Du fantasme à la réalité
Nous étions samedi et je me réjouissais toute la journée de la soirée qui s’annonçait. Nous devions aller avec mon mari dans une boîte non loin de chez nous où une soirée zouk était au programme. Chaleur, danse et ambiance antillaise me donnaient l’eau à la bouche, une pointe d’excitation venant même me chatouiller à l’idée de me déhancher entourée de beaux mâles.
Mais voilà que le soir venu, monsieur n’avait plus envie de sortir, il disait avoir eu une grosse semaine et n’avait pas envie de bouger, préférant rester à la maison devant la télé. Hors de question pour moi de faire une croix sur cette soirée que j’attendais avec impatience !! Je décidais alors d’aller m’habiller pour essayer de le faire changer d’avis. j’enfilais un petit boxer en dentelle avec le haut assorti, ainsi qu’une paire de collants, une petite jupe assez courte et un petit haut très décolleté qui mettait bien en valeur mes seins. Je débarquais comme ça devant lui, le suppliant de changer d’avis, mais rien n’y fait, il restait assis là à ne pas bouger et à bougonner.
Très bien, puisque c’est comme ça, alors j’irais seule à cette soirée, tant pis pour lui !! Moi aussi j’avais eu une grosse semaine et j’avais envie de me changer les idées ! En arrivant à la boîte, la soirée battait son plein, beaucoup de monde, des nanas tout aussi court vêtues que moi, voir même plus, mais surtout beaucoup de beaux blacks. Ça m’avait toujours fait fantasmer de me taper un black, ne serait-ce que pour vérifier de mes yeux si la légende disant qu’ils étaient bien montés était vrai. Mais ce n’était pas le but de la soirée, j’étais venue pour profiter de l’ambiance et de la musique. Je commençais par m’installer au bar pour boire un verre. Mes jambes croisées, ma jupe remontait très haut, dévoilant la quasi totalité de mes jambes gainées de collants, et cela attirait fortement les regards de beaucoup de mecs qui me tournaient autour, certains venant me brancher et m’offrant des verres à boire, ce que, bien sûr, je ne me faisais pas prier pour accepter, mais je ne voulais pas aller plus loin, encore une fois, je n’étais pas venue pour me taper quelqu’un. L’alcool, la musique entêtante, la vision de tous ces corps se déhanchant sur la piste de danse et la chaleur ambiante me poussèrent bien vite à aller, moi aussi, bouger mon corps au milieu de tout ce monde. Très rapidement, je fus entouré par deux beaux blacks. Ils étaient bien plus grands que moi et bougeaient merveilleusement bien, entraînant mon corps dans une danse collé-serré endiablée. Les deux collés à moi, je pouvais sans mal deviner que cette proximité leur faisait beaucoup d’effet, sentant parfaitement leurs sexes moulés dans leurs pantalons former une belle bosse et venir caresser ma peau à la mesure de leur déhanchement.
La danse finie, l’un d’eux me proposa de l’accompagner chez lui mais je préférai refuser, lui disant que j’étais mariée, même si de les sentir si excités à mon contact avait commencé à doucement me faire mouiller. Mais non, il ne fallait pas que je craque… Je retournais alors au bar, buvant un autre verre. J’avais du mal à me remettre de cette danse envoûtante et excitante, et sentir la virilité de ces deux beaux blacks contre moi avait allumé un feu qui bouillonnait à présent au creux de mon bas ventre. J’avais la tête qui tournait, tout un tas d’idée se bousculait en moi, la raison me disant qu’il fallait que je me calme et la passion me poussant à aller retrouver mon beau black pour accepter sa proposition et ainsi assouvir un fantasme de longue date. Le dilemme ne dura pas longtemps, et après avoir fini le reste de mon verre d’une traite, je me lançais à la recherche de mon étalon. Je finissais rapidement par le retrouver et je lui annonçais alors que finalement, j’acceptais sa proposition. Il me demanda si ça me dérangeait que son ami nous accompagne. Au point où j’en étais, je ne me voyais pas refuser cette offrande. Nous partîmes tous les trois et me trouver entourée de ces deux mecs continuait à m’exciter de plus en plus.
