Le dépucelage de Solène
Mon dépucelage (histoire vraie)
C'était l'été, et comme tous les ans mon oncle Claude, âgé de 25 ans seulement était venu passer des vacances chez nous. Il aimait d'autant plus venir chez nous, qu'il s'occupait activement de ma mère depuis le décès de mon père. Cela ne me gênait en aucune façon. A chaque fois qu'il était là, elle débordait de joie, et cela me plaisait.
L'année précédente mon oncle m'avait initié à certains plaisirs masculins. Nous nous étions masturbés mutuellement, puis j'avais découvert le plaisir de la fellation. L'initiative était venue de lui, j'avais adoré cette caresse, surtout qu'il l'avait menée jusqu'au bout. Ravi de cette expérience, je m'étais empressé de lui offrir le même plaisir. Les derniers jours avant son départ, il avait apporté un gode de bonne taille. C'était la première fois que j'en voyais un en vrai, après avoir humidifié son anus, il y avait enfoncé petit à petit l'engin. Je n'en revenais pas. Pendant plusieurs minutes il effectua des va et vient, variant la vitesse et la profondeur de son enculage. A ma grande surprise, sans qu'il ait touché son sexe, un flot de sperme en jaillit, et se répandit sur son bas ventre. Comme j'avais déjà goûté à son foutre, je me mis à le lécher, avant de sucer sa queue encore poisseuse. Un peu effrayé par la grosseur de l'engin, je n'avais pas voulu essayer.
Avant de nous quitter à la fin des vacances, il me l'avait discrètement laissé en guise de cadeau.
En attendant les vacances de l'année suivante, je m’étais laborieusement acharné à dilater mon petit trou. A force de persévérance, deux mois plus tard j'arrivais enfin à l'insérer dans mes reins complètement, si bien que j'étais prêt à recevoir enfin un vrai sexe. Aujourd’hui mon oncle étant enfin de retour, il ne me restait plus qu'à sauter le pas.
En ce début d'après-midi, comme à l'accoutumée, ma mère était à son travail, et mon oncle se faisait une petite sieste. Je préparai soigneusement mon petit trou, puis me rendis jusqu'à sa chambre. Claude était sur le dos et par cette chaleur, son corps était nu. Je m'approchai sans bruit du lit. Son sexe reposait mollement sur sa cuisse, le gland légèrement découvert. A genoux près du lit, j'approchai ma tête du sexe, puis je le happais avec délicatesse, et me mis à le sucer. Quel régal ! Cela faisait un an que je n'avais plus pratiqué de fellation. Mon oncle continuait à dormir, mais au fur et à mesure de mes caresses, sa queue se tendait petit à petit. Au bout de quelques minutes sa tige se redressa fièrement, toute luisante de ma salive. Je contemplai mon œuvre, puis je mouillai mon anus, tout en y insérant mes doigts. Après quelques allers-retours entre ma rondelle et ma bouche j'étais enfin prêt. J'enjambai le corps de Claude, puis je m'accroupis au dessus de la verge dressée. Je l'empoignai et la guidai vers mes reins. Abaissant ma croupe jusqu’à sentir le gland buter, puis avec précaution je forçais doucement. Mon œillet résista un peu, puis s'épanouit et se laissa pénétrer. Mes nombreux godages m'avaient rendu accessible, je me faisais enfin sodomiser par un vrai sexe
A ce moment, Claude ouvrit les yeux.
-Tu me fais une chouette surprise mon petit chat. J’adore être réveillé comme cela.
-Ravi que cela te plaise, j’attendais ce moment depuis un an. J’étais impatient de t’offrir mon pucelage.
-Je vois que mon petit cadeau t’a été très utile pour roder ton petit trou.
Il ne put en dire plus car j’écrasais mes lèvres contre les siennes. Aussitôt sa langue pénétra ma bouche, et s’enroula avec la mienne. Les vacances commençaient vraiment bien.
Pendant ce temps je m’empalais avec délice sur le pieu de Claude. J’adorai mon gode, mais là c’était une vrai queue qui me fouillait les reins. Je m’activais comme une chienne, de temps en temps la queue sortait presque entièrement, puis je me laissai descendre à fond pour sentir ses testicules sur mes fesses. Je pensais en moi-même que je devenais une salope à part entière, ma bouche et mon petit trou se gavait de cette belle bite. Claude me laissa l’initiative pendant de longues minutes, puis il empoigna mes fesses, et se mit à me pilonner, ses cuisses claquaient contre mon corps, je me laissai faire, goûtant chaque coup de reins, qui semblaient propulser sa tige de plus en plus profond. Sentant venir sa jouissance, je m’arrachai à ce délicieux empalage, puis gobais la bite toute dégoulinante. Je pompais le sexe à toute vitesse. Mes efforts furent rapidement couronnés de succès. Un jet de foutre inonda ma bouche. Ce n’était pas la première fois que je recevais son sperme, mais Claude n’avait jamais éjaculé autant. Déglutissant avec peine, je continuais à sucer sa queue secouée de spasmes. Les dernières gouttes recueillies, j’embrassai mon baiseur, nos langues se caressèrent à nouveau, baignant dans un délicieux mélange de foutre et de salive. N’ayant pas encore joui, je guidai à nouveau sa queue en moi. J’étais tellement excité qu’au bout de quelques va et vient, ma jouissance explosa, inondant le bas ventre de Claude.
