Ma femme dans le bus
Un autre matin, c’est dans le bus que je me suis “ préparée ” pour la journée. Le trajet de bus est certes plus long que celui du métro mais la disposition ou la clientèle ne permet pas toujours de fantaisies... mais ce matin-là!
J’étais assise dans une rangée latérale sur les sièges à une place; mais j’avais choisi celui qui, placé de profil et légèrement plus haut que les autres sur une roue, fait face aux gens du couloir central. Ce dernier était assez rempli mais, curieusement, il n’y avait que des hommes; seule une bonne femme se trouvait à quatre mètres mais elle ne pouvait m’apercevoir que par instants.
Ce jour-là je ne portais pas de bas (je n’en mets pas trop souvent pour ne pas attirer les soupçons de mon mari car je ne veux pas qu’il connaisse ces aventures qui sont mon secret du quotidien) mais j’avais un joli collant et une jupe assez courte avec des petites ballerines. Le siège, un peu plus haut que les autres, m’obligeait à remonter mes genoux en hissant mes mollets sur la pointe des pieds des ballerines argentées, pour avoir une position confortable. Du coup, ma jupette serrée paraissait encore plus courte car le tissu tendu remontait bien et mes cuisses étaient dévoilées pratiquement jusqu’au liseré du collant.
Devant moi, accroché à une main courante, un grand bonhomme assez strict en costard et imper me reluquait de temps en temps... puis de plus en plus souvent. Il faut dire qu’à sa droite -sur ma gauche donc- un boutonneux rougeaud au regard vicelard détaillait mes ballerines, mes mollets, mes cuisses et, par instants en faisant semblant de suivre les cahots du bus, venait plus à la verticale pour lorgner ostensiblement dans mon décolleté légèrement entrebaillé ou dans la vallée de mon entrecuisses. Peut-être apercevait-il de manière fugace mon slip noir?
En tout cas, je savais qu’il pouvait voir la dentelle, noire elle aussi bien sûr, de mon soutien-gorge balconnet qui laissait bien deviner mes globes laiteux à travers le tulle fin.
Le type strict - cinquante ans environ- me contemplait maintenant de plus en plus car il s’était bien rendu compte que je ne faisais rien pour décourager le gros salopard qui se payait de bons jetons. Je ne jetais que quelques brèves œillades vers le haut pour voir où ils en étaient mais j’évitais de les regarder vraiment pour mieux maîtriser la situation. A chaque arrêt le bus se remplissait et, comme la circulation était dense, le trajet allait être assez long pour me permettre de jouer avec ces types.
A la gauche du grand type qui me faisait face, deux autres mecs un peu plus jeunes discutaient sans s’intéresser à moi. La foule du bus poussa un peu plus mes deux mateurs vers moi. Le boutonneux rougeaud manqua même de me tomber dessus... en tout cas, sur ce coup il ne manqua pas de plonger son œil lubrique dans mon décolleté, sous le regard presque désapprobateur de l’autre, qui était vraiment tout près de moi: les pans de son imper touchaient mes genoux! Il contemplait mes cuisses avec insistance maintenant et, comme j’avais le visage à hauteur de sa ceinture, je pus me rendre compte qu’il commençait à bander sérieusement.
Peu à peu, je devenais obnubilée par cette pine dont je devinais les formes de plus en plus généreuses et je ne pouvais la quitter des yeux. Alors, pour mieux l’exciter, je laissais par moments mes cuisses s’entrouvrir légèrement pour qu’il puisse plonger jusqu’à mon slip. Cela fit de l’effet! La bite gonflait dans le pantalon, je pouvais voir la forme de la tige horizontale qui tendait le tissu.
A trente centimètres de mon visage, le dard du type menaçait de trouer la toile du pantalon et se tendait vers moi. Un virage le rapprocha encore un peu plus et me fit devenir folle. Cette fois la queue -aidée probablement par la main du type à travers sa poche- commençait à se mettre à angle droit et je pus voir le tissu d’un slip bleu entre deux boutons de la braguette qui s’écartaient sous la poussée. Dans sa tête le mec devait s’imaginer qu’il me ramonait entre les cuisses. Cette position me plaisait beaucoup car, malgré les tissus qui séparaient nos deux sexes, je fantasmais aussi sur ce gros dard qui me transperçait.
Probablement que le type s’était rendu compte que j’admirais sa queue car il ne se laissa pas reculer et conserva la position que lui avait permis d’adopter le virage de tout à l’heure. Cela ne me déplaisait pas car, ainsi, le rougeaud était relégué au second plan, d’autant plus que l’imper du mec m’entourait encore plus.