Arrivés chez eux, ils m’offrirent à boire – encore – et assez rapidement, l’un deux vint commencer à me toucher, venant me caresser les seins. Son ami vint alors enlever mon haut pendant que lui s’occupait de ma jupe. Je me faisais effeuiller alors que de mon côté, je faisais courir mes mains sur leur torse. Ils enlevèrent leur t-shirt et vinrent ensuite finir de me déshabiller, faisant tomber mon soutien-gorge ainsi que mon boxer. Nous finissons par aller dans la chambre et ils me firent m’allonger sur le lit ; l’un d’eux venant lécher mes seins pendant que l’autre s’affairer à lécher ma chatte déjà copieusement humide. Sa langue semblait énorme, je pouvais la sentir en moi visiter mon antre bouillante, il léchait et aspirait mes lèvres, passant son pouce sur mon clito. Il l’emprisonna ensuite de sa bouche et commença à me doigter. La sensation de sa langue jouant frénétiquement avec mon clito ajoutée à celle de ses doigts allant et venant en moi finit par me faire jouir dans un gémissement sonore.
Ensuite, ils se mirent tous deux à genoux de chaque côté de moi et commencèrent à enlever leur pantalon. Avant même qu’ils ne soient nus, je pouvais voir l’impressionnante forme dessinée sur leur boxer, puis ils l’enlevèrent et deux sexes sombres et magnifiques se tendirent devant moi. L’un d’eux était vraiment énorme, ma main n’arrivant pas à en faire le tour. Je ne me fais pas prier pour aller le sucer mais son sexe était si gros que je ne pouvais que péniblement y mettre son gland avant d’être prise de haut le cœur. Je me contentais donc de sucer ce que je pouvais et d’aller lécher le reste. Ma bouche et ma langue semblaient ridicules à côté de l’imposante taille de son braquemart. L’autre avait une taille plus modeste mais quand même importante, j’arrivais néanmoins à y mettre près de la moitié dans ma bouche. Je me délectais de sucer et de lécher ses deux bites tendues à bloc et veinées à souhait, ma mâchoire semblant vouloir se déboîter à chaque fois que j’avais la témérité de vouloir prendre le plus imposant en bouche.
Puis, le mieux monté me fit mettre à quatre pattes. Il voulait me prendre, mais il n’avait pas de capotes, je décidais alors de ne pas me risquer sans protection. Par acquis de conscience, j’allais quand même voir s’il n’y en avait pas dans mon sac à main, je ne me souvenais pas en avoir mis mais sait-on jamais. Je fouillais frénétiquement mon sac, finissant par en vider le contenu sur la table, et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir une capote tomber ! Je ne savais plus pourquoi je l’y avais mise, peut-être à l’occasion de mon enterrement de vie de jeune fille, mais peu importe, je la pris pour aller rejoindre mes deux amants. Je n’avais qu’une capote, donc l’un devra se contenter de se faire sucer. Je voulais à tout prix me faire prendre par la plus grosse des deux, je voulais connaître la sensation que cela faisait de se faire baiser par un si gros engin ! Je m’attelai à venir y mettre la capote qui était bien trop petite pour sa queue énorme. Je galérai à la mettre en place, priant pour qu’elle ne se déchire pas, et tant bien que mal, je réussis à la positionner, celle-ci arrivant à peine plus à la moitié de son sexe. Je me retourne pour venir lui présenter ma croupe pendant que je m’attelle à sucer la bite devant moi. Il me caressa un peu avec ses doigts, puis je sentis une boule venir passer entre mes lèvres, son gland énorme se baladant à l’entrée de ma chatte. Puis, je le sentis commencer à me pénétrer, sa queue me dilatant, doucement mais sûrement, je gémissais, la bouche remplie par le sexe turgescent de son pote. Sentir sa bite démesurée prendre place en moi, me remplir entièrement et continuant de plus en plus à me distendre me faisait ressentir un mélange de plaisir intense et d’un peu de douleur aussi, puis la douleur ne laissa place qu’à du plaisir quand il commença ses va et vient, ma chatte tellement serrée autour de sa queue que je pouvais en sentir chaque relief, chacune de ses veines. Heureusement, je mouillais abondamment et sa queue glissait parfaitement en moi, et je finis alors par jouir, inonder par le plaisir que je ressentais de me faire déchirer les intestins par ce monstre. Son pote me tenait tout en me baisant la bouche, j’étais là à me faire empaler par deux bites colossales que j’avais déjà vu sur des vidéos pornos, mais on n’était pas dans une vidéo et ce que je ressentais était bien réel, un volcan de plaisir explosant en moi et finissant de nouveau par me faire jouir une seconde fois sous les assauts de ces deux bites.
