Le double-fonds du vice

en sonnant à la porte du bordel, je pensais me retrouver dans les cinq minutes qui suivraient en train de tirer une pute
si on pouvait voir en transparence à travers les murs...il y aurait la rue piétonne, pleine de monde, avec ses pavés, ses terrasses...
la vieille maison étroite, à l'escalier qui grince, aux odeurs louches
au troisième étage, derrière les volets à moitié fermés, on verrait un petit vicieux, le cul à l'air, en train de caracoler sur une jeune tchèque trop maquillée, ou sur une roumaine, branlant sa queue gantée de latex dans le vagin blasé de Pamela, ou Lola
j'avais envie d'une pute, sans avoir conscience que, derrière ce désir s'en tapissait un autre, moins conventionnel
J'avais envie de baiser une grand-mère salope et dominatrice, si possible avec de gros nichons
ce désir, je l'ai senti exploser comme une bulle à la surface d'un étang, lorsque je suis entré dans le bordel
Ce n'était pas Janina, ou Mercédès, svelte et bronzée, pour lesquelles je voulais faire jaillir ma crème
J'avais envie de la vieille maquerelle, grosse et moche, lourde et autoritaire avec ses lunettes...envie de quoi?
Faire du sexe cru, bien humide, me retrouver seul avec elle, tâter ses gros seins
Il lui a fallu quelques instants pour que les filles comprennent que c'était avec elle que je voulais monter dans la chambre
Mmmmh...La pute à la retraite, qui montait l'escalier avec ses pas lourds, balançant mollement sa croupe qui avait du gainer des milliers de queues
Une vieille dame sévère, aux nichons pigeonnants...une vieille pute confite dans le vice
Elle ne devait plus se faire tirer très souvent.
Elle dégageait quelque chose de la ménagère qui soudain brûle de se faire sauter par le facteur
La réalité se révèle obscène à souhait. Voilà mère-grand à la bouche pulpeuse et blasée, qui m'ordonne d'une voix de fumeuse de m'étendre sur le lit, nu comme un ver bien entendu
Salope qui lorgne en connaissance sur ma bite que je branlotte tout doucement
-tou as oune belle bite, dit-elle d'un ton rude, impersonnel.
Ce que j'entends, ce n'est pas : "j'ai envie de toi, tu me plais", mais "ça va me servir pour me branler, c'est un jouet qui me convient". Elle aurait eu la même prévenance pour un concombre.
D'habitude je n'aime pas me faire chevaucher. Mais la matrone ne me laisse pas le choix.
Elle monte sur le lit. Vu d'en bas, elle est encore plus imposante et lourde.
Ses mains baguées et boudinées me branlent. Elle était sortie, pour revenir dans une sorte de chemise de nuit.
Je distingue sa touffe grise, absolument pas soignée. Elle sort ses gros seins de pute, un à un.
Ce n'est pas pour me plaire, c'est pour me faire bander. Et si elle veut que je bande, ce n'est pas pour mon plaisir, mais le sien.
La grand-mère se frotte le pourtour de la vulve sur ma queue.
Je tends les mains pour peloter ses miches, mais sans autorité. C'est elle qui dirige tout.
- Je te plais? lance-t-elle brusquement.
- Vous m'excitez, dis-je d'une voix haletante. J'ai eu de nombreuses amantes très mûres.
- Ah, tou aimes les femmes mûres...
- En ce moment, je saute ma logeuse de temps en temps. Elle a 76 ans. Elle est toute mince, et sa chatte est très sèche, très étroite. Parfois je n'arrive pas à m'enfoncer en elle. Alors elle me lèche pendant que je me branle. Dernièrement, elle m'a très très bien léché les couilles avec sa petite langue, c'était très bon.
- Et tu as aimé ça, petite salope (je ne retranscris pas son accent, transforment les u en ou). et tu ne les lèche pas, les dames?
- Si, bien sûr...j'essaie toujours de faire plaisir à Solange, qui a des seins comme vous...je lui enfonce la langue, je lui aspire le jus, avant qu'elle ne me fasse grimper sur elle, en me disant, "oh...qu'est-ce que tu fais à ta maman...tu es un bon fils..."
Et puis, il y a Brigitte, la distinguée Brigitte blonde, dans sa maison bourgeoise...elle, je l'encule, mais on se suce en même temps pour nous exciter...
- Alors, tu es une petite salope à vieilles...tu vas me lécher, parce que j'aime ça.
Elle s'avance et s'assaille sur ma bouche. Je lèche, je goûte sa mouille. Dès que je descend vers le bas de sa vulve, elle comprend qu'elle peut tout se permettre. Elle avance encore son bassin, j'écarte ses fesses graisseuses, et je lui lèche le trou de balle.
L'idée que je lèche le trou du cul de cette grosse pute m'excite, en plus de la texture tourmentée de son cul palpitant
- C'est bien, tu es une bonne pute à vieilles. Je devrais t'amener ma soeur, elle est plus âgée que moi, elle n'a pas d'homme. Cela lui ferait du bien de se faire bouffer le cul par une bonne pute comme toi.
- Oh oui, je suis prêt à lécher le cul de votre soeur.
- Et moi, je me branlerai pendant ce temps. Et quand je me branle, tu sais ce que j'aime faire? J'aime mouiller de la chatte, et pisser pendant que je me touche.
Elle redescend pour frotter sa vulve touffue sur mon gland, et se pince le clitoris en écartant les broussailles.
Soudain, je la vois renverser la tête en arrière, comme si elle manquait d'air.
La vieille salope, elle a lâché un jet de pisse! C'est chaud sur mon gland, cela dégouline sur mes couilles.
Je trouve la force de lui dire, tout en accélérant ma branlette:
- quand votre soeur viendra, il faudra qu'elle me pisse dessus comme ça, pendant qu'elle se caresse.
- On verra, peut-être qu'elle voudra que tu la baises. Mais peut-être qu'elle te pissera dessus.
Ma tige se contracte par saccades à la montée du sperme, sous les caresses chaudes des jets de pisse de la vielle pute.
Je me rappelle avoir lu dans je ne sais quelle annonce: "j'aime l'érotisme sans vulgarité".
Entièrement d'accord, moi aussi, du moment que je puisse me branler de temps en temps sous des grand-mères putes qui pissent quand elles jouissent
ce texte est une réponse à une vidéo reçue dernièrement par mon ami Thomas