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Intégrer la belle-mère dans le lit conjugal

Intégrer la belle-mère dans le lit conjugal

Annie n'avait jamais complètement surmonté sa gêne.
Chaque fois que Thomas, son gendre, enlaçait la taille de la grande dame distinguée, elle savait qu'il allait lui glisser la queue dans la fente. Elle protestait, mais elle mouillait.
Thomas s'était enhardi. Il avait tenté des approches avec Annie lorsque sa femme était absente.
Un pas important avait été franchi lorsqu'il avait posé d'autorité la main de la dame mûre sur la bosse de son pantalon.
Annie avait rougi...elle trouvait cela si mal, si honteux...cette érection qui disait le désir de son gendre la choquait autant qu'elle la troublait. Elle n'avait pas refusé sa langue dans le baiser, et s'était mise presque malgré elle à soupeser, main tendue, la verge tendue que Thomas avait sortie.
Il avait pris la main de la vieille dame dans la sienne pour imprimer les mouvements d'une lente branlette.
-oh...c'est mal...qu'est-ce que vous me faites faire.
Elle sentait le majeur de son gendre monter le long de sa culotte, et se poser avec une douce mais ferme pression sur les lèvres de sa vulve.
Annie respirait fort, la bouche entr'ouverte. Elle branlait mal, mais c'était bon.
Le doigt s'était heurté à des lèvres vaginales serrées. Soudain, elles avait cédé sous la pression, et Thomas sentait ses phalanges s'enfoncer d'un seul coup dans des muqueuses qui commençait à clapoter sous ses mouvements.
- Ce que vous me faites faire...répétait Annie en haletant.
Comme c'était bon de se faire toucher le sexe, et d'enfoncer son doigt dans le vagin d'une vieille dame que l'on vouvoie.
C'était à la fois guindé, décalé, vicieux. "Je sens votre doigt dans mon vagin, cher ami. Appréciez-vous le contact de ma paume sur votre queue?"
Florence, la femme de Thomas, n'avait rien remarqué en rentrant à la maison. Annie restait silencieuse, fuyante. Elle avait branlé son gendre jusqu'à la giclée. Elle avait mouillé sur son doigt, en gémissant.
Avec le temps, Thomas faisait vibrer Annie en la mettant en danger.
Il profitait que sa femme soit au téléphone, ou se rende au toilettes, pour s'agenouiller devant sa belle mère, et lui donner quelques coups de langues voraces sur la fente, après avoir relevé sa jupe à toute vitesse.
Il entendait un bruit...quelques secondes encore, il profitait de faire encore un peu minette à Annie, qui tentait de le repousser. Il se relevait, le menton humide, juste avant que Florence ne réaparraisse.
Celle-ci avait fini pas comprendre ce qui se tramait entre sa mère et son mari. Après une transition de plusieurs mois, faite de brouilles et de réconciliations, Florence avait fini par accepter cette situation, qu'elle croyait limitée à des attouchements entre le couple illégitime. Elle était à la fois en colère, choquée, amusée, intriguée.
Un soir, Thomas franchit le seuil de la moralité: la pénombre et l'alcool aidant, il avait guidé la main d'Annie sur sa braguette, alors qu'il était assis devant la télévision avec sa femme à ses côtés.
Incrédule, choquée, Florence avait tourné la tête devant le spectacle de la main de sa mère enserrant la bite de son mari à travers le pantalon.
Thomas ne manquait pas l'aiguillage qui devait le conduire vers le vice au quotidien: il embrassa langoureusement Florence, pour couper court à toute réflexion rationnelle, et pour passer harmonieusement à la vitesse supérieure.
Excitée et choquée, la langue éperdue dans le baiser, Florence voyait du coin de l'oeil que Thomas avait sorti sa queue, et que sa mère le branlait.
-ça n'empêche pas que c'est de toi que j'ai envie, dit-il en palpant les seins de Florence. Déshabille-toi...j'ai envie de toi.
