Saunas- septembre 2021
Ce mois ci j’ai réussi à aller deux fois au sauna.
D’abord à l’Euromen’s club, mon établissement habituel. Dés la douche un type me présente une très belle bite. Moi comme un gland, au lieu de la prendre et de la sucer, je regarde juste en me branlant. J’espérais que le gars viendrait avec moi au hammam mais il n’en a rien fait. Déception. Au bout de quelques minutes je file à la darkroom. Quatre ou cinq personnes sont entrain de se tripoter. L’un est à genoux et en pompe un autre. Je me joints au groupe. J’approche ma bite pour qu’il la suce tout en masturbant mon voisin. Après quelques minutes de branlette, de trituration des tétons et d’embrassade, moi aussi je m’assieds sur un banc pour pomper une queue par trop grosse mais appétissante. Je m’applique, je lèche les bourses, pointe la langue dans le méat, j’englouti à fond.. mon partenaire apprécie. Il me prend la main et me guide dans un autre coin de la pièce où cette fois si c’est lui qui s’assoit sur le banc alors que je m’agenouille entre ses cuisses. J’adore cette position. Les reins cambrés, le cul offert, la bite qui bat entre les jambes au rythme de la bouche sur la bite de l’autre. C’est le sketch de Blanche Gardin : donnez moi une bite et un coussin et je suce, je suce, je suce… La j’y vais vraiment à fond, je veux faire jouir mon partenaire…et je réussi. Je le sens qui se cambre et je reçois dans la bouche une petite giclée qui ne peut être que du sperme. Bien sûr j’avale le tout car il n’y en a pas beaucoup. Je frotte son gland sur mes lèvres, mon visage… je suis trop excité. Il me remercie en me roulant une pelle bien baveuse et chacun s’en va de son côté. Moi je descend au second sous-sol. À côté de la piscine il y a deux étudiants médecins habillés (c’est un peu bizarre) qui proposent des tests pour le SIDA. Ils sont sympathiques et je me laisse faire. Ouf, je suis négatif. Le garçon me donne quelques conseils utiles : pas de sodomie sans capote, très peu de risque à sucer mais il faut éviter de se laver les dents avant pour ne pas irriter les gencives ce qui pourrait permettre au virus de pénétrer. Pour me remettre de mes émotions je vais pour m’étendre dans ma cabine habituelle (au fond à droite). Alors que je m’enduis la bite et les fesses de lub pour pouvoir mieux me branler et me doigter le trou quelqu’un se présente à la porte avec une bite vraiment grosse et les couilles enserrées d’un gros cockring. Je ne peux pas résister. Je le branle, il s’étend sur la banquette et je le pompe de mon mieux. Je lèche ses couilles, toute sa hampe, son méat que j’essaye d’ouvrir avec la langue, j’avale tout son vit, je lui fait un gorge profonde, je monte, je descends, vite, lentement, vite.. vraiment une belle pipe de pro. Il réagit bien, gémit, balance les hanches, se trémousse, se caresse et s’étire les tétons.. j’espère recevoir une grande giclée de foutre mais soudain il me demande d’arrêter, il se sent mal, la tête lui tourne..je l’aide à s’assoir, le réconforte, l’accompagne jusqu’aux transats devant la piscine où il s’étend pour se remettre. Je le signale aux étudiant en médecine qui attendent toujours le client pour leurs tests. Je quitte les lieux en ayant passé une assez bonne après-midi. Je suis quand même un peu frustré car je n’ai pas joui et je ne me suis pas fait enculer.
En revenant à mon hôtel je passe rue Blondel et je me laisse tenter par une prostituée avec d’énormes seins que je baise en levrette. Ça fait du bien.
Une semaine plus tard, de retour à Paris j’ai quelques heures de libres que je vais passer aux Bains d’Odessa.
