Carnet de putes 3

Ce billet ne sera pas très littéraire. Je décrit froidement les évènements, comme dans un carnet.
Un carnet de PUTES.
Bordel sur plusieurs étages, dans cette maison étroite, collée aux autres, au bord du canal.
Elle est au dernier étage. Jolie tchèque brune aux cheveux longs. elle n'est pas souriante, mais pas rébarbative non plus.
Elle fait le boulot, sans horreur ni plaisir. Tu m'enfiles, j'encaisse, salut, à la prochaine.
Cette grande fille d'une petite trentaine d'années semble s'ennuyer terriblement. Elle parle et marche avec lenteur.
Elle garde toujours des bas noirs qui lui vont jusqu'à mi-cuisses.
Elle me rejoint sur le lit, se tourne vers moi, et d'un geste lent, me branle. Elle garde un visage impassible, comme si elle attendait un bus.
Lorsqu'elle juge qu'elle m'a suffisamment branlé, elle se couche sur le dos.
Je me vois, à genoux, surplombant cette magnifique jeune femme qui attend, les jambes écartées, de se faire fourrer.
curieusement, son apathie de poupée gonflable m'excite...le fait que cette rencontre improbable ne repose que sur la connexion de nos parties sexuelles.
Elle est bien serrée. D'autres filles simulent à outrance, ce qui ne m'excite pas. Si le contact de nos sexe ne produit aucune sensation dès le début, ou alors juste une vague tiédeur, il n'y a pas de raison que cela s'améliore même avec des frottements mécaniques.
- J'ai payé, je suis en elle, maintenant, il faut que je gicle, me dis-je.
- Il a payé, il est en moi, pourvu qu'il gicle bientôt, se dit-elle.
Avec la fille décrite plus haut, je n'ai qu'à sentir que mon gland est en elle pour être éclectrisé jusque dans les bourses. La jouissance monte inexorablement. Je ne la lime pas trop vite, pour prolonger un peu la séance.
Elle est toujours aussi passive quand je râle en éjaculant. J'adore piner cette poupée passive.
Je suis retourné plusieurs fois chez elle. A chaque fois, le scénario était exactement le même. La répétition en tant que telle renforçait mon excitation. Je crois que j'aurais pu la fourrer tout les jours, si on m'avait donné une carte à putes à composter à l'entrée.