- Devant Maman, haleta Florence.
- Oui, faites l'amour devant moi...je ne veux rien changer entre vous...je ne sais pas ce qui nous est arrivés, confirma Annie en continuant de branler son gendre.
Les trois protagonistes s'étaient déshabillés.
- Tu vois comme je suis dur pour toi? dit Thomas à sa femme.
- oui, parce que ma mère te branle.
Il fit coucher Florence sur le canapé, et se plaça sur elle en missionnaire. Il avait envie de labourer le vagin de sa femme à grands coups.
La vieille dame s'était déplacée, et regardait d'un regard fixe sa fille en train de se faire baiser. On ne voyait que le vague reflet des lunettes d'Annie dans la pénombre.
Les mois suivants, la débauche familiale pris de l'ampleur.
Thomas ne se gênait plus pour relever les jupes de sa belle mère, et de la saillir debout, en pleine journée, comme une chienne.
J'étais devenu le jouet d'Annie, l'outil de sa vengeance.
Je consolais son amour-propre blessé à grands coups de langue. Elle avait fini par adopter une tenue de cuir, qui faisaient ressortir ses petits seins pointus.
elle aimait rester debout et se les toucher, pendant qu'à genoux, je devais lui laper le con.
Je devais lui enfoncer la langue bien dure dans son petit anus.
-vas-y, ma petite salope, disait-elle, en se retournant.
Son intention était claire. Je devais empoigner ses petites fesses rebondies, les écarter, et les lécher la raie selon ses ordres.
J'aurais pu lécher maîtresse Florence pendant longtemps.
Son corps sveltes, ses petits nichons haut perchés en faisaient une dominatrice irrésistible dans ses costumes de cuir.
j'aimais surtout me branler, couché sur le dos, pendant qu'elle s'accroupissait sur ma figure. Elle se masturbait sur ma langue. J'avais des crampes à force de vouloir lui poignarder les muqueuses vaginales avec ma langue tendue.
un soir que Thomas baisait Annie sur le canapé du salon, je dus me coucher sur le tapis. Annie enfila ses bottes, et fit rebondir sa croupe sur ma bouche.
Je la remerciai lorsqu'elle voulut bien s'asseoir sur ma bite. C'était pour elle une autre façon de se branler. Elle me tournait souvent le dos pour m'enfourcher, me considérant comme un gode.
Parfois, elle s'interrompait pour se faire encore bouffer la vulve ou le cul.
j'accédais volontiers à son désir. Son vagin que je venais d'investir était humide et chaud. J'aspirais sa mouille.
Un jour, elle me dit que j'avais été une bonne salope, que j'avais bien léché.
-Tu peux me gicler dedans, dit-elle, en s'asseyant à nouveau sur mon membre, qui disparut d'un coup dans sa chatte.
Je ne sais pas si sa jouissance fut si forte. Elle l'exprima par de longs râles. Je la soupçonnai de simuler quelque peu, pour réagir aux gémissements tout à fait sincères de sa mère, qui était en train de recevoir en elle la semence de son gendre.
ELle avait accepté la présence de sa mère dans le lit conjugal. Mais c'était sans compter sur l'ardeur du couple illégitime. En pleine nuit, Thomas bourrait Annie, ce qui faisait trembler le lit.
A l'aube, Florence vint me chercher dans la chambre d'amis, et me conduisit par la main.
Couchés sur le flanc, l'un derrière l'autre, Thomas s'emboîtait rythmiquement contre Annie. Il tamponnait vigoureusement le fessier blanc de sa belle-mère, qui gémissait sous ces assauts profonds.
-Couche-toi à côté d'eux, et bouffe-moi le cul, ordonna Florence.
Elle s'assit sur moi, me présentant clairement son petit oeillet à lécher.