J’étais tellement envahi de jouissance que je ressentis à peine comme un petit déchirement dans ma chatte. Je me doutais bien que cette capote ne ferait pas long feu face à l’énormité de la bite qu’elle devait couvrir, mais c’était trop tard, je ne pouvais pas me résoudre à lui dire d’arrêter, je voulais qu’il me baise, encore et encore, ce qu’il ne se fit pas prier de faire. Il finit par se retirer de moi et dit :
- Oh oh, mauvaise nouvelle…
- Quoi ? La capote a pété ? Dis-je en me retournant ;
- Oui…
- Je m’en doutais, je l’ai senti, mais je voulais pas que t’arrête de me baiser…
Deux morceaux de latex pendaient autour de sa queue, maintenu par l’élastique de la capote. Je m’empressais d’aller l’enlever puis son pote s’allongea, il voulait aussi me sauter. Je n’aurais pas dû continuer sans capote mais mon envie était trop grande, je ne pouvais pas me résoudre à ne faire que les sucer alors qu’un feu énorme me consumait de l’intérieur. Je vins le chevaucher et pris sa queue dans ma main pour venir la caler à l’entrée de ma chatte encore bien ouverte du monstre m’ayant pénétré auparavant. Sa queue rentra plus facilement, mais je sentis néanmoins bien la taille imposante qui prenait place en moi. Je me mis à sauter sur sa queue, la faisant me prendre sur toute sa longueur, c’était divin, et encore plus quand l’autre bite vint surgir devant mon visage. Je ne me fais pas prier pour l’att****r, venant la lécher et sucer son gland fougueusement, le branlant de mes deux mains, de la mouille perlant de son gland que je vins déguster en gémissant de la pénétration de son pote. Je le chevauchais furieusement, tellement vite que sa bite vint sortir de ma chatte. Je la repris en main et la remis en position pour m’asseoir de nouveau dessus quand je sentis que je la positionnais trop haut, son gland trempé venant appuyer sur mon anus. Je me repris et la remis dans ma chatte. Tout en me faisant baiser, je me disais que ça serait trop bête de ne pas tenter la sodomie avec eux, mais j’étais un peu terrifiée à l’idée que quelque chose d’aussi énorme m’encule. Je n’eus pas le temps de cogiter que son pote, comme s’il avait lu dans mes pensées, vint commencer à me titiller l’anus, l’humidifiant de sa salive avant de venir y mettre un doigt. Je soupirais de plaisir en sentant un de ses doigts, puis deux, et enfin trois venir visiter mon cul. Rien que le fait de sentir ses doigts dans mon cul me faisait prendre un plaisir immense, mais j’en voulais plus, et je lui dis, entre deux gémissements :
- Encule-moi…
Je m’immobilise alors sur son pote, sa bite entièrement en moi, et je pus alors sentir de nouveau ce gland énorme forcer l’entrée de mon anus. Sa bite, dure comme du bois, ne pliait pas face à la résistance que lui opposait mon sphincter, et celui-ci se mit à s’ouvrir, laissant ce chibre monumental venir me remplir le cul. Je poussais alors un long cri, mélange de douleur et de plaisir, puis il m’agrippa par les épaules et se mit à m’enculer, son pote reprenant lui aussi sa pénétration. J’avais pas loin de 40 centimètres de queues en moi qui me baisaient et me déchiraient de toute part, cette sensation d’être remplie à ce point était fantastique. Le mec sous moi me lécha les seins pendant que son pote entoura mon cou de sa main, m’étranglant presque tout en m’enculant. Je finis, encore une fois, par jouir, sentant ma chatte et mon cul explosant de plaisir.