Épuisés par notre petit jeu, nous nous endormîmes tous les deux.
Pendant tout notre mois de vacances, nous passâmes notre temps à faire l’amour, variant les plaisirs et les positions à l’infini. Nous passions pratiquement tous nos après-midi nus dans la maison, ou bien au soleil. J’aimai par-dessus tout sucer la queue superbe de Claude avant qu’il me l’enfonce à fond. J’adorai être sa chose, toujours prêt à lui offrir ma bouche ou mes reins, avant qu’il ne déverse sa semence dans ma gorge. A force de me faire prendre, mon anus était devenu très souple, Claude y mettait ses doigts à fond, fourrageant dans mon intimité pour mon plus grand plaisir, puis me les donnait à sucer avant de me rouler de somptueuses pelles.
Ma mère ayant dû s’absenter plusieurs jours, nous en profitâmes pour passer nos nuits ensemble. Claude m’avait offert un jouet que je ne connaissais pas. Évidemment vu sa forme, je n’avais aucun doute sur son usage. Il s’agissait d’un plug. Chaque fois que nous avions fini de faire l’amour, il me l’introduisait, et me le faisait garder jusqu’au matin. Insatiable comme je l’étais, je m’amusai pendant la nuit à contracter mon anus autour de l’engin fiché dans mes chairs. De délicieuses ondes de plaisir jaillissait alors de mes reins et me mettait dans tous mes états.
A la fin des vacances, je devais monter à Paris pour y poursuivre mes études. Claude eut alors une magnifique idée. Habitant à proximité de mon lieu d’études, il se proposa alors de m’héberger. Ma mère protesta, arguant du fait que j’allai importuner mon oncle.
Ne t’inquiètes pas pour cela, je vis seul à Paris et Dominique sera le bienvenu lui répondit mon oncle. Ma mère accepta, à la condition qu’elle participe aux frais de mon hébergement. Tout le monde était d’accord, surtout moi.
A suivre
Solène la salope
C'était l'été, et comme tous les ans mon oncle Claude, âgé de 25 ans seulement était venu passer des vacances chez nous. Il aimait d'autant plus venir chez nous, qu'il s'occupait activement de ma mère depuis le décès de mon père. Cela ne me gênait en aucune façon. A chaque fois qu'il était là, elle débordait de joie, et cela me plaisait.
L'année précédente mon oncle m'avait initié à certains plaisirs masculins. Nous nous étions masturbés mutuellement, puis j'avais découvert le plaisir de la fellation. L'initiative était venue de lui, j'avais adoré cette caresse, surtout qu'il l'avait menée jusqu'au bout. Ravi de cette expérience, je m'étais empressé de lui offrir le même plaisir. Les derniers jours avant son départ, il avait apporté un gode de bonne taille. C'était la première fois que j'en voyais un en vrai, après avoir humidifié son anus, il y avait enfoncé petit à petit l'engin. Je n'en revenais pas. Pendant plusieurs minutes il effectua des va et vient, variant la vitesse et la profondeur de son enculage. A ma grande surprise, sans qu'il ait touché son sexe, un flot de sperme en jaillit, et se répandit sur son bas ventre. Comme j'avais déjà goûté à son foutre, je me mis à le lécher, avant de sucer sa queue encore poisseuse. Un peu effrayé par la grosseur de l'engin, je n'avais pas voulu essayer.
Avant de nous quitter à la fin des vacances, il me l'avait discrètement laissé en guise de cadeau.
En attendant les vacances de l'année suivante, je m’étais laborieusement acharné à dilater mon petit trou. A force de persévérance, deux mois plus tard j'arrivais enfin à l'insérer dans mes reins complètement, si bien que j'étais prêt à recevoir enfin un vrai sexe. Aujourd’hui mon oncle étant enfin de retour, il ne me restait plus qu'à sauter le pas.
