L'amant de ma femme

Nous vivions dans une maison non loin de la mer en Charente-Maritime. J'avais la quarantaine et ma femme Véronique 37 ans.
Petite blonde sportive, elle avait un corps bien proportionné, avec une poitrine ferme que je ne me lassais pas de caresser.
C'était l'été et depuis quelques mois, elle partait faire une heure de gym par semaine dans un gymnase à 15km de la maison.
Moi je rentrais de mon travail et j'allais faire du vélo en l'attendant.
Lors d'une de mes ballades, j'ai aperçu la voiture de Véro garée dans le fond d'un jardin à 200m de chez nous. C' était la maison d'un homme de 65 ans environ, arrivé depuis peu dans la région. Je l'avais vu sur la plage parfois, brun dégarni et ventru, très poilu et le visage marqué par le temps. Il regardait ma femme allongée à mes côtés, avec insistance, sans aucune gêne. Véro ne mettait jamais de haut, et ses seins étaient offerts aux regards des voyeurs de la plage.
J'étais sidéré d'imaginer ma femme seule chez cet homme. Et sans doute un peu excité aussi.
Je cache mon vélo derrière un bosquet et rentre dans le jardin pour vérifier que c'était bien la voiture de Véro.
Aucun doute, c'était bien sa plaque.
Je contourne discrètement la maison et je découvre une scène que je n'osais imaginer.
Sur la terrasse derrière la maison, l'homme est allongé nu dans un transat, les cuisses écartées. Véro est nue aussi, agenouillée sur le transat, et sa tête s'active entre ses jambes. De là où je suis, je vois surtout ses fesses cambrées vers l'arrière.
Le vieil homme râle de plaisir. Véro gémit en le suçant. Il lui tient une poignée de cheveux et lui donne le rythme.
Sous le choc, je sens mon sexe durcir dans mon short. Je réalise que j'aime le spectacle, tout en étant dévasté de voir Véro tailler une pipe à ce vieux cochon.
Elle met du coeur à l'ouvrage et se met à lui gober une couille, puis l'autre.
L'homme lui lâche les cheveux et soulève ses cuisses. Véro glisse sa langue entre les fesses de l'homme et se met à lui fouiller l'anus. J'aperçois le membre humide du vieil homme,épais, les veines saillantes. Il le prend et se branle, puis lui dit dans un râle : " Viens-là ! "
Véro se redresse et je vois de grosses giclées de sperme jaillir et se répandre sur le visage et les cheveux de ma femme.
Elle reprend le gros sexe dans sa bouche pour téter les dernières gouttes de semence.
Je reste paralysé un moment, et le regard de l'homme se pose sur moi. Légèrement surpris, sans plus.
Je met mon index sur ma bouche pour lui faire comprendre qu'il doit faire comme si je n'étais pas là. Il hoche la tête pour acquiescer.
Véro continue de le sucer doucement en remuant ses fesses d'excitation. Je m'aperçois que sa chatte est déjà souillée de sperme. J'ai donc raté le début.
Je décide de m'éclipser. La semaine prochaine, je viendrais plus tôt.