Le pote au feu
Nous avions le même âge quasiment 25 ans à l 'époque,. Je vivais en couple avec une nana tandis que Bebel était célibataire, ouvertement gay. Il n'avait pas peur d 'afficher son homosexualité malgré le milieu professionnel dans lequel nous travaillions.
Par goût de la provoc sans doute mais aussi avec l'envie de faire baver ma compagne souvent il venait chez nous avec ses conquêtes masculines. De beaux mecs bien foutus, assez machos, souvent des anges blonds tels des mannequins de magazines, des beautés masculines se fondant parfaitement dans la foule des anonymes mais assurées de faire tourner la tête de demoiselles au coeur d'artichaud. Des gay anonymes sans qu'aucun geste ou attitude ne trahisse leurs préférences sexuelles. Souvent ma compagne le jalousait de se "lever" de beaux garçons" lorsqu'il rentrait chez lui ainsi accompagné. On aurait cru une groupie devant son artiste préféré ne quittant son "idôle" des yeux que parce que la porte se refermait. Je l'aurais laissé faire elle les accompagnaient jusque dans les draps.
Je lui avais suggéré quelques temps auparavant, mon amour du travestissement et mon émoi une fois habillé en femme qui me portait à imaginer des scènes de sexe avec des hommes alors que je me pensais hétéro pur jus.
Un soir, connaissant à l'avance qu'il envisageait une furtive apparition j'avais échafaudé un scénario avec lui pour le rejoindre en compagnie de son amant du jour.
15 minutes après son départ, (nous habitions la même caserne) il me téléphone invoquant un problème d'électricité afin que j'aille le dépanner.
Je me précibite chez lui . Dans sa salle d'eau où est censé se situer le problème électrique. posés sur le rebord de baignoire, deux bas noirs en nylon, un porte jarretelle de la même couleur, une perruque blonde platine et un soutien gorge, une robe moulante ébène assortie aux dessous sexys. Un petit papier est rédigé à mon attention sur lequel je peux lire :
J'ai sélectionné Johnatan dans mes amants car il est très branché travesties sexy. Voici le necessaire pour tenter une première. Ni une ni deux, me voici avec une grosse érection entrain d'enfiler contentieusement les bas nylons sur mes jambes, de défigurer le string en tulles transparent noir. Rien qu'à l'idée de jouer le fille devant 2 mecs Mon clito a atteint sa volumétrie de croisière . Il tend les élastiques comme un tireur à l'arc près à atteindre sa cible. Je ne sais pas si je vais atteindre le rond central mais il me semble évident que le mien va être pointé bientôt. Rose et lisse il s'offre comme une cible parfaite, immanquable. Je tortille du cul pour le défroisser et lui donner une belle allure.
Un coup sourd frappé à la porte de la salle de bains me rappelle que je suis attendue. J'ouvre et je suis noyée dans le regard bleu turquoise d'un blond jeune homme qui plonge sur moi avec un sourire ravageur. Je fonds littéralement prête à me jeter dans ses bras musclé, poser ma tête contre son torse d’athlète lisse et glabre. J'ai envie d'être calinée, protégée par lui, de me blottir dans la châleur de ses bras enveloppants
Je n'hésite pas un instant et je sens ses bras m'enlacer tandis que je relèeve la teête et croise son regard profond comme un abysse. Je plonge dessus et mes lèvres viennent au contact des siennes, Nos langues échangent un dialogue informel, langoureux, sensuel, chaud bouillant.
Dans son caleçon son sexe est conquit par mon apparence, pas besoin de poser la question. Il sait exprimer sa satisfaction, son gourdin n'est pas agressif, plutôt timidement polisson. Il cogne mon abdomen au rythme des battements de son coeur, mon étreinte le rassure et ralenti ses pulsations cardiaques. Lorsque ma main s'empare du membre polisson, ce dernier reprend vigueur et les palpitations sexuelles redoublent d'intensité .Ses petits cris de plaisir entament un dialogue suréaliste avec moi. Je ne lâche pas ma prise et d'une pression appuyée j'invite mon partenaire à se lâcher et à aller s'allonger sur le lit dans la pièce d'en face. Mon copain dans l'angle de la porte me fait un clin d eoil et arbore un sourire moqueur.