Alors, je perçus que ce mec si digne tremblait légèrement. L’excitation montait. Bougeant légèrement, je laissais redescendre un de mes talons et dégageais un peu plus l’angle de vue en direction de mon mini-slip noir. Je savais qu’il le voyait. Cela m’émoustilla à bloc et je vis sa queue se tendre encore plus vers moi. Elle n’était plus qu’à vingt centimètres de mon visage! Les yeux attirés par son bas-ventre, je m’avançais imperceptiblement vers la tige bandée dans son pantalon presqu’à le toucher, pratiquement à l’entrée de l’ouverture de l’imperméable.
Il dut se rendre compte que cet imper nous cachait bien aux regards des autres voyageurs car, très légèrement, son bas-ventre avança en ma direction. Alors que je n’étais plus qu’à dix petits centimètres de cette queue, profitant d’un cahot, il s’avança brusquement et le tissu du pantalon tendu sur la pine vint heurter mon menton un instant. Le type attendit une réaction éventuellement négative… qui ne vint pas. Je me laissais faire et il put appuyer son engin vingt secondes environ contre mon visage.
Pratiquement enfouie dans son imper, je m’affolais et je sentis ma chatte couler d’excitation. Je devenais folle. Jusqu’où étais-je prête à aller ? Cette bite à ma portée en ce lieu m’excitait.
Alors, sans réfléchir, je fis prestement sauter trois boutons de la braguette du type (ce fut très facile vu la poussée du gland) et, experte en maniement de bites que je suis, je dégageais la belle tige dont le gland rouge foncé et humide dansa devant mes yeux.
La promesse entrevue à travers le tissu du pantalon était tenue: cette queue était vraiment grosse et harmonieuse, bien veinée avec un gland rond rosé et totalement décalotté.
Subjuguée, j’ouvris la bouche et je l’engloutis aussitôt sans autre forme de procès. Je commençais à le pomper avidement et avec application, ma tête ayant complètement disparu entre les deux pans de son imper. Le dard déjà très gros enfla encore dans ma bouche. Creusant les joues, je le suçais avec un immense plaisir. Sans doute pour savourer sa victoire aux yeux du boutonneux rougeaud qui devait baver d’envie, le type se mit à caresser mes cheveux en accompagnant mes mouvements sur sa tige. Cela me plut beaucoup, ses doigts se promenaient dans mes boucles et se firent doux, alors que la bite s’enfonçait tout au fond de ma gorge. Je renforçais la fellation en aspirant le gland et jouant de la langue, qui tournoyait sur le méat humide.
Le mec disjoncta. Je sentis ses mains saisir un peu plus fermement ma tête et, à un dernier coup de langue, il explosa. Ses bordées de foutre m’inondèrent et m’étouffèrent un peu. Mais la situation ne permettait pas que je me retire -de toute façon il me maintenait la tête- et j’avalais son foutre jusqu’à la dernière goutte.
Alors, il me relâcha; je me reculais et je vis les regards ébahis des deux jeunes types qui discutaient, puis celui très envieux du rougeaud. Sans que quiconque put esquisser le moindre geste, je me levais et, profitant de la surprise causée et d’un arrêt, je descendis du bus et m’éclipsais dans la foule de la rue.
*
Ce que j’aime bien aussi dans le bus, c’est masser une queue et les couilles d’un mec par-dessus son pantalon pour faire apparaître une méga bandaison, dont il n’arrive plus à se défaire à mon départ. Le regard ahuri du mec qui se fait palucher la bite, c’est vraiment enthousiasmant ! Je fais ‘ça’ vite fait, le gars n’en croit pas ses yeux, il ne sait plus où se mettre, où regarder. Parfois, je perçois son excitation qui monte et je pense que nombreux sont ceux qui déchargent dans leur slip sous mes caresses matinales. Je me régale d’être aussi coquine et … salope avec ces pauvres vicieux que je bats à leur propre jeu.
*
Ce que j’aime surtout, c’est plonger ma main dans un pantalon d’un type inconnu, partir à la recherche de la bite semi-bandée, caresser la hampe sur toute la longueur et masturber le gland avec le bout de mes doigts : là aussi, je provoque un effet de surprise génial. Certains me facilitent la tâche en rentrant le ventre pour que ma menotte soit à l’aise pour investir leur pantalon. Je me régale pendant cinq à dix minutes avec une queue sous la paume de ma main, avec le velours du gland que je sens s’humidifier. Selon mon humeur, soit je toise le mec avec un regard dur et conquérant, soit je regarde au loin dans le bus en le laissant ‘dialoguer’ avec ma pogne coquine.
Parfois, affolé, le mec m’interrompt pour ne pas exploser ici ; parfois au contraire, je retire ma main du futal avec les doigts poisseux de sperme, que je conserve le plus longtemps possible. D’autre fois, le mec m’encourage du regard pour le “ finir ” et me gratifie d’un sourire béat de remerciement ; je lis dans ses yeux une immense jouissance.