Puis je sentis le gars me prenant la chatte se crisper. Il se retira de moi, tout comme son pote, et le manque de ses deux queues énormes en moi était flagrant, j’avais l’impression qu’il me manquait un organe tant le vide était criant !! Je vins prendre en bouche le mec allongé, m’attelant à le sucer et à le branler vigoureusement pour le faire jouir, je voulais sentir sa semence m’inonder la bouche, et pendant ce temps, je fus surpris de sentir l’énorme queue de son pote venir de nouveau me prendre la chatte. Je criais de plaisir en le sentant encore me déchirer, sa bite rentrant plus facilement que la première fois, mon sexe finissant par s’être bien distendu à force de se faire ouvrir par ses deux monstres !! Il me pilonnait durement, ses coups de reins étaient puissants et rapides, mes gémissements étouffés par la queue me prenant la bouche, queue que je pus sentir se tendre encore un peu avant que celle-ci ne libère un flot impressionnant de sperme venant me remplir. j’aurais voulu tout garder dans ma bouche mais la dose était vraiment trop importante et je ne pus m’empêcher de tousser, venant faire dégouliner du sperme le long de sa queue et sur son bas ventre. Cette sensation de me faire remplir, je finis également par la sentir, mais dans ma chatte cette fois, son pote venant se bloquer en moi et déversant, lui aussi, une dose impressionnante. Je pouvais sentir la chaleur de sa semence remplir chaque recoin de mon sexe, il gémissait à chacune de ses giclées :
- Han ! Han ! Han ! Han !
Il ne semblait pas s’arrêter de me remplir, cette sensation était fantastique !! Je continuais à sucer son pote, léchant le sperme étalé sur sa bite et son bas ventre, avant que l’autre ne finisse par se retirer. Je sentis une importante coulée de sperme suivre sa queue et je resserrais alors ma chatte pour en garder en moi, j’aimais sentir cette chaleur baigner mon antre. Il s’allongea à côté de moi et je vins le sucer encore quelques instants, sa queue commençant doucement à se ramollir mais laissant encore s’échapper quelques gouttes de sa jouissance que j’allais lécher, par pure gourmandise.
J’étais là, entourée par deux beaux blacks superbement montés, leurs queues à présent bien molle, mais même au repos, elles avaient une taille impressionnante. Je restais dans leur bras un petit moment, me remettant de mes émotions. Ils étaient doux, me caressant et m’embrassant adorablement. Mais il se faisait tard et il fallait que je rentre, où mon mari allait trouver ça bizarre. Je me rhabille et prends congé de mes deux amants d’un soir.
Durant le trajet, je pouvais sentir mon boxer s’humidifier de sécrétions, et une fois chez moi, après être allée me brosser les dents pour enlever l’odeur de sperme que j’avais en bouche et me coucher, je pouvais encore sentir du sperme perler d’entre les lèvres de ma chatte.
Le salaud m’avait bien rempli...
Mais voilà que le soir venu, monsieur n’avait plus envie de sortir, il disait avoir eu une grosse semaine et n’avait pas envie de bouger, préférant rester à la maison devant la télé. Hors de question pour moi de faire une croix sur cette soirée que j’attendais avec impatience !! Je décidais alors d’aller m’habiller pour essayer de le faire changer d’avis. j’enfilais un petit boxer en dentelle avec le haut assorti, ainsi qu’une paire de collants, une petite jupe assez courte et un petit haut très décolleté qui mettait bien en valeur mes seins. Je débarquais comme ça devant lui, le suppliant de changer d’avis, mais rien n’y fait, il restait assis là à ne pas bouger et à bougonner.
Très bien, puisque c’est comme ça, alors j’irais seule à cette soirée, tant pis pour lui !! Moi aussi j’avais eu une grosse semaine et j’avais envie de me changer les idées ! En arrivant à la boîte, la soirée battait son plein, beaucoup de monde, des nanas tout aussi court vêtues que moi, voir même plus, mais surtout beaucoup de beaux blacks. Ça m’avait toujours fait fantasmer de me taper un black, ne serait-ce que pour vérifier de mes yeux si la légende disant qu’ils étaient bien montés était vrai. Mais ce n’était pas le but de la soirée, j’étais venue pour profiter de l’ambiance et de la musique. Je commençais par m’installer au bar pour boire un verre. Mes jambes croisées, ma jupe remontait très haut, dévoilant la quasi totalité de mes jambes gainées de collants, et cela attirait fortement les regards de beaucoup de mecs qui me tournaient autour, certains venant me brancher et m’offrant des verres à boire, ce que, bien sûr, je ne me faisais pas prier pour accepter, mais je ne voulais pas aller plus loin, encore une fois, je n’étais pas venue pour me taper quelqu’un. L’alcool, la musique entêtante, la vision de tous ces corps se déhanchant sur la piste de danse et la chaleur ambiante me poussèrent bien vite à aller, moi aussi, bouger mon corps au milieu de tout ce monde. Très rapidement, je fus entouré par deux beaux blacks. Ils étaient bien plus grands que moi et bougeaient merveilleusement bien, entraînant mon corps dans une danse collé-serré endiablée. Les deux collés à moi, je pouvais sans mal deviner que cette proximité leur faisait beaucoup d’effet, sentant parfaitement leurs sexes moulés dans leurs pantalons former une belle bosse et venir caresser ma peau à la mesure de leur déhanchement.
