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Tu es là devant moi

Tu es là devant moi

Tu es là devant moi, Tu es si séduisante dans cette jupe légère , ce bustier échancré à fines bretelles jouant avec ta peau caramélisée par le soleil. Je devine aussi cet élégant soutien-gorge finement brodé mettant en valeur ta belle poitrine bombée. Ta peau douce sent un doux parfum de fleurs fraîchement coupées. Ton large sourire et ta fragilité me font craquer.



Mon regard se perd dans les rondeurs de ton décolleté gonflé par le désir. Je t'invite à prendre place sur mes genoux. Voilà peut être le moyen de faire une pause... Tu remontes ta jupe sur le haut de tes cuisses ; tu t'assois à califourchon sur mes jambes et tu plaques ta poitrine sur mon visage. Je dépose quelques baisers dans le creux de tes deux seins. Je hume à pleins poumons la fraîcheur de ta peau. Puis tu bascules ta tête tendrement vers la mienne. J'approche ma bouche de tes lèvres charnues. Ton souffle se mêle au mien. J'ai le goût de tes lèvres sur les miennes. Nos langues font connaissance dans une profonde chaleur. Elles s'enroulent l'une à l'autre avec passion, dans une danse langoureuse. Tu me bois, je te bois. C'est si bon. Tes cuisses m'enserrent, je te plaque contre mon torse de mes deux mains dans le creux de tes reins. Nos deux sexes sont collés. Je sens la chaleur de ton bas-ventre. Nous sommes bouillants de désir...

Je ne tiens plus. Je te soulève violemment. Collée à moi, lèvres contre lèvres, corps à corps, tes jambes autour de ma taille, je t'entraîne vers le canapé. Une main sous ta nuque, une main sur tes reins, je t'allonge dans la profondeur des coussins. J'arrache un à un les boutons de ma chemise. Mon torse s'offre à toi. Tu retires ton bustier non sans un malin plaisir à me lancer encore quelques provocations. Je dégage mon pantalon et mes chaussures en un clin d'œil. Dans le même élan, je retire ta jupe et ton soutien-gorge. Aucune résistance de ta part. Te voilà nue, avec ton string pour seul habit... Mes mains parcourent la douceur de ta peau, caressent tes seins. Le bout de mon doigt se promène d'une hanche à l'autre, en effleurant le nombril. Tes yeux se ferment peu à peu de plaisir.



Je m'agenouille, je t'embrasse en descendant sur tes chevilles. Je te retire une à une tes chaussures. Mon cœur cogne dans mes veines. Ton pied en profite pour masser mon sexe en érection. Je ne tiens plus. Je fais diversion : je sème des poignées de bisous sur tes jambes. Ton entrejambe est devant mes yeux. Je dépose un baiser appuyé sur ton mont de Vénus. Ton corps se tord de plaisir. Mes deux mains passent sous tes fesses, retire ton string-ficelle qui me sépare de ton fruit défendu. Je glisse le triangle de tissu jusqu'au bout de tes doigts de pieds.



Ton corps entame une danse au rythme de tes pulsions physiques, m'invitant à poursuivre. J'écarte doucement tes jambes. La toison de ton abricot épilé m'attire à lui. Ma langue découvre ta peau douce et brûlante. Ma langue remonte le pli de ta cuisse. Je tourne autour de ton sexe sans le toucher. Ton corps danse. Je lèche brièvement ton clitoris. Ta bouche s'ouvre et laisse échapper un profond soupir. Tes paroles deviennent confuses. Ta cyprine emplit ma bouche de son parfum si délicieux. Je parcours les reliefs de ton minou, un coup sur la lèvre de droite, un autre sur celle de gauche, un autre au fond de tes entrailles, pour remonter le long de ta fente. J'aspire fermement ton clitoris, le garde en bouche, le lape à grands coups de langue, ce bout de chair si fragile. Mes léchouilles finissent par te faire craquer. Tes deux mains plaquent ma tête sur ton sexe. Je te suce, je te bois. Ta respiration s'accélère. Ma main droite se glisse le long de ta raie. Je trouve le petit trou que je masse d'un doigt. Je relâche la pression sur ta lèvre et aspire à nouveau le clitoris. J'introduis mon doigt de quelques millimètres.