Le mercredi c’est naturiste. C’est super de se balader à poil devant tout le monde surtout quand on bande bien. Curieusement y en a qui cachent leur sexe avec la toute petite serviette qu’on donne à l’accueil ou avec leurs mains. Pourtant ils viennent bien pour se faire sucer ou branler ? Après la douche et un petit tour au sauna je descends au second sous sol. Très sombre. Dans la chambre à partouze un type est accroupi sur le lit, occupé à sucer son partenaire qui est couché. Il présente son cul que je caresse. Je m’équipe d’une capote pour l’enculer mais il le fait signe de la main qu’il n’y tient pas. Déception. En remontant l’escalier je suis abordé par un gars assez jeune qui me triture les tétons, la bite et les couilles. Sans que je ne lui demande rien il me dit qu’il ne pratique pas la sodomie mais qu’il aime embrasser. « Et toi ? ».. « heu..ça dépend ». Il me roule une pelle bien baveuse, je suce sa grosse langue qu’il essaye d’enfoncer dans la gorge. Dégeu et excitant. On bloque le passage dans l’escalier et on doit se séparer. Je monte les étages. Tout en haut, dans le coin noir, je tombe sur une bite que je branle. Le type me roule une pelle. Décidément c’est le jour. Je redescends et je vais m’étendre dans le solarium à l’air libre. C’est agréable. Je me caresse la bite et les couilles. Un beau garçon assez jeune de type indien, me rejoint. Il me suce un peu et je lui rends la pareille. Très sympa. Je vais m’étendre dans une grande cabine au premier avec un écran qui diffuse l’habituel film de sodomie. Excitant. Je somnole quand quelqu’un viens me caresser la poitrine et les tétons. Je gémis pour l’encourager. Il m’enduit le trou de lub et me doigte vigoureusement. J’aime. J’espère qu’il va m’enculer mais je constate qu’il a une petite bite pas très raide. Je le suce de mon mieux, je tête, je pompe… il me fait mettre la tête en bascule hors de la couchette et il se branle sur mon visage jusqu’à l’éjaculation. Il a la délicatesse de prendre du papier pour m’essuyer. Quel gentleman. En fait j’aurai aimé garder son sperme sur moi. Bien sûr pendant toute cette séquence je le suis branlé et j’ai joui presqu’en même temps que lui. Avant de partir je fais un dernier tour du propriétaire. Ii y a maintenant des choses intéressantes : sur le sling au second, un type se fait enculer en gémissant, au second sous sol c’est un gars avec des bas noirs auto collant qui bénéficie du même traitement…hum.. j’aimerai participer mais il est tard et j’ai un train. Ce sera pour la prochaine fois que j’espère proche.
D’abord à l’Euromen’s club, mon établissement habituel. Dés la douche un type me présente une très belle bite. Moi comme un gland, au lieu de la prendre et de la sucer, je regarde juste en me branlant. J’espérais que le gars viendrait avec moi au hammam mais il n’en a rien fait. Déception. Au bout de quelques minutes je file à la darkroom. Quatre ou cinq personnes sont entrain de se tripoter. L’un est à genoux et en pompe un autre. Je me joints au groupe. J’approche ma bite pour qu’il la suce tout en masturbant mon voisin. Après quelques minutes de branlette, de trituration des tétons et d’embrassade, moi aussi je m’assieds sur un banc pour pomper une queue par trop grosse mais appétissante. Je m’applique, je lèche les bourses, pointe la langue dans le méat, j’englouti à fond.. mon partenaire apprécie. Il me prend la main et me guide dans un autre coin de la pièce où cette fois si c’est lui qui s’assoit sur le banc alors que je m’agenouille entre ses cuisses. J’adore cette position. Les reins cambrés, le cul offert, la bite qui bat entre les jambes au rythme de la bouche sur la bite de l’autre. C’est le sketch de Blanche Gardin : donnez moi une bite et un coussin et je suce, je suce, je suce… La j’y vais vraiment à fond, je veux faire jouir mon partenaire…et je réussi. Je le sens qui se cambre et je reçois dans la bouche une petite giclée qui ne peut être que du sperme. Bien sûr j’avale le tout car il n’y en a pas beaucoup. Je frotte son gland sur mes lèvres, mon visage… je suis trop excité. Il me remercie en me roulant une pelle bien baveuse et chacun s’en va de son côté. Moi je descend au second sous-sol. À côté de la piscine il y a deux étudiants médecins habillés (c’est un peu bizarre) qui proposent des tests pour le SIDA. Ils sont