En ce début d'après-midi, comme à l'accoutumée, ma mère était à son travail, et mon oncle se faisait une petite sieste. Je préparai soigneusement mon petit trou, puis me rendis jusqu'à sa chambre. Claude était sur le dos et par cette chaleur, son corps était nu. Je m'approchai sans bruit du lit. Son sexe reposait mollement sur sa cuisse, le gland légèrement découvert. A genoux près du lit, j'approchai ma tête du sexe, puis je le happais avec délicatesse, et me mis à le sucer. Quel régal ! Cela faisait un an que je n'avais plus pratiqué de fellation. Mon oncle continuait à dormir, mais au fur et à mesure de mes caresses, sa queue se tendait petit à petit. Au bout de quelques minutes sa tige se redressa fièrement, toute luisante de ma salive. Je contemplai mon œuvre, puis je mouillai mon anus, tout en y insérant mes doigts. Après quelques allers-retours entre ma rondelle et ma bouche j'étais enfin prêt. J'enjambai le corps de Claude, puis je m'accroupis au dessus de la verge dressée. Je l'empoignai et la guidai vers mes reins. Abaissant ma croupe jusqu’à sentir le gland buter, puis avec précaution je forçais doucement. Mon œillet résista un peu, puis s'épanouit et se laissa pénétrer. Mes nombreux godages m'avaient rendu accessible, je me faisais enfin sodomiser par un vrai sexe
A ce moment, Claude ouvrit les yeux.
-Tu me fais une chouette surprise mon petit chat. J’adore être réveillé comme cela.
-Ravi que cela te plaise, j’attendais ce moment depuis un an. J’étais impatient de t’offrir mon pucelage.
-Je vois que mon petit cadeau t’a été très utile pour roder ton petit trou.
Il ne put en dire plus car j’écrasais mes lèvres contre les siennes. Aussitôt sa langue pénétra ma bouche, et s’enroula avec la mienne. Les vacances commençaient vraiment bien.
Pendant ce temps je m’empalais avec délice sur le pieu de Claude. J’adorai mon gode, mais là c’était une vrai queue qui me fouillait les reins. Je m’activais comme une chienne, de temps en temps la queue sortait presque entièrement, puis je me laissai descendre à fond pour sentir ses testicules sur mes fesses. Je pensais en moi-même que je devenais une salope à part entière, ma bouche et mon petit trou se gavait de cette belle bite. Claude me laissa l’initiative pendant de longues minutes, puis il empoigna mes fesses, et se mit à me pilonner, ses cuisses claquaient contre mon corps, je me laissai faire, goûtant chaque coup de reins, qui semblaient propulser sa tige de plus en plus profond. Sentant venir sa jouissance, je m’arrachai à ce délicieux empalage, puis gobais la bite toute dégoulinante. Je pompais le sexe à toute vitesse. Mes efforts furent rapidement couronnés de succès. Un jet de foutre inonda ma bouche. Ce n’était pas la première fois que je recevais son sperme, mais Claude n’avait jamais éjaculé autant. Déglutissant avec peine, je continuais à sucer sa queue secouée de spasmes. Les dernières gouttes recueillies, j’embrassai mon baiseur, nos langues se caressèrent à nouveau, baignant dans un délicieux mélange de foutre et de salive. N’ayant pas encore joui, je guidai à nouveau sa queue en moi. J’étais tellement excité qu’au bout de quelques va et vient, ma jouissance explosa, inondant le bas ventre de Claude.
Épuisés par notre petit jeu, nous nous endormîmes tous les deux.
Pendant tout notre mois de vacances, nous passâmes notre temps à faire l’amour, variant les plaisirs et les positions à l’infini. Nous passions pratiquement tous nos après-midi nus dans la maison, ou bien au soleil. J’aimai par-dessus tout sucer la queue superbe de Claude avant qu’il me l’enfonce à fond. J’adorai être sa chose, toujours prêt à lui offrir ma bouche ou mes reins, avant qu’il ne déverse sa semence dans ma gorge. A force de me faire prendre, mon anus était devenu très souple, Claude y mettait ses doigts à fond, fourrageant dans mon intimité pour mon plus grand plaisir, puis me les donnait à sucer avant de me rouler de somptueuses pelles.
Ma mère ayant dû s’absenter plusieurs jours, nous en profitâmes pour passer nos nuits ensemble. Claude m’avait offert un jouet que je ne connaissais pas. Évidemment vu sa forme, je n’avais aucun doute sur son usage. Il s’agissait d’un plug. Chaque fois que nous avions fini de faire l’amour, il me l’introduisait, et me le faisait garder jusqu’au matin. Insatiable comme je l’étais, je m’amusai pendant la nuit à contracter mon anus autour de l’engin fiché dans mes chairs. De délicieuses ondes de plaisir jaillissait alors de mes reins et me mettait dans tous mes états.
A la fin des vacances, je devais monter à Paris pour y poursuivre mes études. Claude eut alors une magnifique idée. Habitant à proximité de mon lieu d’études, il se proposa alors de m’héberger. Ma mère protesta, arguant du fait que j’allai importuner mon oncle.
Ne t’inquiètes pas pour cela, je vis seul à Paris et Dominique sera le bienvenu lui répondit mon oncle. Ma mère accepta, à la condition qu’elle participe aux frais de mon hébergement. Tout le monde était d’accord, surtout moi.
A suivre
Solène la salope
3 years ago