Travestie devant lui, me sentant plus femelle qu'une femme, je me jette sur sa queue insolente qui respire l'envie. Je sasis ce que j'aimerais qu'une femme coquine me fasse et je n'ai pas besoin d'un manuel de formation. J'applique mes envies telles que je les ressens. Mes lèvres novices apprennent vite ce qui est bon pour lui et ce qui l est moins. Les humm, hoo, humm sont de bons guides pour diriger la visite. Je découvre un plaisir inconnu et cette chair chaude, bouillonnante, vivante, vibrante me pousse à dépasser mes limites dans des attitudes dont je me pensais incapables. J'ai complètement intégré mon statut de petite femelle chaude et sensuelle comme rêvent en cachette bcp de gars. De statut d'hétéro j'ai rapidement basculé à un statut de Bi sans appréhension, découvrant à l occasion, un plaisir inoui que je m interdisais. Mon ami se moque un instant en disant "Pour un hétéro pur jus, j'ai déjà vu mieux". J'adore ce clitoris différent qui ne se cache pas dans les recoins d'une vulve plissée, qui ne se cantonne pas à rester enfoui et minuscule entre les cuisses de sa propriétaire frigide et timide.
Chez les hommes, il n'est pas compliqué de savoir si j'excite ou pas. En principe aucun faux semblant. Soit le mec, musclé et beau comme un appolon, est insensible à mes talents, soit il s exprime en connaisseur et me bourine la bouche jusqu'à la glotte, tape mes fesses correctement en enserrant mes hanches de ses mains volumineuses.
Un fois dans mes reins, aucun simulacre. Tout son être est tendu à souhait pour me satfisfaire. Aucune faiblesse, aucun maux de tête.,Sa verge fonctionne à merveille et perfore mon cul comme un marteau piqueur, les vibrations se propagent intégralement dans mon anus , comme doté d'un amortisseur queuematique pour absorber les coups qui s'enchainent. Pour une première c est une réussite. Je prends grave mais je suis comblée car c'est à hauteur de mes espérances. Je me fais baiser comme une petite chienne, j'entends je flop flop flop de sa queue qui coulisse dans mon trou et je sens j'entends des insultes harmonieuses à mes oreilles de jeune dévergondée. Je sens son corps s'abattre contre mes fesses, comme un grosse salope en manque je subis sans pleurer, sans rien dire , tandis que mon copain pervers s'est démerdé pour filmer mes ébats et les retransmettre sur l'écran de ma compagne qui regardais bien sagement la tv en attendant mon retour ce qui décuple ma nouvelle libido. J'ai envie qu'elle comprenne que j'aime ça et qu'elle adhère pour faire de son hétéro une lope, une fiotte qui aime la bite, un enculé prêt à tout pour prendre des queues dans le cul, Elle va pouvoir me féminiser dès son retour et faire de moi une vraie sissy dévouée.
Je suis comblée lorsque je la voit surgir dans l'appartement après avoir vu mes ébats sur son écran tv. Ell est arrivée les mains chargées de nuisettes en satin qu'elle me jette à la face st sur le corps. Elle est toute excitée et crie des mots obscènes pour inciter mon assaillant à plus me labourer les reins qu'il ne le fait déjà. Je gémis comme une vierge effarouchée, je couine comme une nana au bord de l'orgasme, plus rien ne me retient. Mon partenaire se retoire et lâche en même temps de longs jets de sperme qui viennent s'écraser sur mes fesses, sur mes reins, sur le nuisettes qui vont servir à tout éponger. Le top pour la revente quand je pense aux tâches qui vont décorer ces dernières. Je mouille les draps comme une nympho en manque. Le robinet lubrificateur s est ouvert spontanément dès ma première sodomie.....Vivement la seconde que je vérifie son parfait fonctionnement.