J’adore ces “ fugaceries ” cochonnes.
J’étais assise dans une rangée latérale sur les sièges à une place; mais j’avais choisi celui qui, placé de profil et légèrement plus haut que les autres sur une roue, fait face aux gens du couloir central. Ce dernier était assez rempli mais, curieusement, il n’y avait que des hommes; seule une bonne femme se trouvait à quatre mètres mais elle ne pouvait m’apercevoir que par instants.
Ce jour-là je ne portais pas de bas (je n’en mets pas trop souvent pour ne pas attirer les soupçons de mon mari car je ne veux pas qu’il connaisse ces aventures qui sont mon secret du quotidien) mais j’avais un joli collant et une jupe assez courte avec des petites ballerines. Le siège, un peu plus haut que les autres, m’obligeait à remonter mes genoux en hissant mes mollets sur la pointe des pieds des ballerines argentées, pour avoir une position confortable. Du coup, ma jupette serrée paraissait encore plus courte car le tissu tendu remontait bien et mes cuisses étaient dévoilées pratiquement jusqu’au liseré du collant.
Devant moi, accroché à une main courante, un grand bonhomme assez strict en costard et imper me reluquait de temps en temps... puis de plus en plus souvent. Il faut dire qu’à sa droite -sur ma gauche donc- un boutonneux rougeaud au regard vicelard détaillait mes ballerines, mes mollets, mes cuisses et, par instants en faisant semblant de suivre les cahots du bus, venait plus à la verticale pour lorgner ostensiblement dans mon décolleté légèrement entrebaillé ou dans la vallée de mon entrecuisses. Peut-être apercevait-il de manière fugace mon slip noir?
En tout cas, je savais qu’il pouvait voir la dentelle, noire elle aussi bien sûr, de mon soutien-gorge balconnet qui laissait bien deviner mes globes laiteux à travers le tulle fin.
Le type strict - cinquante ans environ- me contemplait maintenant de plus en plus car il s’était bien rendu compte que je ne faisais rien pour décourager le gros salopard qui se payait de bons jetons. Je ne jetais que quelques brèves œillades vers le haut pour voir où ils en étaient mais j’évitais de les regarder vraiment pour mieux maîtriser la situation. A chaque arrêt le bus se remplissait et, comme la circulation était dense, le trajet allait être assez long pour me permettre de jouer avec ces types.
A la gauche du grand type qui me faisait face, deux autres mecs un peu plus jeunes discutaient sans s’intéresser à moi. La foule du bus poussa un peu plus mes deux mateurs vers moi. Le boutonneux rougeaud manqua même de me tomber dessus... en tout cas, sur ce coup il ne manqua pas de plonger son œil lubrique dans mon décolleté, sous le regard presque désapprobateur de l’autre, qui était vraiment tout près de moi: les pans de son imper touchaient mes genoux! Il contemplait mes cuisses avec insistance maintenant et, comme j’avais le visage à hauteur de sa ceinture, je pus me rendre compte qu’il commençait à bander sérieusement.
Peu à peu, je devenais obnubilée par cette pine dont je devinais les formes de plus en plus généreuses et je ne pouvais la quitter des yeux. Alors, pour mieux l’exciter, je laissais par moments mes cuisses s’entrouvrir légèrement pour qu’il puisse plonger jusqu’à mon slip. Cela fit de l’effet! La bite gonflait dans le pantalon, je pouvais voir la forme de la tige horizontale qui tendait le tissu.
A trente centimètres de mon visage, le dard du type menaçait de trouer la toile du pantalon et se tendait vers moi. Un virage le rapprocha encore un peu plus et me fit devenir folle. Cette fois la queue -aidée probablement par la main du type à travers sa poche- commençait à se mettre à angle droit et je pus voir le tissu d’un slip bleu entre deux boutons de la braguette qui s’écartaient sous la poussée. Dans sa tête le mec devait s’imaginer qu’il me ramonait entre les cuisses. Cette position me plaisait beaucoup car, malgré les tissus qui séparaient nos deux sexes, je fantasmais aussi sur ce gros dard qui me transperçait.
Probablement que le type s’était rendu compte que j’admirais sa queue car il ne se laissa pas reculer et conserva la position que lui avait permis d’adopter le virage de tout à l’heure. Cela ne me déplaisait pas car, ainsi, le rougeaud était relégué au second plan, d’autant plus que l’imper du mec m’entourait encore plus.