Tu pousses un nouveau soupir de plaisir. Tu m'encourages dans d'imperceptibles « encore », « t'arrête pas ». Ma main remonte le long de ton ventre, saisit ton sein à pleine main. Je pince délicatement le bout du téton. Tu viens de tressaillir. Je continue à lécher ta fente avec gourmandise. Ma main continue la pression sur l'anus ; l'autre main saisit avec fermeté ton sein. Je cherche par tous les moyens à bloquer les sursauts de ton corps. Je plonge ma langue dans le trou béant de ton vagin. J'explore encore et encore. Ton corps ondule encore et encore. Je tente de te bloquer pour mieux te sucer. Un râle plus fort que les autres, suivi de secousses incontrôlées, manifeste ta jouissance. Je retire le doigt de l'anus, la main du sein. Je t'embrasse affectueusement sur le bas-ventre. Mes mains caressent tes cuisses. Que tu es belle lorsque tu es saisie par ta jouissance, la bouche ouverte, les joues cramoisies ! Peu à peu, je me replie à tes côtés. Je passe ma main sous tes cheveux. Tu te loves le long de mon corps, une main sur mon torse, ta jambe entre les miennes.



Ta main vient se loger à l'horizontale sur mon bas-ventre,. Ta main est chaude, tes caresses sont exquises. Mon érection se ravive. Tu te redresses, me souris avec ton regard de braise que j'adore. De tes mains habiles, tu retires mon vêtement. Mon zob est enfin libéré de sa prison de tissu. Tu m'embrasses en remontant les pieds, les mollets, les genoux, les jambes, tu remontes doucement. Tes seins virevoltent au-dessus de ma peau devenue sensible à tes caresses. Tu me couvres de bisous sensuels.



Tes caresses m'enivrent de bonheur. Je te suis sur le chemin du plaisir. Ta langue lèche les gouttelettes qui perlent. La chaleur de ta bouche réchauffe le bout ; puis l'emporte jusqu'au fond de ta gorge. Tu me retiens prisonnier. Mes yeux se ferment peu à peu. Je ne peux retenir mes soupirs de satisfaction. Mes visions tournoyantes pétillent. Le plaisir monte vite. Coquine, tu le sens bien ! Tu suspends ton massage buccal. Tes mains continuent d'ardentes caresses sur mon entrejambe, mes cuisses, mon ventre, mon torse. Je n'en peux plus. Mes mains sont plantées dans le drap, je ne maîtrise plus les contractions de mon corps. Ma tête se perd dans les coussins. Je perds la connexion avec la réalité. Je suis fou de désir...



Tu reviens vers moi, m'embrasse à pleine bouche. Tu m'invites à me coller à toi. Nos corps chavirent. Ma bouche quitte la tienne. Tu es face au lit à quatre pattes, tu te cambres. Ton dos chaud est contre mon torse, mes mains massent la peau tendre de tes seins. Tu écartes tes cuisses brûlantes. Mon sexe rouge de désir s'y glisse facilement pour aller à la rencontre de ton puits d'amour. Tout en te dévorant la nuque de baisers, je passe mon sexe de ton petit mont de Vénus à ta vallée. Ton sexe humide excite mon sexe gonflé. Je me poste à l'entrée. "Viens !" Je prends ton bassin à pleines mains et te pénètre jusqu'au plus profond. Nous poussons un râle de bonheur. Nos va-et-vient sont jouissifs. Que c'est bon de sentir la danse de ton corps... L'instant d'après, nous nous retrouvons assis, moi en toi. Tes mains sont accrochées à mes épaules, mes mains sont sur tes fesses. Nos peaux à nu collées transpirent. Je profite de tes seins, pendant que tu bascules en arrière. Tes jambes m'enserrent pour forcer la pénétration. Le moment est magique.



Il nous faut respirer. J'essaye de résister à l'explosion. Nous changeons de position. Je te soulève jusqu'au mur. Mes envies se bousculent. Je lèche et embrasse ta nuque ; je mordille le lobe de ton oreille ; je ne sais plus. L'excitation est énorme.

Avec ma langue, je divague sur ton corps, je te pousse délicatement en avant, tes jambes sont tendues, les fesses relevées. J'aime me retrouver tout au fond de toi. C'est bon, c'est succulent, je te sens au plus profond. De ma main, je caresse chaque partie de ton corps. Nous venons, ton souffle, mon souffle, notre souffle, ça vient. Mon membre se durcit, je te sens te contracter...



Nous ne tenons plus. Le plaisir ultime ne demande qu'à exploser. Viens et rejoins-moi dans ce monde étoilé... Le monde n'existe plus. Il n'y a que toi et moi, nous ne faisons qu'un. Nous jouissons dans un merveilleux feu d'artifice, explosion de sentiments intenses, gerbes de plaisirs inestimables. Je te serre fort dans mes bras pour ne pas laisser échapper le bonheur d'être avec toi...
Published by taquin86
5 years ago
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