouisse. Je n'en peux plus. Eh salope, je vais bientôt jouir. Je ne veux plus que ça, jouir. Et le plus tôt sera la mieux. Tu me regardes affolée. Vite, vite. Tu remets la saucisse dans ton vagin. Tu t'assieds. Tu chasses ma main. Tu saisis ma queue, tu l'avales, tu la secoues. Tu la pompes. À fond. Continue comme ça. Caresse-moi les couilles, malaxe-les doucement. Elle s'exécute. Ma queue ressort, elle la branle. Elle sait y faire. Elle m'embrasse les couilles, les lèche, remonte mon sexe avec sa langue et le gobe. Elle pompe. Ça monte.
Je n'y tiens plus. J'enfonce ma queue au fond de sa gorge, j'y cogne. J'enfonce encore. Je sors, j'enfonce, je pousse encore. Un peu plus vite. Ça monte. Je fais d'amples mouvements rapides. Je sors ma bite de ta bouche, je la branle sérieusement. Je la dirige à l'entrée de ta bouche ouverte. Tu gémis. Tu me regardes implorante, avide. J'halète. Ma jouissance éjecte un premier jet de sperme. Et avec quelle puissance. Et les jets se succèdent dans ta bouche poussés par des spasmes. Ils la remplissent. Ta langue, tes dents baignent. Mes tensions ont disparu. Je m'affale, repu. Tu approches ta bouche de la mienne. Je t'embrasse. Tu me fais passer un peu de mon foutre. Je suis comblé.

P.S. En effet, une semaine plus tard, je trouvais un petit colis dans la boîte aux lettres. Il venait bien de La Réunion. Excité par la curiosité, j'ouvre rapidement le paquet. Il ne contient qu'une bouteille. Pas un mot. Je la sors, je me dis que c'est une boisson locale. Ça aurait pu attendre ton retour. Et puis… la couleur… j'ai une intuition. J'ouvre le flacon. Je sens. Ça sent fort, ça sent ton urine. J'ai failli jouir.
Je m'en sers immédiatement un verre, je le sens, je le goûte, je le bois à ta santé un sanglot reconnaissant dans la gorge.
Published by JeLesAimeSaggy
2 years ago
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JeLesAimeSaggy
JeLesAimeSaggy Publisher 2 years ago
Merci pour ce commentaire presque poétique. J'apprécie. J'espère que ton imagination te mène loin.
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jsamael
jsamael 2 years ago
s'il faut souvent convoquer de fines coutures, de la dentelle dans la complicité et les jeux il est d'autres moments où ils faut être gargantuesque pour atteindre la satiété. C'est très bien écrit, torride à imaginer
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