Alors, je perçus que ce mec si digne tremblait légèrement. L’excitation montait. Bougeant légèrement, je laissais redescendre un de mes talons et dégageais un peu plus l’angle de vue en direction de mon mini-slip noir. Je savais qu’il le voyait. Cela m’émoustilla à bloc et je vis sa queue se tendre encore plus vers moi. Elle n’était plus qu’à vingt centimètres de mon visage! Les yeux attirés par son bas-ventre, je m’avançais imperceptiblement vers la tige bandée dans son pantalon presqu’à le toucher, pratiquement à l’entrée de l’ouverture de l’imperméable.
Il dut se rendre compte que cet imper nous cachait bien aux regards des autres voyageurs car, très légèrement, son bas-ventre avança en ma direction. Alors que je n’étais plus qu’à dix petits centimètres de cette queue, profitant d’un cahot, il s’avança brusquement et le tissu du pantalon tendu sur la pine vint heurter mon menton un instant. Le type attendit une réaction éventuellement négative… qui ne vint pas. Je me laissais faire et il put appuyer son engin vingt secondes environ contre mon visage.
Pratiquement enfouie dans son imper, je m’affolais et je sentis ma chatte couler d’excitation. Je devenais folle. Jusqu’où étais-je prête à aller ? Cette bite à ma portée en ce lieu m’excitait.
Alors, sans réfléchir, je fis prestement sauter trois boutons de la braguette du type (ce fut très facile vu la poussée du gland) et, experte en maniement de bites que je suis, je dégageais la belle tige dont le gland rouge foncé et humide dansa devant mes yeux.
La promesse entrevue à travers le tissu du pantalon était tenue: cette queue était vraiment grosse et harmonieuse, bien veinée avec un gland rond rosé et totalement décalotté.
Subjuguée, j’ouvris la bouche et je l’engloutis aussitôt sans autre forme de procès. Je commençais à le pomper avidement et avec application, ma tête ayant complètement disparu entre les deux pans de son imper. Le dard déjà très gros enfla encore dans ma bouche. Creusant les joues, je le suçais avec un immense plaisir. Sans doute pour savourer sa victoire aux yeux du boutonneux rougeaud qui devait baver d’envie, le type se mit à caresser mes cheveux en accompagnant mes mouvements sur sa tige. Cela me plut beaucoup, ses doigts se promenaient dans mes boucles et se firent doux, alors que la bite s’enfonçait tout au fond de ma gorge. Je renforçais la fellation en aspirant le gland et jouant de la langue, qui tournoyait sur le méat humide.
Le mec disjoncta. Je sentis ses mains saisir un peu plus fermement ma tête et, à un dernier coup de langue, il explosa. Ses bordées de foutre m’inondèrent et m’étouffèrent un peu. Mais la situation ne permettait pas que je me retire -de toute façon il me maintenait la tête- et j’avalais son foutre jusqu’à la dernière goutte.
Alors, il me relâcha; je me reculais et je vis les regards ébahis des deux jeunes types qui discutaient, puis celui très envieux du rougeaud. Sans que quiconque put esquisser le moindre geste, je me levais et, profitant de la surprise causée et d’un arrêt, je descendis du bus et m’éclipsais dans la foule de la rue.
*
Ce que j’aime bien aussi dans le bus, c’est masser une queue et les couilles d’un mec par-dessus son pantalon pour faire apparaître une méga bandaison, dont il n’arrive plus à se défaire à mon départ. Le regard ahuri du mec qui se fait palucher la bite, c’est vraiment enthousiasmant ! Je fais ‘ça’ vite fait, le gars n’en croit pas ses yeux, il ne sait plus où se mettre, où regarder. Parfois, je perçois son excitation qui monte et je pense que nombreux sont ceux qui déchargent dans leur slip sous mes caresses matinales. Je me régale d’être aussi coquine et … salope avec ces pauvres vicieux que je bats à leur propre jeu.
*
Ce que j’aime surtout, c’est plonger ma main dans un pantalon d’un type inconnu, partir à la recherche de la bite semi-bandée, caresser la hampe sur toute la longueur et masturber le gland avec le bout de mes doigts : là aussi, je provoque un effet de surprise génial. Certains me facilitent la tâche en rentrant le ventre pour que ma menotte soit à l’aise pour investir leur pantalon. Je me régale pendant cinq à dix minutes avec une queue sous la paume de ma main, avec le velours du gland que je sens s’humidifier. Selon mon humeur, soit je toise le mec avec un regard dur et conquérant, soit je regarde au loin dans le bus en le laissant ‘dialoguer’ avec ma pogne coquine.
Parfois, affolé, le mec m’interrompt pour ne pas exploser ici ; parfois au contraire, je retire ma main du futal avec les doigts poisseux de sperme, que je conserve le plus longtemps possible. D’autre fois, le mec m’encourage du regard pour le “ finir ” et me gratifie d’un sourire béat de remerciement ; je lis dans ses yeux une immense jouissance.
J’adore ces “ fugaceries ” cochonnes.
2 years ago