Par goût de la provoc sans doute mais aussi avec l'envie de faire baver ma compagne souvent il venait chez nous avec ses conquêtes masculines. De beaux mecs bien foutus, assez machos, souvent des anges blonds tels des mannequins de magazines, des beautés masculines se fondant parfaitement dans la foule des anonymes mais assurées de faire tourner la tête de demoiselles au coeur d'artichaud. Des gay anonymes sans qu'aucun geste ou attitude ne trahisse leurs préférences sexuelles. Souvent ma compagne le jalousait de se "lever" de beaux garçons" lorsqu'il rentrait chez lui ainsi accompagné. On aurait cru une groupie devant son artiste préféré ne quittant son "idôle" des yeux que parce que la porte se refermait. Je l'aurais laissé faire elle les accompagnaient jusque dans les draps.
Je lui avais suggéré quelques temps auparavant, mon amour du travestissement et mon émoi une fois habillé en femme qui me portait à imaginer des scènes de sexe avec des hommes alors que je me pensais hétéro pur jus.
Un soir, connaissant à l'avance qu'il envisageait une furtive apparition j'avais échafaudé un scénario avec lui pour le rejoindre en compagnie de son amant du jour.
15 minutes après son départ, (nous habitions la même caserne) il me téléphone invoquant un problème d'électricité afin que j'aille le dépanner.
Je me précibite chez lui . Dans sa salle d'eau où est censé se situer le problème électrique. posés sur le rebord de baignoire, deux bas noirs en nylon, un porte jarretelle de la même couleur, une perruque blonde platine et un soutien gorge, une robe moulante ébène assortie aux dessous sexys. Un petit papier est rédigé à mon attention sur lequel je peux lire :
J'ai sélectionné Johnatan dans mes amants car il est très branché travesties sexy. Voici le necessaire pour tenter une première. Ni une ni deux, me voici avec une grosse érection entrain d'enfiler contentieusement les bas nylons sur mes jambes, de défigurer le string en tulles transparent noir. Rien qu'à l'idée de jouer le fille devant 2 mecs Mon clito a atteint sa volumétrie de croisière . Il tend les élastiques comme un tireur à l'arc près à atteindre sa cible. Je ne sais pas si je vais atteindre le rond central mais il me semble évident que le mien va être pointé bientôt. Rose et lisse il s'offre comme une cible parfaite, immanquable. Je tortille du cul pour le défroisser et lui donner une belle allure.
Un coup sourd frappé à la porte de la salle de bains me rappelle que je suis attendue. J'ouvre et je suis noyée dans le regard bleu turquoise d'un blond jeune homme qui plonge sur moi avec un sourire ravageur. Je fonds littéralement prête à me jeter dans ses bras musclé, poser ma tête contre son torse d’athlète lisse et glabre. J'ai envie d'être calinée, protégée par lui, de me blottir dans la châleur de ses bras enveloppants
Je n'hésite pas un instant et je sens ses bras m'enlacer tandis que je relèeve la teête et croise son regard profond comme un abysse. Je plonge dessus et mes lèvres viennent au contact des siennes, Nos langues échangent un dialogue informel, langoureux, sensuel, chaud bouillant.
Dans son caleçon son sexe est conquit par mon apparence, pas besoin de poser la question. Il sait exprimer sa satisfaction, son gourdin n'est pas agressif, plutôt timidement polisson. Il cogne mon abdomen au rythme des battements de son coeur, mon étreinte le rassure et ralenti ses pulsations cardiaques. Lorsque ma main s'empare du membre polisson, ce dernier reprend vigueur et les palpitations sexuelles redoublent d'intensité .Ses petits cris de plaisir entament un dialogue suréaliste avec moi. Je ne lâche pas ma prise et d'une pression appuyée j'invite mon partenaire à se lâcher et à aller s'allonger sur le lit dans la pièce d'en face. Mon copain dans l'angle de la porte me fait un clin d eoil et arbore un sourire moqueur.