La danse finie, l’un d’eux me proposa de l’accompagner chez lui mais je préférai refuser, lui disant que j’étais mariée, même si de les sentir si excités à mon contact avait commencé à doucement me faire mouiller. Mais non, il ne fallait pas que je craque… Je retournais alors au bar, buvant un autre verre. J’avais du mal à me remettre de cette danse envoûtante et excitante, et sentir la virilité de ces deux beaux blacks contre moi avait allumé un feu qui bouillonnait à présent au creux de mon bas ventre. J’avais la tête qui tournait, tout un tas d’idée se bousculait en moi, la raison me disant qu’il fallait que je me calme et la passion me poussant à aller retrouver mon beau black pour accepter sa proposition et ainsi assouvir un fantasme de longue date. Le dilemme ne dura pas longtemps, et après avoir fini le reste de mon verre d’une traite, je me lançais à la recherche de mon étalon. Je finissais rapidement par le retrouver et je lui annonçais alors que finalement, j’acceptais sa proposition. Il me demanda si ça me dérangeait que son ami nous accompagne. Au point où j’en étais, je ne me voyais pas refuser cette offrande. Nous partîmes tous les trois et me trouver entourée de ces deux mecs continuait à m’exciter de plus en plus.
Arrivés chez eux, ils m’offrirent à boire – encore – et assez rapidement, l’un deux vint commencer à me toucher, venant me caresser les seins. Son ami vint alors enlever mon haut pendant que lui s’occupait de ma jupe. Je me faisais effeuiller alors que de mon côté, je faisais courir mes mains sur leur torse. Ils enlevèrent leur t-shirt et vinrent ensuite finir de me déshabiller, faisant tomber mon soutien-gorge ainsi que mon boxer. Nous finissons par aller dans la chambre et ils me firent m’allonger sur le lit ; l’un d’eux venant lécher mes seins pendant que l’autre s’affairer à lécher ma chatte déjà copieusement humide. Sa langue semblait énorme, je pouvais la sentir en moi visiter mon antre bouillante, il léchait et aspirait mes lèvres, passant son pouce sur mon clito. Il l’emprisonna ensuite de sa bouche et commença à me doigter. La sensation de sa langue jouant frénétiquement avec mon clito ajoutée à celle de ses doigts allant et venant en moi finit par me faire jouir dans un gémissement sonore.
Ensuite, ils se mirent tous deux à genoux de chaque côté de moi et commencèrent à enlever leur pantalon. Avant même qu’ils ne soient nus, je pouvais voir l’impressionnante forme dessinée sur leur boxer, puis ils l’enlevèrent et deux sexes sombres et magnifiques se tendirent devant moi. L’un d’eux était vraiment énorme, ma main n’arrivant pas à en faire le tour. Je ne me fais pas prier pour aller le sucer mais son sexe était si gros que je ne pouvais que péniblement y mettre son gland avant d’être prise de haut le cœur. Je me contentais donc de sucer ce que je pouvais et d’aller lécher le reste. Ma bouche et ma langue semblaient ridicules à côté de l’imposante taille de son braquemart. L’autre avait une taille plus modeste mais quand même importante, j’arrivais néanmoins à y mettre près de la moitié dans ma bouche. Je me délectais de sucer et de lécher ses deux bites tendues à bloc et veinées à souhait, ma mâchoire semblant vouloir se déboîter à chaque fois que j’avais la témérité de vouloir prendre le plus imposant en bouche.