sympathiques et je me laisse faire. Ouf, je suis négatif. Le garçon me donne quelques conseils utiles : pas de sodomie sans capote, très peu de risque à sucer mais il faut éviter de se laver les dents avant pour ne pas irriter les gencives ce qui pourrait permettre au virus de pénétrer. Pour me remettre de mes émotions je vais pour m’étendre dans ma cabine habituelle (au fond à droite). Alors que je m’enduis la bite et les fesses de lub pour pouvoir mieux me branler et me doigter le trou quelqu’un se présente à la porte avec une bite vraiment grosse et les couilles enserrées d’un gros cockring. Je ne peux pas résister. Je le branle, il s’étend sur la banquette et je le pompe de mon mieux. Je lèche ses couilles, toute sa hampe, son méat que j’essaye d’ouvrir avec la langue, j’avale tout son vit, je lui fait un gorge profonde, je monte, je descends, vite, lentement, vite.. vraiment une belle pipe de pro. Il réagit bien, gémit, balance les hanches, se trémousse, se caresse et s’étire les tétons.. j’espère recevoir une grande giclée de foutre mais soudain il me demande d’arrêter, il se sent mal, la tête lui tourne..je l’aide à s’assoir, le réconforte, l’accompagne jusqu’aux transats devant la piscine où il s’étend pour se remettre. Je le signale aux étudiant en médecine qui attendent toujours le client pour leurs tests. Je quitte les lieux en ayant passé une assez bonne après-midi. Je suis quand même un peu frustré car je n’ai pas joui et je ne me suis pas fait enculer.
En revenant à mon hôtel je passe rue Blondel et je me laisse tenter par une prostituée avec d’énormes seins que je baise en levrette. Ça fait du bien.
Une semaine plus tard, de retour à Paris j’ai quelques heures de libres que je vais passer aux Bains d’Odessa.
Le mercredi c’est naturiste. C’est super de se balader à poil devant tout le monde surtout quand on bande bien. Curieusement y en a qui cachent leur sexe avec la toute petite serviette qu’on donne à l’accueil ou avec leurs mains. Pourtant ils viennent bien pour se faire sucer ou branler ? Après la douche et un petit tour au sauna je descends au second sous sol. Très sombre. Dans la chambre à partouze un type est accroupi sur le lit, occupé à sucer son partenaire qui est couché. Il présente son cul que je caresse. Je m’équipe d’une capote pour l’enculer mais il le fait signe de la main qu’il n’y tient pas. Déception. En remontant l’escalier je suis abordé par un gars assez jeune qui me triture les tétons, la bite et les couilles. Sans que je ne lui demande rien il me dit qu’il ne pratique pas la sodomie mais qu’il aime embrasser. « Et toi ? ».. « heu..ça dépend ». Il me roule une pelle bien baveuse, je suce sa grosse langue qu’il essaye d’enfoncer dans la gorge. Dégeu et excitant. On bloque le passage dans l’escalier et on doit se séparer. Je monte les étages. Tout en haut, dans le coin noir, je tombe sur une bite que je branle. Le type me roule une pelle. Décidément c’est le jour. Je redescends et je vais m’étendre dans le solarium à l’air libre. C’est agréable. Je me caresse la bite et les couilles. Un beau garçon assez jeune de type indien, me rejoint. Il me suce un peu et je lui rends la pareille. Très sympa. Je vais m’étendre dans une grande cabine au premier avec un écran qui diffuse l’habituel film de sodomie. Excitant. Je somnole quand quelqu’un viens me caresser la poitrine et les tétons. Je gémis pour l’encourager. Il m’enduit le trou de lub et me doigte vigoureusement. J’aime. J’espère qu’il va m’enculer mais je constate qu’il a une petite bite pas très raide. Je le suce de mon mieux, je tête, je pompe… il me fait mettre la tête en bascule hors de la couchette et il se branle sur mon visage jusqu’à l’éjaculation. Il a la délicatesse de prendre du papier pour m’essuyer. Quel gentleman. En fait j’aurai aimé garder son sperme sur moi. Bien sûr pendant toute cette séquence je le suis branlé et j’ai joui presqu’en même temps que lui. Avant de partir je fais un dernier tour du propriétaire. Ii y a maintenant des choses intéressantes : sur le sling au second, un type se fait enculer en gémissant, au second sous sol c’est un gars avec des bas noirs auto collant qui bénéficie du même traitement…hum.. j’aimerai participer mais il est tard et j’ai un train. Ce sera pour la prochaine fois que j’espère proche.
3 years ago