Et si la vieille dame te léchait,pute de 20 ans?

J'avais tout raconté en détail, comment mes vielles amantes s'y prenaient avec leur langue, comment certaines aimaient se faire caresser l'intérieur du cul par les lentes poussées de mon gland. Mais tout a été supprimé.
J'ai un peu la flemme de tout recommencer, même si c'était bon d'écrire plein de cochonneries, tard le soir, en se branlant, et d'échanger avec des correspondants bien cochons.
J'aime bien raconter ces histoires vraies avec des hôtesses de téléphone rose.
Parfois, j'ai bien l'impression de jeter de l'argent par la fenêtre. Il arrive cependant que le courant passe avec l'hôtesse.
Certaines putes au téléphone aiment vraiment se toucher en disant des cochonneries. Et moi, ça me fait monter le foutre. Je sens que la pute virtuelle mouille pour de vrai.
Samia, par exemple...une fille d'une vingtaine d'année, bien en chair. Une jeune salope qui mouille, qui aime se faire fourrer.
Marre de ces gens qui veulent de l'érotisme "sans vulgarité".
Samia, tu es vulgaire. Tu as un gros cul. Tu es ma pute , tu me vides les couilles. Ta langue me fait monter le sperme...certes, en parlant, mais tout de même.
Tu en as peut-être marre d'entendre toujours les mêmes râles, les mêmes branleurs qui se vident quand tu leur dis: je te suce, je suis ta salope.
Avec moi, elle sort de la routine. Sa respiration s'accélère, elle se touche la motte quand je lui parle du cul de Brigitte, 75 ans...elle en redemande: "tu l'enculais, comment c'était? Elle sont sèches, ces vieilles dames? C'était comment dans leur vagin?"
Samia se touche. Je lui raconte tout, je me branle.
Elle découvre un type de fantasme qu'elle ne connaissait pas: les vieilles bourgeoises qui sucent, qui se prennent du foutre dans le trou du cul.
J'oriente son imaginaire: Brigitte, fine et distinguée avec son chignon, sa langue qui me fait tellement de bien sur mes boules...tu l'imagine si elle te léchait?
elle n'a jamais imaginé ce genre de scènes...tout d'un coup, Samia se met à haleter.
grosse fille couchée sur le lit...grosse pute, les cuisses écartées...Brigitte, 75 ans, entre dans la pièce tamisée. Vieille dame chic, du genre que Samia ne rencontrerait pas dans la vie. Peut-être dans le bus, en se levant pour lui laisser une place.
Et maintenant, la scène se résumerait à un contact entre une langue et un sexe.
Abricot ouvert de la jeune pute habituée à se faire fourrer vigoureusement. Jeune pute en surpoids.
La dame distinguée, fine et droite dans son maintien. Toute habillée.
Samia grasse et nue, rasée. Brigitte se penche, soigneuse, méticuleuse. Son bout de langue effleure l'abricot de la pute.
Je lui fais répéter:

-oui, j'aimerais me faire lécher par une dame de 75 ans.
Elle découvre dans l'instant que cette scène bizarre l'excite.
Elle va y repenser, me redemander d'en parler pendant notre prochain téléphone.
Samia n'a pas besoin de parler, pas besoin d'être polie avec la vieille dame. Elle reste passive. Brigitte est à son service, elle lèche. Elle recueille sa jeune mouille sur sa langue de vieille chatte.
Samia ondule du ventre. Elle masse ses gros seins. Je tiens les hanches étroites de la fine grand-mère, et je la fourre. Je tape contre sa croupe, la douceur de son vagin investit me chatouille jusqu'au fond des couilles.
Petits coups de langue pleins de finesse, petit cul de la grand-mère investi par mon membre. Grosses coulées de mouille, cris décomplexés de la salope toute nue, toute grasse.
Coule, jouis, Samia, ma pute. Jouis sur les lèvres de Brigitte. Moi je jaillis en jouissant dans sa chatte.