Puis, le mieux monté me fit mettre à quatre pattes. Il voulait me prendre, mais il n’avait pas de capotes, je décidais alors de ne pas me risquer sans protection. Par acquis de conscience, j’allais quand même voir s’il n’y en avait pas dans mon sac à main, je ne me souvenais pas en avoir mis mais sait-on jamais. Je fouillais frénétiquement mon sac, finissant par en vider le contenu sur la table, et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir une capote tomber ! Je ne savais plus pourquoi je l’y avais mise, peut-être à l’occasion de mon enterrement de vie de jeune fille, mais peu importe, je la pris pour aller rejoindre mes deux amants. Je n’avais qu’une capote, donc l’un devra se contenter de se faire sucer. Je voulais à tout prix me faire prendre par la plus grosse des deux, je voulais connaître la sensation que cela faisait de se faire baiser par un si gros engin ! Je m’attelai à venir y mettre la capote qui était bien trop petite pour sa queue énorme. Je galérai à la mettre en place, priant pour qu’elle ne se déchire pas, et tant bien que mal, je réussis à la positionner, celle-ci arrivant à peine plus à la moitié de son sexe. Je me retourne pour venir lui présenter ma croupe pendant que je m’attelle à sucer la bite devant moi. Il me caressa un peu avec ses doigts, puis je sentis une boule venir passer entre mes lèvres, son gland énorme se baladant à l’entrée de ma chatte. Puis, je le sentis commencer à me pénétrer, sa queue me dilatant, doucement mais sûrement, je gémissais, la bouche remplie par le sexe turgescent de son pote. Sentir sa bite démesurée prendre place en moi, me remplir entièrement et continuant de plus en plus à me distendre me faisait ressentir un mélange de plaisir intense et d’un peu de douleur aussi, puis la douleur ne laissa place qu’à du plaisir quand il commença ses va et vient, ma chatte tellement serrée autour de sa queue que je pouvais en sentir chaque relief, chacune de ses veines. Heureusement, je mouillais abondamment et sa queue glissait parfaitement en moi, et je finis alors par jouir, inonder par le plaisir que je ressentais de me faire déchirer les intestins par ce monstre. Son pote me tenait tout en me baisant la bouche, j’étais là à me faire empaler par deux bites colossales que j’avais déjà vu sur des vidéos pornos, mais on n’était pas dans une vidéo et ce que je ressentais était bien réel, un volcan de plaisir explosant en moi et finissant de nouveau par me faire jouir une seconde fois sous les assauts de ces deux bites.
J’étais tellement envahi de jouissance que je ressentis à peine comme un petit déchirement dans ma chatte. Je me doutais bien que cette capote ne ferait pas long feu face à l’énormité de la bite qu’elle devait couvrir, mais c’était trop tard, je ne pouvais pas me résoudre à lui dire d’arrêter, je voulais qu’il me baise, encore et encore, ce qu’il ne se fit pas prier de faire. Il finit par se retirer de moi et dit :
- Oh oh, mauvaise nouvelle…
- Quoi ? La capote a pété ? Dis-je en me retournant ;
- Oui…
- Je m’en doutais, je l’ai senti, mais je voulais pas que t’arrête de me baiser…
Deux morceaux de latex pendaient autour de sa queue, maintenu par l’élastique de la capote. Je m’empressais d’aller l’enlever puis son pote s’allongea, il voulait aussi me sauter. Je n’aurais pas dû continuer sans capote mais mon envie était trop grande, je ne pouvais pas me résoudre à ne faire que les sucer alors qu’un feu énorme me consumait de l’intérieur. Je vins le chevaucher et pris sa queue dans ma main pour venir la caler à l’entrée de ma chatte encore bien ouverte du monstre m’ayant pénétré auparavant. Sa queue rentra plus facilement, mais je sentis néanmoins bien la taille imposante qui prenait place en moi. Je me mis à sauter sur sa queue, la faisant me prendre sur toute sa longueur, c’était divin, et encore plus quand l’autre bite vint surgir devant mon visage. Je ne me fais pas prier pour l’att****r, venant la lécher et sucer son gland fougueusement, le branlant de mes deux mains, de la mouille perlant de son gland que je vins déguster en gémissant de la pénétration de son pote. Je le chevauchais furieusement, tellement vite que sa bite vint sortir de ma chatte. Je la repris en main et la remis en position pour m’asseoir de nouveau dessus quand je sentis que je la positionnais trop haut, son gland trempé venant appuyer sur mon anus. Je me repris et la remis dans ma chatte. Tout en me faisant baiser, je me disais que ça serait trop bête de ne pas tenter la sodomie avec eux, mais j’étais un peu terrifiée à l’idée que quelque chose d’aussi énorme m’encule. Je n’eus pas le temps de cogiter que son pote, comme s’il avait lu dans mes pensées, vint commencer à me titiller l’anus, l’humidifiant de sa salive avant de venir y mettre un doigt. Je soupirais de plaisir en sentant un de ses doigts, puis deux, et enfin trois venir visiter mon cul. Rien que le fait de sentir ses doigts dans mon cul me faisait prendre un plaisir immense, mais j’en voulais plus, et je lui dis, entre deux gémissements :