-Ce soir, tu pourras me prendre par la, lança Annie en se couchant sur le côté.
son mari lui tournait le dos, mais elle faisait face à sa mère, qui la regardait d'un oeil chaviré, les cheveux en bataille.
Je ne quittai pas des yeux cet échange de regards intense et muet entre la mère et la fille, pendant tout le temps que j'enculai Florence. Ses fesses musclées allaient à la rencontre de ma bite, qui se pâmait dans son trou du cul serré.
thomas se retourna pour embrasser sa femme. Leurs bouches ne se quittèrent pas, tandis que Thomas giclait dans le vagin de la vieille dame, et que mon sperme se précipitait dans le derrière tremblotant de Florence.
Published by langauchat
2 years ago
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ropaul45
ropaul45 1 year ago
bon récit
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dhl69 1 year ago
Très excitant et très envie de vivre la même chose
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secretvoyeur1
secretvoyeur1 1 year ago
Une phrase qui m'a fait sourire c'est celle-ci : "Comme c'était bon de se faire toucher le sexe, et d'enfoncer son doigt dans le vagin d'une vieille dame que l'on vouvoie."
Cette phrase est très subtile et tellement vraie.
Je vouvoyais ma belle-mère depuis toujours et même après que notre aventure ait commencé, c'était comme ça, c'était mon éducation, on ne tutoie pas les ainés.
Elle me tutoyait par contre il m'a fallu un certain temps pour être capable de la tutoyer et je me souviens que la première fois où je l'ai tutoyée, j'avais eu une impression de transgression, de faire tomber une barrière qu'il ne faut absolument pas franchir, aujourd'hui j'en ris.
Je me demande si finalement je n'aurais pas dû continuer à la vouvoyer dans l'intimité car de toute façon je la vouvoyais en présence d'autres personnes.
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secretvoyeur1
secretvoyeur1 1 year ago
Que de souvenirs même si ma belle-mère ne partageait pas le lit conjugal, ma femme n'était pas comme Florence et elle n'aurait évidemment pas accepté ni supporté me voir baiser sa mère et ce n'était pas mon désir même secret.
Je préférais la baiser à l'insu de tous, faire nos petits coups en douce, faire nos saloperies en cachette, la tripoter dans sa cuisine alors que la famille était réunie au salon voire même la pénétrer en vitesse un petit coup sans éjaculer pour l'exciter.
Les jours où elle recevait la famille et où je serais inévitablement présent, elle portait généralement des bas "Dim Up" , j'adorais ça et quand j'arrivais je m'arrangeais toujours pour lui passer la main aux fesses et sur le haut des cuisses pour m'assurer qu'elle portait effectivement ses bas, nos regards se croisaient et nous savions ce que cela voulait dire et ce qui allait se passer pendant la réunion familiale. J'aimais me rendre utile en lui donnant un coup de main à la cuisine pour le café ou toute autre chose qu'il fallait apporter au salon séparé de la cuisine par un hall, il y avait deux portes à passer, deux portes qui grinçaient comme dans toutes les bonnes vieilles maisons.
Les portes qui grincent permettent de savoir que quelqu'un arrive, ça me laissait les secondes nécessaires pour rengainer ma queue dans mon froc et elle de laisser retomber sa robe.
Elle portait toujours une culotte et j'aimais la mettre de côté pour l'enfiler un petit coup en vitesse.
C'est bon d'enfiler sa belle-mère alors que le cocu de beau-père et la famille proche sont dans la pièce voisine.  
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chapuis
chapuis 2 years ago
très beau récit
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libre34000 2 years ago
j'adore.... tro bon
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thx21
thx21 2 years ago
Si tu savais comme j aime!
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langauchat
langauchat Publisher 2 years ago
to asecam : pas de meilleur compliment...c'est assez troublant de communiquer son excitation
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asecam
asecam 2 years ago
J'aime cette histoire, elle me fait bander...
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nudemum 2 years ago
situation peu banale,mais térriblement  bandante
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