Travestie devant lui, me sentant plus femelle qu'une femme, je me jette sur sa queue insolente qui respire l'envie. Je sasis ce que j'aimerais qu'une femme coquine me fasse et je n'ai pas besoin d'un manuel de formation. J'applique mes envies telles que je les ressens. Mes lèvres novices apprennent vite ce qui est bon pour lui et ce qui l est moins. Les humm, hoo, humm sont de bons guides pour diriger la visite. Je découvre un plaisir inconnu et cette chair chaude, bouillonnante, vivante, vibrante me pousse à dépasser mes limites dans des attitudes dont je me pensais incapables. J'ai complètement intégré mon statut de petite femelle chaude et sensuelle comme rêvent en cachette bcp de gars. De statut d'hétéro j'ai rapidement basculé à un statut de Bi sans appréhension, découvrant à l occasion, un plaisir inoui que je m interdisais. Mon ami se moque un instant en disant "Pour un hétéro pur jus, j'ai déjà vu mieux". J'adore ce clitoris différent qui ne se cache pas dans les recoins d'une vulve plissée, qui ne se cantonne pas à rester enfoui et minuscule entre les cuisses de sa propriétaire frigide et timide.
Chez les hommes, il n'est pas compliqué de savoir si j'excite ou pas. En principe aucun faux semblant. Soit le mec, musclé et beau comme un appolon, est insensible à mes talents, soit il s exprime en connaisseur et me bourine la bouche jusqu'à la glotte, tape mes fesses correctement en enserrant mes hanches de ses mains volumineuses.
Un fois dans mes reins, aucun simulacre. Tout son être est tendu à souhait pour me satfisfaire. Aucune faiblesse, aucun maux de tête.,Sa verge fonctionne à merveille et perfore mon cul comme un marteau piqueur, les vibrations se propagent intégralement dans mon anus , comme doté d'un amortisseur queuematique pour absorber les coups qui s'enchainent. Pour une première c est une réussite. Je prends grave mais je suis comblée car c'est à hauteur de mes espérances. Je me fais baiser comme une petite chienne, j'entends je flop flop flop de sa queue qui coulisse dans mon trou et je sens j'entends des insultes harmonieuses à mes oreilles de jeune dévergondée. Je sens son corps s'abattre contre mes fesses, comme un grosse salope en manque je subis sans pleurer, sans rien dire , tandis que mon copain pervers s'est démerdé pour filmer mes ébats et les retransmettre sur l'écran de ma compagne qui regardais bien sagement la tv en attendant mon retour ce qui décuple ma nouvelle libido. J'ai envie qu'elle comprenne que j'aime ça et qu'elle adhère pour faire de son hétéro une lope, une fiotte qui aime la bite, un enculé prêt à tout pour prendre des queues dans le cul, Elle va pouvoir me féminiser dès son retour et faire de moi une vraie sissy dévouée.
Je suis comblée lorsque je la voit surgir dans l'appartement après avoir vu mes ébats sur son écran tv. Ell est arrivée les mains chargées de nuisettes en satin qu'elle me jette à la face st sur le corps. Elle est toute excitée et crie des mots obscènes pour inciter mon assaillant à plus me labourer les reins qu'il ne le fait déjà. Je gémis comme une vierge effarouchée, je couine comme une nana au bord de l'orgasme, plus rien ne me retient. Mon partenaire se retoire et lâche en même temps de longs jets de sperme qui viennent s'écraser sur mes fesses, sur mes reins, sur le nuisettes qui vont servir à tout éponger. Le top pour la revente quand je pense aux tâches qui vont décorer ces dernières. Je mouille les draps comme une nympho en manque. Le robinet lubrificateur s est ouvert spontanément dès ma première sodomie.....Vivement la seconde que je vérifie son parfait fonctionnement.
3 years ago