- Encule-moi…
Je m’immobilise alors sur son pote, sa bite entièrement en moi, et je pus alors sentir de nouveau ce gland énorme forcer l’entrée de mon anus. Sa bite, dure comme du bois, ne pliait pas face à la résistance que lui opposait mon sphincter, et celui-ci se mit à s’ouvrir, laissant ce chibre monumental venir me remplir le cul. Je poussais alors un long cri, mélange de douleur et de plaisir, puis il m’agrippa par les épaules et se mit à m’enculer, son pote reprenant lui aussi sa pénétration. J’avais pas loin de 40 centimètres de queues en moi qui me baisaient et me déchiraient de toute part, cette sensation d’être remplie à ce point était fantastique. Le mec sous moi me lécha les seins pendant que son pote entoura mon cou de sa main, m’étranglant presque tout en m’enculant. Je finis, encore une fois, par jouir, sentant ma chatte et mon cul explosant de plaisir.
Puis je sentis le gars me prenant la chatte se crisper. Il se retira de moi, tout comme son pote, et le manque de ses deux queues énormes en moi était flagrant, j’avais l’impression qu’il me manquait un organe tant le vide était criant !! Je vins prendre en bouche le mec allongé, m’attelant à le sucer et à le branler vigoureusement pour le faire jouir, je voulais sentir sa semence m’inonder la bouche, et pendant ce temps, je fus surpris de sentir l’énorme queue de son pote venir de nouveau me prendre la chatte. Je criais de plaisir en le sentant encore me déchirer, sa bite rentrant plus facilement que la première fois, mon sexe finissant par s’être bien distendu à force de se faire ouvrir par ses deux monstres !! Il me pilonnait durement, ses coups de reins étaient puissants et rapides, mes gémissements étouffés par la queue me prenant la bouche, queue que je pus sentir se tendre encore un peu avant que celle-ci ne libère un flot impressionnant de sperme venant me remplir. j’aurais voulu tout garder dans ma bouche mais la dose était vraiment trop importante et je ne pus m’empêcher de tousser, venant faire dégouliner du sperme le long de sa queue et sur son bas ventre. Cette sensation de me faire remplir, je finis également par la sentir, mais dans ma chatte cette fois, son pote venant se bloquer en moi et déversant, lui aussi, une dose impressionnante. Je pouvais sentir la chaleur de sa semence remplir chaque recoin de mon sexe, il gémissait à chacune de ses giclées :
- Han ! Han ! Han ! Han !
Il ne semblait pas s’arrêter de me remplir, cette sensation était fantastique !! Je continuais à sucer son pote, léchant le sperme étalé sur sa bite et son bas ventre, avant que l’autre ne finisse par se retirer. Je sentis une importante coulée de sperme suivre sa queue et je resserrais alors ma chatte pour en garder en moi, j’aimais sentir cette chaleur baigner mon antre. Il s’allongea à côté de moi et je vins le sucer encore quelques instants, sa queue commençant doucement à se ramollir mais laissant encore s’échapper quelques gouttes de sa jouissance que j’allais lécher, par pure gourmandise.
J’étais là, entourée par deux beaux blacks superbement montés, leurs queues à présent bien molle, mais même au repos, elles avaient une taille impressionnante. Je restais dans leur bras un petit moment, me remettant de mes émotions. Ils étaient doux, me caressant et m’embrassant adorablement. Mais il se faisait tard et il fallait que je rentre, où mon mari allait trouver ça bizarre. Je me rhabille et prends congé de mes deux amants d’un soir.
Durant le trajet, je pouvais sentir mon boxer s’humidifier de sécrétions, et une fois chez moi, après être allée me brosser les dents pour enlever l’odeur de sperme que j’avais en bouche et me coucher, je pouvais encore sentir du sperme perler d’entre les lèvres de ma chatte.
Le salaud m’avait bien rempli...
2 years ago